--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Ben oui, j'ai fouillé dans ma mémoire, pour moi c'est Gaston, et pas les idées noires. Sinon, ça nous ramène dans les années 76-77 (date d e parution dans Spirou de l'excellent « Trombone Illustré » sous la forme d'un supplément qui comme Giscard faisait partie du clan d'Estaing), suppl ément où donc ont été publiées les planches des « Idées noires ». J'ai l'album relié du Trombone, fait à partir des suppléments dét achés des invendus, et remis à plat. Un grand moment de la BD.
Ah ça! Si seulement je pouvais remettre la main sur ma compilation, soigneusement conservée dans une pochette et sans doute egarée au fond d'une armoire.
Toc toc.. Qui est là?
A+ François Ca ne nous rajeunie pas...
Salut,
Ben oui, j'ai fouillé dans ma mémoire, pour moi c'est Gaston, et pas les
idées noires. Sinon, ça nous ramène dans les années 76-77 (date d e parution
dans Spirou de l'excellent « Trombone Illustré » sous la forme d'un
supplément qui comme Giscard faisait partie du clan d'Estaing), suppl ément
où donc ont été publiées les planches des « Idées noires ».
J'ai l'album relié du Trombone, fait à partir des suppléments dét achés des
invendus, et remis à plat. Un grand moment de la BD.
Ah ça! Si seulement je pouvais remettre la main sur ma compilation,
soigneusement conservée dans une pochette et sans doute egarée au
fond d'une armoire.
Ben oui, j'ai fouillé dans ma mémoire, pour moi c'est Gaston, et pas les idées noires. Sinon, ça nous ramène dans les années 76-77 (date d e parution dans Spirou de l'excellent « Trombone Illustré » sous la forme d'un supplément qui comme Giscard faisait partie du clan d'Estaing), suppl ément où donc ont été publiées les planches des « Idées noires ». J'ai l'album relié du Trombone, fait à partir des suppléments dét achés des invendus, et remis à plat. Un grand moment de la BD.
Ah ça! Si seulement je pouvais remettre la main sur ma compilation, soigneusement conservée dans une pochette et sans doute egarée au fond d'une armoire.
Toc toc.. Qui est là?
A+ François Ca ne nous rajeunie pas...
Octave
http://www.filh.org/Train/
Là, tu nous caches des trucs. Ne se passerait-il pas des choses secrètes derrière ces reflets. Et là, j'ai cherché pour agrandir les images, comme quoi...
Octave
http://www.filh.org/Train/
Là, tu nous caches des trucs. Ne se passerait-il pas des choses
secrètes derrière ces reflets.
Et là, j'ai cherché pour agrandir les images, comme quoi...
Là, tu nous caches des trucs. Ne se passerait-il pas des choses secrètes derrière ces reflets. Et là, j'ai cherché pour agrandir les images, comme quoi...
Octave
filh
Octave wrote:
http://www.filh.org/Train/
Là, tu nous caches des trucs. Ne se passerait-il pas des choses secrètes derrière ces reflets. Et là, j'ai cherché pour agrandir les images, comme quoi...
Hé hé...
Il se passe des choses, oui. Mais je ne sais plus. Juste des choses. De l'autre côté.
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave <octav@wanadoo.fr> wrote:
http://www.filh.org/Train/
Là, tu nous caches des trucs. Ne se passerait-il pas des choses
secrètes derrière ces reflets.
Et là, j'ai cherché pour agrandir les images, comme quoi...
Hé hé...
Il se passe des choses, oui. Mais je ne sais plus. Juste des choses.
De l'autre côté.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Là, tu nous caches des trucs. Ne se passerait-il pas des choses secrètes derrière ces reflets. Et là, j'ai cherché pour agrandir les images, comme quoi...
Hé hé...
Il se passe des choses, oui. Mais je ne sais plus. Juste des choses. De l'autre côté.
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org