/dev/hdb1 /mnt/bsd auto defaults 0 0
Mais je ne parviens pas à faire apparaître les fichiers.
Ai-je raté quelque chose, et quoi ?
/dev/hdb1 /mnt/bsd auto defaults 0 0
Mais je ne parviens pas à faire apparaître les fichiers.
Ai-je raté quelque chose, et quoi ?
/dev/hdb1 /mnt/bsd auto defaults 0 0
Mais je ne parviens pas à faire apparaître les fichiers.
Ai-je raté quelque chose, et quoi ?
Oui, dans le noyau, il faut activer le support des disklabels BSD et
avec de la chance, tu arriveras a voir tes partitions FreeBSD.
Oui, dans le noyau, il faut activer le support des disklabels BSD et
avec de la chance, tu arriveras a voir tes partitions FreeBSD.
Oui, dans le noyau, il faut activer le support des disklabels BSD et
avec de la chance, tu arriveras a voir tes partitions FreeBSD.
De façon générale, il n'est pas recommandé de faire des écritures dans
un filesystem FreeBSD depuis un Linux. À noter : c'est pareil en sens
inverse. FreeBSD a un support en lecture du filesystem ext2 de Linux
(et ça marche aussi pour ext3) mais les écritures sont dangereuses. Si
on veut un filesystem que Linux _et_ FreeBSD pourront lire _et_ écrire
sans problème, il faut prendre FAT (le filesystem Ms-Dos/Windows de
base).
De façon générale, il n'est pas recommandé de faire des écritures dans
un filesystem FreeBSD depuis un Linux. À noter : c'est pareil en sens
inverse. FreeBSD a un support en lecture du filesystem ext2 de Linux
(et ça marche aussi pour ext3) mais les écritures sont dangereuses. Si
on veut un filesystem que Linux _et_ FreeBSD pourront lire _et_ écrire
sans problème, il faut prendre FAT (le filesystem Ms-Dos/Windows de
base).
De façon générale, il n'est pas recommandé de faire des écritures dans
un filesystem FreeBSD depuis un Linux. À noter : c'est pareil en sens
inverse. FreeBSD a un support en lecture du filesystem ext2 de Linux
(et ça marche aussi pour ext3) mais les écritures sont dangereuses. Si
on veut un filesystem que Linux _et_ FreeBSD pourront lire _et_ écrire
sans problème, il faut prendre FAT (le filesystem Ms-Dos/Windows de
base).
J'ai personellement exprérimenté 3 cas :
FreeBSD lecture/écriture sur ext2
OpenBSD lecture/écriture sur ext2
Linux (je sais plus lequel) lecture/écriture sur ufs (OpenBSD, donc pas
ufs2)
J'ai personellement exprérimenté 3 cas :
FreeBSD lecture/écriture sur ext2
OpenBSD lecture/écriture sur ext2
Linux (je sais plus lequel) lecture/écriture sur ufs (OpenBSD, donc pas
ufs2)
J'ai personellement exprérimenté 3 cas :
FreeBSD lecture/écriture sur ext2
OpenBSD lecture/écriture sur ext2
Linux (je sais plus lequel) lecture/écriture sur ufs (OpenBSD, donc pas
ufs2)
According to Nicolas Le Scouarnec <nlsn+news+:Oui, dans le noyau, il faut activer le support des disklabels BSD et
avec de la chance, tu arriveras a voir tes partitions FreeBSD.
Bon, maintenant, une fois qu'on a fait reconnaître les partitions BSD
au noyau Linux, il reste le support du filesystem. Linux possède un
support du filesystem de FreeBSD sous le nom "ufs". Attention : ce
support marche bien en lecture mais est dangereux en écriture (risque
de corruption du filesystem)(j'ai moi-même planté bien des fois des
filesystems BSD comme ça). Par ailleurs, FreeBSD 5 utilise par défaut
une variante d'UFS dite UFS2, et je ne sais pas à quel point le noyau
Linux la supporte.
Si on veut supporter ça sous Linux, alors il faut un noyau qui est
capable de reconnaître les disklabels BSD. Ça se configure lors de la
compilation du noyau. Si le noyau est ainsi équipé, il ajoutera les
partitions BSD au bout de la liste des partitions étendues. Ainsi,
si le Linux travaille normalement jusqu'à hdb7, alors la partition
root du FreeBSD sera hdb8, etc... Cette numérotation est dynamique,
donc un changement de l'état du disque (suppression ou ajout d'une
partition) ou du noyau (ajout ou retrait du support de certains
format de partitionnement, comme les disklabels) peut chambouler la
numérotation -- ce qui rend le /etc/fstab potentiellement caduque, c'est
assez pénible, même si ça se corrige facilement.
According to Nicolas Le Scouarnec <nlsn+news+nospam_invalid@free.fr>:
Oui, dans le noyau, il faut activer le support des disklabels BSD et
avec de la chance, tu arriveras a voir tes partitions FreeBSD.
Bon, maintenant, une fois qu'on a fait reconnaître les partitions BSD
au noyau Linux, il reste le support du filesystem. Linux possède un
support du filesystem de FreeBSD sous le nom "ufs". Attention : ce
support marche bien en lecture mais est dangereux en écriture (risque
de corruption du filesystem)(j'ai moi-même planté bien des fois des
filesystems BSD comme ça). Par ailleurs, FreeBSD 5 utilise par défaut
une variante d'UFS dite UFS2, et je ne sais pas à quel point le noyau
Linux la supporte.
Si on veut supporter ça sous Linux, alors il faut un noyau qui est
capable de reconnaître les disklabels BSD. Ça se configure lors de la
compilation du noyau. Si le noyau est ainsi équipé, il ajoutera les
partitions BSD au bout de la liste des partitions étendues. Ainsi,
si le Linux travaille normalement jusqu'à hdb7, alors la partition
root du FreeBSD sera hdb8, etc... Cette numérotation est dynamique,
donc un changement de l'état du disque (suppression ou ajout d'une
partition) ou du noyau (ajout ou retrait du support de certains
format de partitionnement, comme les disklabels) peut chambouler la
numérotation -- ce qui rend le /etc/fstab potentiellement caduque, c'est
assez pénible, même si ça se corrige facilement.
According to Nicolas Le Scouarnec <nlsn+news+:Oui, dans le noyau, il faut activer le support des disklabels BSD et
avec de la chance, tu arriveras a voir tes partitions FreeBSD.
Bon, maintenant, une fois qu'on a fait reconnaître les partitions BSD
au noyau Linux, il reste le support du filesystem. Linux possède un
support du filesystem de FreeBSD sous le nom "ufs". Attention : ce
support marche bien en lecture mais est dangereux en écriture (risque
de corruption du filesystem)(j'ai moi-même planté bien des fois des
filesystems BSD comme ça). Par ailleurs, FreeBSD 5 utilise par défaut
une variante d'UFS dite UFS2, et je ne sais pas à quel point le noyau
Linux la supporte.
Si on veut supporter ça sous Linux, alors il faut un noyau qui est
capable de reconnaître les disklabels BSD. Ça se configure lors de la
compilation du noyau. Si le noyau est ainsi équipé, il ajoutera les
partitions BSD au bout de la liste des partitions étendues. Ainsi,
si le Linux travaille normalement jusqu'à hdb7, alors la partition
root du FreeBSD sera hdb8, etc... Cette numérotation est dynamique,
donc un changement de l'état du disque (suppression ou ajout d'une
partition) ou du noyau (ajout ou retrait du support de certains
format de partitionnement, comme les disklabels) peut chambouler la
numérotation -- ce qui rend le /etc/fstab potentiellement caduque, c'est
assez pénible, même si ça se corrige facilement.
Ok, mais alors, comment faire la syntaxe dans /etc/fstab
J'ai essayé :
/dev/hdb1 /mnt/bsd auto defaults 0 0
/dev/hdb8 /mnt/bsdracine auto defaults 0 0
/dev/hdb10 /mnt/bsdusr auto defaults 0 0
Si j'ai bien compris l'explication qui précède : /dev/hdb1 correspond à la
partition bsd étendue et /dev/hdb8+n aux partitions logiques...
Ok, mais alors, comment faire la syntaxe dans /etc/fstab
J'ai essayé :
/dev/hdb1 /mnt/bsd auto defaults 0 0
/dev/hdb8 /mnt/bsdracine auto defaults 0 0
/dev/hdb10 /mnt/bsdusr auto defaults 0 0
Si j'ai bien compris l'explication qui précède : /dev/hdb1 correspond à la
partition bsd étendue et /dev/hdb8+n aux partitions logiques...
Ok, mais alors, comment faire la syntaxe dans /etc/fstab
J'ai essayé :
/dev/hdb1 /mnt/bsd auto defaults 0 0
/dev/hdb8 /mnt/bsdracine auto defaults 0 0
/dev/hdb10 /mnt/bsdusr auto defaults 0 0
Si j'ai bien compris l'explication qui précède : /dev/hdb1 correspond à la
partition bsd étendue et /dev/hdb8+n aux partitions logiques...
Par ailleurs, j'ai dit "hdb8" si PAR AILLEURS les partitions "étendues"
amènent le compte à 7. Ça dépend du disque. Il faut aller regarder dans
ce que raconte le noyau (avec "dmesg", on a les messages de boot, qui
contiennent une liste des partitions détectées).
De plus, "cela ne fonctionne pas" n'est pas une phrase prodigieuse de
précision.
Par ailleurs, j'ai dit "hdb8" si PAR AILLEURS les partitions "étendues"
amènent le compte à 7. Ça dépend du disque. Il faut aller regarder dans
ce que raconte le noyau (avec "dmesg", on a les messages de boot, qui
contiennent une liste des partitions détectées).
De plus, "cela ne fonctionne pas" n'est pas une phrase prodigieuse de
précision.
Par ailleurs, j'ai dit "hdb8" si PAR AILLEURS les partitions "étendues"
amènent le compte à 7. Ça dépend du disque. Il faut aller regarder dans
ce que raconte le noyau (avec "dmesg", on a les messages de boot, qui
contiennent une liste des partitions détectées).
De plus, "cela ne fonctionne pas" n'est pas une phrase prodigieuse de
précision.