Avec l'âge après 40 ans vient la presbytie qui se manifeste surtout avec un
faible éclairage.
Comment faire alors des photos dans ces conditions ou des photos de nuit ?
J'étais dans la totale incapacité de lire les règlages sur mon Canon EOS
350D.
La solution a été pour moi l'achat d'un petite lampe ultra plate (9 euros) ,
dont les diodes à éclairage puissant ne s'allument que si on presse sur un
bouton (De ce fait les piles ne peuvent se vider). Accessoirement cette
lampe est munie d'une troisième source de lumière laser, actionnable par un
autre bouton.
Je poste ceci car j'avais demandé dans ce groupe des solutions à ce pb le 18
Octobre 2005 mais je n'arrive pas à rajouter ma réponse à ce fil.
--
J'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui
est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre.
Pascal (Pensées)
http://www.jmrw.com/
La zone correspondant à une vision vers l'horizon, tête droite, a normalement un correction adaptée à la vision à l'infini.
pas sur mes verres (progressifs), d'ailleurs le réglage est complexe, quand je parle à quelqu'un situé près de moi je dois lever la tête pour le voir net :-).
en fait ces verres sont parfaits pour conduire: on voit les panneaux à l'infini, la voiture de devant à hauteur d'yeux et le tableau de bord :-(
vivement les lunettes à courbure variable (zooms :-)
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net
Jacques Dassié wrote:
La zone correspondant à une vision vers l'horizon, tête droite, a
normalement un correction adaptée à la vision à l'infini.
pas sur mes verres (progressifs), d'ailleurs le réglage est
complexe, quand je parle à quelqu'un situé près de moi je
dois lever la tête pour le voir net :-).
en fait ces verres sont parfaits pour conduire: on voit les
panneaux à l'infini, la voiture de devant à hauteur d'yeux
et le tableau de bord :-(
vivement les lunettes à courbure variable (zooms :-)
La zone correspondant à une vision vers l'horizon, tête droite, a normalement un correction adaptée à la vision à l'infini.
pas sur mes verres (progressifs), d'ailleurs le réglage est complexe, quand je parle à quelqu'un situé près de moi je dois lever la tête pour le voir net :-).
en fait ces verres sont parfaits pour conduire: on voit les panneaux à l'infini, la voiture de devant à hauteur d'yeux et le tableau de bord :-(
vivement les lunettes à courbure variable (zooms :-)
jdd
-- pour m'écrire, aller sur: http://www.dodin.net
Jacques Dassié
Le Sat, 10 Dec 2005 06:27:24 +0100, Jacques Dassié écrit:
Hors -sujet, ou presque... mais le week-end arrive et on se décontracte un peu !
Un jour, mon directeur me dit : "Dassié, problème à notre délégation de Rio, soyez-y le plus tôt possible. Demain matin, ce ne serait pas mal !" Un peu abasourdi mais tout joyeux (c'était mon premier voyage au Brésil), je fonce régler les formalités (oui, pour les vaccinations, j'étais toujours paré pour le monde entier) et le soir même, j'étais dans un 747 d'Air-France.
Le lendemain matin, lever de soleil vers Bahia et peu après débarquement à Rio-Galeo (prononcer Galéan). Echelle de coupée, ouverture des portes, le coup d'il panoramique avant de commencer à descendre. Copacabana, me voici et je rate la dernière marche !
En me penchant en avant pour me rattraper, mes lunettes à triple foyer (assez lourdes) suivent l'incitation de la gravité Et en toute logique, mon pied se pose sur elles, m'évitant ainsi une chute ridicule.
Oui, mais se retrouver à Rio, dans l'incapacité de lire le moindre document, avec au programmes des réunions et discussions avec différentes Administrations, je ne me voyais pas à mon aise. Décision : taxi (qui ne parle pas anglais, bien sûr !). Je simule au chauffeur une pare de bésicles sur mon nez et nous voila partis (vent du cul) vers le centre ville. Il se gare dans une rue adjacente à une grande avenue (rua de Buenos-Aires, je m'en souviens) devant une petite boutique : Otica Thiessen !
Bon, me dis-je, on va toujours voir ! Le spécialiste en blouse blanche ne parle pas anglais, mais en lui sortant des bouts de verre de ma poche, il comprend. Oui, mais il en manque un bout, le milieu justement ! Je lui symbolise sous le nez le fonctionnement des plateaux d'une Roberval et il a l'air de comprendre Il va faire quelque chose de médian entre le haut et le bas !
Où ça se gâte, c'est quand il me montre sur un calendrier une date, une semaine plus tard Je conteste et je lui montre quatre doigts qu'il finit par traduire par quatre jours Ça se regâte et c'est sur la montre que je lui fait voir qu'il me les faut dans quatre HEURES
Niet formel. J'ouvre mon portefeuille et lui fait voir un paquet de travelers-checks tout neufs et sentant bon l'encre d'imprimerie fraîche Un petit quart d'heure après, nous nous quittions en nous serrant la main, avec un rendez-vous ferme vers 14 heures !
Et il a tenu parole en me faisant, à un prix très honnête, une des meilleures paires de lunettes que j'ai jamais eu.
Deux ans plus tard : "Dassié, problème à ", vous connaissez la suite et le lendemain matin, à Rio, je redescend la passerelle sans manquer la dernière marche ! (Je vous ai eu, là !).
Taxi, et je me fais conduire chez Thiessen Tellement satisfait de ces lunettes que j'en voulais une seconde paire, en secours. Le gars me reconnais, on se congratule, puis il me fait comprendre "Oui, quatre heures, je sais". Et j'ai eu ma seconde paire
C'était une petite histoire, mais parfaitement authentique ! -- Jacques DASSIÉ Allez, promis, à la prochaine churrascaria : on s'arrête ! http://www.archaero.com/bresil.htm
Le Sat, 10 Dec 2005 06:27:24 +0100, Jacques Dassié
<jacques.dassie@free.fr> écrit:
Hors -sujet, ou presque... mais le week-end arrive et on se décontracte
un peu !
Un jour, mon directeur me dit : "Dassié, problème à notre délégation de
Rio, soyez-y le plus tôt possible. Demain matin, ce ne serait pas mal !"
Un peu abasourdi mais tout joyeux (c'était mon premier voyage au
Brésil), je fonce régler les formalités (oui, pour les vaccinations,
j'étais toujours paré pour le monde entier) et le soir même, j'étais
dans un 747 d'Air-France.
Le lendemain matin, lever de soleil vers Bahia et peu après
débarquement à Rio-Galeo (prononcer Galéan). Echelle de coupée,
ouverture des portes, le coup d'il panoramique avant de commencer à
descendre. Copacabana, me voici et je rate la dernière marche !
En me penchant en avant pour me rattraper, mes lunettes à triple foyer
(assez lourdes) suivent l'incitation de la gravité Et en toute logique,
mon pied se pose sur elles, m'évitant ainsi une chute ridicule.
Oui, mais se retrouver à Rio, dans l'incapacité de lire le moindre
document, avec au programmes des réunions et discussions avec
différentes Administrations, je ne me voyais pas à mon aise. Décision :
taxi (qui ne parle pas anglais, bien sûr !). Je simule au chauffeur une
pare de bésicles sur mon nez et nous voila partis (vent du cul) vers le
centre ville. Il se gare dans une rue adjacente à une grande avenue (rua
de Buenos-Aires, je m'en souviens) devant une petite boutique : Otica
Thiessen !
Bon, me dis-je, on va toujours voir ! Le spécialiste en blouse blanche
ne parle pas anglais, mais en lui sortant des bouts de verre de ma
poche, il comprend. Oui, mais il en manque un bout, le milieu justement
! Je lui symbolise sous le nez le fonctionnement des plateaux d'une
Roberval et il a l'air de comprendre Il va faire quelque chose de
médian entre le haut et le bas !
Où ça se gâte, c'est quand il me montre sur un calendrier une date, une
semaine plus tard Je conteste et je lui montre quatre doigts qu'il
finit par traduire par quatre jours Ça se regâte et c'est sur la montre
que je lui fait voir qu'il me les faut dans quatre HEURES
Niet formel. J'ouvre mon portefeuille et lui fait voir un paquet de
travelers-checks tout neufs et sentant bon l'encre d'imprimerie fraîche
Un petit quart d'heure après, nous nous quittions en nous serrant la
main, avec un rendez-vous ferme vers 14 heures !
Et il a tenu parole en me faisant, à un prix très honnête, une des
meilleures paires de lunettes que j'ai jamais eu.
Deux ans plus tard : "Dassié, problème à ", vous connaissez la suite et
le lendemain matin, à Rio, je redescend la passerelle sans manquer la
dernière marche ! (Je vous ai eu, là !).
Taxi, et je me fais conduire chez Thiessen
Tellement satisfait de ces lunettes que j'en voulais une seconde paire,
en secours. Le gars me reconnais, on se congratule, puis il me fait
comprendre "Oui, quatre heures, je sais". Et j'ai eu ma seconde paire
C'était une petite histoire, mais parfaitement authentique !
--
Jacques DASSIÉ
Allez, promis, à la prochaine churrascaria : on s'arrête !
http://www.archaero.com/bresil.htm
Le Sat, 10 Dec 2005 06:27:24 +0100, Jacques Dassié écrit:
Hors -sujet, ou presque... mais le week-end arrive et on se décontracte un peu !
Un jour, mon directeur me dit : "Dassié, problème à notre délégation de Rio, soyez-y le plus tôt possible. Demain matin, ce ne serait pas mal !" Un peu abasourdi mais tout joyeux (c'était mon premier voyage au Brésil), je fonce régler les formalités (oui, pour les vaccinations, j'étais toujours paré pour le monde entier) et le soir même, j'étais dans un 747 d'Air-France.
Le lendemain matin, lever de soleil vers Bahia et peu après débarquement à Rio-Galeo (prononcer Galéan). Echelle de coupée, ouverture des portes, le coup d'il panoramique avant de commencer à descendre. Copacabana, me voici et je rate la dernière marche !
En me penchant en avant pour me rattraper, mes lunettes à triple foyer (assez lourdes) suivent l'incitation de la gravité Et en toute logique, mon pied se pose sur elles, m'évitant ainsi une chute ridicule.
Oui, mais se retrouver à Rio, dans l'incapacité de lire le moindre document, avec au programmes des réunions et discussions avec différentes Administrations, je ne me voyais pas à mon aise. Décision : taxi (qui ne parle pas anglais, bien sûr !). Je simule au chauffeur une pare de bésicles sur mon nez et nous voila partis (vent du cul) vers le centre ville. Il se gare dans une rue adjacente à une grande avenue (rua de Buenos-Aires, je m'en souviens) devant une petite boutique : Otica Thiessen !
Bon, me dis-je, on va toujours voir ! Le spécialiste en blouse blanche ne parle pas anglais, mais en lui sortant des bouts de verre de ma poche, il comprend. Oui, mais il en manque un bout, le milieu justement ! Je lui symbolise sous le nez le fonctionnement des plateaux d'une Roberval et il a l'air de comprendre Il va faire quelque chose de médian entre le haut et le bas !
Où ça se gâte, c'est quand il me montre sur un calendrier une date, une semaine plus tard Je conteste et je lui montre quatre doigts qu'il finit par traduire par quatre jours Ça se regâte et c'est sur la montre que je lui fait voir qu'il me les faut dans quatre HEURES
Niet formel. J'ouvre mon portefeuille et lui fait voir un paquet de travelers-checks tout neufs et sentant bon l'encre d'imprimerie fraîche Un petit quart d'heure après, nous nous quittions en nous serrant la main, avec un rendez-vous ferme vers 14 heures !
Et il a tenu parole en me faisant, à un prix très honnête, une des meilleures paires de lunettes que j'ai jamais eu.
Deux ans plus tard : "Dassié, problème à ", vous connaissez la suite et le lendemain matin, à Rio, je redescend la passerelle sans manquer la dernière marche ! (Je vous ai eu, là !).
Taxi, et je me fais conduire chez Thiessen Tellement satisfait de ces lunettes que j'en voulais une seconde paire, en secours. Le gars me reconnais, on se congratule, puis il me fait comprendre "Oui, quatre heures, je sais". Et j'ai eu ma seconde paire
C'était une petite histoire, mais parfaitement authentique ! -- Jacques DASSIÉ Allez, promis, à la prochaine churrascaria : on s'arrête ! http://www.archaero.com/bresil.htm