Bonne performances d'un appareil déjà ancien (6 ans, en numérique...), explicables par la qualité optique et la faiblesse de son zoom (5x). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Bonne performances d'un appareil déjà ancien (6 ans, en numérique...), explicables par la qualité optique et la faiblesse de son zoom (5x). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Bonnes performances d'un appareil déjà ancien (6 ans, en numérique...), explicables par la qualité optique et la faiblesse de son zoom (5x). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Bonnes performances d'un appareil déjà ancien (6 ans, en numérique...), explicables par la qualité optique et la faiblesse de son zoom (5x). -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
tard le soir, j'imagine, vu les ombres (et le public rarement matinal :-)
C'est renforcé par le fait que la photo est prise au ras du sol et donne une perspective qui fait disparaître pas mal de gazon. Les groupes sont séparés d'au moins 4-5m les uns des autres. Je parie qu'une photo prise en altitude montrerait plus d'herbes que d'étudiants :) Sinon un reproche : l'arbre au milieu et le clocher sur la droite sont coupés et ça me gêne vraiment (s'il y en avait beaucoup plus ce ne serait pas pareil. Solution : faire deux panos même lieux, même focale pour avoir un ciel continu de gauche à droite. Le deuxième est remonté d'un tiers au moins, de toute façon il faut qu'il ait suffisamment de détails en bas pour qu'il se fasse impeccablement. Cela peut toujours donner des éléments qui sortent du cadre sur le bord, mais ce n'est pas grave puisqu'il sont justement sur les bords extrèmes et ce de façon continue. Il n'y a pas de morceaux de ciel qui coupent la toiture verticalement. Tu regroupes les deux panos, éventuellement à la main, et tu ne conserves que le ciel et les deux éléments qui manquent sur le second. Raccord facile à réaliser soi-même.
pas mal y avait du monde!
Cela me rappelle des séries que j'ai faites dans le Jardin du Luxembourg et aux Tuileries : Première étape créer le pano avec un soft. 2e étape rajouter des éléments (des passants) qui ont été retirés par le logiciel ou qui ont été pris dans d'autres images du même lieu/focale. Cela m'a permis de remplir des vides, vraiment peupler le lieu. Je cherche dans mes stocks si j'en retrouve une assez poussée sur le principe. Je me suis aussi amusé à faire une image particulière, en hauteur à l'entrée des Tuileries Place de la Concorde. Une fois un bon étage au-dessus du sol, la grande zone blanche est quasiment vide de monde. J'ai donc fait un premier pano puis des séries de photos en suivant une personne ou un tout petit groupe, avec au moins une couleur pétard pour qu'ils resortent vraiment et deviennent le sujet. Tu obtiens un pano avec les mêmes personnes 5-10 fois dessus et qu'on voit bien avancer sur la place alors que les autres ont l'air figé. Une sorte de pano complètement raté par rapport à ce qu'on attend. Le fait d'en parler me donne une idée : 1 Faire un pano où se trouve présent un élément régulier qui bouge de façon continue. Genre une péniche, un bus qui a un arrêt sur son trajet. De toute façon un objet bien détaché pour faciliter les raccords puisqu'i n'y a quasiment rien qui m'en masque une partie. 2 Après le pano je fais une ou plusieurs poses longues au grand angle et une où le sujet est fixe proche du bord de l'image. Le résultat est un pano qui donne l'impression que tout c'est arrêté sur Terre sauf un élément qui avance : - Si c'est la péniche on a l'impression qu'elle va à fond puisqu'elle traverse l'image alors que les gens n'ont pas eu le temps de bougé. Elle est figée à la fin et a donc une traînée de vitesse derrière-elle. Si c'est le bus qui s'arrête et repart alors là les gens sont vraiment figés pendant une très longue période. Le bus avance normalement dans notre esprit et il a dû mettre une minute pour traverser l'image alors que pas un « passant » n'a bougé. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
jdd wrote:
Le 07/02/2019 à 19:09, Maréchal N. a écrit :
> Cité Internationale Universitaire de Paris
>
> Nikon Coolpix P330
>
> https://www.cjoint.com/doc/19_02/IBhscYEwKdW_DSCN6209.JPG
+1
tard le soir, j'imagine, vu les ombres (et le public rarement
matinal :-)
C'est renforcé par le fait que la photo est prise au ras du sol et donne
une perspective qui fait disparaître pas mal de gazon. Les groupes sont
séparés d'au moins 4-5m les uns des autres. Je parie qu'une photo prise
en altitude montrerait plus d'herbes que d'étudiants :)
Sinon un reproche : l'arbre au milieu et le clocher sur la droite sont
coupés et ça me gêne vraiment (s'il y en avait beaucoup plus ce ne
serait pas pareil. Solution : faire deux panos même lieux, même focale
pour avoir un ciel continu de gauche à droite. Le deuxième est remonté
d'un tiers au moins, de toute façon il faut qu'il ait suffisamment de
détails en bas pour qu'il se fasse impeccablement.
Cela peut toujours donner des éléments qui sortent du cadre sur le bord,
mais ce n'est pas grave puisqu'il sont justement sur les bords extrèmes
et ce de façon continue. Il n'y a pas de morceaux de ciel qui coupent la
toiture verticalement.
Tu regroupes les deux panos, éventuellement à la main, et tu ne
conserves que le ciel et les deux éléments qui manquent sur le second.
Raccord facile à réaliser soi-même.
pas mal
y avait du monde!
Cela me rappelle des séries que j'ai faites dans le Jardin du Luxembourg
et aux Tuileries :
Première étape créer le pano avec un soft. 2e étape rajouter des
éléments (des passants) qui ont été retirés par le logiciel ou qui ont
été pris dans d'autres images du même lieu/focale. Cela m'a permis de
remplir des vides, vraiment peupler le lieu. Je cherche dans mes stocks
si j'en retrouve une assez poussée sur le principe.
Je me suis aussi amusé à faire une image particulière, en hauteur à
l'entrée des Tuileries Place de la Concorde. Une fois un bon étage
au-dessus du sol, la grande zone blanche est quasiment vide de monde.
J'ai donc fait un premier pano puis des séries de photos en suivant une
personne ou un tout petit groupe, avec au moins une couleur pétard pour
qu'ils resortent vraiment et deviennent le sujet. Tu obtiens un pano
avec les mêmes personnes 5-10 fois dessus et qu'on voit bien avancer sur
la place alors que les autres ont l'air figé. Une sorte de pano
complètement raté par rapport à ce qu'on attend.
Le fait d'en parler me donne une idée :
1 Faire un pano où se trouve présent un élément régulier qui bouge de
façon continue. Genre une péniche, un bus qui a un arrêt sur son trajet.
De toute façon un objet bien détaché pour faciliter les raccords
puisqu'i n'y a quasiment rien qui m'en masque une partie.
2 Après le pano je fais une ou plusieurs poses longues au grand angle et
une où le sujet est fixe proche du bord de l'image.
Le résultat est un pano qui donne l'impression que tout c'est arrêté sur
Terre sauf un élément qui avance :
- Si c'est la péniche on a l'impression qu'elle va à fond puisqu'elle
traverse l'image alors que les gens n'ont pas eu le temps de bougé. Elle
est figée à la fin et a donc une traînée de vitesse derrière-elle.
Si c'est le bus qui s'arrête et repart alors là les gens sont vraiment
figés pendant une très longue période. Le bus avance normalement dans
notre esprit et il a dû mettre une minute pour traverser l'image alors
que pas un « passant » n'a bougé.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
tard le soir, j'imagine, vu les ombres (et le public rarement matinal :-)
C'est renforcé par le fait que la photo est prise au ras du sol et donne une perspective qui fait disparaître pas mal de gazon. Les groupes sont séparés d'au moins 4-5m les uns des autres. Je parie qu'une photo prise en altitude montrerait plus d'herbes que d'étudiants :) Sinon un reproche : l'arbre au milieu et le clocher sur la droite sont coupés et ça me gêne vraiment (s'il y en avait beaucoup plus ce ne serait pas pareil. Solution : faire deux panos même lieux, même focale pour avoir un ciel continu de gauche à droite. Le deuxième est remonté d'un tiers au moins, de toute façon il faut qu'il ait suffisamment de détails en bas pour qu'il se fasse impeccablement. Cela peut toujours donner des éléments qui sortent du cadre sur le bord, mais ce n'est pas grave puisqu'il sont justement sur les bords extrèmes et ce de façon continue. Il n'y a pas de morceaux de ciel qui coupent la toiture verticalement. Tu regroupes les deux panos, éventuellement à la main, et tu ne conserves que le ciel et les deux éléments qui manquent sur le second. Raccord facile à réaliser soi-même.
pas mal y avait du monde!
Cela me rappelle des séries que j'ai faites dans le Jardin du Luxembourg et aux Tuileries : Première étape créer le pano avec un soft. 2e étape rajouter des éléments (des passants) qui ont été retirés par le logiciel ou qui ont été pris dans d'autres images du même lieu/focale. Cela m'a permis de remplir des vides, vraiment peupler le lieu. Je cherche dans mes stocks si j'en retrouve une assez poussée sur le principe. Je me suis aussi amusé à faire une image particulière, en hauteur à l'entrée des Tuileries Place de la Concorde. Une fois un bon étage au-dessus du sol, la grande zone blanche est quasiment vide de monde. J'ai donc fait un premier pano puis des séries de photos en suivant une personne ou un tout petit groupe, avec au moins une couleur pétard pour qu'ils resortent vraiment et deviennent le sujet. Tu obtiens un pano avec les mêmes personnes 5-10 fois dessus et qu'on voit bien avancer sur la place alors que les autres ont l'air figé. Une sorte de pano complètement raté par rapport à ce qu'on attend. Le fait d'en parler me donne une idée : 1 Faire un pano où se trouve présent un élément régulier qui bouge de façon continue. Genre une péniche, un bus qui a un arrêt sur son trajet. De toute façon un objet bien détaché pour faciliter les raccords puisqu'i n'y a quasiment rien qui m'en masque une partie. 2 Après le pano je fais une ou plusieurs poses longues au grand angle et une où le sujet est fixe proche du bord de l'image. Le résultat est un pano qui donne l'impression que tout c'est arrêté sur Terre sauf un élément qui avance : - Si c'est la péniche on a l'impression qu'elle va à fond puisqu'elle traverse l'image alors que les gens n'ont pas eu le temps de bougé. Elle est figée à la fin et a donc une traînée de vitesse derrière-elle. Si c'est le bus qui s'arrête et repart alors là les gens sont vraiment figés pendant une très longue période. Le bus avance normalement dans notre esprit et il a dû mettre une minute pour traverser l'image alors que pas un « passant » n'a bougé. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com