Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photographies à
la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale
du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle
François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur le
thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le
cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler
à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut
leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation
indispensable. Nous procédons de la même démarche dans le groupe
bibliothèque ou le groupe musculation. Je veux aussi souligner le
remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association
Médulia, qui ont permis cette présentation de photos au public lesparrain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et président de
l'association Médulia, précise : « Notre association se définie comme une
interface de communication entre l'institution hospitalière et les
partenaires locaux comme la mairie de Lesparre, ou les journaux locaux. En
fait, nous aidons le patient à franchir le pas séparant l'univers
hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans l'étiquette frustrante de
malade psychiatrique. Médulia, depuis deux années, composée exclusivement de
personnel hospitalier, tente d'aider les patients en stimulant leur intérêt
au monde environnant, pour leur permettre de trouver leur place. »
« Dans cette optique, nous organisons des séances de lecture des journaux
non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais aussi pour les
informer sur la vie locale de leur entourage. Le meilleur exemple est celui
d'un commerçant lesparrain qui met à disposition des patients un matériel
informatique pour une démarche de type cybercafé. L'accès par groupe à la
bibliothèque, une fois par semaine, est un fait apprécié par les patients,
dont certains sont devenus adhérents à titre personnel. »
De nos jours, le monde de l'hôpital psychiatrique et le traitement des
malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont les effets
secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation et un renvoi à
domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une indispensable
préparation pour la vie extérieure, dont cette exposition est un exemple.
Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de cette exposition c'est la
valorisation de leur travail. C'est un moyen de s'afficher sur un pied
d'égalité avec les citoyens de la commune. Pour résumer, ce ne sont pas les
malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photographies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur le thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants. « L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable. Nous procédons de la même démarche dans le groupe bibliothèque ou le groupe musculation. Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos au public lesparrain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et président de l'association Médulia, précise : « Notre association se définie comme une interface de communication entre l'institution hospitalière et les partenaires locaux comme la mairie de Lesparre, ou les journaux locaux. En fait, nous aidons le patient à franchir le pas séparant l'univers hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans l'étiquette frustrante de malade psychiatrique. Médulia, depuis deux années, composée exclusivement de personnel hospitalier, tente d'aider les patients en stimulant leur intérêt au monde environnant, pour leur permettre de trouver leur place. » « Dans cette optique, nous organisons des séances de lecture des journaux non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais aussi pour les informer sur la vie locale de leur entourage. Le meilleur exemple est celui d'un commerçant lesparrain qui met à disposition des patients un matériel informatique pour une démarche de type cybercafé. L'accès par groupe à la bibliothèque, une fois par semaine, est un fait apprécié par les patients, dont certains sont devenus adhérents à titre personnel. » De nos jours, le monde de l'hôpital psychiatrique et le traitement des malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont les effets secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation et un renvoi à domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une indispensable préparation pour la vie extérieure, dont cette exposition est un exemple. Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de cette exposition c'est la valorisation de leur travail. C'est un moyen de s'afficher sur un pied d'égalité avec les citoyens de la commune. Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
j'aime ce discours convenu " partenaires locaux, valorisation du travail, interet au monde environnant..." parait que en Italie les malades ne sont plus en HP mais dehairs depuis tres longtemps ? sinon, pourquoi pas des photos, et puis la vigne, un produit naturel !
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs
photographies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé
mentale du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle
François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur
le thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un
an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les
personnels soignants. « L'idée première, c'est de sortir les patients
de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique
Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut leur permettre une
meilleure intégration future, une socialisation indispensable. Nous
procédons de la même démarche dans le groupe bibliothèque ou le
groupe musculation. Je veux aussi souligner le remarquable travail
des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont
permis cette présentation de photos au public lesparrain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et
président de l'association Médulia, précise : « Notre association se
définie comme une interface de communication entre l'institution
hospitalière et les partenaires locaux comme la mairie de Lesparre,
ou les journaux locaux. En fait, nous aidons le patient à franchir le
pas séparant l'univers hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans
l'étiquette frustrante de malade psychiatrique. Médulia, depuis deux
années, composée exclusivement de personnel hospitalier, tente
d'aider les patients en stimulant leur intérêt au monde environnant,
pour leur permettre de trouver leur place. » « Dans cette optique, nous
organisons des séances de lecture des
journaux non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais
aussi pour les informer sur la vie locale de leur entourage. Le
meilleur exemple est celui d'un commerçant lesparrain qui met à
disposition des patients un matériel informatique pour une démarche
de type cybercafé. L'accès par groupe à la bibliothèque, une fois par
semaine, est un fait apprécié par les patients, dont certains sont
devenus adhérents à titre personnel. » De nos jours, le monde de l'hôpital
psychiatrique et le traitement des
malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont les
effets secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation
et un renvoi à domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une
indispensable préparation pour la vie extérieure, dont cette
exposition est un exemple. Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de
cette exposition c'est la valorisation de leur travail. C'est un
moyen de s'afficher sur un pied d'égalité avec les citoyens de la
commune. Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce
sont des photographes amateurs. »
j'aime ce discours convenu " partenaires locaux, valorisation du travail,
interet au monde environnant..."
parait que en Italie les malades ne sont plus en HP mais dehairs depuis tres
longtemps ?
sinon, pourquoi pas des photos, et puis la vigne, un produit naturel !
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photographies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur le thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants. « L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable. Nous procédons de la même démarche dans le groupe bibliothèque ou le groupe musculation. Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos au public lesparrain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et président de l'association Médulia, précise : « Notre association se définie comme une interface de communication entre l'institution hospitalière et les partenaires locaux comme la mairie de Lesparre, ou les journaux locaux. En fait, nous aidons le patient à franchir le pas séparant l'univers hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans l'étiquette frustrante de malade psychiatrique. Médulia, depuis deux années, composée exclusivement de personnel hospitalier, tente d'aider les patients en stimulant leur intérêt au monde environnant, pour leur permettre de trouver leur place. » « Dans cette optique, nous organisons des séances de lecture des journaux non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais aussi pour les informer sur la vie locale de leur entourage. Le meilleur exemple est celui d'un commerçant lesparrain qui met à disposition des patients un matériel informatique pour une démarche de type cybercafé. L'accès par groupe à la bibliothèque, une fois par semaine, est un fait apprécié par les patients, dont certains sont devenus adhérents à titre personnel. » De nos jours, le monde de l'hôpital psychiatrique et le traitement des malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont les effets secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation et un renvoi à domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une indispensable préparation pour la vie extérieure, dont cette exposition est un exemple. Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de cette exposition c'est la valorisation de leur travail. C'est un moyen de s'afficher sur un pied d'égalité avec les citoyens de la commune. Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
j'aime ce discours convenu " partenaires locaux, valorisation du travail, interet au monde environnant..." parait que en Italie les malades ne sont plus en HP mais dehairs depuis tres longtemps ? sinon, pourquoi pas des photos, et puis la vigne, un produit naturel !
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photograph ies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé men tale du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur le thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, d ans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soigna nts. « L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et d e les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable. Nous procédons de la même démarche dans le groupe bibliothèque ou le groupe musculation. Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos au public lespar rain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et pr ésident de l'association Médulia, précise : « Notre association se définie c omme une interface de communication entre l'institution hospitalière et les partenaires locaux comme la mairie de Lesparre, ou les journaux locaux. En fait, nous aidons le patient à franchir le pas séparant l'univers hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans l'étiquette frustran te de malade psychiatrique. Médulia, depuis deux années, composée exclusi vement de personnel hospitalier, tente d'aider les patients en stimulant leur int érêt au monde environnant, pour leur permettre de trouver leur place. » « Dans cette optique, nous organisons des séances de lecture des jour naux non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais aussi pour l es informer sur la vie locale de leur entourage. Le meilleur exemple est cel ui d'un commerçant lesparrain qui met à disposition des patients un mat ériel informatique pour une démarche de type cybercafé. L'accès par group e à la bibliothèque, une fois par semaine, est un fait apprécié par les pa tients, dont certains sont devenus adhérents à titre personnel. » De nos jours, le monde de l'hôpital psychiatrique et le traitement des malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont le s effets secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation et un re nvoi à domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une indispensable préparation pour la vie extérieure, dont cette exposition est un exem ple. Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de cette exposition c'est la valorisation de leur travail. C'est un moyen de s'afficher sur un pied d'égalité avec les citoyens de la commune. Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Projet intéressant, félicitations !
Y'a-t-il moyen de voir ces images sur le net pour ceux résidant bien loin du Médoc ?
Claudio Bonavolta http://www.bonavolta.ch
On 24 sep, 10:50, "J.P. & D. Dubarry" <dduba...@free.fr> wrote:
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photograph ies à
la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé men tale
du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle
François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur le
thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, d ans le
cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soigna nts.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et d e les mêler
à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut
leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation
indispensable. Nous procédons de la même démarche dans le groupe
bibliothèque ou le groupe musculation. Je veux aussi souligner le
remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association
Médulia, qui ont permis cette présentation de photos au public lespar rain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et pr ésident de
l'association Médulia, précise : « Notre association se définie c omme une
interface de communication entre l'institution hospitalière et les
partenaires locaux comme la mairie de Lesparre, ou les journaux locaux. En
fait, nous aidons le patient à franchir le pas séparant l'univers
hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans l'étiquette frustran te de
malade psychiatrique. Médulia, depuis deux années, composée exclusi vement de
personnel hospitalier, tente d'aider les patients en stimulant leur int érêt
au monde environnant, pour leur permettre de trouver leur place. »
« Dans cette optique, nous organisons des séances de lecture des jour naux
non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais aussi pour l es
informer sur la vie locale de leur entourage. Le meilleur exemple est cel ui
d'un commerçant lesparrain qui met à disposition des patients un mat ériel
informatique pour une démarche de type cybercafé. L'accès par group e à la
bibliothèque, une fois par semaine, est un fait apprécié par les pa tients,
dont certains sont devenus adhérents à titre personnel. »
De nos jours, le monde de l'hôpital psychiatrique et le traitement des
malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont le s effets
secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation et un re nvoi à
domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une indispensable
préparation pour la vie extérieure, dont cette exposition est un exem ple.
Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de cette exposition c'est la
valorisation de leur travail. C'est un moyen de s'afficher sur un pied
d'égalité avec les citoyens de la commune. Pour résumer, ce ne sont pas les
malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Projet intéressant, félicitations !
Y'a-t-il moyen de voir ces images sur le net pour ceux résidant bien
loin du Médoc ?
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photograph ies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé men tale du Médoc, à Lesparre, a été présentée vendredi à la salle François-Mitterrand. Celle-ci comprend près de 120 photographies sur le thème de la vigne. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, d ans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soigna nts. « L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et d e les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob, cadre de santé. « Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable. Nous procédons de la même démarche dans le groupe bibliothèque ou le groupe musculation. Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos au public lespar rain. »
« Une interface ». Gérard Gonzalez, infirmier psychiatrique et pr ésident de l'association Médulia, précise : « Notre association se définie c omme une interface de communication entre l'institution hospitalière et les partenaires locaux comme la mairie de Lesparre, ou les journaux locaux. En fait, nous aidons le patient à franchir le pas séparant l'univers hospitalier et une citoyenneté retrouvée, sans l'étiquette frustran te de malade psychiatrique. Médulia, depuis deux années, composée exclusi vement de personnel hospitalier, tente d'aider les patients en stimulant leur int érêt au monde environnant, pour leur permettre de trouver leur place. » « Dans cette optique, nous organisons des séances de lecture des jour naux non seulement pour montrer la structuration de ceux-ci, mais aussi pour l es informer sur la vie locale de leur entourage. Le meilleur exemple est cel ui d'un commerçant lesparrain qui met à disposition des patients un mat ériel informatique pour une démarche de type cybercafé. L'accès par group e à la bibliothèque, une fois par semaine, est un fait apprécié par les pa tients, dont certains sont devenus adhérents à titre personnel. » De nos jours, le monde de l'hôpital psychiatrique et le traitement des malades mentaux a évolué vers des traitements médicamenteux dont le s effets secondaires sont atténués, avec un minimum d'hospitalisation et un re nvoi à domicile dans la mesure du possible. Cela signifie une indispensable préparation pour la vie extérieure, dont cette exposition est un exem ple. Gérard Gonzalez conclut : « Le rôle de cette exposition c'est la valorisation de leur travail. C'est un moyen de s'afficher sur un pied d'égalité avec les citoyens de la commune. Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Projet intéressant, félicitations !
Y'a-t-il moyen de voir ces images sur le net pour ceux résidant bien loin du Médoc ?
Claudio Bonavolta http://www.bonavolta.ch
Bour-Brown
J.P. & D. Dubarry a écrit ( 46f77a73$0$21616$ )
Sur un pied d'égalité
Ça commence mal, cette histoire-là. Sur un pied d'égalité, ça veut dire qu'on ne présente pas les choses de la sorte :
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale [...]. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob
A mon avis l'idée première, c'est de se faire mousser et rien d'autre. La vie de la cité, la plupart des malades connaissent, ils en viennent.
Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable.
Des photos sur la vigne, ben voyons.
Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos
[snip la pub Médulia par son président ]
Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Quelle blague. Ce qui s'expose surtout, c'est le battage autour de leur statut.
J.P. & D. Dubarry a écrit
( 46f77a73$0$21616$426a74cc@news.free.fr )
Sur un pied d'égalité
Ça commence mal, cette histoire-là. Sur un pied d'égalité, ça veut dire
qu'on ne présente pas les choses de la sorte :
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé
mentale [...]. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans
le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels
soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les
mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob
A mon avis l'idée première, c'est de se faire mousser et rien d'autre. La
vie de la cité, la plupart des malades connaissent, ils en viennent.
Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une
socialisation indispensable.
Des photos sur la vigne, ben voyons.
Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants,
ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de
photos
[snip la pub Médulia par son président ]
Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des
photographes amateurs. »
Quelle blague. Ce qui s'expose surtout, c'est le battage autour de leur
statut.
Ça commence mal, cette histoire-là. Sur un pied d'égalité, ça veut dire qu'on ne présente pas les choses de la sorte :
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale [...]. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob
A mon avis l'idée première, c'est de se faire mousser et rien d'autre. La vie de la cité, la plupart des malades connaissent, ils en viennent.
Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable.
Des photos sur la vigne, ben voyons.
Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos
[snip la pub Médulia par son président ]
Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Quelle blague. Ce qui s'expose surtout, c'est le battage autour de leur statut.
Ricco
Bour-Brown wrote:
J.P. & D. Dubarry a écrit ( 46f77a73$0$21616$ )
Sur un pied d'égalité
Ça commence mal, cette histoire-là. Sur un pied d'égalité, ça veut dire qu'on ne présente pas les choses de la sorte :
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale [...]. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob
A mon avis l'idée première, c'est de se faire mousser et rien d'autre. La vie de la cité, la plupart des malades connaissent, ils en viennent.
Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable.
Des photos sur la vigne, ben voyons.
Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos
[snip la pub Médulia par son président ]
Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Quelle blague. Ce qui s'expose surtout, c'est le battage autour de leur statut.
d'accord avec toi BB, ce sont les bons samaritains qui exposent leur infinie bonté
-- -- Ricco
Bour-Brown wrote:
J.P. & D. Dubarry a écrit
( 46f77a73$0$21616$426a74cc@news.free.fr )
Sur un pied d'égalité
Ça commence mal, cette histoire-là. Sur un pied d'égalité, ça veut
dire qu'on ne présente pas les choses de la sorte :
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé
mentale [...]. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans
le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels
soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de
les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob
A mon avis l'idée première, c'est de se faire mousser et rien
d'autre. La vie de la cité, la plupart des malades connaissent, ils
en viennent.
Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une
socialisation indispensable.
Des photos sur la vigne, ben voyons.
Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels
soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette
présentation de photos
[snip la pub Médulia par son président ]
Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des
photographes amateurs. »
Quelle blague. Ce qui s'expose surtout, c'est le battage autour de
leur statut.
d'accord avec toi BB, ce sont les bons samaritains qui exposent leur infinie
bonté
Ça commence mal, cette histoire-là. Sur un pied d'égalité, ça veut dire qu'on ne présente pas les choses de la sorte :
Une exposition de photos prises par les patients du Centre de santé mentale [...]. Les patients ont travaillé dessus pendant un an, dans le cadre d'un atelier thérapeutique mis en place par les personnels soignants.
« L'idée première, c'est de sortir les patients de l'hôpital et de les mêler à la vie de la cité », explique Ghislaine Jacob
A mon avis l'idée première, c'est de se faire mousser et rien d'autre. La vie de la cité, la plupart des malades connaissent, ils en viennent.
Cela peut leur permettre une meilleure intégration future, une socialisation indispensable.
Des photos sur la vigne, ben voyons.
Je veux aussi souligner le remarquable travail des personnels soignants, ainsi que de l'association Médulia, qui ont permis cette présentation de photos
[snip la pub Médulia par son président ]
Pour résumer, ce ne sont pas les malades qui exposent, ce sont des photographes amateurs. »
Quelle blague. Ce qui s'expose surtout, c'est le battage autour de leur statut.
d'accord avec toi BB, ce sont les bons samaritains qui exposent leur infinie bonté
-- -- Ricco
J.P. & D. Dubarry
"Claudio Bonavolta" Projet intéressant, félicitations !
Y'a-t-il moyen de voir ces images sur le net pour ceux résidant bien loin du Médoc ?
Claudio Bonavolta http://www.bonavolta.ch
======= peut-être en contactant
G01 Centre de Santé Mentale du Médoc Tel. : 05 57 73 31 90 ou (05 56 73 31 90 )
Spécialité(s) : Psychiatrie
Mme Nicole MERLET, chef de service Mme Béatrice GUIRAUD, cadre sup. de santé
"Claudio Bonavolta" <claudio@bonavolta.ch> Projet intéressant, félicitations
!
Y'a-t-il moyen de voir ces images sur le net pour ceux résidant bien
loin du Médoc ?
Claudio Bonavolta
http://www.bonavolta.ch
======= peut-être en contactant
G01 Centre de Santé Mentale du Médoc
Tel. : 05 57 73 31 90 ou (05 56 73 31 90 )
Spécialité(s) : Psychiatrie
Mme Nicole MERLET, chef de service
Mme Béatrice GUIRAUD, cadre sup. de santé
d'accord avec toi BB, ce sont les bons samaritains qui exposent leur infinie bonté
Et vous deux qui vous faites mousser sans rien faire en chiant sur ceux qui font...
Roo les vieux cons, faut arrêter le dénigrement systématique!
Pétez un coup, respirez, ouvrez un peu les écoutilles.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
d'accord avec toi BB, ce sont les bons samaritains qui exposent leur
infinie bonté
Et vous deux qui vous faites mousser sans rien faire en chiant sur
ceux qui font...
Roo les vieux cons, faut arrêter le dénigrement systématique!
Pétez un coup, respirez, ouvrez un peu les écoutilles.
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
d'accord avec toi BB, ce sont les bons samaritains qui exposent leur infinie bonté
Et vous deux qui vous faites mousser sans rien faire en chiant sur ceux qui font...
Roo les vieux cons, faut arrêter le dénigrement systématique!
Pétez un coup, respirez, ouvrez un peu les écoutilles.
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photographies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
L'article aurait été sympa avec quelques photos :) -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://pierre.pallier.free.fr/frp/> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, J.P. & D. Dubarry a écrit dans
<news:46f77a73$0$21616$426a74cc@news.free.fr>
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photographies à
la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
L'article aurait été sympa avec quelques photos :)
--
Pierre.
Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier>
La FAQ de frp : <URL:http://pierre.pallier.free.fr/frp/>
Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Plusieurs patients du Centre de santé mentale exposent leurs photographies à la salle François-Mitterrand
Sur un pied d'égalité
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