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Proposition de réaction utile télévisée à des situations sociales

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FredDecr
· Imaginez quelqu'un qui est toujours dans la lune. Peut-être l'est-il
parce qu'il ne vit pas dans un environnement aussi inventif qu'il le désire.
Il faudrait que la télévision lui aide à faire le lien entre la réalité et
son univers pour qu'il puisse le créer, le découvrir, s'habituer à ses
limites et s'y épanouir.



· Imaginez un automobiliste râleur, ou une pipelette bougonneuse.
Peut-être le sont-ils parce qu'ils ont vécu avec d'autres comme eux, père
râleur ou communauté fermée de pipelettes, qui vivaient trop loin de leur
source de critique pour ne pas chercher des solutions envoyées toutes
faites, tous ayant pris plaisir à se défouler de cette manière plutôt qu'une
autre. La télévision peut leur proposer une ambiance plus sereine de
critique constructive, de jeu, et leur faire vivre proche d'une vie remplie
de personnalités différentes, d'émotion et de déconcentration de leurs
problèmes récurrents.



· Imaginez un enfant qui joue toujours à des jeux dangereux, qui se
bat, qui est dissipé, et qui pourtant traîne dans la rue. Au lieu de lui
donner des médicaments, ce qui l'empêche d'accéder à certaines de ses
capacités, la télévision pourrait lui proposer des jeux donnant beaucoup d'émotions,
demandant beaucoup d'énergie, parfois un peu plus intellectuels, parfois un
peu plus osés, parfois un peu plus corporels, parfois un peu moins moraux,
mais de quoi trouver un chemin réconcilié, solidaire, utile et motivant.



· Imaginez un couple qui se dispute toujours, et qui est sur le point
de divorcer. La télévision peut lui montrer que tous les couples se
disputent, que les disputes paraissent futiles quand on les voit chez l'autre,
qu'une réconciliation est possible avec de l'adresse et de la volonté des
deux parties avant d'en arriver à faire le point, en commençant d'abord
soi-même, en admirant ce qu'on a déjà, en sachant passer outre quelques
défauts, et sans chercher l'introuvable, le futile ou à se prouver quelque
chose.



· Imaginez une femme qui a été violée par ses parents, qui a souvent
froid, qui maintenant aime regarder son enfant nu, ou un homme qui quand il
était garçon évoquait tout le temps des situations crues. Peut-être
pensent-ils systématiquement que leurs difficultés inexpliquées viennent des
situations difficiles qu'ils ont vécues. Peut-être leurs difficultés
viennent-elles du fait qu'ils se génèrent une vie en fonction d'un acte qu'ils
ont vécu et qui n'est pas reconnu, donc incompris et inexpliqué. Peut-être
se souviennent-ils avoir bien vécu ce moment, l'avoir voulu, et s'en veulent
de ce qui est arrivé à leur tortionnaire quoi qu'on en dise. Peut-être
a-t-on réussi à les convaincre que ce qu'on leur avait fait était mal, et
donc à réprouver, ainsi que leurs tortionnaires, la preuve étant qu'il n'existe
personne qui en dise du bien et que de tels cas s'ils sont connus vont
systématiquement en prison. La télévision pourrait rechercher s'il n'existe
pas de cas adultes ne correspondant pas aux théories de la psychanalyse,
solidifier cette science par ses propres travaux, accepter de parler des cas
illégaux qui comprennent une part de positif et dont par conséquent, l'absence
ne serait pas comprise.



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FredDecr
Titre : Le but de la vie
(Attention : c'est vraiment très long. Je vous conseille de l'imprimer et de
le lire dans le train)


Introduction au but de la vie

Il me semble que le monde ne va pas jusqu'où il peut et prend de mauvaises
habitudes. Il ne trouve pas toutes les réponses à ses besoins et ne rêve pas
assez de liberté, laissant pour compte certains prisonniers de leur
capacités. J'ai idée qu'il faut une solution lumineuse vers laquelle tendre
par temps adéquat. Je ne parviens pas à engager cette solution, qu'on
pourrait appeler "Chaleur bienveillante". Pourtant, j'ai un plan, que je ne
peux infirmer.

Lorsqu'on est jeune, on veut refaire le monde. J'ai décidé de consacrer une
partie de mon temps aux sciences que l'on peut découvrir par soi-même. La
réflexion m'a vite amené à rechercher le plus utile du plus utile. Aider les
autres ? Avec de la délectation intellectuelle ? N'étant pas compétent pour
définir un cours de Psychologie Appliquée ou d'Extériorisation Contrôlée, je
me suis amusé à définir l'émission qui étudierait le plus utile. Le plus
utile à tous, si l'on ne tient pas compte du futile et de ce qui ne concerne
pas beaucoup de monde, ce sont les bases de la pensée, les moins connues,
les plus originales, les plus rarement étudiées, car difficiles, abstraites
et théoriques. J'en ai fait un projet « L'enquête des Enquêtes », et trois
scénarii, « L'utilité de la télé » inclus dans le livre « Guide De L'tilité » et « Au plaisir des rencontres » ainsi que « Le monde semi-cohérent de
Sophie la Cohérente ».

Le plus utile dans une série de télévision ? C'est sans compter le dossier
de projet, qui décrit à tout réalisateur, scénariste ou producteur
altruiste, audacieux et en mal d'idées, le retraitement à effectuer sur ces
idées de base pour obtenir une série télévisée ou un film cinématographique
possédant les meilleures qualités. J'avoue que j'ai pris plaisir à l'adapter
à l'abstrait : La psychologie, la logique floue, les hypothèses incohérentes
éducatives, et la philosophie.

L'enquête des Enquêtes raconte à chaque fois une histoire qui se déroule
dans la société Les Enquêtes. Le personnage principal est Michel Centrique,
directeur des Enquêtes. Il doit ce jour étudier l'utilité de l'amour. Ce qui
est fait avec intelligence, critique ou compliments, dans un genre
humoristique, jeune, audacieux, franc, avec un appel automatique à la
perspicacité des téléspectateurs, sans tomber dans le problème de la grosse
tête, et sans vocabulaire compliqué (si l'on accepte tout de même qu'il y
ait un but d'utilité).

Fort de mes buts, de ma connaissance et de mes moyens, j'ai proposé à
plusieurs reprises ce sujet à Thierry Ardisson et aux chaînes de télévision,
réalisant ainsi une lutte constructive et participative pour la qualité de
vie, en envoyant des publicités à base d'intelligence et de sincérité.

Ce document, livré bénévolement au newsgroup fr.rec.tv.programmes et
fr.sci.philo est toujours une recherche rationnelle de la vérité, partant
presque de zéro, davantage axé sur la rétribution que sur l'étonnement, et
un témoignage d'une mise en pratique poussée des valeurs primordiales, en
passant par une sociologie restituant l'envie au devoir, la réflexion
personnelle à la morale, et en cherchant l'influence la plus efficace. Le
public doit apprécier le devoir de la culture, dont fait partie la
télévision publique, et l'aider à prendre une nouvelle dimension.


1. Le plus utile : De l'univers à l'amour

L'univers

Imaginez un univers qui s'échinerait à présenter les différents phénomènes
qui auraient intérêt à être travaillés, dans un environnement plus ou moins
fini, qui auraient un sens dont nous pourrions nous-mêmes déduire des
leçons, des principes récurrents, des choix apportant joies, jeux et
plaisirs, des idées à développer, des conseils, des évidences, et de quoi
détecter ses propres erreurs, ses complications inutiles, univers qui nous
présenterait des mystères étonnants de simplicité, de beauté, de réussite,
de complexité, de non-résolution, d'absurdité ou d'étrangeté à travers des
éléments attractifs qui font contraste avec, qui les observent, qui les
éprouvent, et qui les mettent en relief, étant sensés en préserver la
richesse, la connaissance et la valeur.
Pensez à des incidents conceptuels quasi-dramatiques qui demandent à mettre
en ouvre une organisation de l'intelligence impressionnante. Une société
insoupçonnablement composite ouverte à toutes les investigations possibles.
Des témoins caractériels aux constatations déroutantes. De géniaux
perturbateurs qui savent rendre inopérante une solution qui semblait enfin
être figée. Des outils indispensables, un peu trop délicats, au résultat qui
laisse perplexe. Des solutions inventives, renversantes mais pas forcément
adaptées.
Supposez une chaîne qui vous envoûterait jusqu'à l'intimité, vous mettant en
vie d'incroyables sagesses, s'offrant à vous jusqu'au cour de l'âme, ou vous
taquinant avec grand plaisir et un respect profondément engagé, vous donnant
une énergie respirant de santé, de désirs et de rêves, une envie de vivre
libre, sans détresse, de s'ouvrir, de s'allier à la nature et à la culture
et de les ressentir jusqu'au bout des doigts.


À la recherche du savoir

Comme quelque chose qui tombe, la matière ne pouvait que se structurer de
cette façon. C'est à dire qu'un atome n'est pas à l'origine de ses
semblables. Plus la Stabilité Naturelle apparaît, plus les transformations
sont rares.
Arrivés presque au bas de leur chute, ces matériaux ont laissé le temps à
des mélanges auto-générables, c'est à dire à l'origine de leurs semblables,
de se former, continuant ainsi la structuration. Puis sont apparus des
mélanges auto-générables constitués de mélanges auto-générables. Ensuite ces
mélanges sont tombés sur une matière qui permet une auto-génération rapide
du corps dont elle dépend, en le supervisant. Le cerveau.
Suivant la Stabilité Naturelle, puis la Sélection Naturelle, le cerveau,
aboutissement de la Sélection Relationnelle en son sein, est suffisamment
puissant pour transmettre ce qu'il découvre et pour apprendre bien plus qu'il
n'a le temps de découvrir. Il structure une société.
La société cherchera des solutions à ses problèmes. Exemple : Pourquoi l'eau
est-elle transparente ? Réponse : Parce que nous existons. Explication :
Sinon nous n'existerions pas.
Elle aura besoin de les vérifier, et de les protéger. Elle aura besoin de
généraliser, de théoriser et d'appliquer.
Il existe différents types de savoir : difficile, abstrait, théorique,
transposé, flou, non terminé, hypothétique ou pas tout à fait vrai. Elle
aura besoin de transmettre avec formulation ou astuce.

À la recherche des sentinelles du savoir

L'existence d'univers fait que certains peuvent aboutir à l'intelligence.
Cette dernière permettra de réaliser des recherches, du trop réel pour être
détecté au trop intuitif pour être cru.
Les philosophes sont les sentinelles du savoir, qu'ils mettent à jour et
dont ils protègent les bases.
Le plus important est la résolution des problèmes dans l'ordre d'importance.
Les êtres vivants ont accès à la détermination de problèmes.
Le plus important pour la vie est l'intégrité, la liberté, la fluidité et l'intensité.
A un niveau plus matériel, on peut aussi ajouter la sensibilité, l'intelligence,
la logique et l'amour (ces deux dernières sont intégrées à la fluidité).
À la recherche des sentinelles de l'application du savoir
Un risque est l'acceptation des gros problèmes et pas des petits problèmes.
L'amour est mesurable par la fluidité, la quantité et la quantité de
structures.
L'audace est une méthode d'accès aux qualités pré-citées, en évitant les
outils internes de conjuration de la peur (conjurateur par opposition à
inconscient qui vieillit).et le maquillage psychologique.
Je sais comme beaucoup de gens par intuition que la solution la plus
rentable contre les malheurs du monde en termes de simplicité, d'efficacité,
de diminution des malheurs et d'amélioration des mours passe par l'érotisation
des enfants dans de bonnes conditions, et d'autres choses de moins bonne
efficacité mais qui sont entraînées par ce premier principe.
Je me porte contre la guerre, l'illogisme, la méchanceté, la violence, la
peur, le mensonge, la répétition, la surévaluation, la manipulation, les
conjurateurs, les égocentrismes, les inconscients, les complexes, l'erreur,
la bêtise, les disfonctionnements, l'injustice, la faiblesse, l'absence de
diversité.
Je préconise la recherche de l'intuition, la logique du devoir, le devoir d'utilité,
la fluidité de l'amour et la transmission de l'envie.
Le problème le plus récurrent pour trouver le bonheur n'est pas la santé, ni
l'environnement, ni les informations, mais les autres. Voyez ce nombre de
personnes dont le problème est qu'il ne s'entendent pas, ces couples qui se
déchirent parce qu'ils ne savent pas accepter l'autre, en demandent trop ou
manquent d'un savoir vivre identique, ces pères qui crient sur leurs
enfants, ces gens qui ne savent plus s'exprimer suffisamment pour trouver
des amis.
Ils auraient bien voulu apprendre dès leur enfance les possibilités de vie
fonctionnelle en plus de règles, avoir des parents réceptifs, une école qui
transmet les qualités morales entre autres, des camarades agréables et qui
partagent leurs richesses morales, qui sont d'ailleurs les seules qui
comptent vraiment. Mais avant tout, pour régler le cercle infernal, savoir
qu'il faut tout faire pour devenir bon camarade, bon parent, bon
travailleur, bon citoyen, et le faire.


Le plus utile

Si des extraterrestres décident d'aider le monde, que feraient-ils ?
Ils commenceront par chercher ce qu'ils peuvent résoudre. Par exemple, ils
enlèveront les obstacles qui gênent le parcours normal des choses, ils
détruiront les barrages hydrauliques.
Puis ils auront l'impression de pouvoir mettre à profit leurs moyens et
leurs capacités inutiles plutôt pour dégager la route des êtres pensants,
aider l'homme, chercher le chat de la femme de ménage de Francfort. Ils se
diront après un moment qu'ils sont enfin utiles, car ils mettent à profit
toutes leurs ressources. Il faudra dès lors choisir les tâches les plus
pertinentes, en cherchant ce qui peut avoir un impact sur tout le monde avec
le moindre effort.
Même après un judicieux apprentissage, ils découvriront qu'ils ne peuvent
aider le monde que si celui-ci l'accepte, c'est à dire si l'aide n'entre pas
en conflit avec des préjugés ou ses propres buts auto-destructeurs. Ils
pourront cependant agir en dissipant de l'information là où elle est utile.
Expliquer aux responsables leurs méthodes pour le bien-être, la sécurité, l'économie.
Ils analyseront avec les responsables politiques, économiques, sociaux,
culturels et théologiques leurs méthodes, pour en tirer la théorie et en
améliorer la pratique. A savoir : la recherche en association avec la
télévision sur le social sera le plus productif (psychanalyse à revoir et à
fixer proprement, analyse des préjugés et des caractères courants, recherche
de l'ambiance et des idées les plus enrichissantes).
Mieux, ils essaieront de guérir des mauvaises habitudes, de permettre d'en
acquérir d'autres utiles et de créer de bonnes amorces. Ils provoqueront l'existence
de morales, de convictions, d'envies, de diversité, d'exemples (bons et
contres-exemples, montrer des facettes qu'on peut choisir pour sa
personnalité), de responsabilité et d'intelligence. Parmi l'intelligence, il
y a dans l'ordre d'importance les informations, la communication de logique,
la transmission de logique, la logique de communication, le décodage des
émotions, la décomposition des émotions et la culture particulière en
dernier.
L'absence de moteur de réflexions, d'ambiance, d'altruisme et de
responsabilité de la part des médias aboutirait à des préjugés et des
jugements orientés


Théorie sur la génération implicite d'univers (évitez de lire ce paragraphe)

Une fonction mathématique pourrait, si on voulait bien compliquer la chose,
avoir plusieurs résultats. Bien au-delà, un cerveau, ou même l'univers réel,
sont le résultat de leur état précédent auquel on ajoute un temps infime.
Ils sont définis avec une infinité de paramètres, de récursivités
partielles, et de résultats, donc incalculables humainement, mais ils sont
définis tout de même.
Une définition est universelle, bien sûr. La même définition avec les mêmes
paramètres aboutit aux mêmes résultats. L'univers réel est en quelque sorte
une « relation ».
Notre univers est défini jusqu'à plus petit encore que la molécule, l'atome,
l'électron, le photon, plus décomposable encore que l'attraction, le temps,
l'espace, le commencement, mais défini tout de même.

La notion d'épaisseur : *Un principe peut ne pas définir tous les paramètres
de son futur. *Un principe définissant tous les paramètres de son futur est
complexe, donc rare, et dénombrable, donc sans épaisseur. *Si tous les
paramètres du futur du principe ne sont pas précis, le principe voit sa
probabilité générale ne pas diminuer, et tous les futurs existent, avec
chacun une infime probabilité. *Un principe avec un futur peut voir sa
probabilité augmenter car il obtient une épaisseur. *Un principe avec
beaucoup de futurs peut voir sa probabilité augmenter car il obtient une
seconde dimension, parfois plus. *Un principe avec futur a besoin de
posséder une intelligence pour être perçu. *Donc, il peut exister des
univers qui ne sont perçus par aucune intelligence. *Un univers perçu
possédera nécessairement l'environnement propre à la génération de l'intelligence.
*Un animal peut percevoir son environnement. *Le percepteur aura souvent
raison s'il pense qu'il est une intelligence très probable, mais rien ne
sert d'en tenir compte. *Le futur perçu est défini par l'ensemble des
conséquences qui communiquent entre elles, qui étaient prévisibles et qui
sont viables pour faire évoluer l'intelligence et son environnement. *Un
futur perçu aura tendance à avoir une influence utile à la probabilité de l'intelligence.
*Donc, il peut exister des principes qui causent une multitude de futurs,
dont certains ne sont pas perçus bien qu'ils suivent des lois systématiques
du principe. *Les futurs générant des futurs peuvent voir leur probabilité
augmenter. *Donc, le percepteur se trouvera fréquemment dans un univers
ayant une destinée de grande épaisseur et un maximum d'infinités de
destinées futures.

La notion d'imposition : *Dans une probabilité donnée, un univers de
sous-probabilité égale à 0 est moins probable qu'un univers dont la
probabilité tend vers 0. *Donc les univers les plus enclins à tendre vers l'infini
sans y parvenir sont les plus probables. *Donc les univers les plus
probables sont les plus enclins à tendre vers l'infini sans y parvenir.
*Rapportés à une probabilité générale finie et fixe, les univers les plus
probables ont en quelque sorte tendance à pousser les moins probables, pour
peu qu'il y ait un lien de provenance et d'identité entre les univers
presque identiques. *Donc des règles d'imposition des univers qui ne tendent
pas vers l'infini se définissent toutes seules à partir du principe, afin de
se reconnaître, de se différencier, de se pousser, ou de fusionner,
partiellement ou complètement. Ils s'influencent afin de suivre la tendance.
*Les principes dont les règles d'imposition sont les plus souples sont les
plus probables. *Un principe qui définit des coefficients d'identité qui se
repoussent (distance entre deux points à droite, en bas, devant, précédence
dans le temps.) d'une source unique est très simple. *Si la position dans
une dimension est une donnée appartenant à l'ensemble mathématique des
réels, la dimension peut être infinie mais imaginaire et la position non
matricielle. *Les règles d'imposition font tendre des univers non
dénombrables vers des univers dénombrables, à l'infiniment petit. *Les
principes ayant des règles non dénombrables restent très probables. *Donc,
la meilleure solution est un compromis entre les deux à l'infiniment petit.
*Donc, tous les futurs n'existent pas. Juste une presque infinité. *Les
règles d'imposition tendront à lier les futurs les plus probables aux passés
les plus probables. *Les règles d'imposition feront que le temps avancera à
petits pas. Juste une presque infinité. *Les futurs qui deviennent moins
probables doivent laisser un peu de place aux futurs presque identiques qui
augmentent leur probabilité. *Donc un passé très probable avec un futur
improbable est une histoire moyennement probable. *Un lien existe donc entre
le passé et le futur, entre le futur et le passé. *Les passés les plus
probables peuvent donc même être des résultats de futurs très probables. *Un
passé peut imposer un futur ou une partie de futur choisi parmi plusieurs
très probables partant du même instant infime plus tôt. *Un futur peut
peut-être imposer dans une moindre mesure un passé ou une partie de passé
choisi parmi plusieurs très probables partant du même instant infime plus
tard. *Il existe donc une tendance à répandre plusieurs raisons de
probabilité à la fois. *Donc, seuls les univers à probabilité importante et
comparable existent, mais peuvent partir d'un principe qui au départ n'existait
pas. *Les univers les plus aptes à posséder beaucoup de résultats sont aussi
les plus aptes à générer le plus de résultats, ceux-ci se ressemblant. *Il
existe donc des types d'univers plus probables que les autres.

La notion de structure : *Les univers rendant un résultat identique
répétitif deviennent plus probables. Il est aussi apte à l'imposition. *L'intelligence
structure la destinée de son univers, structure venant multiplier les
destinées du chaos car elle fait se dépendre des parties qui auraient pu
être identiques. *Donc, un univers contenant beaucoup d'intelligences a une
plus grande probabilité. *Un univers possédant une intelligence générant
volontairement des conséquences dépendant d'un maximum d'autres paramètres
sera le plus probable. *Donc l'intelligence aura tendance à se retrouver
dans une structure la rendant très probable, probabilité s'inscrivant dans
la probabilité de son univers mais qui n'est pas la même. *Donc, un univers
contenant beaucoup de structures a une grande probabilité.


Théorie sur la génération implicite de dieux

Une société, dans son évolution normale, mais très évoluée, ne peut que
décider un jour d'envoyer des satellites hors de son système solaire. D'abord
quelques-uns, puis les milliers d'années passant, elle laisse cette tâche à
une usine totalement automatisée. Les millions d'années passant, ce qui est
peu, il devient impossible qu'une planète pouvant offrir la vie ne soit
repérée. Puis ils enverraient des robots capables de se poser sur les
planètes. Envoyer des êtres vivants, ce serait plus dur à gérer.

S'ils ne décident pas de s'y installer, ils auront envie d'y engendrer la
vie, par exemple en déposant la cellule originelle. A moins que cela ne soit
fait naturellement. Par contre, il serait totalement impensable qu'ils ne
laissent pas ces robots régulièrement analyser l'évolution sur chacune des
planètes. Cela deviendrait gênant lorsque apparaîtraient les êtres pensants.
Mais c'est aussi la période la plus intéressante. Quelle sera la solution
pour les observer ? Nos ondes hertziennes et nos propres études pourraient
leur suffire.

Mais imaginez qu'inéluctablement, on réalise tout ce que permet la
technologie, et qu'on aille au bout de toutes les techniques. La biologie
constituera des êtres surdoués, communiquant tellement qu'ils sembleront ne
faire qu'un. Les autres technologies les auront tellement assouvis qu'ils s'ennuieront.
La science de la philosophie poussera l'humanité à aider les autres, à faire
aboutir les buts et à empêcher l'irréparable. Cette humanité semblera un
Dieu.

S'il est possible de remonter le temps, ils auront pu introduire une
intelligence se servant de cette technique pour sembler parfaite et pour se
cacher. C'est l'hypothèse la plus probable. Elle pourrait avoir le
fonctionnement suivant : Un centre autoréparable, à la fois biologique et
informatique, s'alimente, fait remonter des informations dans le temps,
communique avec ses acolytes qui réalisent les tâches demandées. En
particulier modifications génétiques pendant des millions d'années, puis
faibles courants par exemple dirigés par champ magnétique vers les cerveaux
au moment exact où cela change le destin du monde. Détection : Il existera
alors dans le monde des faits dont l'intelligence de la source est plus que
probable : On n'aurait même pas su les inventer nous-mêmes. Il serait facile
d'orienter le futur avec une précision extrême, et pourtant de façon
naturelle. Il serait facile de lire dans le futur et par conséquent dans le
cerveau. La conservation du secret de son existence ou d'autres saurait être
totale (si elle est voulue), cumulant les corrections à l'infini. Le secret
sur les OVNIS peut y être lié. L'échauffement d'objets par rayon, le
déplacement par échauffement, ou des sensations artificielles sont
réalisables. Une théorie qui rend plus humain et même plus divin ce Dieu
serait qu'il soit un être créé par les hommes d'un futur et ait remonté le
temps, pour ensuite créer et améliorer une humanité, suite immuable qui se
répéterait à l'infini, sans qu'on sache qui vient d'où. Ses credos : l'influence,
le parfait (une infinité d'essais pouvant être réalisés avant que le
résultat ne soit accepté, encore faut-il que celui-ci soit quantifiable, car
il faut exiger les mêmes conditions malgré un univers différent). Par
contre, les vrais miracles ne sont pas une chose simple.



2. Topo psychologique


Le devoir de la culture

Le plus actif pour remédier aux problèmes des autres, ce sont :
Les parents
Les éducateurs
L'enfance
Les amis
La qualité de l'information (elle peut même aller jusqu'à présenter ce qui n'est
pas sûr avec son taux d'assurance, même informel).
Un grand nombre d'outils de transmission loyale.
Des émissions de dons à des associations (peu rentable sur l'échelle de l'utilité).
La culture (trop peu sert réellement).
L'éducation (Transmission de qualités : c'est déjà mieux. Les profs.
répondent présents).
Le développement moral et les bases utiles de la connaissance. (Le plus
utile).
La télévision (Efficace. sachant que ce qui marche, ce ne sont pas les
plaisirs uniquement superficiels, qui ont un but de tromperie).
Autant se glisser dans une synergie de transmission participative de
motivations, de qualités, de corrections, d'explications, défaisant la
répétition, amorçant toutes les directions positives, dont certaines plus
positives, avec un faible pour la faiblesse, la diversité, les qualités
rares. Pour cela, il faut bien connaître ce qui est en réalité bon.
Dans l'univers médical, social et télévisé : Il faut compter sur les
bienfaits du silence, des bienfaits de la présence, des bienfaits de la
confiance, la vraie confiance, la communication humaine, artistique, ou
réparatrice, et la transmission de motivation et de valeurs positives.


L'application de l'utilité à la télévision publique

Une chaîne se doit d'être utile, surtout si elle est publique.
Elle doit bien sûr délivrer des informations, mais aussi des explications.
En outre, ce qui reste d'important est d'influencer de temps en temps par
les règles et les devoirs d'ambiance qu'on s'impose, les convictions des
français, leur caractère et leur philosophie pour corriger les principaux
maux reconnus par beaucoup que sont l'individualisme (de l'égoïsme à la
manipulation), le manque de confiance et la méconnaissance. Cela varie de
décennies en décennies.
Les chaînes doivent s'imposer certaines restrictions afin de ne pas
provoquer chez le spectateur des émotions gênantes et inutiles : chocs,
erreurs involontaires, manque de tact cinématographique, envies gênantes,
irrespect des lignes éditoriales internes.
Hormis ces restrictions applicables à l'ensemble des ouvres, elles doivent
permettre l'expression des pensées intuitives, exceptionnelles et originales
représentées par les artistes du cinéma, leur laissant toutes
responsabilités une fois le choix de l'ouvre réalisé, en prenant garde de ne
pas oublier de créneau. Le tout est de bien informer des risques avant la
diffusion.

Elles doivent aussi mettre au point une catégorie bien séparée d'ouvres
cinématographiques provoquées, qui donc répondent à des critères de domaine,
de limitation ou de création de centres d'intérêts.
Ces ouvres dont font partie les reportages, les magazines et les séries
courtes, s'ils ne font pas appel à des qualités particulières, ne devraient
pas provoquer de mauvaises habitudes. C'est à dire qu'elles doivent se
débrouiller pour ne pas trop provoquer de méchanceté (dont la vengeance, le
sadisme), de perversité (dont font partie tous les pêchés), d'individualisme
(dont le vol, le profit gênant, l'absence de responsabilité), de conflits
stériles ou graves (dont l'absence de confiance, l'intolérance, l'erreur de
jugement, l'absence de souplesse).
Ces ouvres doivent même guérir de ces mauvaises habitudes, et permettre d'en
acquérir d'autres utiles. Elles doivent provoquer l'existence de morales, de
convictions, d'envies, de diversité, d'exemples (bons et contre-exemples,
montrer des facettes qu'on peut choisir pour sa personnalité), de
responsabilité et d'intelligence. Elles pourraient utiliser des
organisations qui vérifient que la société ne manque de rien. Parmi l'intelligence,
il y a dans l'ordre d'importance les informations, la communication de
logique, la transmission de logique, la logique de communication, le
décodage des émotions, la décomposition des émotions et la culture
particulière.
Il ne faut cependant pas tomber dans des travers qui consisteraient à avoir
une télévision entièrement, continuellement et excessivement structurée,
déroutante, labyrinthique, trompeuse, artificielle, dure, surlimitée (ou aux
limites excessivement indistinctes), savoureuse, sauvage, ou excessivement
imaginaire alors que la réalité l'est aussi.
L'important est de ne manquer de rien et de redonner un sens à la
responsabilité, à la gentillesse, à la qualité et à l'intensité. L'amour, c'est
déjà un peu tout ça. C'est la meilleure façon d'éliminer les maux dont la
vision sera normalement traitée comme un acte inimitable. Mais la morale
fait peur. Il existe aussi pourtant une morale constructive. Il faut que les
scénaristes se l'avouent : Ils se limitent déjà dans certaines proportions,
suivant leurs propres raisonnements, parfois à but destructeur.
Le tout est de générer un monde où les êtres ne regrettent presque rien de
leurs choix passés : Ni à la fin de sa vie, ni dans la majorité de la vie de
l'humanité, ni en mauvaise conscience, ni en pensée.

Je ne pense pas que la télévision à lors actuelle aille à l'encontre de la
déontologie qu'elle doit se fixer, et je pense que les réalisateurs méritent
en général la confiance qu'on leur attribue.
Les séries n'ont pas les moyens de gérer leur propre perception, surtout s'il
y a besoin de qualité. Je pense que les chaînes devraient limiter les
univers glauques, irresponsables, pessimistes, de sadisme inutile (plutôt
que d'irresponsabilité rationnelle), des émotions et des sentiments erronés
par rapport à la logique de l'humain (sauf s'il y a une raison), du sang,
des coups de feu meurtriers (sauf exception humoristique). Si on sait bien
interdire une passion si futile et si amoureuse que la pornographie, on doit
bien savoir interdire les coups de feu meurtriers dans les séries avant
22H00 ? On doit pouvoir faire confiance aux chaînes pour qu'elles puissent
ne pas tenir compte de ce genre de remarques si elles pensent faire des
séries de qualité.
Je suis contre la limitation du nombre de films à la télévision, afin de
diminuer le nombre de séries. De toutes façons, en France, on va au cinéma
pour voir les nouveaux films intéressants sur grand écran, dans le noir, au
calme, sans bruit. On pourrait, à l'opposé, allonger un peu le temps avant
passage à la télévision, et demander à ce que les films soient diffusés deux
fois dans l'année, pour profiter de leur qualité. Tous les films ne peuvent
pas passer à la télévision, et c'est un peu un manque. Cela dit, les
téléfilms sont là pour prendre la relève.
Je suis certain que les films et les chansons français apportent des
réflexions et des expressions d'émotions uniques en leur genre, nombreuses,
utiles et nécessaires pour conserver certains de nos atouts et notre
différence. Les voici : De l'apologie de la réflexion, des problèmes
sentimentaux (qui sont une réflexion) uniques en leur genre, simplistes,
authentiques, décontractés, spontanés, diversifiés, libres, composés de
petits clins d'oil hors-sujets.

Les films sont utiles, les documentaires sont utiles, les débats sont
utiles, les séries sont inutiles, les jeux apportent des informations finies
et froides. On pouvait penser que les grandes marques auraient l'intention
de nettoyer l'antenne. En réalité, elles apportent de petites séries
remarquables, et sponsorisent les émissions les plus audacieuses.
« Tribus » (présenté par Thierry Ardisson) rentrait au cour des goûts
concrets et des idées des français marginaux, témoins de la diversité, de la
qualité et du plaisir maximum possibles. Elle possédait une analyse
audacieuse, claire et réfléchie. Elle avait des sujets imaginatifs bien
maîtrisés. Elle permettait aussi de réfléchir pour le plaisir.
« Jour après jour » (présenté par Jean-Luc Delarue) semble le Tribus de la
psychologie. Elle dévoile les subtilités de la vie de tous les jours chez
les autres, et les subtilités de comportements connus un peu marginaux.
Explications et exemples compris.
« L'instit » dévoile les subtilités de tous les jours avec une bonne
maîtrise. Gérard Klein est à l'aise dans un rôle qui délivre des analyses
diverses intéressantes. Sa conviction solidaire et progressiste est
transmissible.
Les films s'attachent à présenter un maximum d'éléments, et ont de ces mises
en évidence ou de ces petites phrases très utiles, comme lorsque dans la «
Cité des enfants perdus », film à magie sombre qui fait la part belle à la
diversité et à l'imagination, et au brossage exact de personnalités
étranges, le clone découvre l'enfant dans l'ascenseur à plats : « Mais ça n'a
pas d'importance. Vous aviez faim sans doute mon ange, approchez. Mais
approche ! Pas de violence monsieur. Après tout, c'est maintenant notre
hôte. Le poids si particulier de la solitude n'épargne personne ! Même pas
les grands esprits. C'est vous dire à quel point j'apprécie une visite aussi
spontanée qu'est la votre ». On découvre les dessous d'une personnalité qui
ne parvient pas à accéder aux rêves. On sent tout ce qu'ils impliquent dans
la conversation courante, et on sent qu'il s'agit de l'expression au sein du
cerveau de la partie gaie des sentiments, avant l'extériorisation.
« Laisse tes mains sur mes hanches » laisse les relations que désirent les
protagonistes s'écouler sans barrière, d'où une forme d'humour. Les
banlieusards apparaissent des gens normaux, et l'impossibilité de dormir à
cause de « Ton mari, le connard et les gens qui vous réveillent la nuit »
est aussi naïf que ce que l'on croit (Connard étant le nom du chat), et fait
perdre la peur indistincte des gens.
« Chouchou » présente une église plutôt qu'une mosquée, avec l'extrême
gentillesse, profondeur, abstraction et charité qui caractérise les prêtres
et leur religion mature.
« L'histoire sans fin » met en relief l'importance de l'amitié, du rêve et
de l'imagination. « Nous le trouverons. - Et tu sais où sont les limites de
Fantasia ? - Je n'en ai pas la moindre idée ! » laisse présager de la
confiance et du bonheur que doit procurer l'optimisme de l'ami parfait.
Ces émissions sont ce que certains comme moi attendent de la télévision.
Plutôt que des tests en aveugle, des déversements d'émotions aveugles aux
raisonnements, et donc en prise aux préjugés, des raisonnements aveugles au
fondamental, à l'imparfait, à l'erreur des autres ou aux émotions, ou des
exemples dépourvus de raisonnements.

Ce serait une inquisition que de présenter au public des émissions qui vont
au-delà de ce qu'il demande à un point gênant pour lui. Pourtant, l'ambiance
générale de son propre pays n'est pas une valeur absolue mais relative, pour
chaque être. La preuve est qu'il existe des régimes dictatoriaux emportant l'adhésion
du peuple.
En France, comme dans beaucoup de pays du monde (hormis dans le monde du
spectacle, dans la pratique avant 1990 et dans la théorie après 1999), l'intelligence
veut maîtriser totalement les émotions, dites non contrôlées. C'est du moins
ce que recherchent les socratiens et les freudiens, avec leur théorie de la
modération, au contraire des artistes dont fait partie la publicité. Les
émotions, au contraire, peuvent être logiques, et auto-limitables car sur
une bonne pente. C'est du moins une théorie qui doit être acceptée aussi.
Il faut rendre « fluide » et protéger « l'amour ». Il faut rechercher le
vecteur facial souple en quantité plutôt que le vecteur facial dur ou le
frontal. Car l'émotion est la vie, un besoin, et doit donc être mise en
avant, dans tout son besoin, tout besoin méritant une solution adéquate, et
peut n'être maîtrisée que partiellement, en provoquant un minimum de
frustration (à moins d'être un aventurier de l'émotion), et un minimum de
barrières, de gestion de barrières, et de barrières de barrières. Une
télévision proposant certaines qualités les verra se propager (exemples,
respect, recherche, envie et acceptation de l'amour, de l'imagination, de la
loi, du parfait, de la morale, de l'émotion, de la logique, de la diversité,
ainsi que de l'erreur utile et l'immoralité utile). Hélas, certaines
idéologies impersonnelles (le commerce, l'individualisme, la sécurité, l'occulte)
ont leurs logiques récurrentes.
Une chaîne publique digne de cet adjectif se doit de présenter des acteurs
qui formulent les vérités évidentes les plus amusantes, les plus
audacieuses, les plus imaginatives, d'autres, et les moins formulées. Elle
doit délivrer la tendance, afin que les êtres ne soient pas dans l'erreur
par méconnaissance ou par incapacité. Elle doit insister sur la tolérance,
la tolérance de la différence, de l'excentricité et de l'inventivité, aussi.
Elle doit utiliser l'intérêt pour intégrer l'utile.
On peut tester l'audace d'une chaîne à l'existence d'un jeu comme le « Code
de la route » pour le comportement de la vie de tous les jours. Si la chaîne
est intelligente, elle se rendra compte qu'elle ne peut pas se limiter aux
idées les plus courantes et les plus sûres, et pour cela, elle doit agir
avec humour. Un exemple de question : « Pour vous, « ça » peut-il être un
objet quelconque, un aliment, un monstre, ou Dieu ? ». Réponse : « Tout est
possible. Ça est un pronom, l'abréviation chimique du Calcium, un être écrit
par Stephen King, et le sens commun que tout être parfait essaiera de mettre
en place ».


L'expression amoureuse à la télévision

Mon avis personnel sur l'expression amoureuse va dans le sens d'un art beau,
passionné, intègre, imaginatif, moins commercial, moins provoquant, plus
féminin, plus authentique et plus intime. Ces critères manquent quand l'art
érotique est renié (à cause d'un unique but commercial, d'une honte ou d'une
mauvaise qualité). Les extraits amoureux dans les films d'anthologie
possèdent ces qualités. Les films érotiques sont de qualité variable. Les
films pornographiques ne songent qu'à provoquer une émotion sexuelle.
L'expression amoureuse titille et subit les interdictions sans valoir la
peine qu'on lui dévoue. C'est sans doute à cause d'un détournement de l'instinct
amoureux en son contraire, le mélange de sa propre honte et de la honte des
autres. Le pire est le dévouement de la justice, qui en est encore à la
sexualité de Rousseau.
Je pense que toute censure devrait être accompagnée d'une diminution de la
censure sur les domaines utiles à la société.
Je pense par conséquent qu'on ne peut pas demander aux chaînes de faire
attention aux atouts des ouvres sans citer ces atouts : Faire de la qualité
en elle-même, Montrer des gens responsables comme héros, faire rire en
montrant des sur-responsabilités (une spécialité de l'EDE), diffuser de la
logique, de l'intelligence, diffuser quelques mots de vocabulaire rares et
utiles, diffuser le décodage et la décomposition de la psychologie de l'homme,
diffuser de la passion, diffuser de l'amour (intimité en particulier, qui
est le propre de l'amour, opposé à la colère, qui projette au lieu d'agir
avec un maximum d'interactivité), diffuser de l'intégrité des passions et
des buts, autoriser les univers glauques (s'il s'agit de résoudre ses
problèmes psychologiques), autoriser davantage dans le cas d'intimité (les
mots crus, l'intelligence spontanée et imparfaite, la légère perversion, l'illégalité
responsable et légèrement passionnée, si en même temps on apporte une
réflexion à ce sujet différente du standard).

Voici les qualités qui pourraient rendre les films érotiques utiles et donc
aptes aux autorisations :
Je pense qu'on devrait empêcher de mélanger érotisme et meurtre ou horreur.
Ce sont des contraires, qui ne se mélangent même pas dans la réalité. Mieux
vaut obliger les scénaristes d'érotisme et de pornographie à décomposer l'infinité
de méandres possibles de la psychologie, en leur donnant davantage d'autorisations
s'il y a la qualité. Par exemple la possibilité d'interdire des films
érotiques uniquement à moins de douze ans. Car les films érotiques
correspondent aux attentes de cet âge-là. Il faut plus de deux ans pour
passer d'un besoin de film érotique à des films pornographiques (qui ne
répond d'ailleurs à aucune utilité).
Les ouvres érotiques ont en commun des atouts qui leurs manquent. Il faut
avouer ce que tout le monde sent même si on le sait déjà. Il faudrait qu'elles
fassent de la qualité elle-même, cacher le but commercial, montrer des gens
aux passions intègres, qui ne provoquent pas (l'air de rien, on a associé la
provocation à l'érotisme et par conséquent on l'utilise systématiquement,
penser aux visages hideux des femmes dans les magasines correspondants ; Le
contraire est l'authenticité des émotions), plus féminins, plus intimes,
plus diversifiés, et avec les défauts qui peuvent être aussi des qualités.
Il faudrait leur autoriser les passions déviantes si elles en font une
véritable étude, tout au moins par l'explication, et transposent
correctement leurs conséquences et leurs corrections : La tristesse, l'homosexualité,
l'inceste, la pédophilie, le masochisme, le sadisme, la vulgarité. Mais pas
la drogue ni la zoophilie qui ne sont que des faits, sans décodage ni
décomposition psychologique possible.
L'érotisme peut ne pas être géré comme émotion du spectateur mais pour
obtenir une ouvre culturellement intègre, pour aborder des problèmes
rarement abordés et pouvant même parfois servir d'attirance pour une ouvre à
but utile, de même que les autres émotions divertissantes. Si le
divertissement est bien géré, s'il sert de présentation, s'il ne crée pas de
déviance, je suis pour l'alliance analyse-divertissement (une spécialité de
l'EDE).
Ces ouvres pourraient en profiter pour être utiles, c'est à dire diffuser de
la logique, de l'intelligence, de la responsabilité, quelques mots de
vocabulaire rares et utiles, le décodage et la décomposition de la
psychologie de l'homme.

Il y a un intérêt à accroître leur approche psychologique :
Ces ouvres peuvent chercher à diffuser de la diversité, en recevant une
autorisation d'intégrer des passions non raisonnables si leurs conséquences
ou leurs corrections apparaissent clairement dans l'ouvre. Car certains
problèmes psychologiques peuvent être des avantages pour les victimes, et
donc être au moins être abordés dans les films. Cela crée une différence,
une utilité à la société, comme par exemple les problèmes qui poussent à
réfléchir davantage constamment, qui poussent à exprimer des émotions, à
être gentil, à être plus résistant, plus sensible, à livrer facilement son
intimité, à réfléchir aux émotions et à être plus intègre ou plus
responsable. La connaissance de l'homme découle d'ailleurs de problèmes, à
doses raisonnables.
On doit chercher à diffuser ce qui se passe dans l'intimité si en même temps
on apporte une réflexion à ce sujet différente du standard, car elle est le
propre de l'amour, qui agit avec un maximum d'interactivité, opposé à la
colère, qui projette, ou la froideur, qui est inaltérable. Cette approche
est donc importante pour tout type de film, ce qui d'ailleurs est bien
perçu.
On peut chercher à diffuser les défauts qui peuvent être de qualité :
Curiosité, spontanéité, laisser aller, excentricité, absence de propreté,
émotions qui gênent la raison, vulgarité, tristesse, peur, diversité.

Je suis choqué par les sexes cachés dans les reportages. On doit accepter
une intégrité de l'image s'il n'y a pas de but érotique. La vue du sexe n'est
censé que perturber un peu les enfants, c'est une habitude à ne pas prendre
pour ne pas émousser les sens ou les prendre à revers, mais il n'y a pas
vraiment de nocivité implicite. La vue du sexe est esthétique, intègre et
pas automatiquement perturbant.
Le naturisme est une intégrité des sentiments, des sens, de l'intimité et
est donc utile. Je pense qu'il faudrait qu'il y ait des naturistes en tenue
dans les reportages et dans les films comme il y en a dans la réalité. Il
faudrait provoquer un film en milieu naturiste, sur un sujet gentillet, naïf
et naturiste, profitant d'images filmées façon intégrité de l'être, et avec
des convictions naturistes (celles des organisateurs comme celles des
adeptes). Le film tourné récemment possédait énormément de maquillage
psychologique, le contraire du naturel.
Je considère la revue Jeunes & Naturels comme la plus belle du monde et par
conséquent utile et à conserver à la Bibliothèque Nationale. Il n'y a pas
plus beau paysage qu'un humain, il n'y a pas de plus bel humain que l'enfant,
il n'y a pas de plus beau vêtement que la nudité, et il n'y a pas de plus
belle position que le jeu, que ne pratique que l'enfant. Elle ne possédait
pas de publicité et avait des textes de conviction naturiste. Je suis
certain que l'intimité et l'intégrité nécessaire et exprimée du naturiste
empêchent d'en faire une déviance.

Pour les enfants de 6 à 12 ans, il serait bien de baser des dessins-animés
sur le décodage et la décomposition des émotions et des sentiments naturels
de l'enfant qu'a fait Nadine Monfils (« Contes pour petites filles
perverses », Versions 1 et Laure, plus pour adulte, aux Éditions du Rocher).
Ces contes sont très féminins, très intuitifs, touchent à tous les sens,
très érotiques aussi (bien pour un livre, mais pas pour l'écran), et
permettent à l'enfant de découvrir son espace de liberté. Cela lui permet de
mettre en place des rêves à partir de ses envies, les conséquences à partir
de ses rêves. On pourrait interdire un tel film aux moins de douze ans sauf
enfants accompagnés.
Mais il faut l'accord des parents. Il y en a beaucoup qui n'y ont jamais
réfléchi et même ont oublié leur enfance. Ils ont un avis plus sévère que
les psychiatres. Qui ont un avis plus sévère que les artistes, que je trouve
souvent de ton juste, mais il leur manque de l'altruisme. A France 2 de
trouver la solution.
En ces temps de normalisation, j'ai des doutes sur l'inexistence totale de
cas d'inceste qui auraient été utiles ou plaisants, ou les deux. Pourtant,
cela ne coûte rien d'interroger des adultes, bien qu'on ne puisse pas
beaucoup prouver la véracité ? Le danger provoqué par une telle affirmation
est nécessaire. Il suffit juste de le relativiser explicitement pour les
adultes intelligents. Cela peut à la fois augmenter l'assurance (c'est vrai)
et augmenter la relativisation (perte du mode fantasme, perte du besoin d'analyse
personnelle de l'inconnu) par l'intermédiaire de la connaissance.


L'application de la communication

Quel sens donner à sa vie ? Chercher le bonheur ? Non. Pour moi, celui-ci
est accessible à tous et sans effort : On peut obtenir sa motivation en
rêvassant, ou en profitant activement d'instants tout simples, ou d'échanges
humains. Par contre, je pense qu'on devrait tous profiter de notre
motivation première pour participer dans un maximum de communications à un
mouvement d'ensemble de transmission du plus important, et le transmettre
lui-même. En particulier les sociétés d'état et les personnes ayant des
responsabilités.
Je pense que le grand problème actuel dans la société, sournois, causé par l'abus
de contrôle, est un outil de conjuration de la peur que chacun possède, et
qui se détecte par un faux jeu, qui est volontaire au début. Thierry
Ardisson s'est protégé par un double-jeu, et c'est maintenant son vrai jeu
qui prend la parole, tous désirs compris et adaptés. L'absence de l'outil de
conjuration nécessite une précision et une absence de paresse intérieures.
Ceci dans la fameuse classification des outils de dépendance des Enquêtes :
Amour - Autorité - Manipulation - Conjurateur - Inconscient.
Version plus détaillée : Amour - Quantité, structure et fluidité -
Participation - Entraînement - Intérêt - Entente - Répondant - Contrôle
responsable et limité - Offense - Autorité - Manipulation - Conjuration de
la peur - Ego (conjuration de la performance) - Mensonge, répétition et
surévaluation - Inconscient.

Imaginez une publicité pour enfants qui semble agir. Elle prends les amorces
de l'enfant pour l'amener à acheter. En fait, la partie la plus ressentie
est un simple message : « Eh, tu es cool ? Alors suis-moi ! ». Qui peut
faire, en langage d'art thérapeutique : « Et, dis, toi, je te contrôles. Tu
aimes la communication ? Allez, viens avec moi ». Ou « Tu as un manque d'agitation
depuis ton jeune âge ? Moi, je suis ta partie supérieure, ta partie morte.
La solution à ta quête de plaisir est liée aux sourires béas que tu me
feras ».
On peut détecter un danger si l'on remarque que les enfants sont
systématiquement en manque de quelque chose durant leur enfance. Car le
surmoi (conjuration de la peur + égo) ne se corrige qu'en défaisant en sens
inverse et en autant de temps la combinaison dans laquelle on s'est glissée.
Car c'est un ensemble d'habitudes. Et la meilleure nourriture du
conjurateur, c'est l'inquiétude, qui dévie la trajectoire initiale, par
supposition d'une solution plus efficace mais moins parfaite.



3. Définitions


L'autorité

L'autorité a pour but de contrôler. Elle peut être honnête ou trompeuse,
volontaire ou non, exagérée ou non, caricaturale, ou non, insinuer
secrètement quelque chose, dire clairement quelque chose. Elle peut être une
précaution contre la répétition d'une erreur. Dans ce cas, on tente de l'exagérer.
Elle est faite pour faire peur. Elle est capable de transmettre la crainte à
avoir contre la réalisation de ce qu'on redoute. C'est utile, mais il ne
faut pas en abuser. Elle pourrait servir à faire peur de ce qui n'existe
pas. Comme on en aurait peur, on l'éviterait, et on ne verrait jamais que ça
n'existe pas. Toute action exécutée avec violence fait perdre le contrôle
précis. Donc, elle va à l'encontre de son propre principe. Elle n'est
utilisable qu'au début, en gros, et pour les cas difficiles. Elle peut être
utilisée sur un groupe. L'autorité a aussi pour but de transmettre une
possibilité de contrôle de soi, en transmettant une énergie utilisable
contre ses propres obsessions, qui pourraient se retrouver réalisées. L'autorité
bloque, tellement elle peut faire peur. Surtout si elle est rarement mais
fortement utilisée. L'autorité peut servir à cacher un malaise, ou une
incapacité à formuler plus aisément, avec plus de logique, d'affection ou d'intransigeance
l'obligation.
Plus que la douleur physique, plus que la douleur, c'est le transport d'énérgie
qui fait marcher l'autorité. La meilleure autorité est l'intransigeance sans
erreur, donc associée à la logique, à la responsabilité, à l'explication,
car la fermeté transmet bel et bien grâce à sa pureté et sa rapidité une
assurance. L'autorité fait passer le contrôle d'une personne à une autre. En
réalité, l'autorité ne doit pas faire passer le contrôle ultime d'une
personne à une autre, sinon ce serait de l'hypnose ou de la manipulation. L'autorité
se transforme facilement en manipulation. Il doit exister un respect au
départ de la part de l'auteur, qui devra être conservé même s'il y a absence
de demande, et d'ailleurs le respect se sentira et cette valeur se
transmettra. Le transport d'énergie que représente l'autorité peut être
demandé contre ses obsessions restées sans contrôle. L'autorité peut souvent
avoir été justifiée contre des risques d'erreurs, de ce fait elle peut être
appréciée. L'autorité sera davantage appréciée si sa quantité est adaptée au
risque encouru. L'autorité sera davantage attendue si elle est systématique
ou personnalisée. Le regret dans ce cas ne sera qu'une perte temporaire de
repères. Ne pas laisser le cas de son absence se présenter serait de la
manipulation. L'autorité sera davantage attendue si elle est
systématiquement associée à un plaisir. Là aussi, il peut s'agir de
manipulation, mais il faut savoir aussi que la mise en ouvre contrôlée de
dualité d'esprit permet de ne pas laisser place libre à des dualités d'esprit
non désirées. D'où l'aspect sympathique de Richard Borhinger.
L'autorité exagérée peut laisser l'esprit du destinataire à un niveau bas de
contrôle. D'où son utilisation dans l'armée, qui demande une réactivité et
une absence de réflexion personnelle, ainsi que de l'assurance et du
sang-froid. La meilleure utilisation de l'autorité est celle contre la
malhonnêteté. Contre les obsessions, l'intransigeance suffira (transmission
d'amorces), contre les erreurs, l'explication suffira, pour la transmission
de valeurs positives, la démonstration suffira.
Pour servir, l'autorité doit être logique, sans manipulation, et adaptée.
Tout contrôle du monde par l'autorité uniquement serait injustifié et par
conséquent provoquerait des r&
Avatar
Asmel Poucie
FredDecr wrote:
Titre : Le but de la vie
(Attention : c'est vraiment très long. Je vous conseille de l'imprimer et de
le lire dans le train)




Ouais c'est ca ! LOL!
Avatar
Cnotoire
FredDecr wrote:
Titre : Le but de la vie
(Attention : c'est vraiment très long. Je vous conseille de
l'imprimer et de le lire dans le train)



Pas de train chez moi !

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ch't ch't