Et, oui aujourd'huit est un grand jour !
Sortie officiel de l'ordinateur portable à un euro ( par jour, on sait
pas pendans combien d'années, il semblerait, trois du coup je trouve
sa chère !) , euh pour les filiére "sientifike" ( j'ai des doute et
vous conseil de casser la tirelire )!
Pour les autre, (voila le debat ! ) y a une offre linux ? ( du
mistère,(créme glacée avec accord commerciaux en vu ! ohhhh) parceque
commercial çà ne manque pas inutile de me faire parvenir les liens )
Si oui toutes les chances pour cette os, de ce developper, si non vous
étes une fois de plus au paquerettes et la : the question what's (
pourquoi pour les francophones ) ?
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres).
-- Jérémy JUST
Eric Dorino
On Thu, 30 Sep 2004 08:35:30 +0400, daniel doumenge wrote:
Donc il ne faut donc pas s'étonner que l'on trouve ce genre d'article : http://fr.news.yahoo.com/040929/202/42lky.html Pour illustrer l'article,
Donc, les jeunes sont trop exigeants vis-à-vis des offres des entreprises et les entreprises ne prennent pas en compte l'intérêt des missions proposées. Hormis le fait que trouver un premier emploi est long (et que le garder peut être court), ce n'est pas très nouveau.
Le problème c'est qu'ils se la jouent avec leurs diplômes, alors que ce qui compte c'est l'expérience! Souvent les stages effectués sont d'un ridicule!
Normal qu'ils soient fiers de leur diplôme. Ils peuvent difficilement mettre en avant leur expérience puisque, par définition, un débutant n'en a pas.
Ou est le rapport avec le clavier?
Franchement je vois mal un informaticien qui tape avec 2 doigts, alors que des
gamins collégiens eux tapent à la vitesse d'une secrétaire, les doigts dans le nez :D
Vous n'avez pas dû voir souvent une vraie secrétaire. C'est vrai qu'elles ont disparues peu à peu du paysage avec la profusion de micro-informatique (autre débat).
c'était juste pour illuster, mais ce n'est pas dans l'informatique, car le
problême touche tout les métiers, le décalage est trop grand entre l'école et le monde du travail, mais ne t'inquiètes pas cela ne date pas d'aujourd'hui.
Bien sûr, ce sont deux choses différentes. Quand j'étais étudiant, par exemple, j'avais des cours de Merise (certains avec des intervenants extérieurs, du "monde du travail"), célèbre méthode de conception qui n'intéressait pas grand-mode mais à laquelle les entreprises semblaient très attachées. Trois semaines d'expérience en entreprise m'ont suffit pour comprendre que le but du jeu était d'éviter à tout prix de s'embarquer là-dedans.
Et puis, c'est bien connu: à l'école, à un problème standard correspond une solution connue. En entreprise, on apporte généralement deux/trois solutions complètement bâtardes à un problème vague et mal posé. :-)
daniel
-- Eric
On Thu, 30 Sep 2004 08:35:30 +0400, daniel doumenge wrote:
Donc il ne faut donc pas s'étonner que l'on trouve ce genre d'article :
http://fr.news.yahoo.com/040929/202/42lky.html Pour illustrer l'article,
Donc, les jeunes sont trop exigeants vis-à-vis des offres des
entreprises et les entreprises ne prennent pas en compte l'intérêt des
missions proposées.
Hormis le fait que trouver un premier emploi est long (et que le garder
peut être court), ce n'est pas très nouveau.
Le problème c'est qu'ils se la jouent avec leurs diplômes, alors que ce qui
compte c'est l'expérience! Souvent les stages effectués sont d'un ridicule!
Normal qu'ils soient fiers de leur diplôme. Ils peuvent difficilement
mettre en avant leur expérience puisque, par définition, un débutant
n'en a pas.
Ou est le rapport avec le clavier?
Franchement je vois mal un informaticien qui tape avec 2 doigts, alors que des
gamins collégiens eux tapent à la vitesse d'une secrétaire, les doigts dans le
nez :D
Vous n'avez pas dû voir souvent une vraie secrétaire. C'est vrai
qu'elles ont disparues peu à peu du paysage avec la profusion de
micro-informatique (autre débat).
c'était juste pour illuster, mais ce n'est pas dans l'informatique, car le
problême touche tout les métiers, le décalage est trop grand entre l'école et
le monde du travail, mais ne t'inquiètes pas cela ne date pas d'aujourd'hui.
Bien sûr, ce sont deux choses différentes.
Quand j'étais étudiant, par exemple, j'avais des cours de Merise
(certains avec des intervenants extérieurs, du "monde du travail"),
célèbre méthode de conception qui n'intéressait pas grand-mode mais à
laquelle les entreprises semblaient très attachées. Trois semaines
d'expérience en entreprise m'ont suffit pour comprendre que le but
du jeu était d'éviter à tout prix de s'embarquer là-dedans.
Et puis, c'est bien connu: à l'école, à un problème standard correspond
une solution connue. En entreprise, on apporte généralement deux/trois
solutions complètement bâtardes à un problème vague et mal posé. :-)
On Thu, 30 Sep 2004 08:35:30 +0400, daniel doumenge wrote:
Donc il ne faut donc pas s'étonner que l'on trouve ce genre d'article : http://fr.news.yahoo.com/040929/202/42lky.html Pour illustrer l'article,
Donc, les jeunes sont trop exigeants vis-à-vis des offres des entreprises et les entreprises ne prennent pas en compte l'intérêt des missions proposées. Hormis le fait que trouver un premier emploi est long (et que le garder peut être court), ce n'est pas très nouveau.
Le problème c'est qu'ils se la jouent avec leurs diplômes, alors que ce qui compte c'est l'expérience! Souvent les stages effectués sont d'un ridicule!
Normal qu'ils soient fiers de leur diplôme. Ils peuvent difficilement mettre en avant leur expérience puisque, par définition, un débutant n'en a pas.
Ou est le rapport avec le clavier?
Franchement je vois mal un informaticien qui tape avec 2 doigts, alors que des
gamins collégiens eux tapent à la vitesse d'une secrétaire, les doigts dans le nez :D
Vous n'avez pas dû voir souvent une vraie secrétaire. C'est vrai qu'elles ont disparues peu à peu du paysage avec la profusion de micro-informatique (autre débat).
c'était juste pour illuster, mais ce n'est pas dans l'informatique, car le
problême touche tout les métiers, le décalage est trop grand entre l'école et le monde du travail, mais ne t'inquiètes pas cela ne date pas d'aujourd'hui.
Bien sûr, ce sont deux choses différentes. Quand j'étais étudiant, par exemple, j'avais des cours de Merise (certains avec des intervenants extérieurs, du "monde du travail"), célèbre méthode de conception qui n'intéressait pas grand-mode mais à laquelle les entreprises semblaient très attachées. Trois semaines d'expérience en entreprise m'ont suffit pour comprendre que le but du jeu était d'éviter à tout prix de s'embarquer là-dedans.
Et puis, c'est bien connu: à l'école, à un problème standard correspond une solution connue. En entreprise, on apporte généralement deux/trois solutions complètement bâtardes à un problème vague et mal posé. :-)
daniel
-- Eric
Miod Vallat
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
C'est du vol.
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres).
C'est du racket.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les
quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
C'est du vol.
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai
pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres).
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
C'est du vol.
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres).
C'est du racket.
Patrice Karatchentzeff
Pierre LALET writes:
[...]
Mais bien sur, des chercheurs qui travaillent sous secret défense, sur leurs ordinateurs reliés (même s'il y a des filtrages et séparations logiques) à des réseaux ouverts aux étudiants et à Internet... on y croit très fort.
Et pourtant c'est vrai... encore que le terme secret-défense soit bien galvaudé en l'occurence. Certains labo de micro-électronique (cherche, il n'y en a pas des millions) ont ce genre de contrat avec l'État, avec pourtant des réseaux ouvert aux quatre vents.
C'était comme cela en 96. Après, je ne sais plus...
Mais bien sur, des chercheurs qui travaillent sous secret défense, sur
leurs ordinateurs reliés (même s'il y a des filtrages et séparations
logiques) à des réseaux ouverts aux étudiants et à Internet... on y
croit très fort.
Et pourtant c'est vrai... encore que le terme secret-défense soit bien
galvaudé en l'occurence. Certains labo de micro-électronique (cherche,
il n'y en a pas des millions) ont ce genre de contrat avec l'État,
avec pourtant des réseaux ouvert aux quatre vents.
C'était comme cela en 96. Après, je ne sais plus...
Mais bien sur, des chercheurs qui travaillent sous secret défense, sur leurs ordinateurs reliés (même s'il y a des filtrages et séparations logiques) à des réseaux ouverts aux étudiants et à Internet... on y croit très fort.
Et pourtant c'est vrai... encore que le terme secret-défense soit bien galvaudé en l'occurence. Certains labo de micro-électronique (cherche, il n'y en a pas des millions) ont ce genre de contrat avec l'État, avec pourtant des réseaux ouvert aux quatre vents.
C'était comme cela en 96. Après, je ne sais plus...
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
Légalement je crois, un cafetier doit accepter de donner un verre d'eau
lorsqu'un client le réclame. Ca fonctionne ça à la Tour d'Argent ? CAr une fois grimpés les escaliers pour voir à quoi ça ressemble on a soif c'est normal.
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres). DAns les ruelles sombres ce doit être plus cher : le porte-monnaie entier je
crois.
db
-- email : usenet blas net
Jérémy JUST wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200
David MAREC <dmarec.spam@free.invalid> wrote:
et 1E c'est pas cher,
Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les
quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
Légalement je crois, un cafetier doit accepter de donner un verre d'eau
lorsqu'un client le réclame.
Ca fonctionne ça à la Tour d'Argent ? CAr une fois grimpés les escaliers
pour voir à quoi ça ressemble on a soif c'est normal.
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai
pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres).
DAns les ruelles sombres ce doit être plus cher : le porte-monnaie entier je
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
Légalement je crois, un cafetier doit accepter de donner un verre d'eau
lorsqu'un client le réclame. Ca fonctionne ça à la Tour d'Argent ? CAr une fois grimpés les escaliers pour voir à quoi ça ressemble on a soif c'est normal.
À Toulouse, il est à 2 euros (mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas osé m'aventurer dans les ruelles sombres). DAns les ruelles sombres ce doit être plus cher : le porte-monnaie entier je
crois.
db
-- email : usenet blas net
Dominique Blas
Jérémy JUST wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, Punaise, les cadrillons claquent 1000 euros de café tous les 2 ans et demi.
Qui l'eût cru ?
(500 jours ouvrés x 2 euros). Un portable de moins tous les 30 mois. db -- email : usenet blas net
Jérémy JUST wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200
David MAREC <dmarec.spam@free.invalid> wrote:
et 1E c'est pas cher,
Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les
quartiers de bureaux,
Punaise, les cadrillons claquent 1000 euros de café tous les 2 ans et demi.
Qui l'eût cru ?
(500 jours ouvrés x 2 euros).
Un portable de moins tous les 30 mois.
db
--
email : usenet blas net
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, Punaise, les cadrillons claquent 1000 euros de café tous les 2 ans et demi.
Qui l'eût cru ?
(500 jours ouvrés x 2 euros). Un portable de moins tous les 30 mois. db -- email : usenet blas net
daniel doumenge
Eric Dorino wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 08:35:30 +0400, daniel doumenge wrote:
Donc il ne faut donc pas s'étonner que l'on trouve ce genre d'article : http://fr.news.yahoo.com/040929/202/42lky.html Pour illustrer l'article, Le problème c'est qu'ils se la jouent avec leurs diplômes, alors que ce qui
compte c'est l'expérience! Souvent les stages effectués sont d'un ridicule!
Normal qu'ils soient fiers de leur diplôme. Ils peuvent difficilement mettre en avant leur expérience puisque, par définition, un débutant n'en a pas.
Les stages ça existe, mais voilà, si l'école n'est pas efficace, même si elle
est réputée, les stages seront bidons et notre débutant sera vraiment un bleu:(
Franchement je vois mal un informaticien qui tape avec 2 doigts, alors que des gamins collégiens eux tapent à la vitesse d'une secrétaire, les doigts dans le nez :D
Vous n'avez pas dû voir souvent une vraie secrétaire.
je ne vois pas, ce que tu sous-entend?
C'est vrai qu'elles ont disparues peu à peu du paysage avec la profusion de micro-informatique (autre débat).
c'était juste pour illuster, mais ce n'est pas dans l'informatique, car le
problême touche tout les métiers, le décalage est trop grand entre l'école et le monde du travail, mais ne t'inquiètes pas cela ne date pas d'aujourd'hui.
Et puis, c'est bien connu: à l'école, à un problème standard correspond une solution connue.
dans l'entreprise les problèmes sont rarement ceux standards de l'école, d'où l'obligation d'avoir un enseignement couplé à du travail sur le terrain, tout au long des études
Eric Dorino wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 08:35:30 +0400, daniel doumenge wrote:
Donc il ne faut donc pas s'étonner que l'on trouve ce genre d'article :
http://fr.news.yahoo.com/040929/202/42lky.html Pour illustrer l'article,
Le problème c'est qu'ils se la jouent avec leurs diplômes, alors que ce qui
compte c'est l'expérience! Souvent les stages effectués sont d'un ridicule!
Normal qu'ils soient fiers de leur diplôme. Ils peuvent difficilement
mettre en avant leur expérience puisque, par définition, un débutant
n'en a pas.
Les stages ça existe, mais voilà, si l'école n'est pas efficace, même si elle
est réputée, les stages seront bidons et notre débutant sera vraiment un bleu:(
Franchement je vois mal un informaticien qui tape avec 2 doigts, alors que
des gamins collégiens eux tapent à la vitesse d'une secrétaire, les doigts
dans le nez :D
Vous n'avez pas dû voir souvent une vraie secrétaire.
je ne vois pas, ce que tu sous-entend?
C'est vrai
qu'elles ont disparues peu à peu du paysage avec la profusion de
micro-informatique (autre débat).
c'était juste pour illuster, mais ce n'est pas dans l'informatique, car le
problême touche tout les métiers, le décalage est trop grand entre l'école et
le monde du travail, mais ne t'inquiètes pas cela ne date pas d'aujourd'hui.
Et puis, c'est bien connu: à l'école, à un problème standard correspond
une solution connue.
dans l'entreprise les problèmes sont rarement ceux standards de l'école, d'où
l'obligation d'avoir un enseignement couplé à du travail sur le terrain, tout
au long des études
On Thu, 30 Sep 2004 08:35:30 +0400, daniel doumenge wrote:
Donc il ne faut donc pas s'étonner que l'on trouve ce genre d'article : http://fr.news.yahoo.com/040929/202/42lky.html Pour illustrer l'article, Le problème c'est qu'ils se la jouent avec leurs diplômes, alors que ce qui
compte c'est l'expérience! Souvent les stages effectués sont d'un ridicule!
Normal qu'ils soient fiers de leur diplôme. Ils peuvent difficilement mettre en avant leur expérience puisque, par définition, un débutant n'en a pas.
Les stages ça existe, mais voilà, si l'école n'est pas efficace, même si elle
est réputée, les stages seront bidons et notre débutant sera vraiment un bleu:(
Franchement je vois mal un informaticien qui tape avec 2 doigts, alors que des gamins collégiens eux tapent à la vitesse d'une secrétaire, les doigts dans le nez :D
Vous n'avez pas dû voir souvent une vraie secrétaire.
je ne vois pas, ce que tu sous-entend?
C'est vrai qu'elles ont disparues peu à peu du paysage avec la profusion de micro-informatique (autre débat).
c'était juste pour illuster, mais ce n'est pas dans l'informatique, car le
problême touche tout les métiers, le décalage est trop grand entre l'école et le monde du travail, mais ne t'inquiètes pas cela ne date pas d'aujourd'hui.
Et puis, c'est bien connu: à l'école, à un problème standard correspond une solution connue.
dans l'entreprise les problèmes sont rarement ceux standards de l'école, d'où l'obligation d'avoir un enseignement couplé à du travail sur le terrain, tout au long des études
Galkine
Le Fri, 01 Oct 2004 01:11:18 +0200, Dominique Blas a écrit :
Jérémy JUST wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
Légalement je crois, un cafetier doit accepter de donner un verre d'eau
lorsqu'un client le réclame. non
En fait , cette histoire d'eau ne concerne que les restaurants ou tu prend un repas . Un cafetier peut te faire payer ton verre d'eau , mais je pense que le prix doit être affiché dehors.
Le Fri, 01 Oct 2004 01:11:18 +0200, Dominique Blas a écrit :
Jérémy JUST wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200
David MAREC <dmarec.spam@free.invalid> wrote:
et 1E c'est pas cher,
Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les
quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
Légalement je crois, un cafetier doit accepter de donner un verre d'eau
lorsqu'un client le réclame.
non
En fait , cette histoire d'eau ne concerne que les restaurants ou tu prend
un repas .
Un cafetier peut te faire payer ton verre d'eau , mais je pense que le
prix doit être affiché dehors.
Le Fri, 01 Oct 2004 01:11:18 +0200, Dominique Blas a écrit :
Jérémy JUST wrote:
On Thu, 30 Sep 2004 15:15:46 +0200 David MAREC wrote:
et 1E c'est pas cher, Pour un café, si.
À Paris, un café courant est à 1,20 euros (2 si vous allez dans les quartiers de bureaux, 4,5 au Café de Flore et 6,5 à la Tour d'Argent).
Légalement je crois, un cafetier doit accepter de donner un verre d'eau
lorsqu'un client le réclame. non
En fait , cette histoire d'eau ne concerne que les restaurants ou tu prend un repas . Un cafetier peut te faire payer ton verre d'eau , mais je pense que le prix doit être affiché dehors.