OVH Cloud OVH Cloud

ouf... j'ai eu peur...

26 réponses
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Bruno
j'ai cru que TF1 allait passer un gros blockbuster en cinémascope ...
mais bon, après 1 minute, tout est redevenu normal et le film est
repassé en recadré....


--

"Moi aussi quand je serai vieux, je serai vieux con"

Moi

10 réponses

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putaindespam
Jean wrote:

bref, c'est à désespérer..... :((



Il nous restent les DVD. Quand je pesne que certaines VHS sont aussi
recadrés, voir la plupart quand on se trouve aux USA.... :-(

--
Gwen.
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Stephane Legras-Decussy
"Ampac" a écrit dans le message news:
3f560768$0$16149$
In news:3f55f884$0$26812$,
Pour la definition exacte d'un tv entree de gamme, il faut s'adresser a
Brina lol.



oui, un fil desormais culte.... ;-)
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miam-miam
"Brina" a écrit

| parce que cela correspond au média et au public de ce média.
| parce que c'est la dif TV qui a d'autres critères qu'un écran de cinéma.
| justement : c'est pareil que la colorisation. Le public TV n'aime pas le
| noir et blanc (je ne dis pas que c'est bien, c'est un constat)
| là c'est uniquement la loi qui les en empêche, sinon, oui, surement.

T'enchaine pas mal en ce moment, je trouve.
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miam-miam
"Brina" a écrit

|| Ben oui, forcément, plein écran sur la TV, que veux-tu dire ?

Bon, le plein ecran ou zoom ou recadrage ou image degueulasse
ou plan coupé ou deux personnes parlent mais je ne les vois pas
c'est le sujet du post.
Je reformule la chose :
tu dis que la télé oblige quasiment le recadrage (j'appelle ça plein écran,
puisque plus
de bandes noires en haut et en bas, ce qui empêche le sous-titrage propre,
au passage...)
Tu argumentes en disant que c'est quasiment obligé puisqu'une télé est moins
grande qu'un ecran de cinéma...

Je te reponds en te disant que techniquement c'est une connerie
(distance de vision,angle de vision etc).
Par exemple :
http://minilien.com/?mmGtYV9uSq

Tu argumentes que les gens n'ont qu'a se plier à cette volonté des
diffuseurs
qui, alliée à un doublage de piètre qualité, correspond à une transformation
radicale
de l'oeuvre originale (perte des couleurs, redécoupage de certains plans,
réecriture des dialogues, perte du jeu des acteurs et j'en passe).
Ceci est complètement obsolète et vient du fait que la plupart des gens
qui travaillent à la télé ne regardent _jamais_ la télé et qu'ils ne vont
_jamais_ au cinéma
en dehors de projections presse.
Les diffuseurs pensent que le spectateur français regarde la tele sur une
Grundig de 1978,
image bombée, format 36 cm.

Bref,
je te redemande donc :
Quand un film n'est pas diffusé (télé), que tu le regardes (VHS,DVD),
tu le balances en plein ecran?

Ou tu es a ce point bouffée par la télé que tu n'avais pas remarqué ce
leger detail qui differencie une diffusion au cinema d'une diffusion de
la plupart des films à la télé ?
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miam-miam
"Brina" a écrit

| bof, ceux aimant à ce point le cinéma devrait aller dans les salles au
| lieu de pester contre la télévision qui, je le rappelle, maintien le
| cinéma français en acharnement thérapeutique.

Tu t'es lue quand t'as bu ?
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Olivier
Au sommet de son art, Brina nous a pondu :

si je veux voir un film à la TV, je regarde ma TV



quelle logique implacable... ;-)
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Loïc
Donc d'après Brina il faut aller au cinema pour voir l'image en entier. Et
ça ne lui fait rien de perdre 40 % d'image lors d'une diff recadré à la tv.
quand je vois aussi les recadrage systematique pour les série: 24 h chrono,
stargate, alias, dark angel .... tous en 16/9 sur dvd. Une honte !!!
vive les tv 36 cm, le noir et blanc et le mono.


"miam-miam" <miam-miam[spam-spam]@voila.fr> a écrit dans le message de news:
3f564ca4$0$256$

"Brina" a écrit

| bof, ceux aimant à ce point le cinéma devrait aller dans les salles au
| lieu de pester contre la télévision qui, je le rappelle, maintien le
| cinéma français en acharnement thérapeutique.

Tu t'es lue quand t'as bu ?



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Cedric Paternotte
Brina wrote:
Dans l'article <bj4o0p$g97$, Jean



Avec le soin que les cinéastes
mettent à bien cadrer et monter leur films, ce qui nécéssite
beaucoup plus de travail qu'un épisode de série tourné en quelques
jours, ben voir tout ce boulot massacré par une chaîne de télé, ça
me fait mal au coeur, c'est tout.



Idem pour les séries dont une partie est d'une qualité bien
supérieure à
des tas de films !



Non. Même de bonne qualité, une série est faite pour le format TV, son
cadrage (quand il est recherché, ce qui est rare) est donc respecté. Ce
n'est pas le cas pour un film recadré. C'est évidemment plus ou moins
important selon le soin apporté au cadrage du film, mais c'est de toute
façon gênant.

On parle ici de cadrage et pas d'autre chose. C'est un élément en
général plus soigné au cinéma que dans une série. Et si les séries
voient leur qualité sabotée par un passage à la télévision (je ne vois
pas ce que tu veux dire mais tu préciseras sans doute si je me trompe),
c'est de la faute des créateurs puisque la télé est leur médium de
destination première.

Il y a une notion de non respect de l'oeuvre que je trouve
inadmissible, sans parler de celle du téléspectateur.



L'oeuvre dont tu veux le respect c'est un film fait pour être vu au
cinéma et que là.
Si tu veux le respect de l'oeuvre, interdisons la diffusion des films
à
la télévision.



Ton raisonnement est : puisque le film perd forcément quelque chose en
passant à la télé, alors aucune perte n'est critiquable ou sinon
interdisons la diffusion de films à la télé. Cette logique te convient ?

Tu regardes un film à la télévision, tu en acceptes ou non, les
différences mais ce n'est pas un scandale qu'un média adapte l'oeuvre
diffusée au public du média, à sa technique.



Je ne sais pas où tu vas chercher cette notion d'adaptation. Il ne
s'agit pas d'une simple baisse de qualité, comme celle du son (qui avec
une télé peut être beaucoup moins soigné qu'uau cinéma), mais d'une
modification d'un élément de l'oeuvre *qui aurait pu être conservé*. Le
recadrage n'est pas une adaptation.

D'ailleurs, preuve supplémentaire (simplement pour illustrer) que ce
n'est pas une contrainte : il arrive qu'un téléfilm ou même qu'une
émission télé passe avec des bandes en haut et en bas.Si la suppression
de ces bandes inélégantes est nécessaire au format télévisuel, pourquoi
donc aller jusqu'à en rajouter dans certains cas ?

Au fait, le recadrage force parfois à des pseudos-mouvements de caméra
qui n'étaient pas dans l'original.

Tu as déjà lu un livre paru en épisode dans un journal ? Et oui, ce
n'est
pas agencé de la même façon que dans un livre. Idem pour un livre
"parlé"
où quelqu'un lit le livre et tu écoutes.



Tu prends des exemples qui n'ont rien à voir. Le recadrage d'un film
n'est pas rendu nécessaire en soi par une limitation du médium qu'est la
télévision. Ce n'est pas une contrainte indispensable ou inévitable.
Dans tes arguments, tu assimiles abusivement les modifications
nécessaires et la modification précise dont il était question, le
recadrage, qui ne l'est pas.

Rien de particulier pour les films, la télévision est un média avec
ses critères, un film vu au cinéma est par nature, différent du même
film vu
à la télévision.



Ce que tu viens de dire signifie que certains changements sont
inévitables lors du passage de la version originale à la version
télévisée. Mais ça ne signifie pas que tous les changements le sont, et
ça n'aide pas non plus à savoir lesquels le sont d'ailleurs. C'est une
manière d'évacuer tout débat sur ce que la télévision devrait respecter
ou non.

J'espère que tu ne me serviras pas l'argument des goûts du public,
l'influence télé-public étant à double sens.

--
Cédric
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miam-miam
"Brina" a écrit :

/ziiip

J'abandonne...
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Cedric Paternotte
Brina a écrit :

Non. Même de bonne qualité, une série est faite pour le format TV,
son



la personne dit qu'un épisode d'une série est toujours de mauvaise
qualité vis à vis d'un film. C'est faux, tout simplement.



Ce n'est pas cela qu'elle disait : il justifiait son choix de qualifier
les séries TV de "banales" par le fait que leur image est moins
travaillée que celle du film. Ce n'est as vrai pour tous les films face
àtoutes les séries, mais ça l'est dans une très grande majorité de cas,
c'est un fait. Je n'aurais pas dit la chose comme lui, mais reste que tu
résumes sa position en substituant "mauvaise qualité" là où il disait
"infériorité des soins apportés à l'image", ce qui est faux. Remplace
son "toujours" par un "le plus souvent", et c'est tout ce que tu peux
corriger.

On parle ici de cadrage et pas d'autre chose. C'est un élément en
général plus soigné au cinéma que dans une série. Et si les séries
voient leur qualité sabotée par un passage à la télévision (je ne
vois pas ce que tu veux dire mais tu préciseras sans doute si je me
trompe), c'est de la faute des créateurs puisque la télé est leur
médium de destination première.



Le créateur livre la série, le diffuseur fait ce qu'il veut,
exactement comme pour un film.



Justement. La personne à qui tu répondais critiquait précisément ce
choix. Or tu es venu critiquer cette critique (ça va devenir compliquer)
en arguant que c'est inhérent au format télé, ce qui est faux.

Que le diffuseur puisse faire les choix qu'il souhaite, c'est
inévitable. Mais on peut critiquer ces choix si on estime qu'il font
nuisent à la qualité de l'oeuvre diffusée alors que c'était évitable.

Tu vois, si on parlait de VO/VF, j'ai beau être favorable à la VO, je
reconnais que c'est une gêne réelle pour certaines personnes (lisant
lentement, ayant une mauvaise vue, etc). La VF est une nécessité pour
certains cas, il est donc compréhensible que le choix de la VF soit fait
sur des chaînes ayant des objectifs d'audience avant tout (l'idéal
serait que chacun puisse choisir VO/VF).

Par contre, dans le cas du recadrage je ne vois aucune nécessité de cet
ordre.

Si le créateur d'un film ne veut pas d'un recadrage de ses films à la
TV, il inclue dans son contrat l'obligation d'ajouter des clauses
anti- recadrage dans les ventes de droits à la TV.



Je suis bien d'accord. Il n'empêche que l'on a parfaitement le droit de
critiquer un choix qui nuit à l'oeuvre quand il n'était pas obligatoire
ni même d'une nécessité évidente. Il est parfaitement compréhensible de
réagir devant e qui peut avan tout être perçu comme un manque de respect
de l'oeuvre, d'autant plus faible qu'il cède le pas à des considérations
peu évidentes.

Ton raisonnement est : puisque le film perd forcément quelque chose
en passant à la télé, alors aucune perte n'est critiquable ou sinon
interdisons la diffusion de films à la télé. Cette logique te
convient ?



non, la TV est un média avec ses codes et son public. Le recadrage
afin que l'oeuvre soit conforme à ses codes n'est pas inadmissible ou
sinon, c'est la dif TV qui l'est.



Le recadrage n'est pas un code inhérent à la télévision. C'est un choix
possible parmi d'autres. On peut critiquer ce choix s'il n'y a pas
d'argument fondé en sa faveur, ce qui me paraît être le cas.

Tu regardes un film à la télévision, tu en acceptes ou non, les
différences mais ce n'est pas un scandale qu'un média adapte
l'oeuvre diffusée au public du média, à sa technique.



Je ne sais pas où tu vas chercher cette notion d'adaptation. Il ne



sur tout le reste des programmes TV ?



Heu, je n'ai pas compris, là.

s'agit pas d'une simple baisse de qualité, comme celle du son (qui
avec une télé peut être beaucoup moins soigné qu'uau cinéma), mais
d'une modification d'un élément de l'oeuvre *qui aurait pu être
conservé*. Le recadrage n'est pas une adaptation.



"pu" pas dans le sens du public, du support.



Si. Passent parfois des films non recadrés, pas seulement sur Arte. Et
les bandes réapparaissent ailleurs. L'image originale aurait pu être
conservée dans ces deux sens, justement.

Curieusement, il arrive aussi qu'un film soit recadré en partie,
c'est-à-dire que l'on perd de l'image mais qu'il reste des bandes
noires. Sans doute quand la perte serait vraiment très importante si on
recadrait totalement, au point de ne plus pouvoir suivre le film
(hypothèse gratuite de ma part). Ou bie peut-être que les diffuseurs
veulent mettre plus d'image dans l'écran tout en gardant un "effet
cinéma". En tout cas, c'est bien un indice supplémentaire que la vision
de bandes noires en soi n'est pas la gêne à éviter principalement.

D'ailleurs, preuve supplémentaire (simplement pour illustrer) que ce
n'est pas une contrainte : il arrive qu'un téléfilm ou même qu'une
émission télé passe avec des bandes en haut et en bas.Si la
suppression de ces bandes inélégantes est nécessaire au format
télévisuel, pourquoi donc aller jusqu'à en rajouter dans certains
cas ?



pour se la jouer cinéma ? c'est ridicule.



Je suis bien d'accord. Mais c'est une preuve que la présence des bandes
n'est pas considéré, au sein même de la télé, comme un obstacle majeur à
la vision, qui ferait fuir la majorité du public. La recadrage n'est pas
une telle nécessité généralement reconnue dans le milieu de la télé.
Alors tu imagines que l'argument du public n'est aps très fort dans ce
cas, si même les professionnels ne s'en soucient pas à ce point.

Ce que tu viens de dire signifie que certains changements sont
inévitables lors du passage de la version originale à la version
télévisée. Mais ça ne signifie pas que tous les changements le sont,
et ça n'aide pas non plus à savoir lesquels le sont d'ailleurs.
C'est une manière d'évacuer tout débat sur ce que la télévision
devrait respecter ou non.



Pas sur tout : le recadrage est assez significatif car le format TV
est fait pour occuper l'écran.



Nous ne nous plaçons pas du même point de vue. Tu acceptes apparemment,
quelles qu'elles soient, les contraintes dues au diffuseur, au public,
etc. Evidemment, si telle ou telle contrainte apparaît, c'est qu'il y a
des raisons, en général économiques et donc défendables d'un point de
vue. Mais je ne vois pas pourquoi elles prendraient le pas sur d'autres
considérations, surtout dans le cas du recadrage dont l'impact sur le
nombre de spectateurs est beaucoup moins évident que celui de la VF.

J'espère que tu ne me serviras pas l'argument des goûts du public,
l'influence télé-public étant à double sens.



bien sur que si, le gout du *consommateur* est à prendre en compte,
c'est aussi un des usages de la TV,



Je ne dis pas le contraire, je dis que le goût du concommateur n'est pas
figé et n'est surtout pas si déterminé qu'on puisse dire qu'il préfère
les films recadrés. Si les films ne l'étaient d'ailleurs plus, qui sait
si le consommateur ne deviendrait pas justement plus sensible aux coupes
? Dans le cas du recadrage je ne vois rien de simple. Le problème, c'est
que souvent les choix faits en fonction dugoût du consommateur soit
auto-réalisants : une fois le choix fait, le temps passant, le sectateur
s'habitue de toute façon et en vient à trouver naturel quelque
changement que ce soit pourvu qu'il ne soit pas d'une trop grosse
ampleur (c'est le cas du recadrage, ce ne serait sans doute pas vrai
pour la VF comme je le disais).

Par ailleurs, on peut opposer la gêne du recadrage à celle que font
subir les bandes noires en haut et en bas. La différence est que dans le
premier cas, on perd des morceaux du film, il y a une perte
irrécupérable d'une partie du film - jusqu'au jeu d'acteurs dans
certaines scènes, où bien à l'ambiance générale (avec les faux
mouvements de caméra ajoutés). Dans le cas des bandes noires, on a un
ajout qui n'obstrue pas la perception de l'oeuvre en soi (on peut encore
voir l'ensemble des images de l'oeuvre). De plus, il y a d'un côté la
gêne du recadrage qui se rappelle régulièrement à toi (car pour tout
nouveau plan, la surprise de la coupe inopportune peut réapparaître),
qui se répète, qui ne disparaît pas, face à la gene des bandes noires,
immobiles, formant un élément du décor pas plus gênant que le décor de
la pièce derrière la télé, que l'on finit par ne plus percevoir. Perte
sèche contre ajout superficiel, gêne répétée contre obstacle qui
s'efface peu à peu, voilà deux raisons pour lesquelles il n'est
absolument pas évident que le choix du recadrage soit plus défendu que
le choix contraire (par ailleurs moins difficile à mettre en oeuvre : il
faut pour le recadrage que quelqu'un se charge pour l'ensemble des
scènes de choisir le nouveau cadre).

ce n'est pas comme au cinéma
(français) où les subventions et l'obligation de financement par la
TV fait désormais se foutre du spectateur, qu'ils viennent ou pas en
salle, le film est rentable, quelquefois avant même la fin du
tournage ...



Je me fiche de ceci, ce n'est pas un argument pour ce dont nous parlons,
mon principe n'est pas de critiquer la télé méchante face au bon cinéma.
Si un téléfilm était un jour projeté dans un cinéma avec des coupes (où
même des déformations) pour occuper la totalité de l'écran disponible,
je réagirais a priori de la même façon.

--
Cédric
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