Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler
sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur
autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas demander à
ce que ce cas face juridique prudence pour les français de toutes classes
social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner l'ordre dérouler
a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression de permis, et dans
la suite de la logique un ministre sans permis comme dans certaines
entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59 ans je n'ai pas eu
de verbalisation pour vitesse supérieur à celle autorisée, mais je peut vous
dire que je ferais valoir ce fais si un jour par in-navertence je suis pris
avec un excès même de 1km/h, j(appel les français a envoyer un courrier a
leur sénateur respectif toutes opinions politique confondue en ce sens
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PAP
"individu" a écrit dans le message de news: 4172b99a$0$29619$
Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas demander à ce que ce cas face juridique prudence pour les français de toutes classes social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner l'ordre dérouler a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression de permis, et dans la suite de la logique un ministre sans permis comme dans certaines entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59 ans je n'ai pas eu de verbalisation pour vitesse supérieur à celle autorisée, mais je peut vous dire que je ferais valoir ce fais si un jour par in-navertence je suis pris avec un excès même de 1km/h, j(appel les français a envoyer un courrier a leur sénateur respectif toutes opinions politique confondue en ce sens
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Point barre, tout le reste sortirait du *droit*, objet de ce forum.
PAP
"individu" <premier@ministre.fr> a écrit dans le message de news:
4172b99a$0$29619$626a14ce@news.free.fr...
Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler
sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur
autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas demander
à ce que ce cas face juridique prudence pour les français de toutes
classes social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner l'ordre
dérouler a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression de
permis, et dans la suite de la logique un ministre sans permis comme dans
certaines entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59 ans je
n'ai pas eu de verbalisation pour vitesse supérieur à celle autorisée,
mais je peut vous dire que je ferais valoir ce fais si un jour par
in-navertence je suis pris avec un excès même de 1km/h, j(appel les
français a envoyer un courrier a leur sénateur respectif toutes opinions
politique confondue en ce sens
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il
est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant,
il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison
valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme
telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne
m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est
dans son statut.
Point barre, tout le reste sortirait du *droit*, objet de ce forum.
"individu" a écrit dans le message de news: 4172b99a$0$29619$
Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas demander à ce que ce cas face juridique prudence pour les français de toutes classes social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner l'ordre dérouler a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression de permis, et dans la suite de la logique un ministre sans permis comme dans certaines entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59 ans je n'ai pas eu de verbalisation pour vitesse supérieur à celle autorisée, mais je peut vous dire que je ferais valoir ce fais si un jour par in-navertence je suis pris avec un excès même de 1km/h, j(appel les français a envoyer un courrier a leur sénateur respectif toutes opinions politique confondue en ce sens
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Point barre, tout le reste sortirait du *droit*, objet de ce forum.
PAP
Kupee
PAP wrote:
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Mais bien sur, le chauffeur a le droit de refuser. Ce droit est très théorique tu t'en rends compte je pense non ?
PAP wrote:
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il
est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant,
il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison
valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme
telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne
m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est
dans son statut.
Mais bien sur, le chauffeur a le droit de refuser. Ce droit est très
théorique tu t'en rends compte je pense non ?
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Mais bien sur, le chauffeur a le droit de refuser. Ce droit est très théorique tu t'en rends compte je pense non ?
PAP
"Kupee" a écrit dans le message de news: 4174e8ce$0$32561$
PAP wrote:
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Mais bien sur, le chauffeur a le droit de refuser. Ce droit est très théorique tu t'en rends compte je pense non ?
Bien sur, dans le cas général, MAIS...
Ayant pas mal fréquenté les haut-fonctionnaires (voire un ou deux ministres) et leurs chauffeurs, je peux te dire que : - derrière dans une grosse voiture bien confortable, le VIP, qui, en plus, a plus souvent des trucs à lire que la route ou le compteur à regarder, ne peut pas faire la différence entre 120 et 160... - souvent, c'est le chauffeur qui "se fait plaisir" (et qui te le dit...) en dépassant (un peu) les limites (150, c'est leur norme... j'ai fait des milliers de kilomètres derrière certains, dans *ma* voiture - j'accompagnais le VIP -, et je peux te dire que j'étais pas fier de me trouver ainsi en infraction permanente...) - bien *plus rarement*, c'est le VIP qui demande d'aller vite... - souvent les relations entre le VIP et le chauffeur sont des relations extrêmement cordiales et proches, et dans la seconde hypothèse, un refus courtois, au nom du code de la route, passera très bien, et à l'inverse, une motivation forte (de type "urgence vitale", ou "raison d'Etat", ça existe...) exprimée franchement par le VIP, fera légèrement accélérer le chauffeur vertueux...
Un chauffeur de ministre, fonctionnaire, ne peut pas être "viré"... il peut avoir à changer de "transporté", c'est le pire qui peut lui arriver... De toutes façons, un vilain conflit bien glauque entre chauffeur et VIP (de droit public) n'est pas trop concevable, dans la mesure où le chauffeur détient souvent (sans que ce soit forcément conscient de la part du VIP) des secrets qu'un homme "jeté comme un malpropre" pourrait être tenté de monnayer, ne serait-ce que pour faire vivre sa famille... ;-)
PAP oui, je sais, c'est pas bien de divulguer des secrets collectés au cours de son travail... :-)
"Kupee" <rien@rien.rien> a écrit dans le message de news:
4174e8ce$0$32561$636a15ce@news.free.fr...
PAP wrote:
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre,
il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause.
Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit
pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait
acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de
l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de
l'employeur : c'est dans son statut.
Mais bien sur, le chauffeur a le droit de refuser. Ce droit est très
théorique tu t'en rends compte je pense non ?
Bien sur, dans le cas général, MAIS...
Ayant pas mal fréquenté les haut-fonctionnaires (voire un ou deux ministres)
et leurs chauffeurs, je peux te dire que :
- derrière dans une grosse voiture bien confortable, le VIP, qui, en plus, a
plus souvent des trucs à lire que la route ou le compteur à regarder, ne
peut pas faire la différence entre 120 et 160...
- souvent, c'est le chauffeur qui "se fait plaisir" (et qui te le dit...) en
dépassant (un peu) les limites (150, c'est leur norme... j'ai fait des
milliers de kilomètres derrière certains, dans *ma* voiture - j'accompagnais
le VIP -, et je peux te dire que j'étais pas fier de me trouver ainsi en
infraction permanente...)
- bien *plus rarement*, c'est le VIP qui demande d'aller vite...
- souvent les relations entre le VIP et le chauffeur sont des relations
extrêmement cordiales et proches, et dans la seconde hypothèse, un refus
courtois, au nom du code de la route, passera très bien, et à l'inverse, une
motivation forte (de type "urgence vitale", ou "raison d'Etat", ça
existe...) exprimée franchement par le VIP, fera légèrement accélérer le
chauffeur vertueux...
Un chauffeur de ministre, fonctionnaire, ne peut pas être "viré"... il peut
avoir à changer de "transporté", c'est le pire qui peut lui arriver... De
toutes façons, un vilain conflit bien glauque entre chauffeur et VIP (de
droit public) n'est pas trop concevable, dans la mesure où le chauffeur
détient souvent (sans que ce soit forcément conscient de la part du VIP) des
secrets qu'un homme "jeté comme un malpropre" pourrait être tenté de
monnayer, ne serait-ce que pour faire vivre sa famille... ;-)
PAP
oui, je sais, c'est pas bien de divulguer des secrets collectés au cours de
son travail... :-)
"Kupee" a écrit dans le message de news: 4174e8ce$0$32561$
PAP wrote:
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Mais bien sur, le chauffeur a le droit de refuser. Ce droit est très théorique tu t'en rends compte je pense non ?
Bien sur, dans le cas général, MAIS...
Ayant pas mal fréquenté les haut-fonctionnaires (voire un ou deux ministres) et leurs chauffeurs, je peux te dire que : - derrière dans une grosse voiture bien confortable, le VIP, qui, en plus, a plus souvent des trucs à lire que la route ou le compteur à regarder, ne peut pas faire la différence entre 120 et 160... - souvent, c'est le chauffeur qui "se fait plaisir" (et qui te le dit...) en dépassant (un peu) les limites (150, c'est leur norme... j'ai fait des milliers de kilomètres derrière certains, dans *ma* voiture - j'accompagnais le VIP -, et je peux te dire que j'étais pas fier de me trouver ainsi en infraction permanente...) - bien *plus rarement*, c'est le VIP qui demande d'aller vite... - souvent les relations entre le VIP et le chauffeur sont des relations extrêmement cordiales et proches, et dans la seconde hypothèse, un refus courtois, au nom du code de la route, passera très bien, et à l'inverse, une motivation forte (de type "urgence vitale", ou "raison d'Etat", ça existe...) exprimée franchement par le VIP, fera légèrement accélérer le chauffeur vertueux...
Un chauffeur de ministre, fonctionnaire, ne peut pas être "viré"... il peut avoir à changer de "transporté", c'est le pire qui peut lui arriver... De toutes façons, un vilain conflit bien glauque entre chauffeur et VIP (de droit public) n'est pas trop concevable, dans la mesure où le chauffeur détient souvent (sans que ce soit forcément conscient de la part du VIP) des secrets qu'un homme "jeté comme un malpropre" pourrait être tenté de monnayer, ne serait-ce que pour faire vivre sa famille... ;-)
PAP oui, je sais, c'est pas bien de divulguer des secrets collectés au cours de son travail... :-)
jceven
Bonjour, pour moi, ce qui est important, ce n'est pas tant l'excès de vitesse du ministre ou de son chauffeur: tout un chacun peut un jour faire une faute, et PERSONNE n'est à l'abri, même d'un excès de vitesse. Ce que comme beaucoup, j'admets moins, c'est que pour certaines personnes aient des passe droits. Le fait d'être "bien placé" devrait au contraire être un exemple! Mais le bon Jean de La Fontaine aurait dit: "Selon que vous serez puissant ou misérable....." JC
"PAP" a écrit dans le message de news: 4173b1e1$0$832$
"individu" a écrit dans le message de news: 4172b99a$0$29619$
Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas demander à ce que ce cas face juridique prudence pour les français de toutes classes social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner l'ordre dérouler a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression de permis, et dans la suite de la logique un ministre sans permis comme dans certaines entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59 ans je n'ai pas eu de verbalisation pour vitesse supérieur à celle autorisée, mais je peut vous dire que je ferais valoir ce fais si un jour par in-navertence je suis pris avec un excès même de 1km/h, j(appel les français a envoyer un courrier a leur sénateur respectif toutes opinions politique confondue en ce sens
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Point barre, tout le reste sortirait du *droit*, objet de ce forum.
PAP
Bonjour,
pour moi, ce qui est important, ce n'est pas tant l'excès de vitesse du
ministre ou de son chauffeur: tout un chacun peut un jour faire une faute,
et PERSONNE n'est à l'abri, même d'un excès de vitesse.
Ce que comme beaucoup, j'admets moins, c'est que pour certaines personnes
aient des passe droits. Le fait d'être "bien placé" devrait au contraire
être un exemple!
Mais le bon Jean de La Fontaine aurait dit: "Selon que vous serez puissant
ou misérable....."
JC
"PAP" <papjustepap@9online.fr> a écrit dans le message de news:
4173b1e1$0$832$626a14ce@news.free.fr...
"individu" <premier@ministre.fr> a écrit dans le message de news:
4172b99a$0$29619$626a14ce@news.free.fr...
Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler
sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur
autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas
demander à ce que ce cas face juridique prudence pour les français de
toutes classes social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner
l'ordre dérouler a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression
de permis, et dans la suite de la logique un ministre sans permis comme
dans certaines entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59
ans je n'ai pas eu de verbalisation pour vitesse supérieur à celle
autorisée, mais je peut vous dire que je ferais valoir ce fais si un jour
par in-navertence je suis pris avec un excès même de 1km/h, j(appel les
français a envoyer un courrier a leur sénateur respectif toutes opinions
politique confondue en ce sens
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre,
il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause.
Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit
pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait
acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de
l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de
l'employeur : c'est dans son statut.
Point barre, tout le reste sortirait du *droit*, objet de ce forum.
Bonjour, pour moi, ce qui est important, ce n'est pas tant l'excès de vitesse du ministre ou de son chauffeur: tout un chacun peut un jour faire une faute, et PERSONNE n'est à l'abri, même d'un excès de vitesse. Ce que comme beaucoup, j'admets moins, c'est que pour certaines personnes aient des passe droits. Le fait d'être "bien placé" devrait au contraire être un exemple! Mais le bon Jean de La Fontaine aurait dit: "Selon que vous serez puissant ou misérable....." JC
"PAP" a écrit dans le message de news: 4173b1e1$0$832$
"individu" a écrit dans le message de news: 4172b99a$0$29619$
Donc, sans passer par un tribunal un ministre a réussi a ce faire annuler sur place sa contravention pour excès de vitesse,
alors moi quidam citoyen français je peut demain rouler a 160 km/h sur autoroute et je ne serais pas en infraction, car ne pourrions pas demander à ce que ce cas face juridique prudence pour les français de toutes classes social, ou le chauffeur et le ministre qui a du lui donner l'ordre dérouler a cette vitesse ne devrais t'il pas être en suppression de permis, et dans la suite de la logique un ministre sans permis comme dans certaines entreprises demis de sons poste, en tout cas avec mes 59 ans je n'ai pas eu de verbalisation pour vitesse supérieur à celle autorisée, mais je peut vous dire que je ferais valoir ce fais si un jour par in-navertence je suis pris avec un excès même de 1km/h, j(appel les français a envoyer un courrier a leur sénateur respectif toutes opinions politique confondue en ce sens
Parlons "droit" et non "café du commerce"...
Le seul en infraction, dans ce dossier, c'est le chauffeur : le ministre, il est assis derrière, dans la voiture, et n'est donc pas en cause. Maintenant, il peut avoir demandé au chauffeur d'aller vite, que ce soit pour une raison valable (c'est à dire qui, devant un *tribunal*, serait acceptée comme telle) ou non... Mais le chauffeur (fonctionnaire de l'état, si je ne m'abuse) a le droit de refuser, sans risque vis à vis de l'employeur : c'est dans son statut.
Point barre, tout le reste sortirait du *droit*, objet de ce forum.
PAP
serge
Bonjour,
Ne pas oublier que ces personnalités peuvent en cas de besoin demander une escorte de police de la route et avec dépasser les limitations en vigueur.... (et en radio, ça se fait très vite !)
Peu le font, je me demande pourquoi puisqu'ils y ont droit de par leur fonction !
Serge
"jceven" a écrit dans le message de news:41750974$0$15167$
Bonjour, pour moi, ce qui est important, ce n'est pas tant l'excès de vitesse du ministre ou de son chauffeur: tout un chacun peut un jour faire une faute, et PERSONNE n'est à l'abri, même d'un excès de vitesse. Ce que comme beaucoup, j'admets moins, c'est que pour certaines personnes aient des passe droits. Le fait d'être "bien placé" devrait au contraire être un exemple! Mais le bon Jean de La Fontaine aurait dit: "Selon que vous serez puissant ou misérable....." JC
Bonjour,
Ne pas oublier que ces personnalités peuvent en cas de besoin demander une
escorte de police de la route et avec dépasser les limitations en
vigueur....
(et en radio, ça se fait très vite !)
Peu le font, je me demande pourquoi puisqu'ils y ont droit de par leur
fonction !
Serge
"jceven" <jceven@wanadoo.fr> a écrit dans le message de
news:41750974$0$15167$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
Bonjour,
pour moi, ce qui est important, ce n'est pas tant l'excès de vitesse du
ministre ou de son chauffeur: tout un chacun peut un jour faire une faute,
et PERSONNE n'est à l'abri, même d'un excès de vitesse.
Ce que comme beaucoup, j'admets moins, c'est que pour certaines personnes
aient des passe droits. Le fait d'être "bien placé" devrait au contraire
être un exemple!
Mais le bon Jean de La Fontaine aurait dit: "Selon que vous serez puissant
ou misérable....."
JC
Ne pas oublier que ces personnalités peuvent en cas de besoin demander une escorte de police de la route et avec dépasser les limitations en vigueur.... (et en radio, ça se fait très vite !)
Peu le font, je me demande pourquoi puisqu'ils y ont droit de par leur fonction !
Serge
"jceven" a écrit dans le message de news:41750974$0$15167$
Bonjour, pour moi, ce qui est important, ce n'est pas tant l'excès de vitesse du ministre ou de son chauffeur: tout un chacun peut un jour faire une faute, et PERSONNE n'est à l'abri, même d'un excès de vitesse. Ce que comme beaucoup, j'admets moins, c'est que pour certaines personnes aient des passe droits. Le fait d'être "bien placé" devrait au contraire être un exemple! Mais le bon Jean de La Fontaine aurait dit: "Selon que vous serez puissant ou misérable....." JC
Patrick Vuichard
serge a écrit, le 19/10/2004 15:06 :
Ne pas oublier que ces personnalités peuvent en cas de besoin demander une escorte de police de la route et avec dépasser les limitations en vigueur.... (et en radio, ça se fait très vite !)
Peu le font, je me demande pourquoi puisqu'ils y ont droit de par leur fonction !
Heu, non, leur fonction leur fonction leur donne peut-être le droit d'être accompagné, mais pas le droit de rouler sous gyro sans qu'ils aient une bonne raison. Et être en retard à une réunion n'est pas une bonne raison.
Ne pas oublier que ces personnalités peuvent en cas de besoin demander une
escorte de police de la route et avec dépasser les limitations en
vigueur.... (et en radio, ça se fait très vite !)
Peu le font, je me demande pourquoi puisqu'ils y ont droit de par leur
fonction !
Heu, non, leur fonction leur fonction leur donne peut-être le droit
d'être accompagné, mais pas le droit de rouler sous gyro sans qu'ils
aient une bonne raison. Et être en retard à une réunion n'est pas une
bonne raison.
Ne pas oublier que ces personnalités peuvent en cas de besoin demander une escorte de police de la route et avec dépasser les limitations en vigueur.... (et en radio, ça se fait très vite !)
Peu le font, je me demande pourquoi puisqu'ils y ont droit de par leur fonction !
Heu, non, leur fonction leur fonction leur donne peut-être le droit d'être accompagné, mais pas le droit de rouler sous gyro sans qu'ils aient une bonne raison. Et être en retard à une réunion n'est pas une bonne raison.
"PAP" a écrit dans le message de news:4174fdfb$0$834$
"Kupee" a écrit dans le message de news: 4174e8ce$0$32561$ .../....> avoir à changer de "transporté", c'est le pire qui peut lui
arriver... De
toutes façons, un vilain conflit bien glauque entre chauffeur et VIP (de droit public) n'est pas trop concevable,
dans la mesure où le chauffeur
détient souvent (sans que ce soit forcément conscient de la part du VIP)
des
secrets qu'un homme "jeté comme un malpropre" pourrait être tenté de monnayer, ne serait-ce que pour faire vivre sa famille... ;-)
RE : je ne pense pas qu'un chauffeur se mette en situation "d'accidentable " vis à vis de l'état ou que l'etat ne l'utilise pas déjà independemment de sa fonction de chauffeur :-)))))))))))))))))) hugh
victor
"PAP" <papjustepap@9online.fr> a écrit dans le message de
news:4174fdfb$0$834$626a14ce@news.free.fr...
"Kupee" <rien@rien.rien> a écrit dans le message de news:
4174e8ce$0$32561$636a15ce@news.free.fr...
.../....> avoir à changer de "transporté", c'est le pire qui peut lui
arriver... De
toutes façons, un vilain conflit bien glauque entre chauffeur et VIP (de
droit public) n'est pas trop concevable,
dans la mesure où le chauffeur
détient souvent (sans que ce soit forcément conscient de la part du VIP)
des
secrets qu'un homme "jeté comme un malpropre" pourrait être tenté de
monnayer, ne serait-ce que pour faire vivre sa famille... ;-)
RE : je ne pense pas qu'un chauffeur se mette en situation "d'accidentable
" vis à vis de l'état ou que l'etat ne l'utilise pas déjà independemment de
sa
fonction de chauffeur
:-))))))))))))))))))
hugh
"PAP" a écrit dans le message de news:4174fdfb$0$834$
"Kupee" a écrit dans le message de news: 4174e8ce$0$32561$ .../....> avoir à changer de "transporté", c'est le pire qui peut lui
arriver... De
toutes façons, un vilain conflit bien glauque entre chauffeur et VIP (de droit public) n'est pas trop concevable,
dans la mesure où le chauffeur
détient souvent (sans que ce soit forcément conscient de la part du VIP)
des
secrets qu'un homme "jeté comme un malpropre" pourrait être tenté de monnayer, ne serait-ce que pour faire vivre sa famille... ;-)
RE : je ne pense pas qu'un chauffeur se mette en situation "d'accidentable " vis à vis de l'état ou que l'etat ne l'utilise pas déjà independemment de sa fonction de chauffeur :-)))))))))))))))))) hugh
victor
Kupee
Patrick Vuichard wrote:
Heu, non, leur fonction leur fonction leur donne peut-être le droit d'être accompagné, mais pas le droit de rouler sous gyro sans qu'ils aient une bonne raison. Et être en retard à une réunion n'est pas une bonne raison.
Ca c'est la commission de vérification des bonnes raisons qui le décide :p
Patrick Vuichard wrote:
Heu, non, leur fonction leur fonction leur donne peut-être le droit
d'être accompagné, mais pas le droit de rouler sous gyro sans qu'ils
aient une bonne raison. Et être en retard à une réunion n'est pas une
bonne raison.
Ca c'est la commission de vérification des bonnes raisons
qui le décide :p
Heu, non, leur fonction leur fonction leur donne peut-être le droit d'être accompagné, mais pas le droit de rouler sous gyro sans qu'ils aient une bonne raison. Et être en retard à une réunion n'est pas une bonne raison.
Ca c'est la commission de vérification des bonnes raisons qui le décide :p
Patrick Vuichard
Kupee a écrit, le 19/10/2004 15:43 :
Ca c'est la commission de vérification des bonnes raisons qui le décide :p
Disons qu'en cas d'accident, ça sera pris en compte. En fait, je voulais souligner que *légalement* ce n'est pas un droit, même si personne ne sanctionne.
Ca c'est la commission de vérification des bonnes raisons
qui le décide :p
Disons qu'en cas d'accident, ça sera pris en compte. En fait, je voulais
souligner que *légalement* ce n'est pas un droit, même si personne ne
sanctionne.
Ca c'est la commission de vérification des bonnes raisons qui le décide :p
Disons qu'en cas d'accident, ça sera pris en compte. En fait, je voulais souligner que *légalement* ce n'est pas un droit, même si personne ne sanctionne.