Un peu provocateur tes questions!
Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là, tu le
traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout!
Un peu provocateur tes questions!
Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là, tu le
traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout!
Un peu provocateur tes questions!
Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là, tu le
traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout!
Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là,
tu le traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout! Mais
maintenant, que l'on veut régler ces choses de la vie par le droit,
ça devient lamentable...
En fait le problème est très grave, car désormais un historien
n'est plus libre de son opinions, ni un citoyen d'ailleurs, il faut
en pratique, presque demander un jugement avant dire-droit, pour que
la magistrature se prononce sur l'opinion ou l'histoire, disant si
tel avis peut être émis ou ne pas l'être...
En sus, tu as des loi spéciales qui protègent les hommes
supérieurs (aussi les femmes), dites loi Pleven et Gayssot
notamment.
Par exemple, je suis catholique, donc je suis un sous-homme
Par contre si tu insultes un sur-homme, qui est par exemple musulman
et arabe
Je sais que c'est odieux, certains appellent ça la police de la pensée,
[quotage intégral suivant la signature]
Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là,
tu le traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout! Mais
maintenant, que l'on veut régler ces choses de la vie par le droit,
ça devient lamentable...
En fait le problème est très grave, car désormais un historien
n'est plus libre de son opinions, ni un citoyen d'ailleurs, il faut
en pratique, presque demander un jugement avant dire-droit, pour que
la magistrature se prononce sur l'opinion ou l'histoire, disant si
tel avis peut être émis ou ne pas l'être...
En sus, tu as des loi spéciales qui protègent les hommes
supérieurs (aussi les femmes), dites loi Pleven et Gayssot
notamment.
Par exemple, je suis catholique, donc je suis un sous-homme
Par contre si tu insultes un sur-homme, qui est par exemple musulman
et arabe
Je sais que c'est odieux, certains appellent ça la police de la pensée,
[quotage intégral suivant la signature]
Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là,
tu le traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout! Mais
maintenant, que l'on veut régler ces choses de la vie par le droit,
ça devient lamentable...
En fait le problème est très grave, car désormais un historien
n'est plus libre de son opinions, ni un citoyen d'ailleurs, il faut
en pratique, presque demander un jugement avant dire-droit, pour que
la magistrature se prononce sur l'opinion ou l'histoire, disant si
tel avis peut être émis ou ne pas l'être...
En sus, tu as des loi spéciales qui protègent les hommes
supérieurs (aussi les femmes), dites loi Pleven et Gayssot
notamment.
Par exemple, je suis catholique, donc je suis un sous-homme
Par contre si tu insultes un sur-homme, qui est par exemple musulman
et arabe
Je sais que c'est odieux, certains appellent ça la police de la pensée,
[quotage intégral suivant la signature]
pour l'essentiel :
le caractère fautif voire "inadmis_(sible)" du propos,
relève de l'appréciation souveraine du juge
oui, on frise la subjectivité
on peut tout voir ou presque devant les juridictions de 1er degré
- c'est une opinion
- c'est un fait
- cela peut paraître "insultant" ( ? )
exemple de condamnation pour un mot adressé à un gendarme :
"Vous êtes bien un gendarme" !
Ici, il a été estimé que la modalité d'expression avait une connotation
insidieuse...
je vous laisse le soin d'imaginer ce qu'il advient face aux termes :
poulet, flic, maison Royco, etc.
notez que la forme interrogative n'arrange rien, parfois bien au contraire
l'auteur pouvant être taxé de manque de courage dans le propos
"K-L-P" a écrit dans le message de news:
402cc433$0$28731$
Bonjour,
J'aimerais savoir les différences legales entre ces mots :
Outrages, insulte, injure, opinion.
Si je dis à Untel : "Abruti" : comment peut-on qualifier cela ( insulte
...? )
Si je dis à Untel : "Je pense que vous êtes un abruti ! ": est-ce bien une
opinion ?
Le délit d'opinion n'existant pas, quel est le risque ?
L'utilisation interrogative et conditionnelle limite-t-elle ces cas ?
Ex : "Ne seriez-vous pas un abruti ?"
Merci
pour l'essentiel :
le caractère fautif voire "inadmis_(sible)" du propos,
relève de l'appréciation souveraine du juge
oui, on frise la subjectivité
on peut tout voir ou presque devant les juridictions de 1er degré
- c'est une opinion
- c'est un fait
- cela peut paraître "insultant" ( ? )
exemple de condamnation pour un mot adressé à un gendarme :
"Vous êtes bien un gendarme" !
Ici, il a été estimé que la modalité d'expression avait une connotation
insidieuse...
je vous laisse le soin d'imaginer ce qu'il advient face aux termes :
poulet, flic, maison Royco, etc.
notez que la forme interrogative n'arrange rien, parfois bien au contraire
l'auteur pouvant être taxé de manque de courage dans le propos
"K-L-P" <toto@ifrance.com> a écrit dans le message de news:
402cc433$0$28731$626a14ce@news.free.fr...
Bonjour,
J'aimerais savoir les différences legales entre ces mots :
Outrages, insulte, injure, opinion.
Si je dis à Untel : "Abruti" : comment peut-on qualifier cela ( insulte
...? )
Si je dis à Untel : "Je pense que vous êtes un abruti ! ": est-ce bien une
opinion ?
Le délit d'opinion n'existant pas, quel est le risque ?
L'utilisation interrogative et conditionnelle limite-t-elle ces cas ?
Ex : "Ne seriez-vous pas un abruti ?"
Merci
pour l'essentiel :
le caractère fautif voire "inadmis_(sible)" du propos,
relève de l'appréciation souveraine du juge
oui, on frise la subjectivité
on peut tout voir ou presque devant les juridictions de 1er degré
- c'est une opinion
- c'est un fait
- cela peut paraître "insultant" ( ? )
exemple de condamnation pour un mot adressé à un gendarme :
"Vous êtes bien un gendarme" !
Ici, il a été estimé que la modalité d'expression avait une connotation
insidieuse...
je vous laisse le soin d'imaginer ce qu'il advient face aux termes :
poulet, flic, maison Royco, etc.
notez que la forme interrogative n'arrange rien, parfois bien au contraire
l'auteur pouvant être taxé de manque de courage dans le propos
"K-L-P" a écrit dans le message de news:
402cc433$0$28731$
Bonjour,
J'aimerais savoir les différences legales entre ces mots :
Outrages, insulte, injure, opinion.
Si je dis à Untel : "Abruti" : comment peut-on qualifier cela ( insulte
...? )
Si je dis à Untel : "Je pense que vous êtes un abruti ! ": est-ce bien une
opinion ?
Le délit d'opinion n'existant pas, quel est le risque ?
L'utilisation interrogative et conditionnelle limite-t-elle ces cas ?
Ex : "Ne seriez-vous pas un abruti ?"
Merci
Le Fri, 13 Feb 2004 15:01:30 +0100, surfeur75 tripotait amoureusement
son clavier :
>
> Un peu provocateur tes questions!
> Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là, tu
> traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout!
Pourquoi tu mets pas un pain à ton inspecteur des impôts alors ?
--
Benoit - OK j'me tais...
Photographies @ http://www.pelic.fr.st
Le Fri, 13 Feb 2004 15:01:30 +0100, surfeur75 tripotait amoureusement
son clavier :
>
> Un peu provocateur tes questions!
> Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là, tu
> traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout!
Pourquoi tu mets pas un pain à ton inspecteur des impôts alors ?
--
Benoit - OK j'me tais...
Photographies @ http://www.pelic.fr.st
Le Fri, 13 Feb 2004 15:01:30 +0100, surfeur75 tripotait amoureusement
son clavier :
>
> Un peu provocateur tes questions!
> Jadis un mec t'emmerdait, tu lui mettais un pain, ça s'arrêtait là, tu
> traitais de "con", lol, il te répondais et c'était tout!
Pourquoi tu mets pas un pain à ton inspecteur des impôts alors ?
--
Benoit - OK j'me tais...
Photographies @ http://www.pelic.fr.st