Quelqu'un pourrait-il m'expliquer la logique de programamtion d'Arte?
Par exemple ce soir, il est projecé actuellement un documentaire
finlandais chiant commela mort sur le combat d'un maire(finlandais)
contre la fermeture de l'usine de son bled, alors qu'on est obligé
d'attendre 23h45 pour voir Tracks, qui est pour moi l'une des meilleures
émissions d' Arte( musiques actuelles et culture underground). Pourquoi
Arte relègue telle cette émission qui pourrait élargir et rajeunir son
audience sur un créneau aussi mal placé?
--
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Y'avait pas besoin d'un an pour voir que ce sont des abrutis ! 10 minutes over and out.
Ça démontre que vous n'avez pas pris la peine de regarder le documentaire en entier. Vous parlez donc sans savoir, c'est donc vous l'abruti.
L'air de l'Irak leur a fait remonté le QI ? Ils se sont sans doute rendu compte que bush les avait trompé (pour être poli)
C'est toi qu'il a trompé.
Walter
Sur le même sujet, quelque chose de bien plus relevé :
ARTE INFO PROGRAMME mardi, 31 janvier 2006 à 20:45 Rediffusions : 01.02.2006 à 14:30
LE NERF DE LA GUERRE Documentaire d’Eugene Jarecki (États-Unis, 2005, 1h35mn) Coproduction : Charlotte Street Films, ARTE, BBC, CBC, France 2, TV2, YLE Sélectionné au Festival de Sundance 2005
Le meilleur travail d'investigation sur le complexe militaro-industriel américain, par l'auteur du Cas Kissinger.
En 1961, lors de son discours d'adieu, Eisenhower met en garde son successeur et la nation américaine contre le pouvoir croissant des militaires et les liens étroits qu'ils entretiennent avec les fabricants d'armes. Cela n'empêche pas chercheurs, militaires et industriels de continuer à élaborer des armes toujours plus sophistiquées. Quarante ans plus tard, le complexe militaro-industriel américain semble tout-puissant. Il a joué un rôle essentiel dans le déclenchement de la guerre en Irak. Il faut dire qu'un tel conflit permet d'expérimenter de nouvelles armes, de nouvelles techniques. L'offensive américaine a ainsi été l'occasion de tester une toute nouvelle bombe "antibunker". Mais la puissance du complexe militaro-industriel américain se manifeste aussi à travers la présence sur le terrain de milliers de "privés". Certes, la guerre en Irak est menée par une armée de métier, mais elle est assistée par d'autres forces plus ou moins bien identifiées, nébuleuse d'agents de sécurité et de mercenaires recrutés par des sociétés privées. Ainsi, tous les tortionnaires de la prison d'Abou Ghraïb n'appartenaient pas à la police militaire : certains avaient été engagés par une entreprise "spécialisée" dans les interrogatoires de prisonniers. Pour comprendre comment fonctionne la grande famille militaire américaine, Eugene Jarecki a interrogé de très nombreuses personnes, parmi lesquelles les "faucons" Richard Perle et William Kristol, l'ancien responsable de la CIA Chalmer Johnson, le journaliste de CBS Dan Rather, le fils du président Eisenhower et l'écrivain et critique Gore Vidal. Film d'investigation qui évite de tomber dans la polémique, Le nerf de la guerre cherche à savoir pourquoi les Etats-Unis s'en vont en guerre.
Sur le même sujet, quelque chose de bien plus relevé :
ARTE
INFO PROGRAMME
mardi, 31 janvier 2006 à 20:45
Rediffusions :
01.02.2006 à 14:30
LE NERF DE LA GUERRE
Documentaire d’Eugene Jarecki (États-Unis, 2005, 1h35mn)
Coproduction : Charlotte Street Films, ARTE, BBC, CBC, France 2, TV2, YLE
Sélectionné au Festival de Sundance 2005
Le meilleur travail d'investigation sur le complexe militaro-industriel
américain, par l'auteur du Cas Kissinger.
En 1961, lors de son discours d'adieu, Eisenhower met en garde son successeur et
la nation américaine contre le pouvoir croissant des militaires et les liens
étroits qu'ils entretiennent avec les fabricants d'armes. Cela n'empêche pas
chercheurs, militaires et industriels de continuer à élaborer des armes toujours
plus sophistiquées. Quarante ans plus tard, le complexe militaro-industriel
américain semble tout-puissant. Il a joué un rôle essentiel dans le
déclenchement de la guerre en Irak. Il faut dire qu'un tel conflit permet
d'expérimenter de nouvelles armes, de nouvelles techniques. L'offensive
américaine a ainsi été l'occasion de tester une toute nouvelle bombe
"antibunker". Mais la puissance du complexe militaro-industriel américain se
manifeste aussi à travers la présence sur le terrain de milliers de "privés".
Certes, la guerre en Irak est menée par une armée de métier, mais elle est
assistée par d'autres forces plus ou moins bien identifiées, nébuleuse d'agents
de sécurité et de mercenaires recrutés par des sociétés privées. Ainsi, tous les
tortionnaires de la prison d'Abou Ghraïb n'appartenaient pas à la police
militaire : certains avaient été engagés par une entreprise "spécialisée" dans
les interrogatoires de prisonniers. Pour comprendre comment fonctionne la grande
famille militaire américaine, Eugene Jarecki a interrogé de très nombreuses
personnes, parmi lesquelles les "faucons" Richard Perle et William Kristol,
l'ancien responsable de la CIA Chalmer Johnson, le journaliste de CBS Dan
Rather, le fils du président Eisenhower et l'écrivain et critique Gore Vidal.
Film d'investigation qui évite de tomber dans la polémique, Le nerf de la guerre
cherche à savoir pourquoi les Etats-Unis s'en vont en guerre.
Sur le même sujet, quelque chose de bien plus relevé :
ARTE INFO PROGRAMME mardi, 31 janvier 2006 à 20:45 Rediffusions : 01.02.2006 à 14:30
LE NERF DE LA GUERRE Documentaire d’Eugene Jarecki (États-Unis, 2005, 1h35mn) Coproduction : Charlotte Street Films, ARTE, BBC, CBC, France 2, TV2, YLE Sélectionné au Festival de Sundance 2005
Le meilleur travail d'investigation sur le complexe militaro-industriel américain, par l'auteur du Cas Kissinger.
En 1961, lors de son discours d'adieu, Eisenhower met en garde son successeur et la nation américaine contre le pouvoir croissant des militaires et les liens étroits qu'ils entretiennent avec les fabricants d'armes. Cela n'empêche pas chercheurs, militaires et industriels de continuer à élaborer des armes toujours plus sophistiquées. Quarante ans plus tard, le complexe militaro-industriel américain semble tout-puissant. Il a joué un rôle essentiel dans le déclenchement de la guerre en Irak. Il faut dire qu'un tel conflit permet d'expérimenter de nouvelles armes, de nouvelles techniques. L'offensive américaine a ainsi été l'occasion de tester une toute nouvelle bombe "antibunker". Mais la puissance du complexe militaro-industriel américain se manifeste aussi à travers la présence sur le terrain de milliers de "privés". Certes, la guerre en Irak est menée par une armée de métier, mais elle est assistée par d'autres forces plus ou moins bien identifiées, nébuleuse d'agents de sécurité et de mercenaires recrutés par des sociétés privées. Ainsi, tous les tortionnaires de la prison d'Abou Ghraïb n'appartenaient pas à la police militaire : certains avaient été engagés par une entreprise "spécialisée" dans les interrogatoires de prisonniers. Pour comprendre comment fonctionne la grande famille militaire américaine, Eugene Jarecki a interrogé de très nombreuses personnes, parmi lesquelles les "faucons" Richard Perle et William Kristol, l'ancien responsable de la CIA Chalmer Johnson, le journaliste de CBS Dan Rather, le fils du président Eisenhower et l'écrivain et critique Gore Vidal. Film d'investigation qui évite de tomber dans la polémique, Le nerf de la guerre cherche à savoir pourquoi les Etats-Unis s'en vont en guerre.
Asmel Poucie
Walter wrote:
Sur le même sujet, quelque chose de bien plus relevé :
ARTE INFO PROGRAMME mardi, 31 janvier 2006 à 20:45 Rediffusions : 01.02.2006 à 14:30
LE NERF DE LA GUERRE
Dommage le titre VO faisait reference a la serie de Capra. Toujours aussi conne notre TV!
Documentaire d’Eugene Jarecki (États-Unis, 2005, 1h35mn) Coproduction : Charlotte Street Films, ARTE, BBC, CBC, France 2, TV2, YLE Sélectionné au Festival de Sundance 2005
Le meilleur travail d'investigation sur le complexe militaro-industriel
Bof. Tres moyen.
Walter wrote:
Sur le même sujet, quelque chose de bien plus relevé :
ARTE
INFO PROGRAMME
mardi, 31 janvier 2006 à 20:45
Rediffusions :
01.02.2006 à 14:30
LE NERF DE LA GUERRE
Dommage le titre VO faisait reference a la serie de Capra. Toujours
aussi conne notre TV!
Documentaire d’Eugene Jarecki (États-Unis, 2005, 1h35mn)
Coproduction : Charlotte Street Films, ARTE, BBC, CBC, France 2, TV2, YLE
Sélectionné au Festival de Sundance 2005
Le meilleur travail d'investigation sur le complexe militaro-industriel
Sur le même sujet, quelque chose de bien plus relevé :
ARTE INFO PROGRAMME mardi, 31 janvier 2006 à 20:45 Rediffusions : 01.02.2006 à 14:30
LE NERF DE LA GUERRE
Dommage le titre VO faisait reference a la serie de Capra. Toujours aussi conne notre TV!
Documentaire d’Eugene Jarecki (États-Unis, 2005, 1h35mn) Coproduction : Charlotte Street Films, ARTE, BBC, CBC, France 2, TV2, YLE Sélectionné au Festival de Sundance 2005
Le meilleur travail d'investigation sur le complexe militaro-industriel
Bof. Tres moyen.
Pierre Maurette
julos, le 26/01/2006 a écrit :
Bonsoir,
Quelqu'un pourrait-il m'expliquer la logique de programamtion d'Arte?
Oui, quelqu'un pourrait. Sans doute ...
-- Pierre Maurette
julos, le 26/01/2006 a écrit :
Bonsoir,
Quelqu'un pourrait-il m'expliquer la logique de programamtion d'Arte?
Absolument, j'en veut pour preuve le témoignage vu dans le reportage d'un des GI's, bûcheron de son état, qui déclare avoir signé son engagement "par délire" après une bringue sévère et s'est retrouvé en Irak avec son contrat prolongé de force. L'alcool ne lui a pas porté conseil mais ça ne lui a pas servi de leçon car on le revoit une fois rentré aux USA chez lui avec plein de cannettes de bières sur la table :-))
-- Cliquez ci-dessous pour me répondre http://cerbermail.com/?1fvv7WnbXL
Fredo wrote:
ils ne proviennent
pas de "classes" forcémént "intellos".
Absolument, j'en veut pour preuve le témoignage vu dans le reportage
d'un des GI's, bûcheron de son état, qui déclare avoir signé son
engagement "par délire" après une bringue sévère et s'est retrouvé en
Irak avec son contrat prolongé de force. L'alcool ne lui a pas porté
conseil mais ça ne lui a pas servi de leçon car on le revoit une fois
rentré aux USA chez lui avec plein de cannettes de bières sur la table :-))
--
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Absolument, j'en veut pour preuve le témoignage vu dans le reportage d'un des GI's, bûcheron de son état, qui déclare avoir signé son engagement "par délire" après une bringue sévère et s'est retrouvé en Irak avec son contrat prolongé de force. L'alcool ne lui a pas porté conseil mais ça ne lui a pas servi de leçon car on le revoit une fois rentré aux USA chez lui avec plein de cannettes de bières sur la table :-))
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