Je comprend pas, n'aurait il pas était mieux ne numériser et de
méttre les contenue des bibiothèque on-line ou sur extranet ?
Des projet de numérisation sur une grande échelle sont en cours.
Mais je ne sais pas si tu te rends bien compte du boulot que ça
représente.
Je comprend pas, n'aurait il pas était mieux ne numériser et de
méttre les contenue des bibiothèque on-line ou sur extranet ?
Des projet de numérisation sur une grande échelle sont en cours.
Mais je ne sais pas si tu te rends bien compte du boulot que ça
représente.
Je comprend pas, n'aurait il pas était mieux ne numériser et de
méttre les contenue des bibiothèque on-line ou sur extranet ?
Des projet de numérisation sur une grande échelle sont en cours.
Mais je ne sais pas si tu te rends bien compte du boulot que ça
représente.
Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
(cauchemare) writes:Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Il est gentil lui ! Il s'imagine qu'on demande leur avis aux
enseignants !
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Je croyais que le boulot des profs était d'enseigner, et maintenant il
faut gérer des parcs matériels. A quoi servent les techniciens ?
cauchemardesque@voila.fr (cauchemare) writes:
Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Il est gentil lui ! Il s'imagine qu'on demande leur avis aux
enseignants !
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Je croyais que le boulot des profs était d'enseigner, et maintenant il
faut gérer des parcs matériels. A quoi servent les techniciens ?
(cauchemare) writes:Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Il est gentil lui ! Il s'imagine qu'on demande leur avis aux
enseignants !
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Je croyais que le boulot des profs était d'enseigner, et maintenant il
faut gérer des parcs matériels. A quoi servent les techniciens ?
(cauchemare) writes:Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Il est gentil lui ! Il s'imagine qu'on demande leur avis aux
enseignants !
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Je croyais que le boulot des profs était d'enseigner, et maintenant il
faut gérer des parcs matériels. A quoi servent les techniciens ?
cauchemardesque@voila.fr (cauchemare) writes:
Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Il est gentil lui ! Il s'imagine qu'on demande leur avis aux
enseignants !
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Je croyais que le boulot des profs était d'enseigner, et maintenant il
faut gérer des parcs matériels. A quoi servent les techniciens ?
(cauchemare) writes:Mais les enseignents, ils ont choisie quoi ?
Il est gentil lui ! Il s'imagine qu'on demande leur avis aux
enseignants !
Parceque, j'ai du mal à imaginé, que se soi en FAC ou au lycée, des
prof, gérée un parc hétérogenne ?
Je croyais que le boulot des profs était d'enseigner, et maintenant il
faut gérer des parcs matériels. A quoi servent les techniciens ?
La BNF y travaille très activement. On peut déjà consulter un volume
de documents conséquent extrait du « fonds ancien ».
Et du point de vue de l'utilisateur, il est bien plus agréable de
travailler sur un vrai livre que sur un écran.
Autant il est bien de pouvoir consulter un texte non réédité de Victor
Hugo sur Gallica (le site web/FTP de la BNF), autant pour un travail
long, un livre n'est pas remplaçable par un document électronique.
La BNF y travaille très activement. On peut déjà consulter un volume
de documents conséquent extrait du « fonds ancien ».
Et du point de vue de l'utilisateur, il est bien plus agréable de
travailler sur un vrai livre que sur un écran.
Autant il est bien de pouvoir consulter un texte non réédité de Victor
Hugo sur Gallica (le site web/FTP de la BNF), autant pour un travail
long, un livre n'est pas remplaçable par un document électronique.
La BNF y travaille très activement. On peut déjà consulter un volume
de documents conséquent extrait du « fonds ancien ».
Et du point de vue de l'utilisateur, il est bien plus agréable de
travailler sur un vrai livre que sur un écran.
Autant il est bien de pouvoir consulter un texte non réédité de Victor
Hugo sur Gallica (le site web/FTP de la BNF), autant pour un travail
long, un livre n'est pas remplaçable par un document électronique.
La BNF y travaille très activement. On peut déjà consulter un
volume de documents conséquent extrait du « fonds ancien ».
Sauf que la BNF se permet de prétendre mettre des restrictions
d'utilisation à ces documents, ce qui est inacceptable.
En lisant sur écran, on n'a pas à se relever à chaque fois que ça fait
« bip » pour signaler un nouveau mail ou une demande de talk :)
Et puis 50 Mo, c'est moins lourd à transporter dans le TGV que
25 volumes de 500 pages.
Pour du travail littéraire, analyse de champs lexicaux, ce genre de
choses, une version numérique est un atout précieux.
Pour suivre une intrigue complexe avec beaucoup de personnages qui
s'étend sur une dizaine de pavés de 800 pages, un support greppable
est un complément indispensable.
Tiens, sais-tu combien de fois le mot « she » apparaît dans _The
Hobbit_ ?
La BNF y travaille très activement. On peut déjà consulter un
volume de documents conséquent extrait du « fonds ancien ».
Sauf que la BNF se permet de prétendre mettre des restrictions
d'utilisation à ces documents, ce qui est inacceptable.
En lisant sur écran, on n'a pas à se relever à chaque fois que ça fait
« bip » pour signaler un nouveau mail ou une demande de talk :)
Et puis 50 Mo, c'est moins lourd à transporter dans le TGV que
25 volumes de 500 pages.
Pour du travail littéraire, analyse de champs lexicaux, ce genre de
choses, une version numérique est un atout précieux.
Pour suivre une intrigue complexe avec beaucoup de personnages qui
s'étend sur une dizaine de pavés de 800 pages, un support greppable
est un complément indispensable.
Tiens, sais-tu combien de fois le mot « she » apparaît dans _The
Hobbit_ ?
La BNF y travaille très activement. On peut déjà consulter un
volume de documents conséquent extrait du « fonds ancien ».
Sauf que la BNF se permet de prétendre mettre des restrictions
d'utilisation à ces documents, ce qui est inacceptable.
En lisant sur écran, on n'a pas à se relever à chaque fois que ça fait
« bip » pour signaler un nouveau mail ou une demande de talk :)
Et puis 50 Mo, c'est moins lourd à transporter dans le TGV que
25 volumes de 500 pages.
Pour du travail littéraire, analyse de champs lexicaux, ce genre de
choses, une version numérique est un atout précieux.
Pour suivre une intrigue complexe avec beaucoup de personnages qui
s'étend sur une dizaine de pavés de 800 pages, un support greppable
est un complément indispensable.
Tiens, sais-tu combien de fois le mot « she » apparaît dans _The
Hobbit_ ?
Ça dépend des restrictions.
J'avoue ne pas avoir cherché sous quelle licence étaient distribués
ces documents (peut-être suis-je dans l'illégalité la plus complète en
ayant sur mon disque dur « Le dernier jour d'un condamné » de V. Hugo
depuis plus d'un an...).
Bah, quand tu bouquines dans le jardin, tu peux voir le facteur
arriver de loin, alors que tu n'entends pas forcément ton xbiff. ;)
Tu sembles avoir des trajets en TGV particulièrement longs...
Un bon auteur n'impose pas de retours en arrière dans le livre.
Les oeuvres de Tolkien sont encore trop récentes pour être disponibles
gratuitement dans les banques publiques.
À froid et de mémoire (j'ai lu
ce bouquin en 1992 et en français), je dirais que ça ne doit pas
dépasser la vingtaine de fois.
Ça dépend des restrictions.
J'avoue ne pas avoir cherché sous quelle licence étaient distribués
ces documents (peut-être suis-je dans l'illégalité la plus complète en
ayant sur mon disque dur « Le dernier jour d'un condamné » de V. Hugo
depuis plus d'un an...).
Bah, quand tu bouquines dans le jardin, tu peux voir le facteur
arriver de loin, alors que tu n'entends pas forcément ton xbiff. ;)
Tu sembles avoir des trajets en TGV particulièrement longs...
Un bon auteur n'impose pas de retours en arrière dans le livre.
Les oeuvres de Tolkien sont encore trop récentes pour être disponibles
gratuitement dans les banques publiques.
À froid et de mémoire (j'ai lu
ce bouquin en 1992 et en français), je dirais que ça ne doit pas
dépasser la vingtaine de fois.
Ça dépend des restrictions.
J'avoue ne pas avoir cherché sous quelle licence étaient distribués
ces documents (peut-être suis-je dans l'illégalité la plus complète en
ayant sur mon disque dur « Le dernier jour d'un condamné » de V. Hugo
depuis plus d'un an...).
Bah, quand tu bouquines dans le jardin, tu peux voir le facteur
arriver de loin, alors que tu n'entends pas forcément ton xbiff. ;)
Tu sembles avoir des trajets en TGV particulièrement longs...
Un bon auteur n'impose pas de retours en arrière dans le livre.
Les oeuvres de Tolkien sont encore trop récentes pour être disponibles
gratuitement dans les banques publiques.
À froid et de mémoire (j'ai lu
ce bouquin en 1992 et en français), je dirais que ça ne doit pas
dépasser la vingtaine de fois.
Tout autre reproduction ou représentation, intégrale ou substantielle
du contenu de ce site, par quelque procédé que ce soit, doit faire
l'objet d'une autorisation expresse de la BnF. »
Je suis désolé de les contredire, mais les textes du domaine publique,
on a le droit de les reproduire comme bon nous chante.
Un bon auteur n'impose pas de retours en arrière dans le livre.
Je trouve cette position péremptoire tout à fait fausse.
À condition bien entendu que ce soit sous un format utilisable, et pas
bourré de restrictions à la con.
ça ne doit pas dépasser la vingtaine de fois.
Deux fois...
Tout autre reproduction ou représentation, intégrale ou substantielle
du contenu de ce site, par quelque procédé que ce soit, doit faire
l'objet d'une autorisation expresse de la BnF. »
Je suis désolé de les contredire, mais les textes du domaine publique,
on a le droit de les reproduire comme bon nous chante.
Un bon auteur n'impose pas de retours en arrière dans le livre.
Je trouve cette position péremptoire tout à fait fausse.
À condition bien entendu que ce soit sous un format utilisable, et pas
bourré de restrictions à la con.
ça ne doit pas dépasser la vingtaine de fois.
Deux fois...
Tout autre reproduction ou représentation, intégrale ou substantielle
du contenu de ce site, par quelque procédé que ce soit, doit faire
l'objet d'une autorisation expresse de la BnF. »
Je suis désolé de les contredire, mais les textes du domaine publique,
on a le droit de les reproduire comme bon nous chante.
Un bon auteur n'impose pas de retours en arrière dans le livre.
Je trouve cette position péremptoire tout à fait fausse.
À condition bien entendu que ce soit sous un format utilisable, et pas
bourré de restrictions à la con.
ça ne doit pas dépasser la vingtaine de fois.
Deux fois...
Certes, mais le travail de numérisation est leur propriété. Libre à
toi d'aller sur place consulter les ouvrages et les numériser toi-même.
Cela dit, je pense que si ton projet est un travail de recherche sans
but lucratif immédiat (j'entends par là que ton but n'est pas de vendre
un DVD de leurs documents), ils ne poseront pas de problème pour
t'accorder tout ce que tu veux.
Je ne nie pas l'existence de mauvais auteurs, hein. J'en lis, même,
des fois (souvent). :)
Certes, mais le travail de numérisation est leur propriété. Libre à
toi d'aller sur place consulter les ouvrages et les numériser toi-même.
Cela dit, je pense que si ton projet est un travail de recherche sans
but lucratif immédiat (j'entends par là que ton but n'est pas de vendre
un DVD de leurs documents), ils ne poseront pas de problème pour
t'accorder tout ce que tu veux.
Je ne nie pas l'existence de mauvais auteurs, hein. J'en lis, même,
des fois (souvent). :)
Certes, mais le travail de numérisation est leur propriété. Libre à
toi d'aller sur place consulter les ouvrages et les numériser toi-même.
Cela dit, je pense que si ton projet est un travail de recherche sans
but lucratif immédiat (j'entends par là que ton but n'est pas de vendre
un DVD de leurs documents), ils ne poseront pas de problème pour
t'accorder tout ce que tu veux.
Je ne nie pas l'existence de mauvais auteurs, hein. J'en lis, même,
des fois (souvent). :)
Certes, mais le travail de numérisation est leur propriété. Libre à
toi d'aller sur place consulter les ouvrages et les numériser
toi-même.
Je ne vois pas le rapport avec ce qui précède
ils ne poseront pas de problème pour t'accorder tout ce que tu veux.
Mais scrogneugneu, même si je voulais télécharger un texte de Hugo
pour l'imprimer et le vendre, j'aurais le droit, c'est précisément ça
que veut dire le domaine public.
Certes, mais le travail de numérisation est leur propriété. Libre à
toi d'aller sur place consulter les ouvrages et les numériser
toi-même.
Je ne vois pas le rapport avec ce qui précède
ils ne poseront pas de problème pour t'accorder tout ce que tu veux.
Mais scrogneugneu, même si je voulais télécharger un texte de Hugo
pour l'imprimer et le vendre, j'aurais le droit, c'est précisément ça
que veut dire le domaine public.
Certes, mais le travail de numérisation est leur propriété. Libre à
toi d'aller sur place consulter les ouvrages et les numériser
toi-même.
Je ne vois pas le rapport avec ce qui précède
ils ne poseront pas de problème pour t'accorder tout ce que tu veux.
Mais scrogneugneu, même si je voulais télécharger un texte de Hugo
pour l'imprimer et le vendre, j'aurais le droit, c'est précisément ça
que veut dire le domaine public.