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Pour qui voter

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amorces
Bonjour
Le problème de l' informatique n'est pas une question de vote.
Il ne suffit pas d'intéresser le public, il est intéressé .
Dans mon entourage bon nombre d'utilisateurs d'informatique ont déjà utilisé
linux, de nombreux jeunes développeurs sont repartis vers Microsoft.
C'est toujours le même problème qui revient.
La fidélisation du public et ceci dans une masse importante est le défi
majeur de Linux.
A cela s'ajoute le fait que bon nombres de fichiers manquants au
applications principales ne peuvent être recueillis que sur des sites où il
faut s'abonner donc payant et dont le coût tout aussi non maitrisable que
les licences Microsoft.
La dessus la communauté Linux doit faire très attention car même si Linux
obtient gain de cause . Microsoft pour crouler linux en beauté, il lui
suffit de développer des applications Linux drainantes (applications
incomplètes) dont les compléments sont sur des sites payants.
Linux tué dans son concept.
A plus tard

7 réponses

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Thierry Boudet
On 2004-05-30, amorces wrote:
La fidélisation du public et ceci dans une masse importante est le défi
majeur de Linux.


Perso, fidéliser le public, je m'en tape.

applications principales ne peuvent être recueillis que sur des sites où il
faut s'abonner donc payant et dont le coût tout aussi non maitrisable que


URL ?

suffit de développer des applications Linux drainantes (applications
incomplètes) dont les compléments sont sur des sites payants.
Linux tué dans son concept.


Gni ?

--
Bien plus zen que le Contrat Social, et ouvert à tous:
http://tth.vaboofer.com/Cette/cafe_social.html

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GG
Perso, fidéliser le public, je m'en tape.


Bon argument pour faire sauver les gens.

applications principales ne peuvent être recueillis que sur des
sites où il faut s'abonner donc payant et dont le coût tout aussi
non maitrisable que


URL ?


RedHat. :-)

--
Cordialement
GG.


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Arnaud ARZUFFI
Thierry Boudet, dans un moment d'inspiration, rédigea le lundi 31 Mai 2004
23:09 :

Perso, fidéliser le public, je m'en tape.


Je suis d'accord dans une certaine mesure : en effet, j'utilise Linux parce
qu'il correspond à mes attentes techniques et éthiques, et je me fiche de
faire partie d'une minorité. Je préférerais que les Linuxiens soient plus
nombreux : constater les "malheurs" des autres, en majorité résignés et
inconscients qu'il existe "autre chose", m'afflige...

La question dont je voudrais débattre est la suivante : l'engouement pour
Linux ne favorise t'il pas son amélioration ? Et aussi : Linux serait il
aussi rapidement développé sans ces "nioubies" et ces distributions "pour
nioubies" autant méprisées par certains ?

Je prétends pas que les "nioubies" développent des pilotes pour le noyau, ou
seulement participent à la documentation des logiciels, mais je suis
persuadé qu'ils apportent leur soutien à l'édifice en contribuant à la
diffusion de Linux, par bouche à oreille. Et c'est l'élargissement du
public Linuxien qui "oblige" les entreprise comme IBM, HP, NVidia, ... à
fournir des développeurs, des pilotes, du matériel aux mirroirs des
distributions et des grands projets comme le noyau, Apache, KDE, ... Ces
entreprises fournissent aussi des choses plus abstraites mais
indispensables comme la logistique nécessaire à l'envergure de Linux, ou la
protection juridique indispensable dans des affaires comme SCO, ou alors
pour soutenir le logiciel libre lorsque ça deviendra vital, avec le spectre
des brevets logiciels et de TCPA qui menacent :(

D'après moi, l'évolution rapide des matériels et techniques, qui nécessite
la disponibilité (et la dispobibilité rapide) de pilotes pour Linux, les
menaces sur le logiciel libre nécessitent une VRAIE infrastructure ;
d'après moi encore, les personnes qui prétendent que "Linux et les
logiciels libres sont le résultat du travail d'une communauté
d'informaticiens barbus, et survivra sans les méchantes entreprises ou les
stupides nioubies" sont de charmants idéalistes, mais déconnectés de la
réalité.


--
Arnaud ARZUFFI

Enlever le "0" superflu de mon adresse, merci...

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GP
amorces wrote:

A cela s'ajoute le fait que bon nombres de fichiers manquants au
applications principales ne peuvent être recueillis que sur des sites où il
faut s'abonner donc payant et dont le coût tout aussi non maitrisable que
les licences Microsoft.


Aux gens qui craignent l'arnaque, il n'y a qu'à dire: Debian ou Slackware? Ce
n'est pas tout le monde qui a envie de coucher avec Bed Rat, Mentdrake ou Suce,
tu sais.

GP

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amorces
Je ne nie pas que des efforts immenses sont faits c'est certain, c'est
flagrant. Mais le public ne viendra pas à vous. C'est à la communauté
Linux d'aller au devant des attentes du public. Et de proposerdes solution
qui permettent une utilisation rapide, sans incidence majeur sur les coûts
de service.
Investir les sociétés et le publique demande une stratégie adapté en
fonction de la cible. Pour ce qui est des grosses société linux est
compétitif. Pour le reste il doit apprendre à écouter.
Les réactions comme celle si dessous ne font que nuire à Linux.
Croyez vous que les gens qui ont abordé linux sont aussi neuneu que vous le
pensez.
Il ne s'agit pas fainéantisme car le monde du travail et du loisir ne
s'arrête pas qu'à l'informatique. Il s'agit d'une question de temps à
consacrer.
La réaction si dessous me fait penser à un chef de service qui sait et qu'il
n'y a pas meilleur que lui. Résultat des course: ce chef de service s'est
déconnecté du monde, ses principes ont étés contournés maintenant il a dix
ans de retard et il ne peut plus les rattraper. Ce chef de service est
complètement désuet. Tel sont les résultat des passionnés aveugles.

Thierry Boudet wrote:

On 2004-05-30, amorces wrote:
La fidélisation du public et ceci dans une masse importante est le défi
majeur de Linux.


Perso, fidéliser le public, je m'en tape.

applications principales ne peuvent être recueillis que sur des sites où
il faut s'abonner donc payant et dont le coût tout aussi non maitrisable
que


URL ?

suffit de développer des applications Linux drainantes (applications
incomplètes) dont les compléments sont sur des sites payants.
Linux tué dans son concept.


Gni ?




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Thierry Boudet
On 2004-06-01, amorces wrote:

Je ne nie pas que des efforts immenses sont faits c'est certain, c'est
flagrant. Mais le public ne viendra pas à vous. C'est à la communauté
Linux d'aller au devant des attentes du public. Et de proposerdes solution


Pourrais-tu, en quelques mots, résumer les "attentes du public" ?

Investir les sociétés et le publique demande une stratégie adapté en
fonction de la cible. Pour ce qui est des grosses société linux est
compétitif. Pour le reste il doit apprendre à écouter.


Pourrais-tu, en quelques mots, décrire "la cible" ?

Les réactions comme celle si dessous ne font que nuire à Linux.


Je ne vois pas en quoi une opinion personnelle (quoique, je pense,
assez partagée ici) peut nuire à Linux.

Croyez vous que les gens qui ont abordé linux sont aussi neuneu que vous le
pensez.


Oui, ils sont de plus en plus neu² dans l'ensemble. Le syndrome du
"yakaklicker" est en train de débarquer. Je pense que l'ouverture
des pièces pétardes sera automatisée d'ici deux ans.

La réaction si dessous me fait penser à un chef de service qui sait et qu'il
^^^^^^^

Justement j'aurai aimé lire "dessus" là...
http://giromini.org/usenet-fr/repondre.html

n'y a pas meilleur que lui. Résultat des course: ce chef de service s'est
déconnecté du monde, ses principes ont étés contournés maintenant il a dix
ans de retard et il ne peut plus les rattraper. Ce chef de service est
complètement désuet. Tel sont les résultat des passionnés aveugles.

Ah ben mince alors, un chef de service qui est resté collé à WfW :)


Thierry, découvreur de NetBSD.

--
Bien plus zen que le Contrat Social, et ouvert à tous:
http://tth.vaboofer.com/Cette/cafe_social.html

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Michel BILLAUD
lanvir writes:


d'après moi encore, les personnes qui prétendent que "Linux et les
logiciels libres sont le résultat du travail d'une communauté
d'informaticiens barbus, et survivra sans les méchantes entreprises ou les
stupides nioubies" sont de charmants idéalistes, mais déconnectés de la
réalité.


C'est une vision partiale comme une autre...


La question de savoir si il survivra sans les méchantes entreprises etc
n'a aucun sens. Les entreprises et les neuneux y sont, point.

La question serait plutot, est-ce que linux survivra AVEC :-)

Pour ce qui est de survivre sans, il s'est très bien débrouillé quand
c'était l'époque, qui s'est terminée il y a bien longtemps déjà. Pour
mémoire, IBM a décidé que c'était un objectif stratégique vers 98 (le
temps de se remettre de la brillante stratégie OS/2 ?). Comme le temps
passe, n'est-ce pas.

MB
--
Michel BILLAUD
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)