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Olivier
Au sommet de son art, Olivier a pondu :
Va-t-on enfin percer le mystère ?
Un constat : Ariel est plus intéressant quand il ne cherche pas à faire rire.
Quelques éléments glanés :
AW grandit au Maroc, dans la banlieue de Casablanca, une banlieue calme à l'époque. Son grand-père est rabbin. Puis il monte à Paris, rompt avec sa famille. Il adopte une identité, une philosophie : le nihilisme (refus de l'ennui, pour se dégager et régner sur son propre royaume). Du coup il touche à tout : musique, poésie... Son moi se donne tous les droits (dixit himself). A 15 ans, il s'inscrit dans une école juive libérale, dirigée par Emmanuel Lévinas. En internat dans cette école, il devient très proche du philosophe. Il dîne avec lui tous les soirs, se nourrit de sa pensée. Malgré tout, Ariel est très éparpillé : il fréquente le monde de la nuit, du showbiz. Il travaille avec Edouard Baer sur Radio Nova, apprécie la liberté absolue de cette époque. Avec le même Baer, il se retrouve sur Canal. AW défend les Guignols contre les attaques journalistiques, mais dénonce l'acharnement et la méchanceté de Gaccio (à l'endroit de Candeloro notamment). Marié, 2 jeunes enfants. Il élève ses gosses de manière à la fois rigoureuse et chaotique. Cherche à les voir joyeux. Parle très bien de sa fonction de père : un père doit avant tout communiquer de la protection, selon lui. Se sent proche de Bowie et de Socrate (sic), mais pas de Platon. Pour lui, les technocrates sont du côté de Platon, les trublions du côté de Socrate. A terme, il souhaite s'orienter vers l'écriture (au sens large). Pour lui, faire le DJ est aussi écrire.
-- http://frtp.fr.st
Au sommet de son art, Olivier a pondu :
Va-t-on enfin percer le mystère ?
Un constat : Ariel est plus intéressant quand il ne cherche pas à faire rire.
Quelques éléments glanés :
AW grandit au Maroc, dans la banlieue de Casablanca, une banlieue calme à
l'époque. Son grand-père est rabbin.
Puis il monte à Paris, rompt avec sa famille.
Il adopte une identité, une philosophie : le nihilisme (refus de l'ennui, pour
se dégager et régner sur son propre royaume).
Du coup il touche à tout : musique, poésie... Son moi se donne tous les droits
(dixit himself).
A 15 ans, il s'inscrit dans une école juive libérale, dirigée par Emmanuel
Lévinas. En internat dans cette école, il devient très proche du philosophe.
Il dîne avec lui tous les soirs, se nourrit de sa pensée.
Malgré tout, Ariel est très éparpillé : il fréquente le monde de la nuit, du
showbiz.
Il travaille avec Edouard Baer sur Radio Nova, apprécie la liberté absolue de
cette époque. Avec le même Baer, il se retrouve sur Canal.
AW défend les Guignols contre les attaques journalistiques, mais dénonce
l'acharnement et la méchanceté de Gaccio (à l'endroit de Candeloro notamment).
Marié, 2 jeunes enfants. Il élève ses gosses de manière à la fois rigoureuse
et
chaotique. Cherche à les voir joyeux. Parle très bien de sa fonction de père :
un père doit avant tout communiquer de la protection, selon lui.
Se sent proche de Bowie et de Socrate (sic), mais pas de Platon. Pour lui, les
technocrates sont du côté de Platon, les trublions du côté de Socrate.
A terme, il souhaite s'orienter vers l'écriture (au sens large). Pour lui,
faire le DJ est aussi écrire.
Un constat : Ariel est plus intéressant quand il ne cherche pas à faire rire.
Quelques éléments glanés :
AW grandit au Maroc, dans la banlieue de Casablanca, une banlieue calme à l'époque. Son grand-père est rabbin. Puis il monte à Paris, rompt avec sa famille. Il adopte une identité, une philosophie : le nihilisme (refus de l'ennui, pour se dégager et régner sur son propre royaume). Du coup il touche à tout : musique, poésie... Son moi se donne tous les droits (dixit himself). A 15 ans, il s'inscrit dans une école juive libérale, dirigée par Emmanuel Lévinas. En internat dans cette école, il devient très proche du philosophe. Il dîne avec lui tous les soirs, se nourrit de sa pensée. Malgré tout, Ariel est très éparpillé : il fréquente le monde de la nuit, du showbiz. Il travaille avec Edouard Baer sur Radio Nova, apprécie la liberté absolue de cette époque. Avec le même Baer, il se retrouve sur Canal. AW défend les Guignols contre les attaques journalistiques, mais dénonce l'acharnement et la méchanceté de Gaccio (à l'endroit de Candeloro notamment). Marié, 2 jeunes enfants. Il élève ses gosses de manière à la fois rigoureuse et chaotique. Cherche à les voir joyeux. Parle très bien de sa fonction de père : un père doit avant tout communiquer de la protection, selon lui. Se sent proche de Bowie et de Socrate (sic), mais pas de Platon. Pour lui, les technocrates sont du côté de Platon, les trublions du côté de Socrate. A terme, il souhaite s'orienter vers l'écriture (au sens large). Pour lui, faire le DJ est aussi écrire.
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Spoilerman
"Olivier" a écrit dans le message de news: 3fd7be21$0$7161$
Au sommet de son art, Olivier a pondu :
> Va-t-on enfin percer le mystère ?
Un constat : Ariel est plus intéressant quand il ne cherche pas à faire
rire.
Quelques éléments glanés :
AW grandit au Maroc, dans la banlieue de Casablanca, une banlieue calme à l'époque. Son grand-père est rabbin. Puis il monte à Paris, rompt avec sa famille. Il adopte une identité, une philosophie : le nihilisme (refus de l'ennui,
pour
se dégager et régner sur son propre royaume). Du coup il touche à tout : musique, poésie... Son moi se donne tous les
droits
(dixit himself). A 15 ans, il s'inscrit dans une école juive libérale, dirigée par Emmanuel Lévinas. En internat dans cette école, il devient très proche du
philosophe.
Il dîne avec lui tous les soirs, se nourrit de sa pensée. Malgré tout, Ariel est très éparpillé : il fréquente le monde de la nuit,
du
showbiz. Il travaille avec Edouard Baer sur Radio Nova, apprécie la liberté absolue
de
cette époque. Avec le même Baer, il se retrouve sur Canal. AW défend les Guignols contre les attaques journalistiques, mais dénonce l'acharnement et la méchanceté de Gaccio (à l'endroit de Candeloro
notamment).
Marié, 2 jeunes enfants. Il élève ses gosses de manière à la fois
rigoureuse
et chaotique. Cherche à les voir joyeux. Parle très bien de sa fonction de
père :
un père doit avant tout communiquer de la protection, selon lui. Se sent proche de Bowie et de Socrate (sic), mais pas de Platon. Pour lui,
les
technocrates sont du côté de Platon, les trublions du côté de Socrate. A terme, il souhaite s'orienter vers l'écriture (au sens large). Pour lui, faire le DJ est aussi écrire.
-- http://frtp.fr.st
Pour Ariel Wizman restera le crétauer d'Intéractif, le premier magazine français (un peu copié sur Wired) sur les nouvelles technos et internet (il y a plus de 10 ans maintenant). Merci Ariel
-- Spoilerman La Gachette en ligne : les films, leur fin http://spoilerman.free.fr
"Olivier" <mamadoo@messagerie.net> a écrit dans le message de news:
3fd7be21$0$7161$626a54ce@news.free.fr...
Au sommet de son art, Olivier a pondu :
> Va-t-on enfin percer le mystère ?
Un constat : Ariel est plus intéressant quand il ne cherche pas à faire
rire.
Quelques éléments glanés :
AW grandit au Maroc, dans la banlieue de Casablanca, une banlieue calme à
l'époque. Son grand-père est rabbin.
Puis il monte à Paris, rompt avec sa famille.
Il adopte une identité, une philosophie : le nihilisme (refus de l'ennui,
pour
se dégager et régner sur son propre royaume).
Du coup il touche à tout : musique, poésie... Son moi se donne tous les
droits
(dixit himself).
A 15 ans, il s'inscrit dans une école juive libérale, dirigée par Emmanuel
Lévinas. En internat dans cette école, il devient très proche du
philosophe.
Il dîne avec lui tous les soirs, se nourrit de sa pensée.
Malgré tout, Ariel est très éparpillé : il fréquente le monde de la nuit,
du
showbiz.
Il travaille avec Edouard Baer sur Radio Nova, apprécie la liberté absolue
de
cette époque. Avec le même Baer, il se retrouve sur Canal.
AW défend les Guignols contre les attaques journalistiques, mais dénonce
l'acharnement et la méchanceté de Gaccio (à l'endroit de Candeloro
notamment).
Marié, 2 jeunes enfants. Il élève ses gosses de manière à la fois
rigoureuse
et
chaotique. Cherche à les voir joyeux. Parle très bien de sa fonction de
père :
un père doit avant tout communiquer de la protection, selon lui.
Se sent proche de Bowie et de Socrate (sic), mais pas de Platon. Pour lui,
les
technocrates sont du côté de Platon, les trublions du côté de Socrate.
A terme, il souhaite s'orienter vers l'écriture (au sens large). Pour lui,
faire le DJ est aussi écrire.
--
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Pour Ariel Wizman restera le crétauer d'Intéractif, le premier magazine
français (un peu copié sur Wired) sur les nouvelles technos et internet (il
y a plus de 10 ans maintenant). Merci Ariel
--
Spoilerman
La Gachette en ligne : les films, leur fin
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"Olivier" a écrit dans le message de news: 3fd7be21$0$7161$
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AW grandit au Maroc, dans la banlieue de Casablanca, une banlieue calme à l'époque. Son grand-père est rabbin. Puis il monte à Paris, rompt avec sa famille. Il adopte une identité, une philosophie : le nihilisme (refus de l'ennui,
pour
se dégager et régner sur son propre royaume). Du coup il touche à tout : musique, poésie... Son moi se donne tous les
droits
(dixit himself). A 15 ans, il s'inscrit dans une école juive libérale, dirigée par Emmanuel Lévinas. En internat dans cette école, il devient très proche du
philosophe.
Il dîne avec lui tous les soirs, se nourrit de sa pensée. Malgré tout, Ariel est très éparpillé : il fréquente le monde de la nuit,
du
showbiz. Il travaille avec Edouard Baer sur Radio Nova, apprécie la liberté absolue
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cette époque. Avec le même Baer, il se retrouve sur Canal. AW défend les Guignols contre les attaques journalistiques, mais dénonce l'acharnement et la méchanceté de Gaccio (à l'endroit de Candeloro
notamment).
Marié, 2 jeunes enfants. Il élève ses gosses de manière à la fois
rigoureuse
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les
technocrates sont du côté de Platon, les trublions du côté de Socrate. A terme, il souhaite s'orienter vers l'écriture (au sens large). Pour lui, faire le DJ est aussi écrire.
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Pour Ariel Wizman restera le crétauer d'Intéractif, le premier magazine français (un peu copié sur Wired) sur les nouvelles technos et internet (il y a plus de 10 ans maintenant). Merci Ariel
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