On Thu, 26 Aug 2010 09:21:05 -0700 (PDT), vidéo33
wrote:
Sauf erreur de ma part ce n'est pas un pur hasard que l'on a dans les pays
ayant un courant secteur à 50 Hz, des systèmes de TV balayant à 50 Hz et
dans
les pays avec un courant secteur à 60 Hz, des systèmes de TV avec balayage
à
60 Hz.
Aux débuts de la TV le courant secteur servait de base de temps pour le
balayage vertical, depuis longtemps ça a été remplacé par des bases de
temps
internes, bien plus stables.
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où
la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
On Thu, 26 Aug 2010 09:21:05 -0700 (PDT), vidéo33 <labolb@wanadoo.fr>
wrote:
Sauf erreur de ma part ce n'est pas un pur hasard que l'on a dans les pays
ayant un courant secteur à 50 Hz, des systèmes de TV balayant à 50 Hz et
dans
les pays avec un courant secteur à 60 Hz, des systèmes de TV avec balayage
à
60 Hz.
Aux débuts de la TV le courant secteur servait de base de temps pour le
balayage vertical, depuis longtemps ça a été remplacé par des bases de
temps
internes, bien plus stables.
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où
la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
On Thu, 26 Aug 2010 09:21:05 -0700 (PDT), vidéo33
wrote:
Sauf erreur de ma part ce n'est pas un pur hasard que l'on a dans les pays
ayant un courant secteur à 50 Hz, des systèmes de TV balayant à 50 Hz et
dans
les pays avec un courant secteur à 60 Hz, des systèmes de TV avec balayage
à
60 Hz.
Aux débuts de la TV le courant secteur servait de base de temps pour le
balayage vertical, depuis longtemps ça a été remplacé par des bases de
temps
internes, bien plus stables.
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où
la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Je pense à un truc
L'image qui ondulait était peutêtre diffusée ainsi et ce n'était pas au
domicile que le symptome se produisait////
ORTF sur groupe électrogène mal synchronisé ?????
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Je pense à un truc
L'image qui ondulait était peutêtre diffusée ainsi et ce n'était pas au
domicile que le symptome se produisait////
ORTF sur groupe électrogène mal synchronisé ?????
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Je pense à un truc
L'image qui ondulait était peutêtre diffusée ainsi et ce n'était pas au
domicile que le symptome se produisait////
ORTF sur groupe électrogène mal synchronisé ?????
Me souviens jadis surtout de l'affectation de l'image, qui se mettaient à
"battre", du fait du passage des avions dont les radars interféraient sur
les ondes hertziennes.
Même "jadis" la fréquence 50 Hz du réseau électrique variait fort peu car
c'était déjà un paramètre fondamental de sa qualité, et très rapidement son
"glissement" vers le bas voit des automatismes délester, et de manière
décentralisée, sur la totalité du territoire pour permettre de regagner en
fréquence de rotation des milliers d'alternateurs qui génèrent le courant.
En 200 ms (Temps de réaction des disjoncteurs moyenne tension en
sous-station); en novembre 2006, 10% du pays s'est trouvé dans le noir pour
avoir perdu 1 Hz...
Me souviens jadis surtout de l'affectation de l'image, qui se mettaient à
"battre", du fait du passage des avions dont les radars interféraient sur
les ondes hertziennes.
Même "jadis" la fréquence 50 Hz du réseau électrique variait fort peu car
c'était déjà un paramètre fondamental de sa qualité, et très rapidement son
"glissement" vers le bas voit des automatismes délester, et de manière
décentralisée, sur la totalité du territoire pour permettre de regagner en
fréquence de rotation des milliers d'alternateurs qui génèrent le courant.
En 200 ms (Temps de réaction des disjoncteurs moyenne tension en
sous-station); en novembre 2006, 10% du pays s'est trouvé dans le noir pour
avoir perdu 1 Hz...
Me souviens jadis surtout de l'affectation de l'image, qui se mettaient à
"battre", du fait du passage des avions dont les radars interféraient sur
les ondes hertziennes.
Même "jadis" la fréquence 50 Hz du réseau électrique variait fort peu car
c'était déjà un paramètre fondamental de sa qualité, et très rapidement son
"glissement" vers le bas voit des automatismes délester, et de manière
décentralisée, sur la totalité du territoire pour permettre de regagner en
fréquence de rotation des milliers d'alternateurs qui génèrent le courant.
En 200 ms (Temps de réaction des disjoncteurs moyenne tension en
sous-station); en novembre 2006, 10% du pays s'est trouvé dans le noir pour
avoir perdu 1 Hz...
On Thu, 26 Aug 2010 21:58:43 +0200, "Paludc" wrote:Ne disposant plus de fréquencemètre en état de marche depuis donc une
trentaine d'années je ne sais pas ce que ça donne de nos jours.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
On Thu, 26 Aug 2010 21:58:43 +0200, "Paludc" <PALUDC@wanadoo.fr> wrote:
Ne disposant plus de fréquencemètre en état de marche depuis donc une
trentaine d'années je ne sais pas ce que ça donne de nos jours.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
On Thu, 26 Aug 2010 21:58:43 +0200, "Paludc" wrote:Ne disposant plus de fréquencemètre en état de marche depuis donc une
trentaine d'années je ne sais pas ce que ça donne de nos jours.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Salut
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Salut
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Salut
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Je travaille dans un des ces « tours de contrôle » qui supervisent la
distribution électrique (Celle de l'ouest francilien, 78, 92, 95 et un bout
des 91, 93 et 94) et un majestueux fréquencemètre trône sur notre tableau de
bord, avec des millièmes de Hz qui battent en pure perte, vu que ça va trop
vite, et l'oscillation se fait entre 49.99 et 50.01 Hz en gros mais de façon
fébrile, faudrait un enregistreur.
Jadis le réseau électrique était pour plein d'installations la seule
référence temporelle à peu près juste, à envergure nationale, je parle
d'avant l'électronique et des quartz. Des horloges activées par des moteur
synchrones estampillaient du sceau de la précision l'heure donnée sur les
quais de la SNCF !
Ainsi jadis quand la production tirait la langue il arrivait que les
horloges dérivassent un peu les jours de grève, ou les jours chargés. En
fait, passés les 10 ans d'après guerre, la production est devenue suffisante
pour garantir le 50 Hz et seules les baisses « grévières » ont pu subsister
jusque dans les années soixante. Depuis une trentaine d'années je ne pense
pas que la fréquence ait bougé, sauf fugitivement ce funeste 4 novembre 2006
durant lequel ont fonctionné pour la première fois des automates que je ne
pensais pas voir un jour marcher ! Comme c'est impossible à simuler en
grand, fallait que ça arrive pour voir si ça marche. Mais je ne désespère
pas revoir le truc, vu que la corde raide est devenue chaque hiver le mode
de fonctionnement.
Je travaille dans un des ces « tours de contrôle » qui supervisent la
distribution électrique (Celle de l'ouest francilien, 78, 92, 95 et un bout
des 91, 93 et 94) et un majestueux fréquencemètre trône sur notre tableau de
bord, avec des millièmes de Hz qui battent en pure perte, vu que ça va trop
vite, et l'oscillation se fait entre 49.99 et 50.01 Hz en gros mais de façon
fébrile, faudrait un enregistreur.
Jadis le réseau électrique était pour plein d'installations la seule
référence temporelle à peu près juste, à envergure nationale, je parle
d'avant l'électronique et des quartz. Des horloges activées par des moteur
synchrones estampillaient du sceau de la précision l'heure donnée sur les
quais de la SNCF !
Ainsi jadis quand la production tirait la langue il arrivait que les
horloges dérivassent un peu les jours de grève, ou les jours chargés. En
fait, passés les 10 ans d'après guerre, la production est devenue suffisante
pour garantir le 50 Hz et seules les baisses « grévières » ont pu subsister
jusque dans les années soixante. Depuis une trentaine d'années je ne pense
pas que la fréquence ait bougé, sauf fugitivement ce funeste 4 novembre 2006
durant lequel ont fonctionné pour la première fois des automates que je ne
pensais pas voir un jour marcher ! Comme c'est impossible à simuler en
grand, fallait que ça arrive pour voir si ça marche. Mais je ne désespère
pas revoir le truc, vu que la corde raide est devenue chaque hiver le mode
de fonctionnement.
Je travaille dans un des ces « tours de contrôle » qui supervisent la
distribution électrique (Celle de l'ouest francilien, 78, 92, 95 et un bout
des 91, 93 et 94) et un majestueux fréquencemètre trône sur notre tableau de
bord, avec des millièmes de Hz qui battent en pure perte, vu que ça va trop
vite, et l'oscillation se fait entre 49.99 et 50.01 Hz en gros mais de façon
fébrile, faudrait un enregistreur.
Jadis le réseau électrique était pour plein d'installations la seule
référence temporelle à peu près juste, à envergure nationale, je parle
d'avant l'électronique et des quartz. Des horloges activées par des moteur
synchrones estampillaient du sceau de la précision l'heure donnée sur les
quais de la SNCF !
Ainsi jadis quand la production tirait la langue il arrivait que les
horloges dérivassent un peu les jours de grève, ou les jours chargés. En
fait, passés les 10 ans d'après guerre, la production est devenue suffisante
pour garantir le 50 Hz et seules les baisses « grévières » ont pu subsister
jusque dans les années soixante. Depuis une trentaine d'années je ne pense
pas que la fréquence ait bougé, sauf fugitivement ce funeste 4 novembre 2006
durant lequel ont fonctionné pour la première fois des automates que je ne
pensais pas voir un jour marcher ! Comme c'est impossible à simuler en
grand, fallait que ça arrive pour voir si ça marche. Mais je ne désespère
pas revoir le truc, vu que la corde raide est devenue chaque hiver le mode
de fonctionnement.
Sais-tu quelle fréquence a été atteinte le 4 novembre 2006 ?
Sais-tu quelle fréquence a été atteinte le 4 novembre 2006 ?
Sais-tu quelle fréquence a été atteinte le 4 novembre 2006 ?
Je travaille dans un des ces « tours de contrôle » qui supervisent la
distribution électrique (Celle de l'ouest francilien, 78, 92, 95 et un bout
des 91, 93 et 94) et un majestueux fréquencemètre trône sur notre tableau de
bord, avec des millièmes de Hz qui battent en pure perte, vu que ça va trop
vite, et l'oscillation se fait entre 49.99 et 50.01 Hz en gros mais de façon
fébrile, faudrait un enregistreur.
Jadis le réseau électrique était pour plein d'installations la seule
référence temporelle à peu près juste, à envergure nationale, je parle
d'avant l'électronique et des quartz. Des horloges activées par des moteur
synchrones estampillaient du sceau de la précision l'heure donnée sur les
quais de la SNCF !
Je travaille dans un des ces « tours de contrôle » qui supervisent la
distribution électrique (Celle de l'ouest francilien, 78, 92, 95 et un bout
des 91, 93 et 94) et un majestueux fréquencemètre trône sur notre tableau de
bord, avec des millièmes de Hz qui battent en pure perte, vu que ça va trop
vite, et l'oscillation se fait entre 49.99 et 50.01 Hz en gros mais de façon
fébrile, faudrait un enregistreur.
Jadis le réseau électrique était pour plein d'installations la seule
référence temporelle à peu près juste, à envergure nationale, je parle
d'avant l'électronique et des quartz. Des horloges activées par des moteur
synchrones estampillaient du sceau de la précision l'heure donnée sur les
quais de la SNCF !
Je travaille dans un des ces « tours de contrôle » qui supervisent la
distribution électrique (Celle de l'ouest francilien, 78, 92, 95 et un bout
des 91, 93 et 94) et un majestueux fréquencemètre trône sur notre tableau de
bord, avec des millièmes de Hz qui battent en pure perte, vu que ça va trop
vite, et l'oscillation se fait entre 49.99 et 50.01 Hz en gros mais de façon
fébrile, faudrait un enregistreur.
Jadis le réseau électrique était pour plein d'installations la seule
référence temporelle à peu près juste, à envergure nationale, je parle
d'avant l'électronique et des quartz. Des horloges activées par des moteur
synchrones estampillaient du sceau de la précision l'heure donnée sur les
quais de la SNCF !
Comme ingé-son cinéma, j'ai eu l'occasion de participer au tournage
d'un film pour EDF dans les années 70. Nous avons passé deux jours au
dispatching central avenue de Wagram. Les techniciens qui supervisaient
la salle de contrôle (carte de France de toutes les lignes de
distribution et fréquencemètre) nous avaient expliqué qu'EDF
garantissait non pas un pourcentage de dérive, mais le nombre de
périodes comptabilisées sur une durée de 24 heures, ceci afin de ne pas
perturber les nombreuses horloges synchronisées sur le secteur à
l'époque.
Je ne sais pas si cette contrainte est encore en vigueur de nos jours.
Comme ingé-son cinéma, j'ai eu l'occasion de participer au tournage
d'un film pour EDF dans les années 70. Nous avons passé deux jours au
dispatching central avenue de Wagram. Les techniciens qui supervisaient
la salle de contrôle (carte de France de toutes les lignes de
distribution et fréquencemètre) nous avaient expliqué qu'EDF
garantissait non pas un pourcentage de dérive, mais le nombre de
périodes comptabilisées sur une durée de 24 heures, ceci afin de ne pas
perturber les nombreuses horloges synchronisées sur le secteur à
l'époque.
Je ne sais pas si cette contrainte est encore en vigueur de nos jours.
Comme ingé-son cinéma, j'ai eu l'occasion de participer au tournage
d'un film pour EDF dans les années 70. Nous avons passé deux jours au
dispatching central avenue de Wagram. Les techniciens qui supervisaient
la salle de contrôle (carte de France de toutes les lignes de
distribution et fréquencemètre) nous avaient expliqué qu'EDF
garantissait non pas un pourcentage de dérive, mais le nombre de
périodes comptabilisées sur une durée de 24 heures, ceci afin de ne pas
perturber les nombreuses horloges synchronisées sur le secteur à
l'époque.
Je ne sais pas si cette contrainte est encore en vigueur de nos jours.
Durant les grèves de mai-juin 1968 dans mon souvenir il n'y a pas eu de
coupure de courant, par contre la fréquence du courant n'était pas stable
et s'écartait beaucoup du 50 hertz théorique. C'est la raison pour
laquelle l'image de télé fluctuais. J'ai des bandes magnétiques
enregistrées en mai 68 dont la vitesse est instable à cause des
fluctuation de la fréquence du courant (le moteur du magnéto étant
synchronisé sur le secteur).
Daniel
fenec95 a exprimé avec précision :
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où
la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Salut
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Durant les grèves de mai-juin 1968 dans mon souvenir il n'y a pas eu de
coupure de courant, par contre la fréquence du courant n'était pas stable
et s'écartait beaucoup du 50 hertz théorique. C'est la raison pour
laquelle l'image de télé fluctuais. J'ai des bandes magnétiques
enregistrées en mai 68 dont la vitesse est instable à cause des
fluctuation de la fréquence du courant (le moteur du magnéto étant
synchronisé sur le secteur).
Daniel
fenec95 a exprimé avec précision :
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où
la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Salut
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal
Durant les grèves de mai-juin 1968 dans mon souvenir il n'y a pas eu de
coupure de courant, par contre la fréquence du courant n'était pas stable
et s'écartait beaucoup du 50 hertz théorique. C'est la raison pour
laquelle l'image de télé fluctuais. J'ai des bandes magnétiques
enregistrées en mai 68 dont la vitesse est instable à cause des
fluctuation de la fréquence du courant (le moteur du magnéto étant
synchronisé sur le secteur).
Daniel
fenec95 a exprimé avec précision :
Avec un téléviseur des années 60, ceux qui ont connu ça, doivent se
rappeler
l'ondulation verticale plus ou moins prononcée et/ou rapide qui se
produisait
particulièrement durant les grèves EDF, qui étaient alors nombreuses, où
la
variation de la fréquence secteur était importante.
Thierry VIGNAUD
Emetteurs radio et TV :
http://pagesperso-orange.fr/tvignaud
Salut
C'est exact j'étais enfant mais je m'en souvient, j'ai vu également une
archive de l'INA (Pompidou en mai 68)
ou l'image flottait ennormément.
Je ne sais pas comment il était possible de faire cela...
Une baisse de tension aurait fait diminuer la taille de l'image
mais pour le flotement ils devaient faire varier la fréquence....
Mais comment? en ralantissant les alternateurs?
Pascal