Quel est le rapport avec la sécurité par l'obscurcissement qui vise à
protéger un système des attaques? Je ne vois pas?
Quel est le rapport avec la sécurité par l'obscurcissement qui vise à
protéger un système des attaques? Je ne vois pas?
Quel est le rapport avec la sécurité par l'obscurcissement qui vise à
protéger un système des attaques? Je ne vois pas?
La création d'une source n'a pas de cout direct, c'est plutôt un
investissement : celui du temps passé à la création du logiciel. Et
contrairement à ce que notre société nous dicte, le temps ce n'est pas
de l'argent. Dans le monde du logiciel libre, le développeur fait le
plus souvent don de son temps à la communauté en désirant juste que
l'on garde la paternité de son travail. L'investissement est le pari
que le client reviendra vers lui.
cout de fabrications) de ce qui a été créé une seule fois. La solution
économique au logiciel libre n'est donc pas dans le logiciel mais dans
la valeur ajouté par le créateur : le support, le service rendu.
Basile parlait de sécurité non pas au sens sécurité anti-intrusion
mais au sens d'empêcher quelqu'un de voir comment fonctionne le
script. Il parle de sentiment de sécurité du développeur.
Ce n'est pas acceptable, ce n'est que de la dépendance forcé. Le jour
où le client n'est plus le client et qu'il veut faire évoluer son
système, il sera juste bloqué parce que lui et personne ne pourra
améliorer le script qu'il a pourtant acheté et qui donc lui
appartient. Le logiciel libre va a l'encontre de cette idée de prise
en otage des clients.
Ne pas comprendre tout ça c'est pas passer à côté de l'essentiel dans
le logiciel libre et c'est aussi un grand manque de respect envers les
développeurs dans le monde du logiciel libre. C'est prendre
égoïstement Debian parce que c'est gratuit en se moquant du temps
qu'ils ont passés et pourquoi ils l'ont fait.
La création d'une source n'a pas de cout direct, c'est plutôt un
investissement : celui du temps passé à la création du logiciel. Et
contrairement à ce que notre société nous dicte, le temps ce n'est pas
de l'argent. Dans le monde du logiciel libre, le développeur fait le
plus souvent don de son temps à la communauté en désirant juste que
l'on garde la paternité de son travail. L'investissement est le pari
que le client reviendra vers lui.
cout de fabrications) de ce qui a été créé une seule fois. La solution
économique au logiciel libre n'est donc pas dans le logiciel mais dans
la valeur ajouté par le créateur : le support, le service rendu.
Basile parlait de sécurité non pas au sens sécurité anti-intrusion
mais au sens d'empêcher quelqu'un de voir comment fonctionne le
script. Il parle de sentiment de sécurité du développeur.
Ce n'est pas acceptable, ce n'est que de la dépendance forcé. Le jour
où le client n'est plus le client et qu'il veut faire évoluer son
système, il sera juste bloqué parce que lui et personne ne pourra
améliorer le script qu'il a pourtant acheté et qui donc lui
appartient. Le logiciel libre va a l'encontre de cette idée de prise
en otage des clients.
Ne pas comprendre tout ça c'est pas passer à côté de l'essentiel dans
le logiciel libre et c'est aussi un grand manque de respect envers les
développeurs dans le monde du logiciel libre. C'est prendre
égoïstement Debian parce que c'est gratuit en se moquant du temps
qu'ils ont passés et pourquoi ils l'ont fait.
La création d'une source n'a pas de cout direct, c'est plutôt un
investissement : celui du temps passé à la création du logiciel. Et
contrairement à ce que notre société nous dicte, le temps ce n'est pas
de l'argent. Dans le monde du logiciel libre, le développeur fait le
plus souvent don de son temps à la communauté en désirant juste que
l'on garde la paternité de son travail. L'investissement est le pari
que le client reviendra vers lui.
cout de fabrications) de ce qui a été créé une seule fois. La solution
économique au logiciel libre n'est donc pas dans le logiciel mais dans
la valeur ajouté par le créateur : le support, le service rendu.
Basile parlait de sécurité non pas au sens sécurité anti-intrusion
mais au sens d'empêcher quelqu'un de voir comment fonctionne le
script. Il parle de sentiment de sécurité du développeur.
Ce n'est pas acceptable, ce n'est que de la dépendance forcé. Le jour
où le client n'est plus le client et qu'il veut faire évoluer son
système, il sera juste bloqué parce que lui et personne ne pourra
améliorer le script qu'il a pourtant acheté et qui donc lui
appartient. Le logiciel libre va a l'encontre de cette idée de prise
en otage des clients.
Ne pas comprendre tout ça c'est pas passer à côté de l'essentiel dans
le logiciel libre et c'est aussi un grand manque de respect envers les
développeurs dans le monde du logiciel libre. C'est prendre
égoïstement Debian parce que c'est gratuit en se moquant du temps
qu'ils ont passés et pourquoi ils l'ont fait.
> houlà, ça c'est un modèle qui date du moyen âge (pgm s/s ZX-81 peut-être)
le modèle actuel est que le client paye le dev, puis que ledit dev est
en Gal reversé en tant que contribution à la communauté; ce qui permet,
c'est faux: depuis que le monde est monde, dès qu'un type a voulu se garder
quelque chose sans partager, il-y-en a toujours eu un autre, en Gal plus brillant,
qui regardait par-dessus son épaule et "libérait" le savoir (fausse monnaie,
reverse engineering, cracking des protections, contournement logiciel des dongles
hardware, ...)
vi, un simple exemple: le client n'a qu'un binaire, le dev meurt, le client
se retrouve dans la merde (ça fait aussi partie d'un service au client de
qualité que de prévoir ce genre de situation.)
> houlà, ça c'est un modèle qui date du moyen âge (pgm s/s ZX-81 peut-être)
le modèle actuel est que le client paye le dev, puis que ledit dev est
en Gal reversé en tant que contribution à la communauté; ce qui permet,
c'est faux: depuis que le monde est monde, dès qu'un type a voulu se garder
quelque chose sans partager, il-y-en a toujours eu un autre, en Gal plus brillant,
qui regardait par-dessus son épaule et "libérait" le savoir (fausse monnaie,
reverse engineering, cracking des protections, contournement logiciel des dongles
hardware, ...)
vi, un simple exemple: le client n'a qu'un binaire, le dev meurt, le client
se retrouve dans la merde (ça fait aussi partie d'un service au client de
qualité que de prévoir ce genre de situation.)
> houlà, ça c'est un modèle qui date du moyen âge (pgm s/s ZX-81 peut-être)
le modèle actuel est que le client paye le dev, puis que ledit dev est
en Gal reversé en tant que contribution à la communauté; ce qui permet,
c'est faux: depuis que le monde est monde, dès qu'un type a voulu se garder
quelque chose sans partager, il-y-en a toujours eu un autre, en Gal plus brillant,
qui regardait par-dessus son épaule et "libérait" le savoir (fausse monnaie,
reverse engineering, cracking des protections, contournement logiciel des dongles
hardware, ...)
vi, un simple exemple: le client n'a qu'un binaire, le dev meurt, le client
se retrouve dans la merde (ça fait aussi partie d'un service au client de
qualité que de prévoir ce genre de situation.)
Je ne pensais déclencher tant de réactions avec mon mail :-)
Le logiciel libre est bien entendu un concept intéressant, je suis le
premier utilisateur ET contributeur à l'occasion dans le cadre de mon
travail.
Autant l'objectif des sources libres est très attrayant, aujourd'hui le
modèle économique du logiciel libre ne permet pas d'envisager tous les
développements avec un retour sur investissement garanti.
La création d'une source n'a pas de cout direct, c'est plutôt un
investissement : celui du temps passé à la création du logiciel. Et
contrairement à ce que notre société nous dicte, le temps ce n'est pas
de l'argent. Dans le monde du logiciel libre, le développeur fait le
plus souvent don de son temps à la communauté en désirant juste que
l'on garde la paternité de son travail. L'investissement est le pari
que le client reviendra vers lui.
Je ne suis pas d'accord pour dire que la création d'une source n'a pas
de coût direct. Comment peut-on dire cela? Ma société développe un
logiciel qui cumule aujourd'hui 25 années hommes de développement, je te
laisse faire le calcul du coût. Bien entendu pour financer le
développement nous vendons ce produit.
Effectivement le coût de reproduction est nul. C'est bien pourquoi
rendre un logiciel libre c'est prendre le risque que quelqu'un reprenne
le développement à son compte.cout de fabrications) de ce qui a été créé une seule fois. La solution
économique au logiciel libre n'est donc pas dans le logiciel mais dans
la valeur ajouté par le créateur : le support, le service rendu.
Le risque c'est qu'une société investisse des millions d'euros (c'est le
coût d'un gros logiciel) et qu'une autre société vende du conseil sans
avoir besoin de rentabiliser l'investissement. Qui va investir si cela
se passe comme ça?
Basile parlait de sécurité non pas au sens sécurité anti-intrusion
mais au sens d'empêcher quelqu'un de voir comment fonctionne le
script. Il parle de sentiment de sécurité du développeur.
Le lien qu'il a envoyé discutait de l'impact sur la sécurité de
l'obscurcissement du système ce qui me semble est hors sujet, c'est pour
cela que j'ai réagi.Ce n'est pas acceptable, ce n'est que de la dépendance forcé. Le jour
où le client n'est plus le client et qu'il veut faire évoluer son
système, il sera juste bloqué parce que lui et personne ne pourra
améliorer le script qu'il a pourtant acheté et qui donc lui
appartient. Le logiciel libre va a l'encontre de cette idée de prise
en otage des clients.
Tu fais un raccourci. Tu peux très bien fournir au client les sources et
un moyen de protéger son script lorsqu'il l'installe. C'est très
courant, j'ai travaillé sur plusieurs systèmes qui fonctionnent comme
cela avec une clé à brancher. (Peu m'importe la fiabilité de la
protection).Ne pas comprendre tout ça c'est pas passer à côté de l'essentiel dans
le logiciel libre et c'est aussi un grand manque de respect envers les
développeurs dans le monde du logiciel libre. C'est prendre
égoïstement Debian parce que c'est gratuit en se moquant du temps
qu'ils ont passés et pourquoi ils l'ont fait.
Cette vision est simpliste et ne prend pas en compte les milliards
d'euros qui sont investis dans les entreprises tous les ans pour
développer des logiciels.
Perso si je développe un générateur de gallerie web de photos sur ton
mon temps libre j'ai tout intérêt à le diffuser. Si une société
d'aviation développe un protocole réseau pour ses besoins, elle a tout
intérêt à le rendre libre, cela ne va pas directement profiter à ses
concurrents. Idem pour les labos de recherche.
Mais maintenant si une entreprise qui construit des voitures développe
pour des millions d'euros un logiciel qui permet d'analyser les bruits
parasites dans une voiture elle espèrera rentabiliser son investissement
en vendant des voitures moins bruyantes que ses concurrents. Si elle
rend son logiciels libre, tous ses concurrents vont utiliser le logiciel
sans avoir à amortir le coût de l'investissement. C'est l'entreprise qui
a investi qui va le moins vendre puisque ses voitures seront plus chères.
Je ne défends pas le monde de la concurrence et toutes ses dérives. Je
fais un constat et j'en déduis que le modèle économique du logiciel
libre ne permet pas il me semble aujourd'hui d'envisager de gros
investissements.
J'ai beaucoup de respect pour les développeurs du monde libre et on ne
peut que les remercier de leurs contributions. Cependant je pense qu'on
trouvera facilement un passionné de photo ou de 3D pour développer des
applications sur leur temps libre parce que justement cela les
passionne. Moi le premier j'ai passé des mois à développer un logiciel
de gestion de course à pied parce que cela m'amusait. Trouver un
développeur qui sur son temps libre va s'amuser à produire un logiciel
pour effectuer des calculs de câblage dans une machine à laver je pense
que cela sera plus dur. Ceux-là il faudra les payer et il faudra
rentabiliser l'investissement.
Simplement dire l'investissement sera rentabilisé par du conseil autour
du produit, c'est ignorer le coût du développement des gros systèmes.
Je te rejoins sur un point, je trouve dommage que une fois qu'un
logiciel a été développé il ne puisse pas être librement utilisé. Idem
pour les disques. C'est du gâchis de ne pas pouvoir écouter une musique
parce que l'on n'a pas les moyens de se payer des centaines de disques.
Ce que je ne vois pas aujourd'hui dans notre monde actuel, c'est comment
financer les développement puis les rendre libres.
Mickaël
Je ne pensais déclencher tant de réactions avec mon mail :-)
Le logiciel libre est bien entendu un concept intéressant, je suis le
premier utilisateur ET contributeur à l'occasion dans le cadre de mon
travail.
Autant l'objectif des sources libres est très attrayant, aujourd'hui le
modèle économique du logiciel libre ne permet pas d'envisager tous les
développements avec un retour sur investissement garanti.
La création d'une source n'a pas de cout direct, c'est plutôt un
investissement : celui du temps passé à la création du logiciel. Et
contrairement à ce que notre société nous dicte, le temps ce n'est pas
de l'argent. Dans le monde du logiciel libre, le développeur fait le
plus souvent don de son temps à la communauté en désirant juste que
l'on garde la paternité de son travail. L'investissement est le pari
que le client reviendra vers lui.
Je ne suis pas d'accord pour dire que la création d'une source n'a pas
de coût direct. Comment peut-on dire cela? Ma société développe un
logiciel qui cumule aujourd'hui 25 années hommes de développement, je te
laisse faire le calcul du coût. Bien entendu pour financer le
développement nous vendons ce produit.
Effectivement le coût de reproduction est nul. C'est bien pourquoi
rendre un logiciel libre c'est prendre le risque que quelqu'un reprenne
le développement à son compte.
cout de fabrications) de ce qui a été créé une seule fois. La solution
économique au logiciel libre n'est donc pas dans le logiciel mais dans
la valeur ajouté par le créateur : le support, le service rendu.
Le risque c'est qu'une société investisse des millions d'euros (c'est le
coût d'un gros logiciel) et qu'une autre société vende du conseil sans
avoir besoin de rentabiliser l'investissement. Qui va investir si cela
se passe comme ça?
Basile parlait de sécurité non pas au sens sécurité anti-intrusion
mais au sens d'empêcher quelqu'un de voir comment fonctionne le
script. Il parle de sentiment de sécurité du développeur.
Le lien qu'il a envoyé discutait de l'impact sur la sécurité de
l'obscurcissement du système ce qui me semble est hors sujet, c'est pour
cela que j'ai réagi.
Ce n'est pas acceptable, ce n'est que de la dépendance forcé. Le jour
où le client n'est plus le client et qu'il veut faire évoluer son
système, il sera juste bloqué parce que lui et personne ne pourra
améliorer le script qu'il a pourtant acheté et qui donc lui
appartient. Le logiciel libre va a l'encontre de cette idée de prise
en otage des clients.
Tu fais un raccourci. Tu peux très bien fournir au client les sources et
un moyen de protéger son script lorsqu'il l'installe. C'est très
courant, j'ai travaillé sur plusieurs systèmes qui fonctionnent comme
cela avec une clé à brancher. (Peu m'importe la fiabilité de la
protection).
Ne pas comprendre tout ça c'est pas passer à côté de l'essentiel dans
le logiciel libre et c'est aussi un grand manque de respect envers les
développeurs dans le monde du logiciel libre. C'est prendre
égoïstement Debian parce que c'est gratuit en se moquant du temps
qu'ils ont passés et pourquoi ils l'ont fait.
Cette vision est simpliste et ne prend pas en compte les milliards
d'euros qui sont investis dans les entreprises tous les ans pour
développer des logiciels.
Perso si je développe un générateur de gallerie web de photos sur ton
mon temps libre j'ai tout intérêt à le diffuser. Si une société
d'aviation développe un protocole réseau pour ses besoins, elle a tout
intérêt à le rendre libre, cela ne va pas directement profiter à ses
concurrents. Idem pour les labos de recherche.
Mais maintenant si une entreprise qui construit des voitures développe
pour des millions d'euros un logiciel qui permet d'analyser les bruits
parasites dans une voiture elle espèrera rentabiliser son investissement
en vendant des voitures moins bruyantes que ses concurrents. Si elle
rend son logiciels libre, tous ses concurrents vont utiliser le logiciel
sans avoir à amortir le coût de l'investissement. C'est l'entreprise qui
a investi qui va le moins vendre puisque ses voitures seront plus chères.
Je ne défends pas le monde de la concurrence et toutes ses dérives. Je
fais un constat et j'en déduis que le modèle économique du logiciel
libre ne permet pas il me semble aujourd'hui d'envisager de gros
investissements.
J'ai beaucoup de respect pour les développeurs du monde libre et on ne
peut que les remercier de leurs contributions. Cependant je pense qu'on
trouvera facilement un passionné de photo ou de 3D pour développer des
applications sur leur temps libre parce que justement cela les
passionne. Moi le premier j'ai passé des mois à développer un logiciel
de gestion de course à pied parce que cela m'amusait. Trouver un
développeur qui sur son temps libre va s'amuser à produire un logiciel
pour effectuer des calculs de câblage dans une machine à laver je pense
que cela sera plus dur. Ceux-là il faudra les payer et il faudra
rentabiliser l'investissement.
Simplement dire l'investissement sera rentabilisé par du conseil autour
du produit, c'est ignorer le coût du développement des gros systèmes.
Je te rejoins sur un point, je trouve dommage que une fois qu'un
logiciel a été développé il ne puisse pas être librement utilisé. Idem
pour les disques. C'est du gâchis de ne pas pouvoir écouter une musique
parce que l'on n'a pas les moyens de se payer des centaines de disques.
Ce que je ne vois pas aujourd'hui dans notre monde actuel, c'est comment
financer les développement puis les rendre libres.
Mickaël
Je ne pensais déclencher tant de réactions avec mon mail :-)
Le logiciel libre est bien entendu un concept intéressant, je suis le
premier utilisateur ET contributeur à l'occasion dans le cadre de mon
travail.
Autant l'objectif des sources libres est très attrayant, aujourd'hui le
modèle économique du logiciel libre ne permet pas d'envisager tous les
développements avec un retour sur investissement garanti.
La création d'une source n'a pas de cout direct, c'est plutôt un
investissement : celui du temps passé à la création du logiciel. Et
contrairement à ce que notre société nous dicte, le temps ce n'est pas
de l'argent. Dans le monde du logiciel libre, le développeur fait le
plus souvent don de son temps à la communauté en désirant juste que
l'on garde la paternité de son travail. L'investissement est le pari
que le client reviendra vers lui.
Je ne suis pas d'accord pour dire que la création d'une source n'a pas
de coût direct. Comment peut-on dire cela? Ma société développe un
logiciel qui cumule aujourd'hui 25 années hommes de développement, je te
laisse faire le calcul du coût. Bien entendu pour financer le
développement nous vendons ce produit.
Effectivement le coût de reproduction est nul. C'est bien pourquoi
rendre un logiciel libre c'est prendre le risque que quelqu'un reprenne
le développement à son compte.cout de fabrications) de ce qui a été créé une seule fois. La solution
économique au logiciel libre n'est donc pas dans le logiciel mais dans
la valeur ajouté par le créateur : le support, le service rendu.
Le risque c'est qu'une société investisse des millions d'euros (c'est le
coût d'un gros logiciel) et qu'une autre société vende du conseil sans
avoir besoin de rentabiliser l'investissement. Qui va investir si cela
se passe comme ça?
Basile parlait de sécurité non pas au sens sécurité anti-intrusion
mais au sens d'empêcher quelqu'un de voir comment fonctionne le
script. Il parle de sentiment de sécurité du développeur.
Le lien qu'il a envoyé discutait de l'impact sur la sécurité de
l'obscurcissement du système ce qui me semble est hors sujet, c'est pour
cela que j'ai réagi.Ce n'est pas acceptable, ce n'est que de la dépendance forcé. Le jour
où le client n'est plus le client et qu'il veut faire évoluer son
système, il sera juste bloqué parce que lui et personne ne pourra
améliorer le script qu'il a pourtant acheté et qui donc lui
appartient. Le logiciel libre va a l'encontre de cette idée de prise
en otage des clients.
Tu fais un raccourci. Tu peux très bien fournir au client les sources et
un moyen de protéger son script lorsqu'il l'installe. C'est très
courant, j'ai travaillé sur plusieurs systèmes qui fonctionnent comme
cela avec une clé à brancher. (Peu m'importe la fiabilité de la
protection).Ne pas comprendre tout ça c'est pas passer à côté de l'essentiel dans
le logiciel libre et c'est aussi un grand manque de respect envers les
développeurs dans le monde du logiciel libre. C'est prendre
égoïstement Debian parce que c'est gratuit en se moquant du temps
qu'ils ont passés et pourquoi ils l'ont fait.
Cette vision est simpliste et ne prend pas en compte les milliards
d'euros qui sont investis dans les entreprises tous les ans pour
développer des logiciels.
Perso si je développe un générateur de gallerie web de photos sur ton
mon temps libre j'ai tout intérêt à le diffuser. Si une société
d'aviation développe un protocole réseau pour ses besoins, elle a tout
intérêt à le rendre libre, cela ne va pas directement profiter à ses
concurrents. Idem pour les labos de recherche.
Mais maintenant si une entreprise qui construit des voitures développe
pour des millions d'euros un logiciel qui permet d'analyser les bruits
parasites dans une voiture elle espèrera rentabiliser son investissement
en vendant des voitures moins bruyantes que ses concurrents. Si elle
rend son logiciels libre, tous ses concurrents vont utiliser le logiciel
sans avoir à amortir le coût de l'investissement. C'est l'entreprise qui
a investi qui va le moins vendre puisque ses voitures seront plus chères.
Je ne défends pas le monde de la concurrence et toutes ses dérives. Je
fais un constat et j'en déduis que le modèle économique du logiciel
libre ne permet pas il me semble aujourd'hui d'envisager de gros
investissements.
J'ai beaucoup de respect pour les développeurs du monde libre et on ne
peut que les remercier de leurs contributions. Cependant je pense qu'on
trouvera facilement un passionné de photo ou de 3D pour développer des
applications sur leur temps libre parce que justement cela les
passionne. Moi le premier j'ai passé des mois à développer un logiciel
de gestion de course à pied parce que cela m'amusait. Trouver un
développeur qui sur son temps libre va s'amuser à produire un logiciel
pour effectuer des calculs de câblage dans une machine à laver je pense
que cela sera plus dur. Ceux-là il faudra les payer et il faudra
rentabiliser l'investissement.
Simplement dire l'investissement sera rentabilisé par du conseil autour
du produit, c'est ignorer le coût du développement des gros systèmes.
Je te rejoins sur un point, je trouve dommage que une fois qu'un
logiciel a été développé il ne puisse pas être librement utilisé. Idem
pour les disques. C'est du gâchis de ne pas pouvoir écouter une musique
parce que l'on n'a pas les moyens de se payer des centaines de disques.
Ce que je ne vois pas aujourd'hui dans notre monde actuel, c'est comment
financer les développement puis les rendre libres.
Mickaël
>> Autant l'objectif des sources libres est très attrayant, aujourd'hui le
modèle économique du logiciel libre ne permet pas d'envisager tous les
développements avec un retour sur investissement garanti.
Hum, explique ça à RedHat, ça va bien les faire rire !
Il y a de très grosses sociétés qui investissent dans le développement
de logiciels libre, et des états également. Tu devrais peut-être te
documenter un peu sur le sujet...
Je ne défends pas le monde de la concurrence et toutes ses dérives. Je
fais un constat et j'en déduis que le modèle économique du logiciel
libre ne permet pas il me semble aujourd'hui d'envisager de gros
investissements.
Là tu est mûr pour utiliser Winchose ou MacOS. C'est Novell, RedHat, IBM
et bien d'autres qui doivent soudain être pris d'une angoisse terrible :
ils viennent de découvrir que leur modèle économique n'est pas viable,
et ne permet pas de gros investissements... Zut alors. ;-)
Je te rejoins sur un point, je trouve dommage que une fois qu'un
logiciel a été développé il ne puisse pas être librement utilisé. Idem
pour les disques. C'est du gâchis de ne pas pouvoir écouter une musique
parce que l'on n'a pas les moyens de se payer des centaines de disques.
Tu as des doutes au sujet du logiciel libre, mais du piratage non...
Vive la liberté temps qu'elle me profite exclusivement...
Ce que je ne vois pas aujourd'hui dans notre monde actuel, c'est comment
financer les développement puis les rendre libres.
Heureusement d'autres ont trouvé la solution.
>> Autant l'objectif des sources libres est très attrayant, aujourd'hui le
modèle économique du logiciel libre ne permet pas d'envisager tous les
développements avec un retour sur investissement garanti.
Hum, explique ça à RedHat, ça va bien les faire rire !
Il y a de très grosses sociétés qui investissent dans le développement
de logiciels libre, et des états également. Tu devrais peut-être te
documenter un peu sur le sujet...
Je ne défends pas le monde de la concurrence et toutes ses dérives. Je
fais un constat et j'en déduis que le modèle économique du logiciel
libre ne permet pas il me semble aujourd'hui d'envisager de gros
investissements.
Là tu est mûr pour utiliser Winchose ou MacOS. C'est Novell, RedHat, IBM
et bien d'autres qui doivent soudain être pris d'une angoisse terrible :
ils viennent de découvrir que leur modèle économique n'est pas viable,
et ne permet pas de gros investissements... Zut alors. ;-)
Je te rejoins sur un point, je trouve dommage que une fois qu'un
logiciel a été développé il ne puisse pas être librement utilisé. Idem
pour les disques. C'est du gâchis de ne pas pouvoir écouter une musique
parce que l'on n'a pas les moyens de se payer des centaines de disques.
Tu as des doutes au sujet du logiciel libre, mais du piratage non...
Vive la liberté temps qu'elle me profite exclusivement...
Ce que je ne vois pas aujourd'hui dans notre monde actuel, c'est comment
financer les développement puis les rendre libres.
Heureusement d'autres ont trouvé la solution.
>> Autant l'objectif des sources libres est très attrayant, aujourd'hui le
modèle économique du logiciel libre ne permet pas d'envisager tous les
développements avec un retour sur investissement garanti.
Hum, explique ça à RedHat, ça va bien les faire rire !
Il y a de très grosses sociétés qui investissent dans le développement
de logiciels libre, et des états également. Tu devrais peut-être te
documenter un peu sur le sujet...
Je ne défends pas le monde de la concurrence et toutes ses dérives. Je
fais un constat et j'en déduis que le modèle économique du logiciel
libre ne permet pas il me semble aujourd'hui d'envisager de gros
investissements.
Là tu est mûr pour utiliser Winchose ou MacOS. C'est Novell, RedHat, IBM
et bien d'autres qui doivent soudain être pris d'une angoisse terrible :
ils viennent de découvrir que leur modèle économique n'est pas viable,
et ne permet pas de gros investissements... Zut alors. ;-)
Je te rejoins sur un point, je trouve dommage que une fois qu'un
logiciel a été développé il ne puisse pas être librement utilisé. Idem
pour les disques. C'est du gâchis de ne pas pouvoir écouter une musique
parce que l'on n'a pas les moyens de se payer des centaines de disques.
Tu as des doutes au sujet du logiciel libre, mais du piratage non...
Vive la liberté temps qu'elle me profite exclusivement...
Ce que je ne vois pas aujourd'hui dans notre monde actuel, c'est comment
financer les développement puis les rendre libres.
Heureusement d'autres ont trouvé la solution.