Qui pourra jamais exprimer l'immense tristesse, le goût amer, qu'inspire le
formidable gâchis de ces 20 dernières années?
Vingt années qui ont vu le grand dévoiement du numérique, et le reniement de
sa promesse originelle.
chacun décide de mettre ou non de la pub je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
jpw
"Anne" <anneleguennec@free.fr> a écrit dans le message de news:
1it9s9y.1oiiy801ovk717N%anneleguennec@free.fr...
chacun décide de mettre ou non de la pub
je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits
qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
chacun décide de mettre ou non de la pub je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
chacun décide de mettre ou non de la pub je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
je crois pas qu'un seul hébergeur mettre de la pub sur une de ses solutions payantes...
jpw a exposé le 09/01/2009 :
"Anne" <anneleguennec@free.fr> a écrit dans le message de news:
1it9s9y.1oiiy801ovk717N%anneleguennec@free.fr...
chacun décide de mettre ou non de la pub
je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits
qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
je crois pas qu'un seul hébergeur mettre de la pub sur une de ses
solutions payantes...
chacun décide de mettre ou non de la pub je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
je crois pas qu'un seul hébergeur mettre de la pub sur une de ses solutions payantes...
jpw
-- Photo d'Afrique du jour : http://jpw.fr "Anne" a écrit dans le message de news: 1it9u3g.1o4raqurwfan8N%
jpw wrote:
alors Baygon jaune ou baygon vert ??
Baygon noir pour toi ?
pourquoi pas ;-))
jpw
--
Photo d'Afrique du jour : http://jpw.fr
"Anne" <anneleguennec@free.fr> a écrit dans le message de news:
1it9u3g.1o4raqurwfan8N%anneleguennec@free.fr...
Au fait m'sieur jpw est silencieux sur l'installation d 'Icecast et ses problèmes. Serait-il ignorant à ce point ?
C'est censé etre un truc compliqué à installer ? Tu veux dire encore plus compliqué que réussir à récuperer une IP fixe chez un hebergeur ?
anneleguennec
jpw wrote:
> Et 15 pubs google pour amortir la dépense ?
chacun décide de mettre ou non de la pub je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
Pour moi, quel que soit le cas, c'est un site à fuir.
Ma capacité de discernement est suffisante pour la voir masquer les trucs pertinents (?) que tu essaies de faire passer, et te bouffent l'espace pour des précisions trop souvent indispensables, voir le coup des tripes, par exemples.
jpw <jprafarin@jpw.fr> wrote:
> Et 15 pubs google pour amortir la dépense ?
chacun décide de mettre ou non de la pub
je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits
qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
Pour moi, quel que soit le cas, c'est un site à fuir.
Ma capacité de discernement est suffisante pour la voir masquer les
trucs pertinents (?) que tu essaies de faire passer, et te bouffent
l'espace pour des précisions trop souvent indispensables, voir le coup
des tripes, par exemples.
chacun décide de mettre ou non de la pub je pense que tu mélanges avec les hébergements gratuits qui ajoutent de la pub pour financer la gratuité de leur hébergement
Pour moi, quel que soit le cas, c'est un site à fuir.
Ma capacité de discernement est suffisante pour la voir masquer les trucs pertinents (?) que tu essaies de faire passer, et te bouffent l'espace pour des précisions trop souvent indispensables, voir le coup des tripes, par exemples.
Ghost-Rider
Anne a écrit :
Ma capacité de discernement est suffisante pour la voir masquer les trucs pertinents (?) que tu essaies de faire passer, et te bouffent l'espace pour des précisions trop souvent indispensables, voir le coup des tripes, par exemples.
Les tripes ? Quelles tripes ? J'ai beau regarder le site, je ne vois pas de tripes à l'air.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Anne a écrit :
Ma capacité de discernement est suffisante pour la voir masquer les
trucs pertinents (?) que tu essaies de faire passer, et te bouffent
l'espace pour des précisions trop souvent indispensables, voir le coup
des tripes, par exemples.
Les tripes ? Quelles tripes ? J'ai beau regarder le site, je ne vois pas
de tripes à l'air.
Ma capacité de discernement est suffisante pour la voir masquer les trucs pertinents (?) que tu essaies de faire passer, et te bouffent l'espace pour des précisions trop souvent indispensables, voir le coup des tripes, par exemples.
Les tripes ? Quelles tripes ? J'ai beau regarder le site, je ne vois pas de tripes à l'air.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Silver0l
On 7 jan, 18:17, "Stephane Legras-Decussy" wrote:
et donc vous perseverez dans l'ignorance que vous pouvez streamer vos radio ?
Voilà un point intéressant que tu soulèves.
Bien sûr, une radio peut se contenter de streamer sur Internet, mais elle ne sera alors qu'une URL perdue parmi des millions d'autres.
Ce qui fait sa légitimité, c'est le lien social qu'elle bâtit en diffusant sur les ondes, sur un bassin de population bien défini, un message partagé par des milliers d'auditeurs.
Ce qui pose nécessairement le problème de la bande passante, de son partage, et de l'économie nécessaire de celle-ci: oui, si une radio veut être entendue, elle devra partager la bande passante, et elle ne pourra pas émettre à 320 kb/s.
La conséquence la plus préoccupante de la promesse gâchée du numé rique est l'impact sur les contenus et le lien social.
S'il n'existait de la vidéo qu'en 320 x 240 (format YouTube), Star Wars n'existerait pas. Mozart n'aurait pas écrit son Requiem de Mozart s'il n'y avait eu que des mini-chaînes MP3 pour l'écouter.
Mais au-delà des aspects techniques, le numérique impacte fortement le mode de production des contenus.
D'ores et déjà, le fractionnement extrême des audiences ("the Long Tail") diminue et morcelle nécessairement les moyens disponibles pour la création.
La poursuite des tendances actuelles du numérique (peer to peer, web 2.0...) nous amène directement vers un univers hobbesien (un état de nature ou chacun ne vit que par et pour soi), dans lequel chacun opère, diffuse et regarde SA radio, SES films, SES photos... connus de lui seul, à nul autre pareils - si ce n'est dans la médiocrité de la production.
Le lien social, forgé par des décennies de partage de bande passante, par une communion commune autour d'une culture et de messages largement partagés, quelle qu'en soit leur qualité, est ainsi dissous au bénéfice de la satisfaction individuelle, l'égotisme le plus forcené d'une consommation culturelle et informationnelle individualisée à l'extrême - et d'une qualité moyenne toujours plus médiocre, tant sur le fond que la forme.
Mais heureusement certains luttent encore pour préserver ce lien social! Par les radios associatives, par exemple...
On 7 jan, 18:17, "Stephane Legras-Decussy" <I_love@Arol> wrote:
et donc vous perseverez dans l'ignorance que
vous pouvez streamer vos radio ?
Voilà un point intéressant que tu soulèves.
Bien sûr, une radio peut se contenter de streamer sur Internet, mais
elle ne sera alors qu'une URL perdue parmi des millions d'autres.
Ce qui fait sa légitimité, c'est le lien social qu'elle bâtit en
diffusant sur les ondes, sur un bassin de population bien défini, un
message partagé par des milliers d'auditeurs.
Ce qui pose nécessairement le problème de la bande passante, de son
partage, et de l'économie nécessaire de celle-ci: oui, si une radio
veut être entendue, elle devra partager la bande passante, et elle ne
pourra pas émettre à 320 kb/s.
La conséquence la plus préoccupante de la promesse gâchée du numé rique
est l'impact sur les contenus et le lien social.
S'il n'existait de la vidéo qu'en 320 x 240 (format YouTube), Star
Wars n'existerait pas. Mozart n'aurait pas écrit son Requiem de Mozart
s'il n'y avait eu que des mini-chaînes MP3 pour l'écouter.
Mais au-delà des aspects techniques, le numérique impacte fortement le
mode de production des contenus.
D'ores et déjà, le fractionnement extrême des audiences ("the Long
Tail") diminue et morcelle nécessairement les moyens disponibles pour
la création.
La poursuite des tendances actuelles du numérique (peer to peer, web
2.0...) nous amène directement vers un univers hobbesien (un état de
nature ou chacun ne vit que par et pour soi), dans lequel chacun
opère, diffuse et regarde SA radio, SES films, SES photos... connus de
lui seul, à nul autre pareils - si ce n'est dans la médiocrité de la
production.
Le lien social, forgé par des décennies de partage de bande passante,
par une communion commune autour d'une culture et de messages
largement partagés, quelle qu'en soit leur qualité, est ainsi dissous
au bénéfice de la satisfaction individuelle, l'égotisme le plus
forcené d'une consommation culturelle et informationnelle
individualisée à l'extrême - et d'une qualité moyenne toujours plus
médiocre, tant sur le fond que la forme.
Mais heureusement certains luttent encore pour préserver ce lien
social! Par les radios associatives, par exemple...
et donc vous perseverez dans l'ignorance que vous pouvez streamer vos radio ?
Voilà un point intéressant que tu soulèves.
Bien sûr, une radio peut se contenter de streamer sur Internet, mais elle ne sera alors qu'une URL perdue parmi des millions d'autres.
Ce qui fait sa légitimité, c'est le lien social qu'elle bâtit en diffusant sur les ondes, sur un bassin de population bien défini, un message partagé par des milliers d'auditeurs.
Ce qui pose nécessairement le problème de la bande passante, de son partage, et de l'économie nécessaire de celle-ci: oui, si une radio veut être entendue, elle devra partager la bande passante, et elle ne pourra pas émettre à 320 kb/s.
La conséquence la plus préoccupante de la promesse gâchée du numé rique est l'impact sur les contenus et le lien social.
S'il n'existait de la vidéo qu'en 320 x 240 (format YouTube), Star Wars n'existerait pas. Mozart n'aurait pas écrit son Requiem de Mozart s'il n'y avait eu que des mini-chaînes MP3 pour l'écouter.
Mais au-delà des aspects techniques, le numérique impacte fortement le mode de production des contenus.
D'ores et déjà, le fractionnement extrême des audiences ("the Long Tail") diminue et morcelle nécessairement les moyens disponibles pour la création.
La poursuite des tendances actuelles du numérique (peer to peer, web 2.0...) nous amène directement vers un univers hobbesien (un état de nature ou chacun ne vit que par et pour soi), dans lequel chacun opère, diffuse et regarde SA radio, SES films, SES photos... connus de lui seul, à nul autre pareils - si ce n'est dans la médiocrité de la production.
Le lien social, forgé par des décennies de partage de bande passante, par une communion commune autour d'une culture et de messages largement partagés, quelle qu'en soit leur qualité, est ainsi dissous au bénéfice de la satisfaction individuelle, l'égotisme le plus forcené d'une consommation culturelle et informationnelle individualisée à l'extrême - et d'une qualité moyenne toujours plus médiocre, tant sur le fond que la forme.
Mais heureusement certains luttent encore pour préserver ce lien social! Par les radios associatives, par exemple...
jpw
"Silver0l" a écrit dans le message de news:
On 7 jan, 18:17, "Stephane Legras-Decussy" wrote:
et donc vous perseverez dans l'ignorance que vous pouvez streamer vos radio ?
Voilà un point intéressant que tu soulèves.
Bien sûr, une radio peut se contenter de streamer sur Internet, mais elle ne sera alors qu'une URL perdue parmi des millions d'autres. Ce qui fait sa légitimité, c'est le lien social qu'elle bâtit en diffusant sur les ondes, sur un bassin de population bien défini, un message partagé par des milliers d'auditeurs.
Ce qui pose nécessairement le problème de la bande passante, de son partage, et de l'économie nécessaire de celle-ci: oui, si une radio veut être entendue, elle devra partager la bande passante, et elle ne pourra pas émettre à 320 kb/s.
et ça va pas la tête quel intérêt du 320kb our le lien social ? la branlette mais à part ça ??
La poursuite des tendances actuelles du numérique (peer to peer, web 2.0...) nous amène directement vers un univers hobbesien (un état de nature ou chacun ne vit que par et pour soi), dans lequel chacun opère, diffuse et regarde SA radio, SES films, SES photos... connus de lui seul, à nul autre pareils - si ce n'est dans la médiocrité de la production.
pasque t'es con, mon gars youtube permet justement de partager
Mais heureusement certains luttent encore pour préserver ce lien social! Par les radios associatives, par exemple...
palmer ?? y cherche seulement à faire reluire son nombril
jpw
"Silver0l" <spamparadise@free.fr> a écrit dans le message de news:
6c419f0e-6a30-4098-8e36-d46454f1e887@f11g2000vbf.googlegroups.com...
On 7 jan, 18:17, "Stephane Legras-Decussy" <I_love@Arol> wrote:
et donc vous perseverez dans l'ignorance que
vous pouvez streamer vos radio ?
Voilà un point intéressant que tu soulèves.
Bien sûr, une radio peut se contenter de streamer sur Internet, mais
elle ne sera alors qu'une URL perdue parmi des millions d'autres.
Ce qui fait sa légitimité, c'est le lien social qu'elle bâtit en
diffusant sur les ondes, sur un bassin de population bien défini, un
message partagé par des milliers d'auditeurs.
Ce qui pose nécessairement le problème de la bande passante, de son
partage, et de l'économie nécessaire de celle-ci: oui, si une radio
veut être entendue, elle devra partager la bande passante, et elle ne
pourra pas émettre à 320 kb/s.
et ça va pas la tête quel intérêt du 320kb our le lien social ?
la branlette mais à part ça ??
La poursuite des tendances actuelles du numérique (peer to peer, web
2.0...) nous amène directement vers un univers hobbesien (un état de
nature ou chacun ne vit que par et pour soi), dans lequel chacun
opère, diffuse et regarde SA radio, SES films, SES photos... connus de
lui seul, à nul autre pareils - si ce n'est dans la médiocrité de la
production.
pasque t'es con, mon gars
youtube permet justement de partager
Mais heureusement certains luttent encore pour préserver ce lien
social! Par les radios associatives, par exemple...
palmer ??
y cherche seulement à faire reluire son nombril
et donc vous perseverez dans l'ignorance que vous pouvez streamer vos radio ?
Voilà un point intéressant que tu soulèves.
Bien sûr, une radio peut se contenter de streamer sur Internet, mais elle ne sera alors qu'une URL perdue parmi des millions d'autres. Ce qui fait sa légitimité, c'est le lien social qu'elle bâtit en diffusant sur les ondes, sur un bassin de population bien défini, un message partagé par des milliers d'auditeurs.
Ce qui pose nécessairement le problème de la bande passante, de son partage, et de l'économie nécessaire de celle-ci: oui, si une radio veut être entendue, elle devra partager la bande passante, et elle ne pourra pas émettre à 320 kb/s.
et ça va pas la tête quel intérêt du 320kb our le lien social ? la branlette mais à part ça ??
La poursuite des tendances actuelles du numérique (peer to peer, web 2.0...) nous amène directement vers un univers hobbesien (un état de nature ou chacun ne vit que par et pour soi), dans lequel chacun opère, diffuse et regarde SA radio, SES films, SES photos... connus de lui seul, à nul autre pareils - si ce n'est dans la médiocrité de la production.
pasque t'es con, mon gars youtube permet justement de partager
Mais heureusement certains luttent encore pour préserver ce lien social! Par les radios associatives, par exemple...
palmer ?? y cherche seulement à faire reluire son nombril