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problème importation thème power ponit

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Raph53
Bonjour,
Je suis sur la version 16.16/.17 de Power point, j'ai créé des masques, ensuite enregistrer en temps que modèle. J'ai voulu créer un noiveau doc à partir de ce modèle pour pouvoir avoir mes masques dans mes thèmes, mais je sélectionne le modèle enregistrer et que je fais créer, j'obtiens la réponse suivante : "e;Désolé... PowerPoint ne peut pas lire ..."e;
Besoin d'aide, Helpppp!!!!

8 réponses

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JPP
On 16/01/20 15:22, Benoît wrote:
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.

La meilleure présentation scientifique que je n'ai jamais vue était
d'une minuscule jeune femme avec une diapo, un ligne de texte, rien
d'autre, par minute.
A la fin, 300 personnes debout à applaudir.
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pehache
Le 16/01/2020 à 19:22, (Benoît) a écrit :
pehache wrote:
Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
"présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
moins de 20 mn et corps 30 minimum !

C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.

Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un œil sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.

Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.

Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.

Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !

J'ai dit le contraire ?
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).

J'ai dit le contraire ?
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.

Hein ?
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benoit
pehache wrote:
Le 16/01/2020 à 19:22, (Benoît) a écrit :
pehache wrote:
> Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
> contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
> "présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
> images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
> conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
> moins de 20 mn et corps 30 minimum !
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.

Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.

Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.

-1
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.

Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.

-1
Et c'est pour ça qu'il va mettre tout son blablablasur l'écran ?
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.

Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.

-1 à nouveau
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !

J'ai dit le contraire ?

- 1
Non, tu le glorifies.
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).

J'ai dit le contraire ?

Cf ci-dessus
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.

Hein ?

Bin voilà, à nouveau tu causes de ce que tu ne connais pas.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoît chez leraillez.com
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pehache
Le 16/01/2020 à 23:03, Benoît a écrit :
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.

Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.

-1
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.

Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.

-1
Et c'est pour ça qu'il va mettre tout son blablablasur l'écran ?
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.

Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.

-1 à nouveau

Attends, là : les "-1" tiennent lieu d'argumentation ? C'est la nouvelle
tendance ultra-zen des présentations ? 3 slides avec juste "+1" ou "-1"
en gros au centre ?
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !

J'ai dit le contraire ?

- 1

Décidemment...
Non, tu le glorifies.

Là tu inventes carrément... Cites-moi le passage où j'aurais glorifié,
ou même simplement conseillé, de faire ça.
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).

J'ai dit le contraire ?

Cf ci-dessus

Pareil, cite-moi un passage où j'aurais dit le contraire.
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.

Hein ?

Bin voilà, à nouveau tu causes de ce que tu ne connais pas.

C'est surtout que je n'ai rien compris à ce passage.
--
"...sois ouvert aux idées des autres pour peu qu'elles aillent dans le
même sens que les tiennes.", ST sur fr.bio.medecine
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Matt
On ven. 17 janvier 2020 (00:28),
pehache wrote:
C'est surtout que je n'ai rien compris à ce passage.

Tu n'es pas le seul mais ne t'étonnes pas, c'est du Leraillez et ça dure
depuis très très très très très (non c'est bien 5 fois le mot
« très » longtemps) sur fcsm/fcomx ;)
--
<Pyo> Moi de toute facon j'achete que du mousseux a 75 centimes au super U
<Pyo> C'est le meilleur rendement qualité cuite
* bashfr.org
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Gerald
Le 16 janvier 2020 à 16:39, pehache a écrit :
Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.

Cruel aveu !
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog

C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.

Tu n'as pas compris le sens de ce qu'il expliquait. Il insiste sur
l'obligation, pour le conférencier, de connaître et maîtriser son
sujet, et propose de n'utiliser la diapo que pour afficher (ou
illustrer) les points importants *exactement* de la même manière que
le fait un maître de conférence sur le tableau d'un amphi (sur lequel
il ne recopie jamais l'intégralité de ce qu'il dit, heureusement !).
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?

Elle n'est pas "liée" à Keynote, évidemment, mais à un moment donné
l'ergonomie du logiciel (et ses fonctionnalités, car il existe quand
même des différences notables) peut faciliter ou pas l'application de
ces principes.
Inversement, ce qui est proposé par défaut par ce logiciel par
rapport à l'autre (différents thèmes et différents modèles de pages
pour un même thème, les choix typographiques par défaut, les
alignements et dimensionnements automatiques, la logique d'accès aux
paramètres dynamiques...) ...peut amener le débutant (et même le
confirmé) à un résultat plus ou moins satisfaisant, aux plans
esthétiques et d'efficacité dans le soutien à l'argumentation.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par quelqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les
animations, aussi bien d'éléments graphiques que de pages, de lignes
et même de caractères (puisque Keynote le permet) sont annulées.
- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien conservées,
mais on ne maîtrise plus le "déroulé" de la présentation, sauf à
procéder à des lecture-pause-lecture successifs, avec tous les
risques d'absence de synchro liés.
Dans les deux cas la compatibilité est maximale avec quasi tous les
systèmes.
- au format .ppt : c'est la catastrophe ! Disparition (logique) par
réduction au PPCM, mais dans un seul sens : je ne connais en effet
pas de fonctionnalités qui existeraient sous ppt et ne le seraient
pas sous Keynote. Par contre dans l'autre sens tout le "beau" travail
est annulé au profit d'un hymne à la médiocrité.
Ça n'a pas d'importance ? Ce n'était que du cosmétique inutile, tape
à l'oeil ? Un mot de ta part sur ta vision des arts graphiques, des
métiers du livre (et de leur histoire !) et de l'art en général
pourrait éclairer très utilement ce débat.
--
Gerald
Avatar
pehache
Le 17/01/2020 à 12:34, Gerald a écrit :
Le 16 janvier 2020 à 16:39, pehache a écrit :
Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.

Cruel aveu !

Hein ? Quel aveu ?
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog

C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.

Tu n'as pas compris le sens de ce qu'il expliquait. Il insiste sur
l'obligation, pour le conférencier, de connaître et maîtriser son
sujet,

Enfonçage de porte ouverte.
et propose de n'utiliser la diapo que pour afficher (ou
illustrer) les points importants *exactement* de la même manière que
le fait un maître de conférence sur le tableau d'un amphi (sur lequel
il ne recopie jamais l'intégralité de ce qu'il dit, heureusement !).

Là aussi on est à la limite de l'enfonçage de porte ouverte : dans la
pratique les gens qui font ça (tout écrire sur les slides et lire ce qui
est écrit) sont des (pénibles, certes) exceptions.
Par ailleurs je m'élève contre cette espèce de dictature de la
"présentation zen" comme modèle unique à suivre en toutes
circonstances, comme si TOUTES les présentations relevaient du même
contexte, avaient le même type de public, les mêmes objectifs, etc...
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?

Elle n'est pas "liée" à Keynote, évidemment, mais à un moment donné
l'ergonomie du logiciel (et ses fonctionnalités, car il existe quand
même des différences notables) peut faciliter ou pas l'application de
ces principes.
Inversement, ce qui est proposé par défaut par ce logiciel par
rapport à l'autre (différents thèmes et différents modèles de pages
pour un même thème, les choix typographiques par défaut, les
alignements et dimensionnements automatiques, la logique d'accès aux
paramètres dynamiques...) ...peut amener le débutant (et même le
confirmé) à un résultat plus ou moins satisfaisant, aux plans
esthétiques et d'efficacité dans le soutien à l'argumentation.

Ce qui compte avant tout pour arriver à un résultat satisfaisant c'est
la bonne maîtrise qu'on a du logiciel. Dire qu'on peut arriver à quoi
que ce soit de qualité sans un minimum d'apprentissage et d'effort, c'est
une fable.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par quelqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les
animations, aussi bien d'éléments graphiques que de pages, de lignes
et même de caractères (puisque Keynote le permet) sont annulées.
- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien conservées,
mais on ne maîtrise plus le "déroulé" de la présentation, sauf à
procéder à des lecture-pause-lecture successifs, avec tous les
risques d'absence de synchro liés.
Dans les deux cas la compatibilité est maximale avec quasi tous les
systèmes.

Oui, et ? Je te signale à tout hasard que PowerPoint sait aussi exporter
en PDF et en video, avec les exactement mêmes avatanges et inconvénients
que ceux que tu cites.
- au format .ppt : c'est la catastrophe ! Disparition (logique) par
réduction au PPCM, mais dans un seul sens : je ne connais en effet
pas de fonctionnalités qui existeraient sous ppt et ne le seraient
pas sous Keynote.

Je mets ma main à couper que tu ne connais pas suffisamment PowerPoint
pour pouvoir affirmer cela. Pour ma part je ne jouerai pas à ce jeu
puéril car je ne connais pas suffisamment Keynote.
Par contre dans l'autre sens tout le "beau" travail
est annulé au profit d'un hymne à la médiocrité.

Ca montre une chose : le module d'export PPT de Keynote est très mauvais
!
Plus sérieusement, je ne vois pas comment on peut imaginer obtenir un
résultat satisfaisant en convertissant des documents entre des formats
complexes de ce genre. Ce genre de conversion c'est au mieux utile pour du
dépannage, pas plus. Le même problème se pose pour les conversions
entre Ms-Office et LibreOffice, quel que soit le sens de la conversion.
Ça n'a pas d'importance ? Ce n'était que du cosmétique inutile, tape
à l'oeil ? Un mot de ta part sur ta vision des arts graphiques, des
métiers du livre (et de leur histoire !) et de l'art en général
pourrait éclairer très utilement ce débat.

Je n'évolue pas dans un milieu d'esthètes où la forme prime sur le
reste, mais dans un milieu de technicien où c'est le contenu qui prime.
Avatar
Francis Chartier
Le Fri, 17 Jan 20 13:31:17 +0000, pehache
écrivait :
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par que lqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les

- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien
conservées, mais on

Oui, et ? Je te signale à tout hasard que PowerPoint sait aussi
exporter en PDF et en video, avec les exactement mêmes avatanges et
inconvénients que ceux que tu cites.

De mon point de vue c'est déjà une pratique discutable de produir e un
document unique destiné à être publié sur différen ts médias.
A chaque média ses procédés, techniques, contraintes, usages et
audiences, ce qui implique souvent une structure et une conception
particulière afin d'adapter le document produit au public visé.
Le recours à un outil unique est à mon avis réducteur par les
contraintes qu'il impose sur la façon de concevoir l'ouvrage.
Je produit des documents pour le print depuis des années et à
l'intérieur même de ce domaine on a recours à nombre d'outil s de mise
en page différents suivant le type d'ouvrage prévu ; on n'utilise pas
le même logiciel pour une étiquette viticole, une publication
académique, un magazine ou un flyer pour la foire à la ferraille et au
cochon de Pécouille-les-bœufs.
De là, considérer qu'il y a *UNE* bonne manière de concevoir et de
produire une présentation, et *UN* outil supérieur ça me lai sse
extrêmement dubitatif : je ne suis pas du tout convaincu par le concept
du One Size Fits All.
De toute façon à titre personnel je suis un vieux con et à l a fin d'une
présentation j'ai souvent tendance à demander un support écr it plutôt
que des mickeys qui s'agitent. :)
Après, les querelles de clocher sur qui a la plus grosse ou la plus
efficace ça n'a à mon avis pas grand intérêt à par sur les *.bavardages.
Francis
--
Francis Chartier
Bisounours Asocial #0
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