Pourquoi exposer à la limite de la surexposition en numérique
4 réponses
Pierre-François Bonnefoi
Bonjour =E0 tous,
Je viens de t=E9l=E9charger ce document PDF en provenance d'Adobe d'un=20
article de Michael Reichmann (www.luminous-landscape.com) parlant du=20
nombre de niveaux de luminosit=E9 pouvant =EAtre enregistr=E9 dans une im=
age=20
num=E9rique (http://www.adobe.com/digitalimag/pdfs/transition_from_film.p=
df).
sur 12 bits (format RAW) :
plus lumineux (premier stop) 2048 niveaux
lumineux 1024
moyens 512
sombres 256
plus sombres 128
et en 8 bits (jpeg) :
plus lumineux (premier stop) 69
lumineux 50
moyens 37
sombres 27
plus sombres 20
Cela vient confirmer mon observation (assez d=E9routante) que dans les=20
tons sombres, et bien, une vilaine post=E9risation se montre...ce qui=20
n'arrive pas en argentique !
De mon c=F4t=E9 j'aime la photo en lumi=E8re naturelle, assez sombre et j=
e=20
trouve que de ce c=F4t=E9 l=E0 le num=E9rique assure pas trop =E0 moins=20
d'amplifier et de faire venir du bruit !
D'o=F9 la m=E9thode qui consiste =E0 d=E9caler la prise de la photo vers =
la=20
surex (sans br=FBler les zones les plus lumineuses) et ensuite de corrige=
r=20
l'exposition.
Cela va faire crier les posseseurs de Nikon num=E9riques qui ont=20
l'habitude de sous exposer et d'ensuite de d=E9caler l'exposition avec=20
Nikon Capture !
Ainsi on obtient un maximum de d=E9tail dans les zones sombres.
Et pour les prises trop contrast=E9es : bracketing si possible avec fusio=
n=20
des photos (coton) !
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Jean-Pierre Roche
Cela vient confirmer mon observation (assez déroutante) que dans les tons sombres, et bien, une vilaine postérisation se montre...ce qui n'arrive pas en argentique !
Bah en numérique non plus. Si on l'utilise correctement.
De mon côté j'aime la photo en lumière naturelle, assez sombre et je trouve que de ce côté là le numérique assure pas trop à moins d'amplifier et de faire venir du bruit !
Et le grain en argentique ?
D'où la méthode qui consiste à décaler la prise de la photo vers la surex (sans brûler les zones les plus lumineuses) et ensuite de corriger l'exposition.
Ca ne veut rien dire. Tout dépend de la dynamique lumineuse du sujet. Si tu as fait de la dia tu dois voir de quoi je parle...
Cela va faire crier les posseseurs de Nikon numériques qui ont l'habitude de sous exposer et d'ensuite de décaler l'exposition avec Nikon Capture !
Je suis possesseur de Nikon numérique et j'utilise Nikon Capture et je ne procède certainement pas ainsi. Faut quand même pas croire tout ce que peuvent écrire certains sur les ng et se faire opinion à partir de ça !
Ainsi on obtient un maximum de détail dans les zones sombres.
Ce serait plutôt l'inverse !!!
Et pour les prises trop contrastées : bracketing si possible avec fusion des photos (coton) !
Pourquoi ne pas utiliser une chambre alors ?
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Cela vient confirmer mon observation (assez déroutante) que dans les
tons sombres, et bien, une vilaine postérisation se montre...ce qui
n'arrive pas en argentique !
Bah en numérique non plus. Si on l'utilise correctement.
De mon côté j'aime la photo en lumière naturelle, assez sombre et je
trouve que de ce côté là le numérique assure pas trop à moins
d'amplifier et de faire venir du bruit !
Et le grain en argentique ?
D'où la méthode qui consiste à décaler la prise de la photo vers la
surex (sans brûler les zones les plus lumineuses) et ensuite de corriger
l'exposition.
Ca ne veut rien dire. Tout dépend de la dynamique lumineuse
du sujet. Si tu as fait de la dia tu dois voir de quoi je
parle...
Cela va faire crier les posseseurs de Nikon numériques qui ont
l'habitude de sous exposer et d'ensuite de décaler l'exposition avec
Nikon Capture !
Je suis possesseur de Nikon numérique et j'utilise Nikon
Capture et je ne procède certainement pas ainsi. Faut quand
même pas croire tout ce que peuvent écrire certains sur les
ng et se faire opinion à partir de ça !
Ainsi on obtient un maximum de détail dans les zones sombres.
Ce serait plutôt l'inverse !!!
Et pour les prises trop contrastées : bracketing si possible avec fusion
des photos (coton) !
Pourquoi ne pas utiliser une chambre alors ?
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Cela vient confirmer mon observation (assez déroutante) que dans les tons sombres, et bien, une vilaine postérisation se montre...ce qui n'arrive pas en argentique !
Bah en numérique non plus. Si on l'utilise correctement.
De mon côté j'aime la photo en lumière naturelle, assez sombre et je trouve que de ce côté là le numérique assure pas trop à moins d'amplifier et de faire venir du bruit !
Et le grain en argentique ?
D'où la méthode qui consiste à décaler la prise de la photo vers la surex (sans brûler les zones les plus lumineuses) et ensuite de corriger l'exposition.
Ca ne veut rien dire. Tout dépend de la dynamique lumineuse du sujet. Si tu as fait de la dia tu dois voir de quoi je parle...
Cela va faire crier les posseseurs de Nikon numériques qui ont l'habitude de sous exposer et d'ensuite de décaler l'exposition avec Nikon Capture !
Je suis possesseur de Nikon numérique et j'utilise Nikon Capture et je ne procède certainement pas ainsi. Faut quand même pas croire tout ce que peuvent écrire certains sur les ng et se faire opinion à partir de ça !
Ainsi on obtient un maximum de détail dans les zones sombres.
Ce serait plutôt l'inverse !!!
Et pour les prises trop contrastées : bracketing si possible avec fusion des photos (coton) !
Pourquoi ne pas utiliser une chambre alors ?
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Pierre-François Bonnefoi
Jean-Pierre Roche wrote:
Cela vient confirmer mon observation (assez déroutante) que dans les tons sombres, et bien, une vilaine postérisation se montre...ce qui n'arrive pas en argentique !
Bah en numérique non plus. Si on l'utilise correctement.
De mon côté j'aime la photo en lumière naturelle, assez sombre e t je trouve que de ce côté là le numérique assure pas trop à moin s d'amplifier et de faire venir du bruit !
Et le grain en argentique ?
D'où la méthode qui consiste à décaler la prise de la photo ve rs la surex (sans brûler les zones les plus lumineuses) et ensuite de corriger l'exposition.
Ca ne veut rien dire. Tout dépend de la dynamique lumineuse du sujet. Si tu as fait de la dia tu dois voir de quoi je parle...
Bonjour,
le mieux serait de lire l'article. C'est expliqué clairement mais en anglais.
La photo nuémrique c'est utilisé un capteur qui fonctionne en attribu ant des plages de luminosités en fonction de l'exposition et ce de manièr e linéaire : au plus lumineuse une plage, à moitié moins de lumière la moitié de niveaux etc. donc si on part d'une exposition protégée des hautes lumières comme en diapo avec une légère sous ex, on attribue plus grand chose comme niveaux aux basses lumières. Au contraire en surexposant on attribue plus de niveaux de luminosité.
PeF.
D'autres part, ces conseils sont également prodigués par Thomas Knoll .
Jean-Pierre Roche wrote:
Cela vient confirmer mon observation (assez déroutante) que dans les
tons sombres, et bien, une vilaine postérisation se montre...ce qui
n'arrive pas en argentique !
Bah en numérique non plus. Si on l'utilise correctement.
De mon côté j'aime la photo en lumière naturelle, assez sombre e t je
trouve que de ce côté là le numérique assure pas trop à moin s
d'amplifier et de faire venir du bruit !
Et le grain en argentique ?
D'où la méthode qui consiste à décaler la prise de la photo ve rs la
surex (sans brûler les zones les plus lumineuses) et ensuite de
corriger l'exposition.
Ca ne veut rien dire. Tout dépend de la dynamique lumineuse du sujet. Si
tu as fait de la dia tu dois voir de quoi je parle...
Bonjour,
le mieux serait de lire l'article. C'est expliqué clairement mais en
anglais.
La photo nuémrique c'est utilisé un capteur qui fonctionne en attribu ant
des plages de luminosités en fonction de l'exposition et ce de manièr e
linéaire :
au plus lumineuse une plage, à moitié moins de lumière la moitié de
niveaux etc.
donc si on part d'une exposition protégée des hautes lumières comme en
diapo avec une légère sous ex, on attribue plus grand chose comme
niveaux aux basses lumières.
Au contraire en surexposant on attribue plus de niveaux de luminosité.
PeF.
D'autres part, ces conseils sont également prodigués par Thomas Knoll .
Cela vient confirmer mon observation (assez déroutante) que dans les tons sombres, et bien, une vilaine postérisation se montre...ce qui n'arrive pas en argentique !
Bah en numérique non plus. Si on l'utilise correctement.
De mon côté j'aime la photo en lumière naturelle, assez sombre e t je trouve que de ce côté là le numérique assure pas trop à moin s d'amplifier et de faire venir du bruit !
Et le grain en argentique ?
D'où la méthode qui consiste à décaler la prise de la photo ve rs la surex (sans brûler les zones les plus lumineuses) et ensuite de corriger l'exposition.
Ca ne veut rien dire. Tout dépend de la dynamique lumineuse du sujet. Si tu as fait de la dia tu dois voir de quoi je parle...
Bonjour,
le mieux serait de lire l'article. C'est expliqué clairement mais en anglais.
La photo nuémrique c'est utilisé un capteur qui fonctionne en attribu ant des plages de luminosités en fonction de l'exposition et ce de manièr e linéaire : au plus lumineuse une plage, à moitié moins de lumière la moitié de niveaux etc. donc si on part d'une exposition protégée des hautes lumières comme en diapo avec une légère sous ex, on attribue plus grand chose comme niveaux aux basses lumières. Au contraire en surexposant on attribue plus de niveaux de luminosité.
PeF.
D'autres part, ces conseils sont également prodigués par Thomas Knoll .
Jean-Pierre Roche
le mieux serait de lire l'article. C'est expliqué clairement mais en anglais.
Je dois dire que je n'ai pas le temps d'analyser un article aussi long pour l'instant. Mais la postérisation de mes images dans les tons sombres je ne l'ai jamais vue...
La photo nuémrique c'est utilisé un capteur qui fonctionne en attribuant des plages de luminosités en fonction de l'exposition et ce de manière linéaire : au plus lumineuse une plage, à moitié moins de lumière la moitié de niveaux etc. donc si on part d'une exposition protégée des hautes lumières comme en diapo avec une légère sous ex, on attribue plus grand chose comme niveaux aux basses lumières. Au contraire en surexposant on attribue plus de niveaux de luminosité.
Encore une fois, les termes de sousex et surex n'ont *aucun* sens si on ne fait pas référence à la dynamique lumineuse du sujet photographié ! Il suffit de regarder des histogrammes pour le comprendre... Et d'une certaine manière je peux dire que je faisais la même chose en argentique nb dans les années 70...
D'autres part, ces conseils sont également prodigués par Thomas Knoll.
S'il s'agit globalement de se placer en limite de surex pour les zones les plus lumineuses de l'image c'est le fil à couper le beurre : c'est ce que pratiquent des tas de photographes sérieux et c'est techniquement une évidence...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
le mieux serait de lire l'article. C'est expliqué clairement mais en
anglais.
Je dois dire que je n'ai pas le temps d'analyser un article
aussi long pour l'instant. Mais la postérisation de mes
images dans les tons sombres je ne l'ai jamais vue...
La photo nuémrique c'est utilisé un capteur qui fonctionne en attribuant
des plages de luminosités en fonction de l'exposition et ce de manière
linéaire :
au plus lumineuse une plage, à moitié moins de lumière la moitié de
niveaux etc.
donc si on part d'une exposition protégée des hautes lumières comme en
diapo avec une légère sous ex, on attribue plus grand chose comme
niveaux aux basses lumières.
Au contraire en surexposant on attribue plus de niveaux de luminosité.
Encore une fois, les termes de sousex et surex n'ont *aucun*
sens si on ne fait pas référence à la dynamique lumineuse du
sujet photographié ! Il suffit de regarder des histogrammes
pour le comprendre... Et d'une certaine manière je peux dire
que je faisais la même chose en argentique nb dans les
années 70...
D'autres part, ces conseils sont également prodigués par Thomas Knoll.
S'il s'agit globalement de se placer en limite de surex pour
les zones les plus lumineuses de l'image c'est le fil à
couper le beurre : c'est ce que pratiquent des tas de
photographes sérieux et c'est techniquement une évidence...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
le mieux serait de lire l'article. C'est expliqué clairement mais en anglais.
Je dois dire que je n'ai pas le temps d'analyser un article aussi long pour l'instant. Mais la postérisation de mes images dans les tons sombres je ne l'ai jamais vue...
La photo nuémrique c'est utilisé un capteur qui fonctionne en attribuant des plages de luminosités en fonction de l'exposition et ce de manière linéaire : au plus lumineuse une plage, à moitié moins de lumière la moitié de niveaux etc. donc si on part d'une exposition protégée des hautes lumières comme en diapo avec une légère sous ex, on attribue plus grand chose comme niveaux aux basses lumières. Au contraire en surexposant on attribue plus de niveaux de luminosité.
Encore une fois, les termes de sousex et surex n'ont *aucun* sens si on ne fait pas référence à la dynamique lumineuse du sujet photographié ! Il suffit de regarder des histogrammes pour le comprendre... Et d'une certaine manière je peux dire que je faisais la même chose en argentique nb dans les années 70...
D'autres part, ces conseils sont également prodigués par Thomas Knoll.
S'il s'agit globalement de se placer en limite de surex pour les zones les plus lumineuses de l'image c'est le fil à couper le beurre : c'est ce que pratiquent des tas de photographes sérieux et c'est techniquement une évidence...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Pierre-François Bonnefoi
Jean-Pierre Roche wrote:
S'il s'agit globalement de se placer en limite de surex pour les zones les plus lumineuses de l'image c'est le fil à couper le beurre : c'es t ce que pratiquent des tas de photographes sérieux et c'est techniquem ent une évidence...
Mon propos était effectivement de rappeler cet évidence qui n'est malheureusement pas partagée par tous les photographes débutants.
De plus le numérique rend facile ce traitement puisqu'il suffit de corriger l'exposition avant impression ou envoi pour tirage.
Cela va sans dire, mais c'est mieux en le disant !
Il faut tout de même une bonne pratique ou alors un appareil affichant un histogramme dynamiquement pour le faire.
J'avoue de mon côté pratiquer le numérique comme l'argentique c-à -d. sans déclencher plus d'une fois après avoir décider ma photo (à l a rigueur une seconde fois si je peux améliorer la composition). Ensuite, je ne regarde la première fois mes photos que sur ma machine, jamais sur l'appareil, et parfois longtemps après les avoir transfér er.
PeF.
Jean-Pierre Roche wrote:
S'il s'agit globalement de se placer en limite de surex pour les zones
les plus lumineuses de l'image c'est le fil à couper le beurre : c'es t
ce que pratiquent des tas de photographes sérieux et c'est techniquem ent
une évidence...
Mon propos était effectivement de rappeler cet évidence qui n'est
malheureusement pas partagée par tous les photographes débutants.
De plus le numérique rend facile ce traitement puisqu'il suffit de
corriger l'exposition avant impression ou envoi pour tirage.
Cela va sans dire, mais c'est mieux en le disant !
Il faut tout de même une bonne pratique ou alors un appareil affichant
un histogramme dynamiquement pour le faire.
J'avoue de mon côté pratiquer le numérique comme l'argentique c-à -d.
sans déclencher plus d'une fois après avoir décider ma photo (à l a
rigueur une seconde fois si je peux améliorer la composition).
Ensuite, je ne regarde la première fois mes photos que sur ma machine,
jamais sur l'appareil, et parfois longtemps après les avoir transfér er.
S'il s'agit globalement de se placer en limite de surex pour les zones les plus lumineuses de l'image c'est le fil à couper le beurre : c'es t ce que pratiquent des tas de photographes sérieux et c'est techniquem ent une évidence...
Mon propos était effectivement de rappeler cet évidence qui n'est malheureusement pas partagée par tous les photographes débutants.
De plus le numérique rend facile ce traitement puisqu'il suffit de corriger l'exposition avant impression ou envoi pour tirage.
Cela va sans dire, mais c'est mieux en le disant !
Il faut tout de même une bonne pratique ou alors un appareil affichant un histogramme dynamiquement pour le faire.
J'avoue de mon côté pratiquer le numérique comme l'argentique c-à -d. sans déclencher plus d'une fois après avoir décider ma photo (à l a rigueur une seconde fois si je peux améliorer la composition). Ensuite, je ne regarde la première fois mes photos que sur ma machine, jamais sur l'appareil, et parfois longtemps après les avoir transfér er.