Le premier contact n'est qu'une résultante d'un échange, la croisée de nos
regards, un mélange furtif du bleu innocent perverti du vert perfide et
changeant. Lascive, elle laisse traîner ses dents blanches dans un sourire
interminable, ses lèvres brillent d'un rose charnu éclairant un visage mat
et buriné par le vent cinglant des hautes altitudes. Sans lâcher mes yeux
qu'elle accroche aux siens elle passe sa main dans ses cheveux de crin,
dispersés en franges désordonnées sur son front baigné du tamisé orange d'un
chandelier de soufre, ses doigts caressent le vernis bistrot, glissent sur
le bois luisant, marquent un à un leur hésitation sur les tranches de
quelques CD empilés, calent une musique facile pour gens difficiles, me
projetant un peu plus profond dans les vapes langoureuses d'une douce
léthargie.
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Dylan Cole
test
Chance's outie bellybutton/navel
ultra-violet wrote:
Le premier contact n'est qu'une résultante d'un échange, la croisée de nos regards, un mélange furtif du bleu innocent perverti du vert perfide et changeant. Lascive, elle laisse traîner ses dents blanches dans un sourire interminable, ses lèvres brillent d'un rose charnu éclairant un visage mat et buriné par le vent cinglant des hautes altitudes. Sans lâcher mes yeux qu'elle accroche aux siens elle passe sa main dans ses cheveux de crin, dispersés en franges désordonnées sur son front baigné du tamisé orange d'un chandelier de soufre, ses doigts caressent le vernis bistrot, glissent sur le bois luisant, marquent un à un leur hésitation sur les tranches de quelques CD empilés, calent une musique facile pour gens difficiles, me projetant un peu plus profond dans les vapes langoureuses d'une douce léthargie.
Le premier contact n'est qu'une résultante d'un échange, la croisée de nos
regards, un mélange furtif du bleu innocent perverti du vert perfide et
changeant. Lascive, elle laisse traîner ses dents blanches dans un sourire
interminable, ses lèvres brillent d'un rose charnu éclairant un visage mat
et buriné par le vent cinglant des hautes altitudes. Sans lâcher mes yeux
qu'elle accroche aux siens elle passe sa main dans ses cheveux de crin,
dispersés en franges désordonnées sur son front baigné du tamisé orange d'un
chandelier de soufre, ses doigts caressent le vernis bistrot, glissent sur
le bois luisant, marquent un à un leur hésitation sur les tranches de
quelques CD empilés, calent une musique facile pour gens difficiles, me
projetant un peu plus profond dans les vapes langoureuses d'une douce
léthargie.
Le premier contact n'est qu'une résultante d'un échange, la croisée de nos regards, un mélange furtif du bleu innocent perverti du vert perfide et changeant. Lascive, elle laisse traîner ses dents blanches dans un sourire interminable, ses lèvres brillent d'un rose charnu éclairant un visage mat et buriné par le vent cinglant des hautes altitudes. Sans lâcher mes yeux qu'elle accroche aux siens elle passe sa main dans ses cheveux de crin, dispersés en franges désordonnées sur son front baigné du tamisé orange d'un chandelier de soufre, ses doigts caressent le vernis bistrot, glissent sur le bois luisant, marquent un à un leur hésitation sur les tranches de quelques CD empilés, calent une musique facile pour gens difficiles, me projetant un peu plus profond dans les vapes langoureuses d'une douce léthargie.
