Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
pehache wrote:Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
"présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
moins de 20 mn et corps 30 minimum !
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un œil sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
> Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
> contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
> "présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
> images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
> conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
> moins de 20 mn et corps 30 minimum !
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un œil sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
pehache wrote:Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
"présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
moins de 20 mn et corps 30 minimum !
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un œil sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
Le 16/01/2020 à 19:22, (Benoît) a écrit :pehache wrote:> Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
> contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
> "présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
> images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
> conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
> moins de 20 mn et corps 30 minimum !
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
J'ai dit le contraire ?
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
J'ai dit le contraire ?
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
Hein ?
Le 16/01/2020 à 19:22, benoit@com.invalid (Benoît) a écrit :
> pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
>
>> > Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
>> > contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
>> > "présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
>> > images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
>> > conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
>> > moins de 20 mn et corps 30 minimum !
>>
>> C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
>> conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
>> concepts.
>
> Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
> sont tout à fait applicables ailleurs.
>
> Niveau 1 - Le jeune chercheur -
> Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
> texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
> Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
> et retourne répondre à ses mails.
Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
> Niveau 2 - Le directeur de recherche -
> Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
> explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
> comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
> Niveau 3 - Le prix Nobel -
> Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
> temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
> utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
> transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.
> - Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
> Et Paf !
J'ai dit le contraire ?
>
> - Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
> son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
> n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
> à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
> n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
J'ai dit le contraire ?
> - Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
> paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
> présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
> c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
> besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
> intérèsse.
Hein ?
Le 16/01/2020 à 19:22, (Benoît) a écrit :pehache wrote:> Quand on a eu à *subir* (et le mot est faible), dans différents
> contextes d'entreprises, des "diaporamas" (on ne peut pas parler de
> "présentations" !) de 50+ diapos écrites en petits caractères, sans
> images ni animations, contenant l'intégralité du texte de la
> conférence, on ne peut que lui donner raison : moins de 10 diapos,
> moins de 20 mn et corps 30 minimum !
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
J'ai dit le contraire ?
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
J'ai dit le contraire ?
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
Hein ?
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
-1Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
-1
Et c'est pour ça qu'il va mettre tout son blablablasur l'écran ?Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
-1 à nouveau
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
J'ai dit le contraire ?
- 1
Non, tu le glorifies.
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
J'ai dit le contraire ?
Cf ci-dessus
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
Hein ?
Bin voilà, à nouveau tu causes de ce que tu ne connais pas.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
-1
Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
-1
Et c'est pour ça qu'il va mettre tout son blablablasur l'écran ?
Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
-1 à nouveau
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.
- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
J'ai dit le contraire ?
- 1
Non, tu le glorifies.
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
J'ai dit le contraire ?
Cf ci-dessus
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
Hein ?
Bin voilà, à nouveau tu causes de ce que tu ne connais pas.
Tu as trois niveaux de présentation dans le domaine des sciences et ils
sont tout à fait applicables ailleurs.
Niveau 1 - Le jeune chercheur -
Une diapo toutes les 20s remplies de chiffres ou, bien plus souvent, un
texte qu'il lit à voix haute comme un enseignant qui apprend la lecture.
Le public lui, jette un ½il sur la diapo, lit tout en quelques secondes
et retourne répondre à ses mails.
Autre vision : le jeune chercheur fait une vrai présentation technique à
ses pairs, qui comprennent tout ce qu'il dit. C'est parfois un peu ardu à
suivre, mais c'est une séance de travail, pas une séance de glande
devant Netflix pour se vider la tête.
-1Niveau 2 - Le directeur de recherche -
Une diapo avec quelques chiffres, mots ou phrase clef, dessin ou image
explicative... Ce qui est affiché te surprend, t'intrigue, tu veux
comprendre comment il arrive là. Tu l'écoutes.
Autre vision : le directeur de recherche fait de la comm' pour mettre son
labo en avant de managers qui détiennent les cordons de la bourse. Il
faut leur fournir des messages suffisamment simplifiés (quitte à tordre
la rigueur scientifique) pour qu'ils aient l'impression de comprendre
quelque chose et les faire se sentir intelligent : ça les met dans de
bonnes dispositions.
-1
Et c'est pour ça qu'il va mettre tout son blablablasur l'écran ?Niveau 3 - Le prix Nobel -
Lui, c'est les mains dans les poches, aucune projection sauf de temps en
temps un dessin/gribouilli qu'il fait sur une tablette. Là, les seuls à
utiliser leur ordinateur sont les journalistes qui tentent de
transmettre en temps réel tout ce qui est dit.
Autre vision : le prix Nobel fait des conférences à destination du
grand-public, ça fait partie des obligations implicites pour vulgariser
la science. Ca doit être autant ludique qu'instructif.
-1 à nouveau
Bref, définir une façon unique et qui serait la seule valable de
présenter ça n'a aucun sens. Il y a plein de contextes différents.- Projeter son texte et le lire veut dire qu'on ne le connait pas ;
Et Paf !
J'ai dit le contraire ?
- 1
Non, tu le glorifies.
- Afficher des m3 de chiffres pour en mettre un ou deux en exergue avec
son pointeur laser veut dire qu'on ne sait pas être concis et qu'on
n'est pas sûr de soi, on balance tous les chiffres pour pouvoir répondre
à une question (parce qu'on ne sait pas répondre à une question dont on
n'a pas la réponse, mais ça c'est du métier).
J'ai dit le contraire ?
Cf ci-dessus
- Imprimer sa présentation avec toutes ses couleurs et deux ou trois
paquets de bulet-points au lieu de faire un document texte, propre. Une
présentation peut tenir sur trois à quatre fois moins de pages, si on se
c_sse le _ul à faire les choses proprement. En plus les gens n'ont pas
besoin de feuilleter des dizaines de pages pour retrouver l'info qui les
intérèsse.
Hein ?
Bin voilà, à nouveau tu causes de ce que tu ne connais pas.
C'est surtout que je n'ai rien compris à ce passage.
C'est surtout que je n'ai rien compris à ce passage.
C'est surtout que je n'ai rien compris à ce passage.
Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?
Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?
Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?
Le 16 janvier 2020 à 16:39, pehache a écrit :Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.
Cruel aveu !
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu n'as pas compris le sens de ce qu'il expliquait. Il insiste sur
l'obligation, pour le conférencier, de connaître et maîtriser son
sujet,
et propose de n'utiliser la diapo que pour afficher (ou
illustrer) les points importants *exactement* de la même manière que
le fait un maître de conférence sur le tableau d'un amphi (sur lequel
il ne recopie jamais l'intégralité de ce qu'il dit, heureusement !).
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?
Elle n'est pas "liée" à Keynote, évidemment, mais à un moment donné
l'ergonomie du logiciel (et ses fonctionnalités, car il existe quand
même des différences notables) peut faciliter ou pas l'application de
ces principes.
Inversement, ce qui est proposé par défaut par ce logiciel par
rapport à l'autre (différents thèmes et différents modèles de pages
pour un même thème, les choix typographiques par défaut, les
alignements et dimensionnements automatiques, la logique d'accès aux
paramètres dynamiques...) ...peut amener le débutant (et même le
confirmé) à un résultat plus ou moins satisfaisant, aux plans
esthétiques et d'efficacité dans le soutien à l'argumentation.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par quelqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les
animations, aussi bien d'éléments graphiques que de pages, de lignes
et même de caractères (puisque Keynote le permet) sont annulées.
- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien conservées,
mais on ne maîtrise plus le "déroulé" de la présentation, sauf à
procéder à des lecture-pause-lecture successifs, avec tous les
risques d'absence de synchro liés.
Dans les deux cas la compatibilité est maximale avec quasi tous les
systèmes.
- au format .ppt : c'est la catastrophe ! Disparition (logique) par
réduction au PPCM, mais dans un seul sens : je ne connais en effet
pas de fonctionnalités qui existeraient sous ppt et ne le seraient
pas sous Keynote.
Par contre dans l'autre sens tout le "beau" travail
est annulé au profit d'un hymne à la médiocrité.
Ça n'a pas d'importance ? Ce n'était que du cosmétique inutile, tape
à l'oeil ? Un mot de ta part sur ta vision des arts graphiques, des
métiers du livre (et de leur histoire !) et de l'art en général
pourrait éclairer très utilement ce débat.
Le 16 janvier 2020 à 16:39, pehache a écrit :
Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.
Cruel aveu !
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu n'as pas compris le sens de ce qu'il expliquait. Il insiste sur
l'obligation, pour le conférencier, de connaître et maîtriser son
sujet,
et propose de n'utiliser la diapo que pour afficher (ou
illustrer) les points importants *exactement* de la même manière que
le fait un maître de conférence sur le tableau d'un amphi (sur lequel
il ne recopie jamais l'intégralité de ce qu'il dit, heureusement !).
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?
Elle n'est pas "liée" à Keynote, évidemment, mais à un moment donné
l'ergonomie du logiciel (et ses fonctionnalités, car il existe quand
même des différences notables) peut faciliter ou pas l'application de
ces principes.
Inversement, ce qui est proposé par défaut par ce logiciel par
rapport à l'autre (différents thèmes et différents modèles de pages
pour un même thème, les choix typographiques par défaut, les
alignements et dimensionnements automatiques, la logique d'accès aux
paramètres dynamiques...) ...peut amener le débutant (et même le
confirmé) à un résultat plus ou moins satisfaisant, aux plans
esthétiques et d'efficacité dans le soutien à l'argumentation.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par quelqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les
animations, aussi bien d'éléments graphiques que de pages, de lignes
et même de caractères (puisque Keynote le permet) sont annulées.
- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien conservées,
mais on ne maîtrise plus le "déroulé" de la présentation, sauf à
procéder à des lecture-pause-lecture successifs, avec tous les
risques d'absence de synchro liés.
Dans les deux cas la compatibilité est maximale avec quasi tous les
systèmes.
- au format .ppt : c'est la catastrophe ! Disparition (logique) par
réduction au PPCM, mais dans un seul sens : je ne connais en effet
pas de fonctionnalités qui existeraient sous ppt et ne le seraient
pas sous Keynote.
Par contre dans l'autre sens tout le "beau" travail
est annulé au profit d'un hymne à la médiocrité.
Ça n'a pas d'importance ? Ce n'était que du cosmétique inutile, tape
à l'oeil ? Un mot de ta part sur ta vision des arts graphiques, des
métiers du livre (et de leur histoire !) et de l'art en général
pourrait éclairer très utilement ce débat.
Le 16 janvier 2020 à 16:39, pehache a écrit :Ce qui est caricatural c'est ton discours. Je ne vois aucun défaut majeur
à PowerPoint concernant les points énumérés ci-dessus.
Cruel aveu !
suggère de regarder et bien considérer la règle des 10-20-30 de Guy
Kawasaki, ex-"chief-evangelist" chez Apple donc chargé en son temps
de la promotion de l'originalité des choix d'ergonomie d'Apple.
https://www.youtube.com/watch?v=-M13SObffog
C'est parfait pour présenter du vent et le faire mousser, donc. Je
conçois que managers, commerciaux,... puissent être être friands de ces
concepts.
Tu n'as pas compris le sens de ce qu'il expliquait. Il insiste sur
l'obligation, pour le conférencier, de connaître et maîtriser son
sujet,
et propose de n'utiliser la diapo que pour afficher (ou
illustrer) les points importants *exactement* de la même manière que
le fait un maître de conférence sur le tableau d'un amphi (sur lequel
il ne recopie jamais l'intégralité de ce qu'il dit, heureusement !).
Tu peux expliquer en quoi la démarche "présentation zen" ne serait
compatible qu'avec Keynote ?
Elle n'est pas "liée" à Keynote, évidemment, mais à un moment donné
l'ergonomie du logiciel (et ses fonctionnalités, car il existe quand
même des différences notables) peut faciliter ou pas l'application de
ces principes.
Inversement, ce qui est proposé par défaut par ce logiciel par
rapport à l'autre (différents thèmes et différents modèles de pages
pour un même thème, les choix typographiques par défaut, les
alignements et dimensionnements automatiques, la logique d'accès aux
paramètres dynamiques...) ...peut amener le débutant (et même le
confirmé) à un résultat plus ou moins satisfaisant, aux plans
esthétiques et d'efficacité dans le soutien à l'argumentation.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par quelqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les
animations, aussi bien d'éléments graphiques que de pages, de lignes
et même de caractères (puisque Keynote le permet) sont annulées.
- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien conservées,
mais on ne maîtrise plus le "déroulé" de la présentation, sauf à
procéder à des lecture-pause-lecture successifs, avec tous les
risques d'absence de synchro liés.
Dans les deux cas la compatibilité est maximale avec quasi tous les
systèmes.
- au format .ppt : c'est la catastrophe ! Disparition (logique) par
réduction au PPCM, mais dans un seul sens : je ne connais en effet
pas de fonctionnalités qui existeraient sous ppt et ne le seraient
pas sous Keynote.
Par contre dans l'autre sens tout le "beau" travail
est annulé au profit d'un hymne à la médiocrité.
Ça n'a pas d'importance ? Ce n'était que du cosmétique inutile, tape
à l'oeil ? Un mot de ta part sur ta vision des arts graphiques, des
métiers du livre (et de leur histoire !) et de l'art en général
pourrait éclairer très utilement ce débat.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par que lqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien
conservées, mais on
Oui, et ? Je te signale à tout hasard que PowerPoint sait aussi
exporter en PDF et en video, avec les exactement mêmes avatanges et
inconvénients que ceux que tu cites.
> Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
> réalisée sous Keynote à différents formats (par que lqu'un qui
> exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
>
> - au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
> sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les
> - au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien
> conservées, mais on
Oui, et ? Je te signale à tout hasard que PowerPoint sait aussi
exporter en PDF et en video, avec les exactement mêmes avatanges et
inconvénients que ceux que tu cites.
Une illustration simple s'en fait pas l'export d'une présentation
réalisée sous Keynote à différents formats (par que lqu'un qui
exploite effectivement ses fonctionnalités originales) :
- au format pdf, tous les aspects typographiques et de mise en page
sont parfaitement conservés mais de manière statique. Toutes les- au format .mov (vidéo), toutes ces animations sont bien
conservées, mais on
Oui, et ? Je te signale à tout hasard que PowerPoint sait aussi
exporter en PDF et en video, avec les exactement mêmes avatanges et
inconvénients que ceux que tu cites.