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photographes charentais

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J.P. & D. Dubarry
photographes charentais

Quatre expositions de photographes charentais sont présentées à la
médiathèque

Quatre expositions en une. Jusqu'à la fin du mois de novembre, quatre
photographes amateurs investissent la médiathèque. Leurs clichés montrent un
panel de la photographie d'aujourd'hui, entre le classicisme épuré de
certains, jusqu'aux images les plus débridées. Le seul point commun,
finalement, réside dans la qualité géographique des photographes, tous
Charentais, sélectionnés par la commission culturelle de la ville. D'où le
titre de l'exposition, « Regards de Charentais ». Revue de détails.
Première photographe, Sabine Berger. Originaire d'Abzac, celle qui se
définit comme avant tout sculpteur, nous fait profiter de son oeil avisé
qui, depuis une dizaine d'années, saisit la Charente Limousine. Des paysages
d'hiver, « avec cette lumière qu'on ne voit pas le reste de l'année » ou des
instantanés de la vie locale, à l'image de cette fête à Chabanais. Mais les
clichés les plus originaux sont ces détails de vaches limousines. Un oeil,
une croupe capturés en gros plan.


Renaud Joubert. C'est la première exposition pour ce graphiste angoumoisin
âgé de 31 ans. Après des prises de vues de la cité des Valois, il travaille
ses photos sur l'ordinateur, à l'aide du logiciel Photoshop. Le résultat est
surprenant. Comme cette image où un iceberg s'invite dans un paysage urbain.
La ville se fait ici déserte, angoissante pour certains, mélancolique pour
d'autres, avec ses halos de lumière autour des réverbères.
Le deuxième se nomme Bertrand Guilerme. Ses photographies ne sont pas
exposées en tant qu'objet artistique, mais en tant que support
d'illustration d'une expédition de neuf Français (dont quatre Charentais) en
Uruguay, en mars dernier. Pour la troisième fois, ils ont mis le cap vers
une région reculée de ce pays méconnu d'Amérique latine.
Les photographies de ce raid, dans lequel ces sportifs parcouraient
quotidiennement près d'une centaine de kilomètres de VTT montrent les vastes
étendues de plaines à perte de vue, les rencontres avec les gauchos (les
cow-boys). Et des endroits synonymes de rencontres, comme cette épicerie où
l'on se serait imaginé « dans un saloon de Lucky Luke » se rappelle Bertrand
Guilerne. Autant de lieux à l'écart des grandes autoroutes, charriant des
flots de touristes.
Jacques Fort, lui, est un dessinateur industriel habitant à Fléac. L'homme a
battu le pavé de Paris. Il est revenu avec ces clichés noir et blanc
représentant une vision insolite de la capitale.
Dans la veine de Robert Doisneau, il a capturé des sourires figés, une
grimace, « ces petits morceaux de ce qui est une mémoire » comme il dit.
Au-delà de leur caractère esthétique, les quais de Paris, tour à tour
immortalisés pendant l'opération estivale Paris-plage ou lors d'une
inondation, donnent matière à réflexion sur la fugacité de nos moments de
bonheur.
« Regards de Charentais », à découvrir à la médiathèque de CHAMPNIERS
www.sudouest.com/031107/reg_charente.asp?Article=031107aP1074367.xml

4 réponses

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Ricco
LG wrote:


C'est à peine qu'il n'y aurait plus aucuns besoins à aller voir. Ou
alors juste pour le vernissage, les petits fours et les boissons
gratis vaux peut être le déplacement. ;-)))


non, là c'est privé, les plébéiens n'y ont pas accès, on leur laissera un
livre d'or.
--
Ricco

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palmerclaude
"Ricco" <d.francoise32[NO-pourriel ]@aliceadsl.fr> a écrit dans le message
de news: fgi1i3$8c3$
Gnolu wrote:

Mais par le passé avec le Théâtre des Amandiers ....



je passe vingt cinq lignes, et on reprend :

....le net
quand on propose un thème de la semaine etc.. Mais le public est
plus nombreux, non spécialisé, et son attention "flottante" peut se
fixer sur un bon photographe ans aller dans une galerie etc....



Bel exemple de langue de bois socio-cul. Je croyais que les dinosaures

avaient disparu. A l'évidence, non !


c'est bien ce qu on dit, Palmer a eu de multiples vies, par procuration,
ou comme sur les jeux vidéo, je me disais bien que je l'avais vu quelque
part, c'est ça, maintenant, ça me revient, à Nanterre !

--
--
Ricco

Vous êtes un peu vachards les mecs. je ne pratique pas la langue de bois,
je fais...de la photo...quant au socio-cul, c'est un peu rapide comme
jugement. Sauf à considérer que quand on parle d'expériences, de
propositions c'est du socio-cul ? et puis "je ne vis pas par procuration
Ricco" je vis. D'autres candidats à la vie réelle ?...
Par ailleurs on ne dit pas "dinosaure", c'est une espèce bien disparue. On

dit "coelacanthe" parce que c'est de l'ancien qui remonte de temps à autre à
la surface :-)







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Ricco
palmerclaude wrote:


Par ailleurs on ne dit pas "dinosaure", c'est une espèce bien
disparue. On dit "coelacanthe" parce que c'est de l'ancien qui
remonte de temps à autre à la surface :-)


Remarque de fréquenter des milieux culturels, toi ça t'a quand même laissé
des traces, moi le "coelacanthe" j'ai connu ça avec Thalassa
par parenthèses et toi qui évolues " dans certains milieux bine informés "
je t'assure que j'irais bien plus souvent au théâtre, mais ciel que les
places sont chères, hormis des places gratuites à la Montansier à
Versailles, pour parfois des " couturières " je ne peux pas y aller
dommage , et je comprends bien que ces spectacles coûtent aussi,


--
--
Ricco

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Bour-Brown
palmerclaude a écrit
( 472c7ad3$0$25912$ )

Mais par le passé avec le Théâtre des Amandiers à Nanterre et avec les
services culturels de la ville, comme plus tard à Evry, on avait monté des
machins itinérants présentés dans des cadres inhabituels au vu des gens
qui passaient ou participaient à des évenementiels.


Cadre inhabituel, je sais même pas ce que ça veut dire, je crois bien qu'il
y a des lâchers partout.

Voie publique, métro, passages, hôpitaux, quand c'est pas des mimes c'est
des jongleurs, quand c'est pas des cracheurs de feu c'est des clowns... Des
violoneux par ici, de la flûte de pan par là, c'est toujours la fête de
quelque chose, un quartier, une victoire, de la musique...

La pollution, la vraie, c'est aussi ça. On peut pas nous laisser tranquille,
non ?

Si je veux voir de l'artiss' je fais la démarche, le reste du temps qu'on me
lâche. Tu vois les bouchers installer leurs étals dans la rue et commencer
leur hachis, toi ? Le mécano vidanger sa bagnole dans le métro ?

Bon alors...

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