J'utilise Word 2002, l'option "Confirmation des conversions lors de
l'ouverture" activée.
Mon objectif est de faire un publipostage pointant sur la deuxième feuille
d'un classeur Excel qui contient 10 feuilles. (deuxième feuille = deuxième
onglet à partir de la gauche)
Je fais donc:
- Ouvrir la source de données,
- Je sélectionne le fichierExcel,
- J'ouvre la source de données par "Feuilles de calcul MS Excel via un DDE
(*.xls)
et c'est à ce moment que la boite de dialogue "Microsoft Excel" n'affiche
que "Feuille de calcul entière" et les plages de cellules de la première
feuille (les deux se rapportant aux données de la première feuille celle,
dont l'onglet est le premier à partir de la gauche).
Comment je peux faire pour que la liaison puisse se connecter sur les
données de la deuxième feuille du classeur (le deuxième onglet à partir de la
gauche) sans devoir déplacer les feuilles dans Excel avant le publipostage ?
P.S. J'utilise Excel 2002, les deux appl. en français
Je peux donc conclure que les commutateurs ne font pas l'affaire en fusio OLE DB, par contre en mode DDE ils marchent bien (nonobstant les inconvénients expliqués par Circé). En d'autres termes les commutateurs date ne sont fiables qu'en fusion DDE(!).
Rigoureusement exact !
Ceci dit je signale une autre façon de contourner la difficulté : le 'formatage en dur' dans Excel (ou autre source de données).
Le formatage usuel est un formatage d'affichage, Word récupère des données brutes non formatées. Or Word aime par dessus tout les données textuelles. Donc 'formatons en dur' dans Excel : à côté de la colonne date A1 contenant 08/04/2005 plaçons une autre colonne B1 =TEXTE(A1;"jjjj j MMMM aaaa") qui contient une donnée TEXTE, formatage en dur de la 1ère: 'vendredi 8 avril 2005'
Si nous utilisons la donnée colonne B peu importe que nous soyons en DDE ou autre : Word est content avec ça !
Anacoluthe « Les liaisons commencent dans le champagne et finissent dans la camomille. » - Valéry LARBAUD
Bonjour Anacoluthe,
J'ai rien à ajouter. Parfait!
Bonne fin de semaine à toutes et à tous,
Nico Iannizzi
Bonjour !
'Nico Iannizzi' nous a écrit ...
Je peux donc conclure que les commutateurs ne font pas l'affaire en fusio
OLE DB,
par contre en mode DDE ils marchent bien (nonobstant les inconvénients
expliqués par Circé). En d'autres termes les commutateurs date ne sont
fiables qu'en fusion DDE(!).
Rigoureusement exact !
Ceci dit je signale une autre façon de contourner la difficulté :
le 'formatage en dur' dans Excel (ou autre source de données).
Le formatage usuel est un formatage d'affichage, Word récupère
des données brutes non formatées. Or Word aime par dessus tout
les données textuelles. Donc 'formatons en dur' dans Excel :
à côté de la colonne date A1 contenant 08/04/2005
plaçons une autre colonne B1 =TEXTE(A1;"jjjj j MMMM aaaa")
qui contient une donnée TEXTE, formatage en dur de la 1ère:
'vendredi 8 avril 2005'
Si nous utilisons la donnée colonne B peu importe que nous
soyons en DDE ou autre : Word est content avec ça !
Anacoluthe
« Les liaisons commencent dans le champagne
et finissent dans la camomille. »
- Valéry LARBAUD
Je peux donc conclure que les commutateurs ne font pas l'affaire en fusio OLE DB, par contre en mode DDE ils marchent bien (nonobstant les inconvénients expliqués par Circé). En d'autres termes les commutateurs date ne sont fiables qu'en fusion DDE(!).
Rigoureusement exact !
Ceci dit je signale une autre façon de contourner la difficulté : le 'formatage en dur' dans Excel (ou autre source de données).
Le formatage usuel est un formatage d'affichage, Word récupère des données brutes non formatées. Or Word aime par dessus tout les données textuelles. Donc 'formatons en dur' dans Excel : à côté de la colonne date A1 contenant 08/04/2005 plaçons une autre colonne B1 =TEXTE(A1;"jjjj j MMMM aaaa") qui contient une donnée TEXTE, formatage en dur de la 1ère: 'vendredi 8 avril 2005'
Si nous utilisons la donnée colonne B peu importe que nous soyons en DDE ou autre : Word est content avec ça !
Anacoluthe « Les liaisons commencent dans le champagne et finissent dans la camomille. » - Valéry LARBAUD