je m'apprète à faire le site web d'une amie peintre, et je me pose des
questions sur la protection de ses oeuvres. Beaucoup de ses toiles n'ont
jamais été exposées.
Est-ce une bonne idée (est-ce simplement faisable) de protéger ses toiles
contre la copie? Ou est-ce un risque avec lequel il faut composer?
Suffit-il d'indiquer "copyright unetelle, 2005", est-ce que ça a une
quelconque valeur?
J'ai parfois vu l'expression "gnu artistic license", mais uniquement
appliqué à des logiciels; est-ce que ça pourrait s'appliquer ici?
La gnu artistique licence met un logiciel en libre disposition pour utilisation, changement, amélioration ou distribution (gratuite, impliquant à la rigueur le coût du support) à la seule condition que le texte descriptif original de l'auteur / des auteurs revendiquant la propriété intellectuelle du logiciel accompagne le logiciel.
Celle GnuAL n'a aucune existance légale à ma connaissance, mais le fait que le texte descriptif de logiciel comporte les dates de développement des versions du logiciel est une preuve d'antériorité du logiciel.
Toute autre suggestion est la bienvenue.
la présentation des oeuvres dans une basse définition (800 x 600 est raisonnable) est déjà un moyen de protéger l'oeuvre ; l'application d'un(e?) "watermark" identifiable est également un élément à considérer. Le/la watermark est un signe distinctif qui apparaît en transparence
Exemples pris sur le forum macbidouille (http://www.macbidouille.fr/) :
Un petit bonhomme bleu : http://files.macbidouille.com/news/200503/rota3.jpg http://files.macbidouille.com/news/200503/austral1.jpg
Le sigle MacBidouille : http://www.macbidouille.com/news/photonews21/imaccebit.jpg
Cependant si les oeuvres ont une existance extra-numérique (et pré-numérique), leur support est déjà une protection (l'oeuvre sur la toile, la signature et la date) ; une sortie sur imprimante ne donnera jamais l'oeuvre originale, quelque soit la qualité de la numérisation, à l'inverse d'un logiciel, un morceau musical ou d'un film qui peuvent être acquis en une qualité quasi-native, ce qui contente les voleurs.
-- Secco Soyez doo là où c'est dur. Jeune célibataire riche, séduisant, drôle et prévenant cherche jeune héritière riche, séduisante, drôle et romantique.
La gnu artistique licence met un logiciel en libre disposition pour
utilisation, changement, amélioration ou distribution (gratuite,
impliquant à la rigueur le coût du support) à la seule condition que le
texte descriptif original de l'auteur / des auteurs revendiquant la
propriété intellectuelle du logiciel accompagne le logiciel.
Celle GnuAL n'a aucune existance légale à ma connaissance, mais le fait
que le texte descriptif de logiciel comporte les dates de développement
des versions du logiciel est une preuve d'antériorité du logiciel.
Toute autre suggestion est la bienvenue.
la présentation des oeuvres dans une basse définition (800 x 600 est
raisonnable) est déjà un moyen de protéger l'oeuvre ; l'application
d'un(e?) "watermark" identifiable est également un élément à considérer.
Le/la watermark est un signe distinctif qui apparaît en transparence
Exemples pris sur le forum macbidouille (http://www.macbidouille.fr/) :
Un petit bonhomme bleu :
http://files.macbidouille.com/news/200503/rota3.jpg
http://files.macbidouille.com/news/200503/austral1.jpg
Le sigle MacBidouille :
http://www.macbidouille.com/news/photonews21/imaccebit.jpg
Cependant si les oeuvres ont une existance extra-numérique (et
pré-numérique), leur support est déjà une protection (l'oeuvre sur la
toile, la signature et la date) ; une sortie sur imprimante ne donnera
jamais l'oeuvre originale, quelque soit la qualité de la numérisation, à
l'inverse d'un logiciel, un morceau musical ou d'un film qui peuvent
être acquis en une qualité quasi-native, ce qui contente les voleurs.
--
Secco
Soyez doo là où c'est dur.
Jeune célibataire riche, séduisant, drôle et prévenant cherche
jeune héritière riche, séduisante, drôle et romantique.
La gnu artistique licence met un logiciel en libre disposition pour utilisation, changement, amélioration ou distribution (gratuite, impliquant à la rigueur le coût du support) à la seule condition que le texte descriptif original de l'auteur / des auteurs revendiquant la propriété intellectuelle du logiciel accompagne le logiciel.
Celle GnuAL n'a aucune existance légale à ma connaissance, mais le fait que le texte descriptif de logiciel comporte les dates de développement des versions du logiciel est une preuve d'antériorité du logiciel.
Toute autre suggestion est la bienvenue.
la présentation des oeuvres dans une basse définition (800 x 600 est raisonnable) est déjà un moyen de protéger l'oeuvre ; l'application d'un(e?) "watermark" identifiable est également un élément à considérer. Le/la watermark est un signe distinctif qui apparaît en transparence
Exemples pris sur le forum macbidouille (http://www.macbidouille.fr/) :
Un petit bonhomme bleu : http://files.macbidouille.com/news/200503/rota3.jpg http://files.macbidouille.com/news/200503/austral1.jpg
Le sigle MacBidouille : http://www.macbidouille.com/news/photonews21/imaccebit.jpg
Cependant si les oeuvres ont une existance extra-numérique (et pré-numérique), leur support est déjà une protection (l'oeuvre sur la toile, la signature et la date) ; une sortie sur imprimante ne donnera jamais l'oeuvre originale, quelque soit la qualité de la numérisation, à l'inverse d'un logiciel, un morceau musical ou d'un film qui peuvent être acquis en une qualité quasi-native, ce qui contente les voleurs.
-- Secco Soyez doo là où c'est dur. Jeune célibataire riche, séduisant, drôle et prévenant cherche jeune héritière riche, séduisante, drôle et romantique.