Ma contribution : https://www.cjoint.com/doc/22_04/LDjnYraZYh0_D7000-02761-001-1.jpg
La vitesse de vol est imposée par les lois de la physique. Plus un objet est lourd, plus il doit voler vite. Le seul autre paramètre disponible est la surface des ailes, l'augmenter permet de réduire la vitesse. C'est pour cela que l'avion solaire monoplace de Piccard avait une surface d'ailes aussi grande que celle d'un A380. La phase d’atterrissage d'un oiseau ne dure pas plus d'un ou deux dixièmes de seconde.
Un ou deux dixièmes de seconde ? Ça paraÍ®t bien court. Ça doit être un effet de la contraction du continuum espace-temps causé par la vitesse descensionnelle du volatile.
Assurément ! Mais ces chiffres ne sont valables que pour de très petits oiseaux... Dés que l'on arrive Í la taille pigeons, chouettes et grands-ducs ou même aigles vautours etc, ils se préparent plus longtemps avant : - Repérage de la direction du vent (On se pose toujours face au vent). - Réduction des gaz. Quand la vitesse d'approche est obtenue : - Hydraulique en pression. - Hélice plein petit pas. - 1 cran de volets et sortie éventuelle des aérofreins - Sortie impérative du train d'atterrissage. Attente des trois vertes - Surveillance de la vitesse et début de l'arrondi, amenant les pattes tendues Í froler l'herbe. - La vitesse diminuant toujours, on augmente l'incidence, la portance s'effondre et le corps s'enfonce, cependant que les patte pédalent avant de toucher le sol. - Réduction du pédalage jusqu'Í l'arrêt complet. C'est fini, le piaf est posé. -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Il se trouve que Ghost-Raider a formulé :
Le 09/04/2022 Í 17:08, PaulAubrin a écrit :
Le 09/04/2022 Í 15:50, Ghost-Raider a écrit :
Ma contribution :
https://www.cjoint.com/doc/22_04/LDjnYraZYh0_D7000-02761-001-1.jpg
La vitesse de vol est imposée par les lois de la physique. Plus un objet
est lourd, plus il doit voler vite. Le seul autre paramètre disponible
est la surface des ailes, l'augmenter permet de réduire la vitesse.
C'est pour cela que l'avion solaire monoplace de Piccard avait une
surface d'ailes aussi grande que celle d'un A380.
La phase d’atterrissage d'un oiseau ne dure pas plus d'un ou deux
dixièmes de seconde.
Un ou deux dixièmes de seconde ?
Ça paraÍ®t bien court.
Ça doit être un effet de la contraction du continuum espace-temps causé par
la vitesse descensionnelle du volatile.
Assurément !
Mais ces chiffres ne sont valables que pour de très petits oiseaux...
Dés que l'on arrive Í la taille pigeons, chouettes et grands-ducs ou
même aigles vautours etc, ils se préparent plus longtemps avant :
- Repérage de la direction du vent (On se pose toujours face au vent).
- Réduction des gaz. Quand la vitesse d'approche est obtenue :
- Hydraulique en pression.
- Hélice plein petit pas.
- 1 cran de volets et sortie éventuelle des aérofreins
- Sortie impérative du train d'atterrissage. Attente des trois vertes
- Surveillance de la vitesse et début de l'arrondi, amenant les pattes
tendues Í froler l'herbe.
- La vitesse diminuant toujours, on augmente l'incidence, la portance
s'effondre et le corps s'enfonce, cependant que les patte pédalent
avant de toucher le sol.
- Réduction du pédalage jusqu'Í l'arrêt complet. C'est fini, le piaf
est posé.
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Ma contribution : https://www.cjoint.com/doc/22_04/LDjnYraZYh0_D7000-02761-001-1.jpg
La vitesse de vol est imposée par les lois de la physique. Plus un objet est lourd, plus il doit voler vite. Le seul autre paramètre disponible est la surface des ailes, l'augmenter permet de réduire la vitesse. C'est pour cela que l'avion solaire monoplace de Piccard avait une surface d'ailes aussi grande que celle d'un A380. La phase d’atterrissage d'un oiseau ne dure pas plus d'un ou deux dixièmes de seconde.
Un ou deux dixièmes de seconde ? Ça paraÍ®t bien court. Ça doit être un effet de la contraction du continuum espace-temps causé par la vitesse descensionnelle du volatile.
Assurément ! Mais ces chiffres ne sont valables que pour de très petits oiseaux... Dés que l'on arrive Í la taille pigeons, chouettes et grands-ducs ou même aigles vautours etc, ils se préparent plus longtemps avant : - Repérage de la direction du vent (On se pose toujours face au vent). - Réduction des gaz. Quand la vitesse d'approche est obtenue : - Hydraulique en pression. - Hélice plein petit pas. - 1 cran de volets et sortie éventuelle des aérofreins - Sortie impérative du train d'atterrissage. Attente des trois vertes - Surveillance de la vitesse et début de l'arrondi, amenant les pattes tendues Í froler l'herbe. - La vitesse diminuant toujours, on augmente l'incidence, la portance s'effondre et le corps s'enfonce, cependant que les patte pédalent avant de toucher le sol. - Réduction du pédalage jusqu'Í l'arrêt complet. C'est fini, le piaf est posé. -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/