http://numerosurtaxes.blogspirit.com/
La situation :
Les "numéros surtaxés" sont une déferlante en France et n'ont aucune
légitimité, hors celle de faire très facilement un maximum de "fric"
pour leurs initiateurs.
Tout un joli monde de prédateurs n'a qu'à se baisser pour ramasser.
A votre détriment.
Si cela ne concernait que les medias qui organisent des jeux avec comme
question "combien font 2+2 ? " pour inciter les gens à téléphoner au
maximum du tarif (O892), libre à nous de ne pas le faire.
Mais, à présent, ce qui est grave, et inadmissible, c'est que des
organismes dits sociaux: Sécurité Sociale, Allocations Familiales,
hôpitaux, ANPE, ASSEDIC,... s'y sont mis, pénalisant des populations
déjà vulnérables.
Il n'y a aucun service rendu supplémentaire : au contraire, c'est la
foire infernale des répondeurs automatisés qui font durer le plaisir,
en vous demandant de taper des chiffres pour "faire du chiffre" ! "Tous
nos conseillers sont en ligne; nous estimons que votre temps d'attente
sera de..."
Le citoyen, piégé, est contraint d'y passer : aucune issue possible.
De fait, il s'agit bien d'un nouvel impôt qui avance masqué et qui a
le bel avantage de ne pas être inclus dans la liste des prélèvements
fiscaux.
Ainsi l'Etat ne dit rien : il encaisse sa part et s'y met aussi, bien
entendu : cf les sites gouvernementaux.
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
Actuellement, c'est la grande farandole aux "118" à un tarif
"hyper-mega-surtaxé" !
Et il faut bien aussi compenser le "manque à gagner" de la
téléphonie gratuite (via les box)...
Le paroxysme a été atteint avec la mise en oeuvre d'un numéro
surtaxé pour obtenir des renseignements sur... la grippe aviaire :
faire du fric grâce à un problème majeur de santé publique, il
fallait oser !
Vous avez tous vécu cette sorte d'"arnaque légale".
Récemment un sénateur, ancien ministre du budget , a raconté sa
mésaventure (une hot-line) en déclarant "si on m'avait dit cela, je
n'y aurais jamais cru..."
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
Il nous faut exiger le retour à une tarification normale.
Vous avez tous râlé et avez le sentiment de ne rien pouvoir y faire.
Seule une pétition nationale adressée au Président de la
République, ultime garant de l'égalité dans notre pays, réclamant
la SUPPRESSION DES NUMEROS SURTAXES EN FRANCE et le retour à une
tarification normale (s'agissant des services au
citoyen-contribuable-consommateur : organismes sociaux et d'intérêt
public, SAV, banques, assurances, hotline...)
pourra faire pression.
Et seule une pétition de grande envergure pourra être efficace.
La commodité des courriels permettra d'obtenir un maximum de
signatures : un million de signataires interpellerait nos décideurs !
Montrons notre capacité à ne pas nous laisser plumer aussi
facilement.
Certes, il y a d'autres sujets bien plus graves, en France, que les
"numéros surtaxés".
Mais ils sont emblêmatiques d'une tendance qui ne doit pas être
érigée en système : celle de l'abus du citoyen.
Abus qui en appellerait d'autres, si l'on ne réagit pas.
C'est aussi une question de dignité que de ne pas renoncer.
-------------------------------------------
LA PETITION :
"Monsieur le Président,
Je souhaite attirer votre attention sur la pratique des « numéros
surtaxés » qui n'a aucune légitimité, hors celle de faire
facilement de l'argent pour ses initiateurs au détriment des
citoyens français.
Ce qui est grave, c'est sa propagation aux services et organismes
dits sociaux (Sécurité Sociale, Allocations Familiales, hôpitaux,
ANPE, ASSEDIC), pénalisant des populations déjà vulnérables.
C'est contraint, presque piégé, que l'on est amené à composer
ces numéros, avec un temps d'attente dont la finalité se devine ("
Tous nos conseillers sont en ligne...") et l'éventuelle gratuité de
ce temps d'attente ne résout rien : il subsiste toujours un surcoût
inacceptable !
Les actuels numéros de renseignements (118...) sont d'une
tarification ahurissante, comparée à une époque encore récente.
Tout le monde ne peut avoir recours à l'internet et même dans ce
cas, on constate, de toutes façons, que le courrier électronique
n'a pas de réponse ou que l'on est invité à... composer un
numéro surtaxé!
Ce sont encore et toujours les plus modestes qui sont les victimes de
cette pratique, qui s'apparente à de la vente forcée ou à un
nouvel impôt.
C'est parce que vous êtes l'ultime garant de la justice et de
l'égalité dans notre pays que je me tourne solennellement vers vous
afin de demander au législateur d'interdire cette pratique des
numéros surtaxés et de revenir à une tarification normale,
s'agissant notamment des organismes sociaux et d'intérêt public.
Je vous remercie vivement de m'avoir lu et vous prie de croire,
Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute et très
respectueuse considération. "
Date
Nom
Prénom
Adresse postale
Adresse courriel
Faire un copier-coller et adresser à :
http://numerosurtaxes.blogspirit.com/
La situation :
Les "numéros surtaxés" sont une déferlante en France et n'ont aucune
légitimité, hors celle de faire très facilement un maximum de "fric"
pour leurs initiateurs.
Tout un joli monde de prédateurs n'a qu'à se baisser pour ramasser.
A votre détriment.
Si cela ne concernait que les medias qui organisent des jeux avec comme
question "combien font 2+2 ? " pour inciter les gens à téléphoner au
maximum du tarif (O892), libre à nous de ne pas le faire.
Mais, à présent, ce qui est grave, et inadmissible, c'est que des
organismes dits sociaux: Sécurité Sociale, Allocations Familiales,
hôpitaux, ANPE, ASSEDIC,... s'y sont mis, pénalisant des populations
déjà vulnérables.
Il n'y a aucun service rendu supplémentaire : au contraire, c'est la
foire infernale des répondeurs automatisés qui font durer le plaisir,
en vous demandant de taper des chiffres pour "faire du chiffre" ! "Tous
nos conseillers sont en ligne; nous estimons que votre temps d'attente
sera de..."
Le citoyen, piégé, est contraint d'y passer : aucune issue possible.
De fait, il s'agit bien d'un nouvel impôt qui avance masqué et qui a
le bel avantage de ne pas être inclus dans la liste des prélèvements
fiscaux.
Ainsi l'Etat ne dit rien : il encaisse sa part et s'y met aussi, bien
entendu : cf les sites gouvernementaux.
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
Actuellement, c'est la grande farandole aux "118" à un tarif
"hyper-mega-surtaxé" !
Et il faut bien aussi compenser le "manque à gagner" de la
téléphonie gratuite (via les box)...
Le paroxysme a été atteint avec la mise en oeuvre d'un numéro
surtaxé pour obtenir des renseignements sur... la grippe aviaire :
faire du fric grâce à un problème majeur de santé publique, il
fallait oser !
Vous avez tous vécu cette sorte d'"arnaque légale".
Récemment un sénateur, ancien ministre du budget , a raconté sa
mésaventure (une hot-line) en déclarant "si on m'avait dit cela, je
n'y aurais jamais cru..."
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
Il nous faut exiger le retour à une tarification normale.
Vous avez tous râlé et avez le sentiment de ne rien pouvoir y faire.
Seule une pétition nationale adressée au Président de la
République, ultime garant de l'égalité dans notre pays, réclamant
la SUPPRESSION DES NUMEROS SURTAXES EN FRANCE et le retour à une
tarification normale (s'agissant des services au
citoyen-contribuable-consommateur : organismes sociaux et d'intérêt
public, SAV, banques, assurances, hotline...)
pourra faire pression.
Et seule une pétition de grande envergure pourra être efficace.
La commodité des courriels permettra d'obtenir un maximum de
signatures : un million de signataires interpellerait nos décideurs !
Montrons notre capacité à ne pas nous laisser plumer aussi
facilement.
Certes, il y a d'autres sujets bien plus graves, en France, que les
"numéros surtaxés".
Mais ils sont emblêmatiques d'une tendance qui ne doit pas être
érigée en système : celle de l'abus du citoyen.
Abus qui en appellerait d'autres, si l'on ne réagit pas.
C'est aussi une question de dignité que de ne pas renoncer.
-------------------------------------------
LA PETITION :
"Monsieur le Président,
Je souhaite attirer votre attention sur la pratique des « numéros
surtaxés » qui n'a aucune légitimité, hors celle de faire
facilement de l'argent pour ses initiateurs au détriment des
citoyens français.
Ce qui est grave, c'est sa propagation aux services et organismes
dits sociaux (Sécurité Sociale, Allocations Familiales, hôpitaux,
ANPE, ASSEDIC), pénalisant des populations déjà vulnérables.
C'est contraint, presque piégé, que l'on est amené à composer
ces numéros, avec un temps d'attente dont la finalité se devine ("
Tous nos conseillers sont en ligne...") et l'éventuelle gratuité de
ce temps d'attente ne résout rien : il subsiste toujours un surcoût
inacceptable !
Les actuels numéros de renseignements (118...) sont d'une
tarification ahurissante, comparée à une époque encore récente.
Tout le monde ne peut avoir recours à l'internet et même dans ce
cas, on constate, de toutes façons, que le courrier électronique
n'a pas de réponse ou que l'on est invité à... composer un
numéro surtaxé!
Ce sont encore et toujours les plus modestes qui sont les victimes de
cette pratique, qui s'apparente à de la vente forcée ou à un
nouvel impôt.
C'est parce que vous êtes l'ultime garant de la justice et de
l'égalité dans notre pays que je me tourne solennellement vers vous
afin de demander au législateur d'interdire cette pratique des
numéros surtaxés et de revenir à une tarification normale,
s'agissant notamment des organismes sociaux et d'intérêt public.
Je vous remercie vivement de m'avoir lu et vous prie de croire,
Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute et très
respectueuse considération. "
Date
Nom
Prénom
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petition.numerosurtaxes@ifrance.com
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La situation :
Les "numéros surtaxés" sont une déferlante en France et n'ont aucune
légitimité, hors celle de faire très facilement un maximum de "fric"
pour leurs initiateurs.
Tout un joli monde de prédateurs n'a qu'à se baisser pour ramasser.
A votre détriment.
Si cela ne concernait que les medias qui organisent des jeux avec comme
question "combien font 2+2 ? " pour inciter les gens à téléphoner au
maximum du tarif (O892), libre à nous de ne pas le faire.
Mais, à présent, ce qui est grave, et inadmissible, c'est que des
organismes dits sociaux: Sécurité Sociale, Allocations Familiales,
hôpitaux, ANPE, ASSEDIC,... s'y sont mis, pénalisant des populations
déjà vulnérables.
Il n'y a aucun service rendu supplémentaire : au contraire, c'est la
foire infernale des répondeurs automatisés qui font durer le plaisir,
en vous demandant de taper des chiffres pour "faire du chiffre" ! "Tous
nos conseillers sont en ligne; nous estimons que votre temps d'attente
sera de..."
Le citoyen, piégé, est contraint d'y passer : aucune issue possible.
De fait, il s'agit bien d'un nouvel impôt qui avance masqué et qui a
le bel avantage de ne pas être inclus dans la liste des prélèvements
fiscaux.
Ainsi l'Etat ne dit rien : il encaisse sa part et s'y met aussi, bien
entendu : cf les sites gouvernementaux.
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
Actuellement, c'est la grande farandole aux "118" à un tarif
"hyper-mega-surtaxé" !
Et il faut bien aussi compenser le "manque à gagner" de la
téléphonie gratuite (via les box)...
Le paroxysme a été atteint avec la mise en oeuvre d'un numéro
surtaxé pour obtenir des renseignements sur... la grippe aviaire :
faire du fric grâce à un problème majeur de santé publique, il
fallait oser !
Vous avez tous vécu cette sorte d'"arnaque légale".
Récemment un sénateur, ancien ministre du budget , a raconté sa
mésaventure (une hot-line) en déclarant "si on m'avait dit cela, je
n'y aurais jamais cru..."
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
Il nous faut exiger le retour à une tarification normale.
Vous avez tous râlé et avez le sentiment de ne rien pouvoir y faire.
Seule une pétition nationale adressée au Président de la
République, ultime garant de l'égalité dans notre pays, réclamant
la SUPPRESSION DES NUMEROS SURTAXES EN FRANCE et le retour à une
tarification normale (s'agissant des services au
citoyen-contribuable-consommateur : organismes sociaux et d'intérêt
public, SAV, banques, assurances, hotline...)
pourra faire pression.
Et seule une pétition de grande envergure pourra être efficace.
La commodité des courriels permettra d'obtenir un maximum de
signatures : un million de signataires interpellerait nos décideurs !
Montrons notre capacité à ne pas nous laisser plumer aussi
facilement.
Certes, il y a d'autres sujets bien plus graves, en France, que les
"numéros surtaxés".
Mais ils sont emblêmatiques d'une tendance qui ne doit pas être
érigée en système : celle de l'abus du citoyen.
Abus qui en appellerait d'autres, si l'on ne réagit pas.
C'est aussi une question de dignité que de ne pas renoncer.
-------------------------------------------
LA PETITION :
"Monsieur le Président,
Je souhaite attirer votre attention sur la pratique des « numéros
surtaxés » qui n'a aucune légitimité, hors celle de faire
facilement de l'argent pour ses initiateurs au détriment des
citoyens français.
Ce qui est grave, c'est sa propagation aux services et organismes
dits sociaux (Sécurité Sociale, Allocations Familiales, hôpitaux,
ANPE, ASSEDIC), pénalisant des populations déjà vulnérables.
C'est contraint, presque piégé, que l'on est amené à composer
ces numéros, avec un temps d'attente dont la finalité se devine ("
Tous nos conseillers sont en ligne...") et l'éventuelle gratuité de
ce temps d'attente ne résout rien : il subsiste toujours un surcoût
inacceptable !
Les actuels numéros de renseignements (118...) sont d'une
tarification ahurissante, comparée à une époque encore récente.
Tout le monde ne peut avoir recours à l'internet et même dans ce
cas, on constate, de toutes façons, que le courrier électronique
n'a pas de réponse ou que l'on est invité à... composer un
numéro surtaxé!
Ce sont encore et toujours les plus modestes qui sont les victimes de
cette pratique, qui s'apparente à de la vente forcée ou à un
nouvel impôt.
C'est parce que vous êtes l'ultime garant de la justice et de
l'égalité dans notre pays que je me tourne solennellement vers vous
afin de demander au législateur d'interdire cette pratique des
numéros surtaxés et de revenir à une tarification normale,
s'agissant notamment des organismes sociaux et d'intérêt public.
Je vous remercie vivement de m'avoir lu et vous prie de croire,
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respectueuse considération. "
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facilement de l'argent pour ses initiateurs au détriment des
citoyens français.
Ce qui est grave, c'est sa propagation aux services et organismes
dits sociaux (Sécurité Sociale, Allocations Familiales, hôpitaux,
ANPE, ASSEDIC), pénalisant des populations déjà vulnérables.
C'est contraint, presque piégé, que l'on est amené à composer
ces numéros, avec un temps d'attente dont la finalité se devine ("
Tous nos conseillers sont en ligne...") et l'éventuelle gratuité de
ce temps d'attente ne résout rien : il subsiste toujours un surcoût
inacceptable !
Les actuels numéros de renseignements (118...) sont d'une
tarification ahurissante, comparée à une époque encore récente.
Tout le monde ne peut avoir recours à l'internet et même dans ce
cas, on constate, de toutes façons, que le courrier électronique
n'a pas de réponse ou que l'on est invité à... composer un
numéro surtaxé!
Ce sont encore et toujours les plus modestes qui sont les victimes de
cette pratique, qui s'apparente à de la vente forcée ou à un
nouvel impôt.
C'est parce que vous êtes l'ultime garant de la justice et de
l'égalité dans notre pays que je me tourne solennellement vers vous
afin de demander au législateur d'interdire cette pratique des
numéros surtaxés et de revenir à une tarification normale,
s'agissant notamment des organismes sociaux et d'intérêt public.
Je vous remercie vivement de m'avoir lu et vous prie de croire,
Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute et très
respectueuse considération. "
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"Monsieur le Président,
Je souhaite attirer votre attention sur la pratique des « numéros
surtaxés » qui n'a aucune légitimité, hors celle de faire
facilement de l'argent pour ses initiateurs au détriment des
citoyens français.
Ce qui est grave, c'est sa propagation aux services et organismes
dits sociaux (Sécurité Sociale, Allocations Familiales, hôpitaux,
ANPE, ASSEDIC), pénalisant des populations déjà vulnérables.
C'est contraint, presque piégé, que l'on est amené à composer
ces numéros, avec un temps d'attente dont la finalité se devine ("
Tous nos conseillers sont en ligne...") et l'éventuelle gratuité de
ce temps d'attente ne résout rien : il subsiste toujours un surcoût
inacceptable !
Les actuels numéros de renseignements (118...) sont d'une
tarification ahurissante, comparée à une époque encore récente.
Tout le monde ne peut avoir recours à l'internet et même dans ce
cas, on constate, de toutes façons, que le courrier électronique
n'a pas de réponse ou que l'on est invité à... composer un
numéro surtaxé!
Ce sont encore et toujours les plus modestes qui sont les victimes de
cette pratique, qui s'apparente à de la vente forcée ou à un
nouvel impôt.
C'est parce que vous êtes l'ultime garant de la justice et de
l'égalité dans notre pays que je me tourne solennellement vers vous
afin de demander au législateur d'interdire cette pratique des
numéros surtaxés et de revenir à une tarification normale,
s'agissant notamment des organismes sociaux et d'intérêt public.
Je vous remercie vivement de m'avoir lu et vous prie de croire,
Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute et très
respectueuse considération. "
Date
Nom
Prénom
Adresse postale
Adresse courriel
Faire un copier-coller et adresser à :
petition.numerosurtaxes@ifrance.com
LA PETITION :
"Monsieur le Président,
Je souhaite attirer votre attention sur la pratique des « numéros
surtaxés » qui n'a aucune légitimité, hors celle de faire
facilement de l'argent pour ses initiateurs au détriment des
citoyens français.
Ce qui est grave, c'est sa propagation aux services et organismes
dits sociaux (Sécurité Sociale, Allocations Familiales, hôpitaux,
ANPE, ASSEDIC), pénalisant des populations déjà vulnérables.
C'est contraint, presque piégé, que l'on est amené à composer
ces numéros, avec un temps d'attente dont la finalité se devine ("
Tous nos conseillers sont en ligne...") et l'éventuelle gratuité de
ce temps d'attente ne résout rien : il subsiste toujours un surcoût
inacceptable !
Les actuels numéros de renseignements (118...) sont d'une
tarification ahurissante, comparée à une époque encore récente.
Tout le monde ne peut avoir recours à l'internet et même dans ce
cas, on constate, de toutes façons, que le courrier électronique
n'a pas de réponse ou que l'on est invité à... composer un
numéro surtaxé!
Ce sont encore et toujours les plus modestes qui sont les victimes de
cette pratique, qui s'apparente à de la vente forcée ou à un
nouvel impôt.
C'est parce que vous êtes l'ultime garant de la justice et de
l'égalité dans notre pays que je me tourne solennellement vers vous
afin de demander au législateur d'interdire cette pratique des
numéros surtaxés et de revenir à une tarification normale,
s'agissant notamment des organismes sociaux et d'intérêt public.
Je vous remercie vivement de m'avoir lu et vous prie de croire,
Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute et très
respectueuse considération. "
Date
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Prénom
Adresse postale
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Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
News wrote:Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
en général le produit n'est pas défectueux, c'est l'utilisateur qui ne
sait pas s'en servir ou qui ne fait aucun effort pour se dépanner
lui-même.La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
non c'est l'inverse. les conseillers dans les centres d'appels sont
réprimandés si les temps passés avec les clients sont globalement longs
News wrote:
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
en général le produit n'est pas défectueux, c'est l'utilisateur qui ne
sait pas s'en servir ou qui ne fait aucun effort pour se dépanner
lui-même.
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
non c'est l'inverse. les conseillers dans les centres d'appels sont
réprimandés si les temps passés avec les clients sont globalement longs
News wrote:Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
en général le produit n'est pas défectueux, c'est l'utilisateur qui ne
sait pas s'en servir ou qui ne fait aucun effort pour se dépanner
lui-même.La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
non c'est l'inverse. les conseillers dans les centres d'appels sont
réprimandés si les temps passés avec les clients sont globalement longs
News wrote:Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
en général le produit n'est pas défectueux, c'est l'utilisateur qui ne
sait pas s'en servir ou qui ne fait aucun effort pour se dépanner
lui-même.La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
non c'est l'inverse. les conseillers dans les centres d'appels sont
réprimandés si les temps passés avec les clients sont globalement
longs ou si les problèmes ne sont pas solutionnés rapidement (cela se
mesure par le nombre de rappels d'un même client entre autres). le but
d'un centre d'appel c'est d'absorber au maximum les flux entrants. des
sociétés qui disposent de plusieurs call centres n'hésiteront pas à en
fermer certains s'ils ne sont pas jugés efficaces.
News wrote:
Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
en général le produit n'est pas défectueux, c'est l'utilisateur qui ne
sait pas s'en servir ou qui ne fait aucun effort pour se dépanner
lui-même.
La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
non c'est l'inverse. les conseillers dans les centres d'appels sont
réprimandés si les temps passés avec les clients sont globalement
longs ou si les problèmes ne sont pas solutionnés rapidement (cela se
mesure par le nombre de rappels d'un même client entre autres). le but
d'un centre d'appel c'est d'absorber au maximum les flux entrants. des
sociétés qui disposent de plusieurs call centres n'hésiteront pas à en
fermer certains s'ils ne sont pas jugés efficaces.
News wrote:Les SAV, idem, la punition est double : le produit est défectueux,
mais en plus vous payez.
en général le produit n'est pas défectueux, c'est l'utilisateur qui ne
sait pas s'en servir ou qui ne fait aucun effort pour se dépanner
lui-même.La "gratuité" du temps d'attente, qui serait prévue (qui concerne
seulement les hotline et, soyons-en sûr, le correspondant saura bien
de toutes façons nous faire patienter...) ne changera pas le fait
qu'il s'agira toujours d'un surcoût inacceptable.
non c'est l'inverse. les conseillers dans les centres d'appels sont
réprimandés si les temps passés avec les clients sont globalement
longs ou si les problèmes ne sont pas solutionnés rapidement (cela se
mesure par le nombre de rappels d'un même client entre autres). le but
d'un centre d'appel c'est d'absorber au maximum les flux entrants. des
sociétés qui disposent de plusieurs call centres n'hésiteront pas à en
fermer certains s'ils ne sont pas jugés efficaces.
pauvre gens, c'est un boulot de merde!
pauvre gens, c'est un boulot de merde!
pauvre gens, c'est un boulot de merde!