MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux
rarissimes homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques
synapses pas encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte,
présentée par la lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal
chamboulé France-Cul) : *Permis de penser*...
Hier soir : Samuel Rushdie...
C'est ce genre d'émission qui retient encore de foutre son récepteur TV
à la décharge publique la plus proche...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1]
Melmoth - souffrant
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!! Regarde plutôt Lorie ou Steevy, tu retiendras mieux leur prénom et arriveras peut-être à comprendre leur message.
MELMOTH wrote:
Hier soir : Samuel Rushdie...
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Regarde plutôt Lorie ou Steevy, tu retiendras mieux leur prénom et
arriveras peut-être à comprendre leur message.
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!! Regarde plutôt Lorie ou Steevy, tu retiendras mieux leur prénom et arriveras peut-être à comprendre leur message.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de laurent nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <430ffe38$0$3801$, les doux mélismes suivants :
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Désolé... Mais je l'ai toujours appelé "Samuel"...y compris en privé... J'aime changer les noms et les prénoms...selon ma guise... Ainsi...écrire "duschmole" à la place de "laurent" m'agrée parfaitement...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1] Melmoth - souffrant
Ce cher mammifère du nom de laurent nous susurrait, le samedi
27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message <430ffe38$0$3801$636a15ce@news.free.fr>, les
doux mélismes suivants :
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Désolé...
Mais je l'ai toujours appelé "Samuel"...y compris en privé...
J'aime changer les noms et les prénoms...selon ma guise...
Ainsi...écrire "duschmole" à la place de "laurent" m'agrée
parfaitement...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1]
Melmoth - souffrant
Ce cher mammifère du nom de laurent nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <430ffe38$0$3801$, les doux mélismes suivants :
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Désolé... Mais je l'ai toujours appelé "Samuel"...y compris en privé... J'aime changer les noms et les prénoms...selon ma guise... Ainsi...écrire "duschmole" à la place de "laurent" m'agrée parfaitement...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1] Melmoth - souffrant
le seigneur des rateaux
MELMOTH a formulé ce samedi :
MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux rarissimes homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques synapses pas encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte, présentée par la lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal chamboulé France-Cul) : *Permis de penser*... Hier soir : Samuel Rushdie...
C'est ce genre d'émission qui retient encore de foutre son récepteur TV à la décharge publique la plus proche...
Salman Rushdie, finallement tu etait un gros con sur fr.rec.animaux et tu ne t'est pas amélioré. C'etait bien de faire chier "domaine du foal" mais bon abandonne ici, t'a aucune chance
-- Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://www.mesnews.net
MELMOTH a formulé ce samedi :
MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux rarissimes
homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques synapses pas
encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte, présentée par la
lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal chamboulé France-Cul) :
*Permis de penser*...
Hier soir : Samuel Rushdie...
C'est ce genre d'émission qui retient encore de foutre son récepteur TV à la
décharge publique la plus proche...
Salman Rushdie, finallement tu etait un gros con sur fr.rec.animaux et
tu ne t'est pas amélioré. C'etait bien de faire chier "domaine du foal"
mais bon abandonne ici, t'a aucune chance
--
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MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux rarissimes homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques synapses pas encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte, présentée par la lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal chamboulé France-Cul) : *Permis de penser*... Hier soir : Samuel Rushdie...
C'est ce genre d'émission qui retient encore de foutre son récepteur TV à la décharge publique la plus proche...
Salman Rushdie, finallement tu etait un gros con sur fr.rec.animaux et tu ne t'est pas amélioré. C'etait bien de faire chier "domaine du foal" mais bon abandonne ici, t'a aucune chance
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le seigneur des rateaux
MELMOTH avait écrit le 27/08/2005 :
Ce cher mammifère du nom de laurent nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <430ffe38$0$3801$, les doux mélismes suivants :
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Désolé... Mais je l'ai toujours appelé "Samuel"...y compris en privé... J'aime changer les noms et les prénoms...selon ma guise... Ainsi...écrire "duschmole" à la place de "laurent" m'agrée parfaitement...
le mytho qui essaye de se faire passer pour qqun de cultivé, mouarf, cultivé oui, mais que des poireaux
-- Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://www.mesnews.net
MELMOTH avait écrit le 27/08/2005 :
Ce cher mammifère du nom de laurent nous susurrait, le samedi 27/08/2005,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le
message <430ffe38$0$3801$636a15ce@news.free.fr>, les doux mélismes suivants :
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Désolé...
Mais je l'ai toujours appelé "Samuel"...y compris en privé...
J'aime changer les noms et les prénoms...selon ma guise...
Ainsi...écrire "duschmole" à la place de "laurent" m'agrée parfaitement...
le mytho qui essaye de se faire passer pour qqun de cultivé, mouarf,
cultivé oui, mais que des poireaux
--
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Ce cher mammifère du nom de laurent nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <430ffe38$0$3801$, les doux mélismes suivants :
Raté : Salman Rushdie, pas Samuel... Mouarfff !!!
Désolé... Mais je l'ai toujours appelé "Samuel"...y compris en privé... J'aime changer les noms et les prénoms...selon ma guise... Ainsi...écrire "duschmole" à la place de "laurent" m'agrée parfaitement...
le mytho qui essaye de se faire passer pour qqun de cultivé, mouarf, cultivé oui, mais que des poireaux
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Jean Marcel Le Gwen
Dans son message précédent, MELMOTH a écrit :
MELMOTH *Permis de penser*... Hier soir : Samuel Rushdie...
Melmoth le clown... Arrête de te prendre pour un intellectuel, t'es qu'un veto à deux balles qui occupe sa retraite à forniquer sur usenet.
Dans son message précédent, MELMOTH a écrit :
MELMOTH
*Permis de penser*...
Hier soir : Samuel Rushdie...
Melmoth le clown...
Arrête de te prendre pour un intellectuel, t'es qu'un veto à deux
balles qui occupe sa retraite à forniquer sur usenet.
MELMOTH *Permis de penser*... Hier soir : Samuel Rushdie...
Melmoth le clown... Arrête de te prendre pour un intellectuel, t'es qu'un veto à deux balles qui occupe sa retraite à forniquer sur usenet.
Sirius
Au sommet de son art, MELMOTH a pondu :
MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux rarissimes homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques synapses pas encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte, présentée par la lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal chamboulé France-Cul) : *Permis de penser*... Hier soir : Samuel Rushdie...
Un post hara-kiri. Même plus besoin d'argumenter derrière. Chapeau.
Au sommet de son art, MELMOTH a pondu :
MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux
rarissimes homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques
synapses pas encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte,
présentée par la lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal
chamboulé France-Cul) : *Permis de penser*...
Hier soir : Samuel Rushdie...
Un post hara-kiri.
Même plus besoin d'argumenter derrière.
Chapeau.
MELMOTH se permet de rappeler s'il en était encore nécessaire, aux rarissimes homoncules de ce pitoyable forum qui ont toujours quelques synapses pas encore trop encrassées par la connerie, l'émission d'Arte, présentée par la lumineuse Laure Adler (qui a cependant bien mal chamboulé France-Cul) : *Permis de penser*... Hier soir : Samuel Rushdie...
Un post hara-kiri. Même plus besoin d'argumenter derrière. Chapeau.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de le seigneur des rateaux nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message , les doux mélismes suivants :
Salman Rushdie, finallement tu etait un gros con sur fr.rec.animaux et tu ne t'est pas amélioré. C'etait bien de faire chier "domaine du foal" mais bon abandonne ici, t'a aucune chance
MELMOTH t'emmerde, petit... Mais à un point que tu ne pourras jamais imaginer... Et il jouit des réactions des pitoyables NPC de ce sinistre forum... Hélas, son invention du sigle NPC est d'une telle médiocrité, n'est-ce pas...qu'il aurait préféré écrire ceci :
<Bonjour, ô Ami Desproge>
Non aux jeunes
9 avril 1986
"Et vous, qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" lançait l'autre soir Jack Lang, cette frétillante endive frisée de la culture en cave, à l'intention de je ne sais plus quelle poire blette de la sénilité parlementaire.
"Qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" Depuis trente ans, la jeunesse, c'est-à-dire la frange la plus totalement parasitaire de la population, bénéficie sous nos climats d'une dévotion frileuse qui confine à la bigoterie. Malheur à celui qui n'a rien fait pour les jeunes, c'est le péché suprême, et la marque satanique de la pédophobie est sur lui. Au fil des décennies, le mot "jeunes" s'est imposé comme le sésame qui ouvre les voies de la bonne conscience universelle. Le mot "vieux" fait honte, au point que les cuistres humanistes qui portent la bonne parole dans les ministères l'ont remplacé par le ridicule "personnes agées" comme si ces ampaffés de cabinet avaient le mépris des rides des rides de leurs père et mère. Mais les jeunes ne sont pas devenus des "personnes non agées". Les jeunes sont les jeunes. Ah, le joli mot.
"Vous n'avez rien contre les jeunes ?" Version à peine édulcorée du répugnant "T'as pas cent balles ?", c'est la phrase clé que vous balancent de molles gouapes en queue de puberté, pour tenter de vous escroquer d'une revue bidon entièrement peinte avec les genoux par de jeunes infirmes. (Je veux dire "handicapés". Que les bancals m'excusent.)
- Pardon, monsieur, vous n'avez rien contre les jeunes ?
- Si, j'ai. Et ce n'est pas nouveau. Je n'ai jamais aimé les jeunes. Quand j'étais petit, à la maternelle, les jeunes, c'étaient des vieux poilus, avec des voix graves et de grandes main sales sans courage pour nous casser la gueule en douce à la récré.
Aujourd'hui, à l'âge mûr, les jeunes me sont encore plus odieux. Leurs bubons d'acné me dégoûtent comme jamais.
Leurs chambres puent le pied confiné et l'incontinence pollueuse de leurs petites détresses orgasmiques. Et quand ils baisent bruyamment, c'est à côté des trous.
Leur servilité sans faille aux consternantes musiques mort-nées que leur imposent les marchands de vinyle n'a d'égale que leur soumission béate au port des plus grotesques uniformes auquel les soumettent les maquignons de la fripe. Il faut remonter à l'Allemagne des années 30, pour trouver chez les boutonneux un tel engouement collectif pour la veste à brandebourgs et le rythme des grosses caisses.
Et comment ne pas claquer ces têtes à claques devant l'irréelle sérénité de la nullité intello-culturelle qui les nimbe ? Et s'ils n'étaient que nuls, incultes et creux, par la grâce d'un quart de siècle de crétinisme marxiste scolaire, renforcé par autant de diarrhétique démission parentale, passe encore. Mais le pire est qu'ils sont fiers de leur obscurantisme, ces minables.
Ils sont fiers d'être cons.
"Jean Jaurès ? C'est une rue, quoi", me disait récemment l'étron bachelier d'une voisine, laquelle et son mari, par parenthèse, acceptent de coucher par terre chez eux les soirs où leur crétin souhaite trombiner sa copine de caleçon dans le lit conjugal.
Ceci expliquant cela : il n'y a qu'un "ah" de résignation entre défection et défécation.
J'entends déjà les commentaires de l'adolescentophilie de bonne mise :
"Tu dis ça parce que t'es en colère. En réalité, ta propre jeunesse est morte, et tu jalouses la leur, qui vit, qui vibre et qui a les abdominaux plats, "la peau lisse et même élastique", selon Alain Schifres, jeunologue surdoué au Nouvel Observateur.
Je m'insurge. J'affirme que je haïssais plus encore la jeunesse quand j'étais jeune moi-même. J'ai plus vomi la période yéyé analphabète de mes vingt ans que je ne conchie vos années lamentables de rock abâtardi.
La jeunesse, toutes les jeunesses, sont le temps kafkaïen où la larve humiliée, couchée sur le dos, n'a pas plus de raison de ramener sa fraise que de chances de se remettre toute seule sur ses pattes.
L'humanité est un cafard. La jeunesse est son ver blanc.
Autant que la vôtre, je renie la mienne, depuis que je l'ai vue s'échouer dans la bouffonerie soixante-huitarde où de crapoteux universitaires grisonnants, au péril de leur prostate, grimpaient sur des estrades à théâtreux pour singer les pitreries maoïstes de leurs élèves, dont les plus impétueux sont maintenant chefs de choucroute à Carrefour.
Mais vous, jeunes frais du jour, qui ne rêvez plus que de fric, de carrière et de retraite anticipée, reconnaissez au moins à ces pisseux d'hier le mérite d'avoir eu la générosité de croire à des ledemains cheguevaresques sur d'irrésistibles chevaux sauvages.
Quant à ces féroces soldats, je le dis, c'est pas pour cafter, mais y font rien qu'à mugir dans nos campagnes.
<Salut, ô Ami Desproge>
Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors... Ça vaut tous les versets sataniques de mon pote Samuel...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1] Melmoth - souffrant
Ce cher mammifère du nom de le seigneur des rateaux nous susurrait, le
samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales
quand même, et dans le message <mn.da2b7d588df81b86.33466@org.fr>, les
doux mélismes suivants :
Salman Rushdie, finallement tu etait un gros con sur fr.rec.animaux et tu ne
t'est pas amélioré. C'etait bien de faire chier "domaine du foal" mais bon
abandonne ici, t'a aucune chance
MELMOTH t'emmerde, petit...
Mais à un point que tu ne pourras jamais imaginer...
Et il jouit des réactions des pitoyables NPC de ce sinistre forum...
Hélas, son invention du sigle NPC est d'une telle médiocrité, n'est-ce
pas...qu'il aurait préféré écrire ceci :
<Bonjour, ô Ami Desproge>
Non aux jeunes
9 avril 1986
"Et vous, qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" lançait
l'autre soir Jack Lang, cette frétillante endive frisée de la culture
en cave, à l'intention de je ne sais plus quelle poire blette de la
sénilité parlementaire.
"Qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" Depuis trente ans, la
jeunesse, c'est-à-dire la frange la plus totalement parasitaire de la
population, bénéficie sous nos climats d'une dévotion frileuse qui
confine à la bigoterie. Malheur à celui qui n'a rien fait pour les
jeunes, c'est le péché suprême, et la marque satanique de la pédophobie
est sur lui. Au fil des décennies, le mot "jeunes" s'est imposé comme
le sésame qui ouvre les voies de la bonne conscience universelle. Le
mot "vieux" fait honte, au point que les cuistres humanistes qui
portent la bonne parole dans les ministères l'ont remplacé par le
ridicule "personnes agées" comme si ces ampaffés de cabinet avaient le
mépris des rides des rides de leurs père et mère. Mais les jeunes ne
sont pas devenus des "personnes non agées". Les jeunes sont les jeunes.
Ah, le joli mot.
"Vous n'avez rien contre les jeunes ?" Version à peine édulcorée du
répugnant "T'as pas cent balles ?", c'est la phrase clé que vous
balancent de molles gouapes en queue de puberté, pour tenter de vous
escroquer d'une revue bidon entièrement peinte avec les genoux par de
jeunes infirmes. (Je veux dire "handicapés". Que les bancals
m'excusent.)
- Pardon, monsieur, vous n'avez rien contre les jeunes ?
- Si, j'ai. Et ce n'est pas nouveau. Je n'ai jamais aimé les jeunes.
Quand j'étais petit, à la maternelle, les jeunes, c'étaient des vieux
poilus, avec des voix graves et de grandes main sales sans courage pour
nous casser la gueule en douce à la récré.
Aujourd'hui, à l'âge mûr, les jeunes me sont encore plus odieux. Leurs
bubons d'acné me dégoûtent comme jamais.
Leurs chambres puent le pied confiné et l'incontinence pollueuse de
leurs petites détresses orgasmiques. Et quand ils baisent bruyamment,
c'est à côté des trous.
Leur servilité sans faille aux consternantes musiques mort-nées que
leur imposent les marchands de vinyle n'a d'égale que leur soumission
béate au port des plus grotesques uniformes auquel les soumettent les
maquignons de la fripe. Il faut remonter à l'Allemagne des années 30,
pour trouver chez les boutonneux un tel engouement collectif pour la
veste à brandebourgs et le rythme des grosses caisses.
Et comment ne pas claquer ces têtes à claques devant l'irréelle
sérénité de la nullité intello-culturelle qui les nimbe ? Et s'ils
n'étaient que nuls, incultes et creux, par la grâce d'un quart de
siècle de crétinisme marxiste scolaire, renforcé par autant de
diarrhétique démission parentale, passe encore. Mais le pire est qu'ils
sont fiers de leur obscurantisme, ces minables.
Ils sont fiers d'être cons.
"Jean Jaurès ? C'est une rue, quoi", me disait récemment l'étron
bachelier d'une voisine, laquelle et son mari, par parenthèse,
acceptent de coucher par terre chez eux les soirs où leur crétin
souhaite trombiner sa copine de caleçon dans le lit conjugal.
Ceci expliquant cela : il n'y a qu'un "ah" de résignation entre
défection et défécation.
J'entends déjà les commentaires de l'adolescentophilie de bonne mise :
"Tu dis ça parce que t'es en colère. En réalité, ta propre jeunesse est
morte, et tu jalouses la leur, qui vit, qui vibre et qui a les
abdominaux plats, "la peau lisse et même élastique", selon Alain
Schifres, jeunologue surdoué au Nouvel Observateur.
Je m'insurge. J'affirme que je haïssais plus encore la jeunesse quand
j'étais jeune moi-même. J'ai plus vomi la période yéyé analphabète de
mes vingt ans que je ne conchie vos années lamentables de rock
abâtardi.
La jeunesse, toutes les jeunesses, sont le temps kafkaïen où la larve
humiliée, couchée sur le dos, n'a pas plus de raison de ramener sa
fraise que de chances de se remettre toute seule sur ses pattes.
L'humanité est un cafard. La jeunesse est son ver blanc.
Autant que la vôtre, je renie la mienne, depuis que je l'ai vue
s'échouer dans la bouffonerie soixante-huitarde où de crapoteux
universitaires grisonnants, au péril de leur prostate, grimpaient sur
des estrades à théâtreux pour singer les pitreries maoïstes de leurs
élèves, dont les plus impétueux sont maintenant chefs de choucroute à
Carrefour.
Mais vous, jeunes frais du jour, qui ne rêvez plus que de fric, de
carrière et de retraite anticipée, reconnaissez au moins à ces pisseux
d'hier le mérite d'avoir eu la générosité de croire à des ledemains
cheguevaresques sur d'irrésistibles chevaux sauvages.
Quant à ces féroces soldats, je le dis, c'est pas pour cafter, mais y
font rien qu'à mugir dans nos campagnes.
<Salut, ô Ami Desproge>
Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors...
Ça vaut tous les versets sataniques de mon pote Samuel...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1]
Melmoth - souffrant
Ce cher mammifère du nom de le seigneur des rateaux nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message , les doux mélismes suivants :
Salman Rushdie, finallement tu etait un gros con sur fr.rec.animaux et tu ne t'est pas amélioré. C'etait bien de faire chier "domaine du foal" mais bon abandonne ici, t'a aucune chance
MELMOTH t'emmerde, petit... Mais à un point que tu ne pourras jamais imaginer... Et il jouit des réactions des pitoyables NPC de ce sinistre forum... Hélas, son invention du sigle NPC est d'une telle médiocrité, n'est-ce pas...qu'il aurait préféré écrire ceci :
<Bonjour, ô Ami Desproge>
Non aux jeunes
9 avril 1986
"Et vous, qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" lançait l'autre soir Jack Lang, cette frétillante endive frisée de la culture en cave, à l'intention de je ne sais plus quelle poire blette de la sénilité parlementaire.
"Qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" Depuis trente ans, la jeunesse, c'est-à-dire la frange la plus totalement parasitaire de la population, bénéficie sous nos climats d'une dévotion frileuse qui confine à la bigoterie. Malheur à celui qui n'a rien fait pour les jeunes, c'est le péché suprême, et la marque satanique de la pédophobie est sur lui. Au fil des décennies, le mot "jeunes" s'est imposé comme le sésame qui ouvre les voies de la bonne conscience universelle. Le mot "vieux" fait honte, au point que les cuistres humanistes qui portent la bonne parole dans les ministères l'ont remplacé par le ridicule "personnes agées" comme si ces ampaffés de cabinet avaient le mépris des rides des rides de leurs père et mère. Mais les jeunes ne sont pas devenus des "personnes non agées". Les jeunes sont les jeunes. Ah, le joli mot.
"Vous n'avez rien contre les jeunes ?" Version à peine édulcorée du répugnant "T'as pas cent balles ?", c'est la phrase clé que vous balancent de molles gouapes en queue de puberté, pour tenter de vous escroquer d'une revue bidon entièrement peinte avec les genoux par de jeunes infirmes. (Je veux dire "handicapés". Que les bancals m'excusent.)
- Pardon, monsieur, vous n'avez rien contre les jeunes ?
- Si, j'ai. Et ce n'est pas nouveau. Je n'ai jamais aimé les jeunes. Quand j'étais petit, à la maternelle, les jeunes, c'étaient des vieux poilus, avec des voix graves et de grandes main sales sans courage pour nous casser la gueule en douce à la récré.
Aujourd'hui, à l'âge mûr, les jeunes me sont encore plus odieux. Leurs bubons d'acné me dégoûtent comme jamais.
Leurs chambres puent le pied confiné et l'incontinence pollueuse de leurs petites détresses orgasmiques. Et quand ils baisent bruyamment, c'est à côté des trous.
Leur servilité sans faille aux consternantes musiques mort-nées que leur imposent les marchands de vinyle n'a d'égale que leur soumission béate au port des plus grotesques uniformes auquel les soumettent les maquignons de la fripe. Il faut remonter à l'Allemagne des années 30, pour trouver chez les boutonneux un tel engouement collectif pour la veste à brandebourgs et le rythme des grosses caisses.
Et comment ne pas claquer ces têtes à claques devant l'irréelle sérénité de la nullité intello-culturelle qui les nimbe ? Et s'ils n'étaient que nuls, incultes et creux, par la grâce d'un quart de siècle de crétinisme marxiste scolaire, renforcé par autant de diarrhétique démission parentale, passe encore. Mais le pire est qu'ils sont fiers de leur obscurantisme, ces minables.
Ils sont fiers d'être cons.
"Jean Jaurès ? C'est une rue, quoi", me disait récemment l'étron bachelier d'une voisine, laquelle et son mari, par parenthèse, acceptent de coucher par terre chez eux les soirs où leur crétin souhaite trombiner sa copine de caleçon dans le lit conjugal.
Ceci expliquant cela : il n'y a qu'un "ah" de résignation entre défection et défécation.
J'entends déjà les commentaires de l'adolescentophilie de bonne mise :
"Tu dis ça parce que t'es en colère. En réalité, ta propre jeunesse est morte, et tu jalouses la leur, qui vit, qui vibre et qui a les abdominaux plats, "la peau lisse et même élastique", selon Alain Schifres, jeunologue surdoué au Nouvel Observateur.
Je m'insurge. J'affirme que je haïssais plus encore la jeunesse quand j'étais jeune moi-même. J'ai plus vomi la période yéyé analphabète de mes vingt ans que je ne conchie vos années lamentables de rock abâtardi.
La jeunesse, toutes les jeunesses, sont le temps kafkaïen où la larve humiliée, couchée sur le dos, n'a pas plus de raison de ramener sa fraise que de chances de se remettre toute seule sur ses pattes.
L'humanité est un cafard. La jeunesse est son ver blanc.
Autant que la vôtre, je renie la mienne, depuis que je l'ai vue s'échouer dans la bouffonerie soixante-huitarde où de crapoteux universitaires grisonnants, au péril de leur prostate, grimpaient sur des estrades à théâtreux pour singer les pitreries maoïstes de leurs élèves, dont les plus impétueux sont maintenant chefs de choucroute à Carrefour.
Mais vous, jeunes frais du jour, qui ne rêvez plus que de fric, de carrière et de retraite anticipée, reconnaissez au moins à ces pisseux d'hier le mérite d'avoir eu la générosité de croire à des ledemains cheguevaresques sur d'irrésistibles chevaux sauvages.
Quant à ces féroces soldats, je le dis, c'est pas pour cafter, mais y font rien qu'à mugir dans nos campagnes.
<Salut, ô Ami Desproge>
Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors... Ça vaut tous les versets sataniques de mon pote Samuel...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1] Melmoth - souffrant
<Salut, ô Ami Desproge> Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors...
Commence par écrire correctement son nom. On verra après.
Ça vaut tous les versets sataniques de mon pote Salman...
Ah ben, ça y est. Tu n'es donc pas complètement irrécupérable. (ça m'étonne un peu quand même, doit y avoir un truc)
Maître Po
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Maitre Po nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <4310a472$0$1022$, les doux mélismes suivants :
<Salut, ô Ami Desproge> Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors...
Commence par écrire correctement son nom. On verra après.
On écrit et lit dans la presse le patronyme "Desproge" avec ou sans "s"... Faudrait lui demander, à ce grand bonhomme... Hélas...il est là où je ne vais pas tarder à le rejoindre...
Melmoth - enfinpastroptôt
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1] Melmoth - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Maitre Po nous susurrait, le samedi
27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message <4310a472$0$1022$8fcfb975@news.wanadoo.fr>,
les doux mélismes suivants :
<Salut, ô Ami Desproge>
Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors...
Commence par écrire correctement son nom. On verra après.
On écrit et lit dans la presse le patronyme "Desproge" avec ou sans
"s"...
Faudrait lui demander, à ce grand bonhomme...
Hélas...il est là où je ne vais pas tarder à le rejoindre...
Melmoth - enfinpastroptôt
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1]
Melmoth - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Maitre Po nous susurrait, le samedi 27/08/2005, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et dans le message <4310a472$0$1022$, les doux mélismes suivants :
<Salut, ô Ami Desproge> Oh que j'aurais aimé être capable d'écrire ça...oh oui, alors...
Commence par écrire correctement son nom. On verra après.
On écrit et lit dans la presse le patronyme "Desproge" avec ou sans "s"... Faudrait lui demander, à ce grand bonhomme... Hélas...il est là où je ne vais pas tarder à le rejoindre...
Melmoth - enfinpastroptôt
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin; et celui qui accroît sa science, accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1] Melmoth - souffrant