Question

Truc

01/10/2004 à 10:38

"jp©" a écrit dans le message de
news:415cfff5$0$6173$

Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Ca dépend où !
essaie de travailler sur un port comme docker sans être à la CGT
Essaie de travailler dans l'imprimerie de presse sans être à la CGT

Y'en a d'autres, complete qui voudra.

Thierry

01/10/2004 à 10:48

"jp©" wrote in message
news:415cfff5$0$6173$

A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une

assoce

Bonjour,

Pourquoi pas.

En France ou ailleurs, bcp d'amateurs demandent "QSL direct" pour la simple
raison qu'ils ne sont pas affiliés à une association par choix personnel
(ils sont soit tout le temps à l'étranger ou en balade ou ne veulent plus y
adhérer) bien que cela soit disons "mal vu" dans une communauté qui se veut
solidaire. Par ailleurs ca ennui les OM car la QSL direct signifie $$
lorsque c'est toi qui l'émet en premier.

A+
Thierry, ON4SKY
http://www.astrosurf.com/lombry
http://www.eham.net./links/

?
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

F5PBG

01/10/2004 à 14:19

Le Fri, 1 Oct 2004 09:00:03 +0200, "jp©" a ecrit:

A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une assoce ?
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Je n'appartiens a aucune association pour ma part.
73's

marconi

01/10/2004 à 14:48

----- jp© a écrit :

A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une assoce
?
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Oui on a le droit.
Mais Beaucoup attendent tout sans rien donner. Facile !
C'est comme dans le boulot Certains vont faire la grève ou autres,
prennent des risques pour eux mais aussi pour la plupart des branleurs qui
attendent au chaud en ne bougeant pas le petit doigt.
Au travail, je n'ai jamais été syndiqué, mais j'ai participé à des
manifestations et ai même fait grève. Cela me paraît être le minimum.

Alors dans la radio, fut -elle une activité de loisirs, seule l'union fait
la force (cela dit le REF-Union a niqué tout le monde croyant qu'il serait
une fédération d'associations : Raté !)
Certains dirigeants n'ont pensé qu'à leur tronche. C'est ce que je
voulais dire plus haut, même GZJ se fait avoir par ses sbires. Il va se
faire pêter la gueule pour que d'autres,qui plus finauds, arriveront en
sauveurs d'ici peu et qui n'hésiteront pas à le charger.

Alors, si avant le 31/12/04, il y a 5000 signatures identifiables et
engagées, démontrées ici, je veux bien créer une fédération Nationale des
radioamateurs.

TED en sera peut-être le Président ou mon conseiller. Et Monsieur, je
verrai... suvant les suites à son message

Globern

01/10/2004 à 15:27

"Truc" a cru bon de raconter en ce si beau jour
news:415d1770$0$25221$:

"jp©" a écrit dans le message de
news:415cfff5$0$6173$
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Ca dépend où !
essaie de travailler sur un port comme docker sans être à la CGT
Essaie de travailler dans l'imprimerie de presse sans être à la CGT

Y'en a d'autres, complete qui voudra.

Il y a 20000 salariés sous la convention collective du Pétrole mais peu de
syndiqués, à la CGT comme dans d'autres centrale...

Digne d'être un bon libéral....

Xpost et fu2 làoukifô !

--
Globern
"Un jour le courage frappe a la porte de la peur et demande :
Qui est la ? La peur répond : La peur. Le courage entre, et il n'y a
personne." Marianne Muguet

jp©

01/10/2004 à 16:59

Ah bon tu me rassure, j'avais peur de ne plus être en France !

"Branly" a écrit dans le message de
news:6bb776fe4c98399619bcb173ba97137a$

----- jp© a écrit :

> A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
> A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une

assoce

> ?
> Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Oui on a le droit.
Mais Beaucoup attendent tout sans rien donner. Facile !
C'est comme dans le boulot Certains vont faire la grève ou autres,
prennent des risques pour eux mais aussi pour la plupart des branleurs qui
attendent au chaud en ne bougeant pas le petit doigt.
Au travail, je n'ai jamais été syndiqué, mais j'ai participé à des
manifestations et ai même fait grève. Cela me paraît être le minimum.

Alors dans la radio, fut -elle une activité de loisirs, seule l'union fait
la force (cela dit le REF-Union a niqué tout le monde croyant qu'il serait
une fédération d'associations : Raté !)
Certains dirigeants n'ont pensé qu'à leur tronche. C'est ce que je
voulais dire plus haut, même GZJ se fait avoir par ses sbires. Il va se
faire pêter la gueule pour que d'autres,qui plus finauds, arriveront en
sauveurs d'ici peu et qui n'hésiteront pas à le charger.

Alors, si avant le 31/12/04, il y a 5000 signatures identifiables et
engagées, démontrées ici, je veux bien créer une fédération Nationale des
radioamateurs.

TED en sera peut-être le Président ou mon conseiller. Et Monsieur, je
verrai... suvant les suites à son message

Globern

01/10/2004 à 20:35

"Truc" a cru bon de raconter en ce si beau jour
news:415d1770$0$25221$:

"jp©" a écrit dans le message de
news:415cfff5$0$6173$
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Ca dépend où !
essaie de travailler sur un port comme docker sans être à la CGT
Essaie de travailler dans l'imprimerie de presse sans être à la CGT

Y'en a d'autres, complete qui voudra.

Il y a 20000 salariés sous la convention collective du Pétrole mais peu de
syndiqués, à la CGT comme dans d'autres centrales...

Digne d'être un bon libéral....

Xpost et fu2 làoukifô !

--
Globern
"Un jour le courage frappe a la porte de la peur et demande :
Qui est la ? La peur répond : La peur. Le courage entre, et il n'y a
personne." Marianne Muguet

jcco*

01/10/2004 à 22:20

ndésirables du reclassement
Imphy (Nièvre),

envoyée spéciale.

À l'heure où les patrons présentent le « reclassement » comme la panacée des
restructurations et des suppressions d'emplois, un document découvert il y a
un mois par la CGT du site Arcelor d'Imphy, dans la Nièvre, lève le voile
sur la manière dont une entreprise considère et gère l'avenir de ses
salariés. Ce document est un rapport établi par un chef d'atelier pour la
direction des ressources humaines. Il montre que les généreuses «
propositions de reclassement » ne sont pas toujours de bonne foi quand l'
objectif est de diminuer les effectifs et de se débarrasser des
syndicalistes.

L'affaire remonte à 2003. À l'époque, l'aciérie d'Imphy subit depuis
plusieurs années une série d'éclatements et de suppressions d'emplois (voir
ci-dessous). Dans ce cadre, Arcelor annonce pour la fin 2003 la fermeture de
sa filiale Mecagis, une petite entité de 32 salariés qui produit des
composants électroniques à quelques kilomètres d'Imphy. Cet atelier a déjà
subi deux plans de suppressions d'emplois, en 1999 et en 2001. Cette
fois-ci, il doit fermer, car la production est délocalisée en Chine.
Conformément au Code du travail, la direction doit tout mettre en oeuvre
pour reclasser les salariés. En cas de refus de leur part, elle peut les
licencier.

RECLASSEMENT

INCONCEVABLE

« La direction a proposé un reclassement dans l'aciérie à Imphy, mais dans
des conditions très différentes », raconte Gérard Daguin, secrétaire du
syndicat CGT d'Imphy-Alloys, une des entités de l'aciérie. Le personnel de
Mecagis est surtout féminin. Les ouvrières effectuent en 2 × 8, assises, un
travail de précision. On leur propose un reclassement dans un atelier de
laminage à froid (LAF) où le travail, très physique, debout, avec de lourdes
charges à porter, était jusqu'à présent réservé aux hommes. De plus, les
horaires sont en 3 × 8. En juillet 2003, le chef de cet atelier les reçoit
individuellement pour leur présenter les postes de travail proposés. C'est
le compte rendu à la DRH de neuf de ces entretiens qu'a intercepté la CGT.

« Quand j'ai rencontré le chef d'atelier, il m'a dit que des gens comme moi,
des cégétistes, il en fallait », se souvient amèrement Mauricette Briffaud,
déléguée CGT entrée à Mecagis en 1973. Le compte rendu rédigé par le cadre
est nettement moins amène : « Comme prévu, Mme Briffaud dénonce la manière
de gérer ces reconversions en mettant en avant la problématique des rythmes
3 × 8 difficiles à gérer pour une femme, écrit-il. Nous lui avons précisé qu
'elle avait la possibilité de refuser la proposition du LAF. » Autrement
dit, elle peut choisir le licenciement ! Le cadre ne cache pas sa déception
: « La visite du banc 348 a semblé l'intéresser ! Elle va réfléchir et
donner une réponse en septembre. En espérant qu'elle refuse !! Mais je pense
qu'elle va accepter et amener avec ses frères (également militants CGT -
NDLR) un renfort de la présence CGT au LAF. » À l'occasion du reclassement,
la direction souhaite évacuer l'influence syndicale. Le rapport sur un
ouvrier de cinquante ans mentionne qu'il est « délégué et secrétaire adjoint
du comité d'entreprise ». « A priori, n'a pas l'intention de postuler pour
de nouveaux mandats (...). Possible intégration en septembre ou octobre. À
voir en fonction des élections pour qu'il ne se présente pas sur Imphy. » L'
ouvrier sera donc retenu s'il renonce à ses mandats, ce qui se produira.
Pour un troisième salarié, le chef précise : « J'avais déjà eu l'occasion de
rencontrer cette personne lors d'un précédent plan social de Mecagis, pour
un poste de rectifieur. Je ne l'avais pas retenu (il faut dire qu'à l'époque
il était délégué syndical). Entretien réalisé dans un climat positif (...).
Possible intégration mi-novembre. » Ayant renoncé à son activité syndicale,
le salarié ne pose plus problème.

« Ces documents montrent noir sur blanc la discrimination syndicale chez
Arcelor, s'indigne Gérard Daguin, de la CGT. C'est une liste noire établie
par un chef d'atelier sur demande de la direction des ressources humaines.
Arcelor ne s'embarrasse pas de la légalité, il fiche les salariés, cible
ceux qu'il veut garder ou pas. Pour les indésirables, il met des
barrières. » Sur les 32 salariés de Mecagis, 8 sont partis en préretraite, 7
ont refusé le reclassement et ont été licenciés, 17 autres, dont 6 femmes,
ont dû accepter le poste au laminage. « Les collègues étaient hostiles au
reclassement, mais c'était ça ou la porte, dénonce Mauricette Briffaud. En
fait, Arcelor espérait certainement que les femmes refuseraient les postes
en 3 × 8. Les reclasser n'était pas dans son intérêt puisqu'il s'apprêtait à
licencier dans l'aciérie aussi. Il a été surpris qu'on accepte. Mais on a
besoin de travailler. Certaines d'entre nous ont des enfants en bas âge. Une
est seule avec ses enfants. Elle a commencé à déprimer trois mois après le
reclassement, à cause du travail trop dur. » Le médecin du travail lui-même
avait émis des objections au reclassement vu les conditions de travail.

HARCÈLEMENT

longue durÉE

La cégétiste a été la seule à tenter de résister. Peu après l'entretien,
elle apprend le contenu du rapport du chef, par un salarié qui transmettra
bien plus tard le document à la CGT. « Sachant à quel point j'étais rejetée,
j'imaginais la pression que j'allais subir. J'étais très stressée. J'ai
refusé de signer un nouveau contrat de travail entérinant le reclassement
dans cet atelier et le passage en 3 × 8. À la fin de janvier, j'ai craqué,
je suis tombée en dépression. » Lors d'un précédent plan social, la
direction avait déjà harcelé la déléguée. Alors que l'inspection du travail
avait refusé son licenciement, la direction lui envoyait des lettres l'
invitant à quitter l'entreprise, à consulter la cellule de reclassement.
Depuis janvier elle est en arrêt de maladie. « Sur la base de ce document,
nous avons engagé une action aux prud'hommes pour harcèlement moral et
discrimination syndicale, et nous envisageons aussi d'aller au pénal,
indique Gérard Daguin. Il faut sanctionner la direction et empêcher que de
tels fichages deviennent monnaie courante. »

Fanny Doumayrou

--
-----------------------------------
http://citoyenfr.lautre.net

-------------------------------------------------
"Globern" a écrit dans le message de news:

"Truc" a cru bon de raconter en ce si beau jour
news:415d1770$0$25221$:

>
> "jp©" a écrit dans le message de
> news:415cfff5$0$6173$
>> Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !
>>
>>
> Ca dépend où !
> essaie de travailler sur un port comme docker sans être à la CGT
> Essaie de travailler dans l'imprimerie de presse sans être à la CGT
>
> Y'en a d'autres, complete qui voudra.
>
>
>
>

Il y a 20000 salariés sous la convention collective du Pétrole mais peu de
syndiqués, à la CGT comme dans d'autres centrales...

Digne d'être un bon libéral....

Xpost et fu2 làoukifô !

--
Globern
"Un jour le courage frappe a la porte de la peur et demande :
Qui est la ? La peur répond : La peur. Le courage entre, et il n'y a
personne." Marianne Muguet

ndésirables du reclassement
Imphy (Nièvre),

envoyée spéciale.

À l'heure où les patrons présentent le « reclassement » comme la panacée des
restructurations et des suppressions d'emplois, un document découvert il y a
un mois par la CGT du site Arcelor d'Imphy, dans la Nièvre, lève le voile
sur la manière dont une entreprise considère et gère l'avenir de ses
salariés. Ce document est un rapport établi par un chef d'atelier pour la
direction des ressources humaines. Il montre que les généreuses «
propositions de reclassement » ne sont pas toujours de bonne foi quand l'
objectif est de diminuer les effectifs et de se débarrasser des
syndicalistes.

L'affaire remonte à 2003. À l'époque, l'aciérie d'Imphy subit depuis
plusieurs années une série d'éclatements et de suppressions d'emplois (voir
ci-dessous). Dans ce cadre, Arcelor annonce pour la fin 2003 la fermeture de
sa filiale Mecagis, une petite entité de 32 salariés qui produit des
composants électroniques à quelques kilomètres d'Imphy. Cet atelier a déjà
subi deux plans de suppressions d'emplois, en 1999 et en 2001. Cette
fois-ci, il doit fermer, car la production est délocalisée en Chine.
Conformément au Code du travail, la direction doit tout mettre en oeuvre
pour reclasser les salariés. En cas de refus de leur part, elle peut les
licencier.

RECLASSEMENT

INCONCEVABLE

« La direction a proposé un reclassement dans l'aciérie à Imphy, mais dans
des conditions très différentes », raconte Gérard Daguin, secrétaire du
syndicat CGT d'Imphy-Alloys, une des entités de l'aciérie. Le personnel de
Mecagis est surtout féminin. Les ouvrières effectuent en 2 × 8, assises, un
travail de précision. On leur propose un reclassement dans un atelier de
laminage à froid (LAF) où le travail, très physique, debout, avec de lourdes
charges à porter, était jusqu'à présent réservé aux hommes. De plus, les
horaires sont en 3 × 8. En juillet 2003, le chef de cet atelier les reçoit
individuellement pour leur présenter les postes de travail proposés. C'est
le compte rendu à la DRH de neuf de ces entretiens qu'a intercepté la CGT.

« Quand j'ai rencontré le chef d'atelier, il m'a dit que des gens comme moi,
des cégétistes, il en fallait », se souvient amèrement Mauricette Briffaud,
déléguée CGT entrée à Mecagis en 1973. Le compte rendu rédigé par le cadre
est nettement moins amène : « Comme prévu, Mme Briffaud dénonce la manière
de gérer ces reconversions en mettant en avant la problématique des rythmes
3 × 8 difficiles à gérer pour une femme, écrit-il. Nous lui avons précisé qu
'elle avait la possibilité de refuser la proposition du LAF. » Autrement
dit, elle peut choisir le licenciement ! Le cadre ne cache pas sa déception
: « La visite du banc 348 a semblé l'intéresser ! Elle va réfléchir et
donner une réponse en septembre. En espérant qu'elle refuse !! Mais je pense
qu'elle va accepter et amener avec ses frères (également militants CGT -
NDLR) un renfort de la présence CGT au LAF. » À l'occasion du reclassement,
la direction souhaite évacuer l'influence syndicale. Le rapport sur un
ouvrier de cinquante ans mentionne qu'il est « délégué et secrétaire adjoint
du comité d'entreprise ». « A priori, n'a pas l'intention de postuler pour
de nouveaux mandats (...). Possible intégration en septembre ou octobre. À
voir en fonction des élections pour qu'il ne se présente pas sur Imphy. » L'
ouvrier sera donc retenu s'il renonce à ses mandats, ce qui se produira.
Pour un troisième salarié, le chef précise : « J'avais déjà eu l'occasion de
rencontrer cette personne lors d'un précédent plan social de Mecagis, pour
un poste de rectifieur. Je ne l'avais pas retenu (il faut dire qu'à l'époque
il était délégué syndical). Entretien réalisé dans un climat positif (...).
Possible intégration mi-novembre. » Ayant renoncé à son activité syndicale,
le salarié ne pose plus problème.

« Ces documents montrent noir sur blanc la discrimination syndicale chez
Arcelor, s'indigne Gérard Daguin, de la CGT. C'est une liste noire établie
par un chef d'atelier sur demande de la direction des ressources humaines.
Arcelor ne s'embarrasse pas de la légalité, il fiche les salariés, cible
ceux qu'il veut garder ou pas. Pour les indésirables, il met des
barrières. » Sur les 32 salariés de Mecagis, 8 sont partis en préretraite, 7
ont refusé le reclassement et ont été licenciés, 17 autres, dont 6 femmes,
ont dû accepter le poste au laminage. « Les collègues étaient hostiles au
reclassement, mais c'était ça ou la porte, dénonce Mauricette Briffaud. En
fait, Arcelor espérait certainement que les femmes refuseraient les postes
en 3 × 8. Les reclasser n'était pas dans son intérêt puisqu'il s'apprêtait à
licencier dans l'aciérie aussi. Il a été surpris qu'on accepte. Mais on a
besoin de travailler. Certaines d'entre nous ont des enfants en bas âge. Une
est seule avec ses enfants. Elle a commencé à déprimer trois mois après le
reclassement, à cause du travail trop dur. » Le médecin du travail lui-même
avait émis des objections au reclassement vu les conditions de travail.

HARCÈLEMENT

longue durÉE

La cégétiste a été la seule à tenter de résister. Peu après l'entretien,
elle apprend le contenu du rapport du chef, par un salarié qui transmettra
bien plus tard le document à la CGT. « Sachant à quel point j'étais rejetée,
j'imaginais la pression que j'allais subir. J'étais très stressée. J'ai
refusé de signer un nouveau contrat de travail entérinant le reclassement
dans cet atelier et le passage en 3 × 8. À la fin de janvier, j'ai craqué,
je suis tombée en dépression. » Lors d'un précédent plan social, la
direction avait déjà harcelé la déléguée. Alors que l'inspection du travail
avait refusé son licenciement, la direction lui envoyait des lettres l'
invitant à quitter l'entreprise, à consulter la cellule de reclassement.
Depuis janvier elle est en arrêt de maladie. « Sur la base de ce document,
nous avons engagé une action aux prud'hommes pour harcèlement moral et
discrimination syndicale, et nous envisageons aussi d'aller au pénal,
indique Gérard Daguin. Il faut sanctionner la direction et empêcher que de
tels fichages deviennent monnaie courante. »

Fanny Doumayrou

--
-----------------------------------
http://citoyenfr.lautre.net

-------------------------------------------------
"Globern" <Globern@la-neuf.org> a écrit dans le message de news:
XnF9575D18914144Globernlaneuf@193.252.117.183...

"Truc" <truc@much.be> a cru bon de raconter en ce si beau jour
news:415d1770$0$25221$626a14ce@news.free.fr:

>
> "jp©" <bibi@jp.com> a écrit dans le message de
> news:415cfff5$0$6173$636a15ce@news.free.fr...
>> Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !
>>
>>
> Ca dépend où !
> essaie de travailler sur un port comme docker sans être à la CGT
> Essaie de travailler dans l'imprimerie de presse sans être à la CGT
>
> Y'en a d'autres, complete qui voudra.
>
>
>
>

Il y a 20000 salariés sous la convention collective du Pétrole mais peu de
syndiqués, à la CGT comme dans d'autres centrales...

Digne d'être un bon libéral....

Xpost et fu2 làoukifô !

--
Globern
"Un jour le courage frappe a la porte de la peur et demande :
Qui est la ? La peur répond : La peur. Le courage entre, et il n'y a
personne." Marianne Muguet

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

ndésirables du reclassement
Imphy (Nièvre),

envoyée spéciale.

À l'heure où les patrons présentent le « reclassement » comme la panacée des
restructurations et des suppressions d'emplois, un document découvert il y a
un mois par la CGT du site Arcelor d'Imphy, dans la Nièvre, lève le voile
sur la manière dont une entreprise considère et gère l'avenir de ses
salariés. Ce document est un rapport établi par un chef d'atelier pour la
direction des ressources humaines. Il montre que les généreuses «
propositions de reclassement » ne sont pas toujours de bonne foi quand l'
objectif est de diminuer les effectifs et de se débarrasser des
syndicalistes.

L'affaire remonte à 2003. À l'époque, l'aciérie d'Imphy subit depuis
plusieurs années une série d'éclatements et de suppressions d'emplois (voir
ci-dessous). Dans ce cadre, Arcelor annonce pour la fin 2003 la fermeture de
sa filiale Mecagis, une petite entité de 32 salariés qui produit des
composants électroniques à quelques kilomètres d'Imphy. Cet atelier a déjà
subi deux plans de suppressions d'emplois, en 1999 et en 2001. Cette
fois-ci, il doit fermer, car la production est délocalisée en Chine.
Conformément au Code du travail, la direction doit tout mettre en oeuvre
pour reclasser les salariés. En cas de refus de leur part, elle peut les
licencier.

RECLASSEMENT

INCONCEVABLE

« La direction a proposé un reclassement dans l'aciérie à Imphy, mais dans
des conditions très différentes », raconte Gérard Daguin, secrétaire du
syndicat CGT d'Imphy-Alloys, une des entités de l'aciérie. Le personnel de
Mecagis est surtout féminin. Les ouvrières effectuent en 2 × 8, assises, un
travail de précision. On leur propose un reclassement dans un atelier de
laminage à froid (LAF) où le travail, très physique, debout, avec de lourdes
charges à porter, était jusqu'à présent réservé aux hommes. De plus, les
horaires sont en 3 × 8. En juillet 2003, le chef de cet atelier les reçoit
individuellement pour leur présenter les postes de travail proposés. C'est
le compte rendu à la DRH de neuf de ces entretiens qu'a intercepté la CGT.

« Quand j'ai rencontré le chef d'atelier, il m'a dit que des gens comme moi,
des cégétistes, il en fallait », se souvient amèrement Mauricette Briffaud,
déléguée CGT entrée à Mecagis en 1973. Le compte rendu rédigé par le cadre
est nettement moins amène : « Comme prévu, Mme Briffaud dénonce la manière
de gérer ces reconversions en mettant en avant la problématique des rythmes
3 × 8 difficiles à gérer pour une femme, écrit-il. Nous lui avons précisé qu
'elle avait la possibilité de refuser la proposition du LAF. » Autrement
dit, elle peut choisir le licenciement ! Le cadre ne cache pas sa déception
: « La visite du banc 348 a semblé l'intéresser ! Elle va réfléchir et
donner une réponse en septembre. En espérant qu'elle refuse !! Mais je pense
qu'elle va accepter et amener avec ses frères (également militants CGT -
NDLR) un renfort de la présence CGT au LAF. » À l'occasion du reclassement,
la direction souhaite évacuer l'influence syndicale. Le rapport sur un
ouvrier de cinquante ans mentionne qu'il est « délégué et secrétaire adjoint
du comité d'entreprise ». « A priori, n'a pas l'intention de postuler pour
de nouveaux mandats (...). Possible intégration en septembre ou octobre. À
voir en fonction des élections pour qu'il ne se présente pas sur Imphy. » L'
ouvrier sera donc retenu s'il renonce à ses mandats, ce qui se produira.
Pour un troisième salarié, le chef précise : « J'avais déjà eu l'occasion de
rencontrer cette personne lors d'un précédent plan social de Mecagis, pour
un poste de rectifieur. Je ne l'avais pas retenu (il faut dire qu'à l'époque
il était délégué syndical). Entretien réalisé dans un climat positif (...).
Possible intégration mi-novembre. » Ayant renoncé à son activité syndicale,
le salarié ne pose plus problème.

« Ces documents montrent noir sur blanc la discrimination syndicale chez
Arcelor, s'indigne Gérard Daguin, de la CGT. C'est une liste noire établie
par un chef d'atelier sur demande de la direction des ressources humaines.
Arcelor ne s'embarrasse pas de la légalité, il fiche les salariés, cible
ceux qu'il veut garder ou pas. Pour les indésirables, il met des
barrières. » Sur les 32 salariés de Mecagis, 8 sont partis en préretraite, 7
ont refusé le reclassement et ont été licenciés, 17 autres, dont 6 femmes,
ont dû accepter le poste au laminage. « Les collègues étaient hostiles au
reclassement, mais c'était ça ou la porte, dénonce Mauricette Briffaud. En
fait, Arcelor espérait certainement que les femmes refuseraient les postes
en 3 × 8. Les reclasser n'était pas dans son intérêt puisqu'il s'apprêtait à
licencier dans l'aciérie aussi. Il a été surpris qu'on accepte. Mais on a
besoin de travailler. Certaines d'entre nous ont des enfants en bas âge. Une
est seule avec ses enfants. Elle a commencé à déprimer trois mois après le
reclassement, à cause du travail trop dur. » Le médecin du travail lui-même
avait émis des objections au reclassement vu les conditions de travail.

HARCÈLEMENT

longue durÉE

La cégétiste a été la seule à tenter de résister. Peu après l'entretien,
elle apprend le contenu du rapport du chef, par un salarié qui transmettra
bien plus tard le document à la CGT. « Sachant à quel point j'étais rejetée,
j'imaginais la pression que j'allais subir. J'étais très stressée. J'ai
refusé de signer un nouveau contrat de travail entérinant le reclassement
dans cet atelier et le passage en 3 × 8. À la fin de janvier, j'ai craqué,
je suis tombée en dépression. » Lors d'un précédent plan social, la
direction avait déjà harcelé la déléguée. Alors que l'inspection du travail
avait refusé son licenciement, la direction lui envoyait des lettres l'
invitant à quitter l'entreprise, à consulter la cellule de reclassement.
Depuis janvier elle est en arrêt de maladie. « Sur la base de ce document,
nous avons engagé une action aux prud'hommes pour harcèlement moral et
discrimination syndicale, et nous envisageons aussi d'aller au pénal,
indique Gérard Daguin. Il faut sanctionner la direction et empêcher que de
tels fichages deviennent monnaie courante. »

Fanny Doumayrou

--
-----------------------------------
http://citoyenfr.lautre.net

-------------------------------------------------
"Globern" a écrit dans le message de news:

"Truc" a cru bon de raconter en ce si beau jour
news:415d1770$0$25221$:

>
> "jp©" a écrit dans le message de
> news:415cfff5$0$6173$
>> Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !
>>
>>
> Ca dépend où !
> essaie de travailler sur un port comme docker sans être à la CGT
> Essaie de travailler dans l'imprimerie de presse sans être à la CGT
>
> Y'en a d'autres, complete qui voudra.
>
>
>
>

Il y a 20000 salariés sous la convention collective du Pétrole mais peu de
syndiqués, à la CGT comme dans d'autres centrales...

Digne d'être un bon libéral....

Xpost et fu2 làoukifô !

--
Globern
"Un jour le courage frappe a la porte de la peur et demande :
Qui est la ? La peur répond : La peur. Le courage entre, et il n'y a
personne." Marianne Muguet

monsieur

01/10/2004 à 23:17

C'est pas fini la branlette d'intélo de soixantehuitards atardés, créer
une fédé de quoi, y'a pu personne et puis tu me fais marrer avec tes 5000
candidats, ca dérange personne un tel chiffre repris de par ailleurs ?

qu'est ce que tu veux fédérer, 3 pelés et un tondu, tout le monde s'en
branle Branly, Ted a raison, vous devez être tous un peu fracassé du
caisson chez les OM. Vous pouvez pas simplement faire votre activité dans
votre coin en pères peinards, tranquilles, sans faire chier le peuple ?

une petite réunion de radioclub de quartier en picolant des bibines et en
envoyant les bonnes 73 via le relais local, pouf chic l'ambiance et puis
dodo, basta, la voilà la fédé. Une fédé pour chaque RC, chaque RC étant sa
propre fédé avec sorties en vélo pour les YL tous les dimanches après la
sieste.

tu crois que 5HX y s'occupe de vos tronches d'OM lorsqu'il deal la
publication du mariage du ETI national avec une illustre inconnue contre
je ne sais quoi, ces mecs là ne pensent qu'à leurs tronches, alors
pourquoi pas vous ? Stupidos boys band.

les fédé, les syndicats, les assoces c'est que pour les branleurs ou les
peureux de perdre quelquechose.

la seule fédé qui tienne la route c'est le REF à MOI lorsque ses ficelles
seront entre mes mains car tout le monde aura été mis à la porte.

enfin bon, je m'en fout, je suis le futur PDT du REF UNION, seul capable
de redresser la barre du Titaref.

et oui ca c'est pas du Branly, c'est du Monsieur, appelez-moi ainsi j'y
serait sensible !

au prochain communiqué de vous lire

en plus je me marre, ne cotisant pas au REF le truc rigolo c'est que sans
le savoir (qui je suis) ils me transfère des cartes QSL du monde entier
qui transitent via leur bureau et gratuitement en plus... hi hi alors tu
penses que je suis pas pressé, j'attends tranquille et pouf les QSL qui
tombent sans lacher une thune... le pire c'est que ceux qui payent ne
recoivent leurs QSL via BURO que lorsque le REF a le temps ! C'est fort
non ?
Y peuvent pas faire autrement de toutes les manières sinon ils peuvent
perdre l'un de leurs principaux atouts et partenaire international qu'ils
sont sensés représenté.

je vous donnerai le truc un autre jour dans une future émission.

aller, tu viens Brenda on va se grater un kéno !

----- Branly a écrit :

----- jp© a écrit :

A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une assoce
?
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Oui on a le droit.
Mais Beaucoup attendent tout sans rien donner. Facile !
C'est comme dans le boulot Certains vont faire la grève ou autres,
prennent des risques pour eux mais aussi pour la plupart des branleurs qui
attendent au chaud en ne bougeant pas le petit doigt.
Au travail, je n'ai jamais été syndiqué, mais j'ai participé à des
manifestations et ai même fait grève. Cela me paraît être le minimum.

Alors dans la radio, fut -elle une activité de loisirs, seule l'union fait
la force (cela dit le REF-Union a niqué tout le monde croyant qu'il serait
une fédération d'associations : Raté !)
Certains dirigeants n'ont pensé qu'à leur tronche. C'est ce que je
voulais dire plus haut, même GZJ se fait avoir par ses sbires. Il va se
faire pêter la gueule pour que d'autres,qui plus finauds, arriveront en
sauveurs d'ici peu et qui n'hésiteront pas à le charger.

Alors, si avant le 31/12/04, il y a 5000 signatures identifiables et
engagées, démontrées ici, je veux bien créer une fédération Nationale des
radioamateurs.

TED en sera peut-être le Président ou mon conseiller. Et Monsieur, je
verrai... suvant les suites à son message

C'est pas fini la branlette d'intélo de soixantehuitards atardés, créer
une fédé de quoi, y'a pu personne et puis tu me fais marrer avec tes 5000
candidats, ca dérange personne un tel chiffre repris de par ailleurs ?

qu'est ce que tu veux fédérer, 3 pelés et un tondu, tout le monde s'en
branle Branly, Ted a raison, vous devez être tous un peu fracassé du
caisson chez les OM. Vous pouvez pas simplement faire votre activité dans
votre coin en pères peinards, tranquilles, sans faire chier le peuple ?

une petite réunion de radioclub de quartier en picolant des bibines et en
envoyant les bonnes 73 via le relais local, pouf chic l'ambiance et puis
dodo, basta, la voilà la fédé. Une fédé pour chaque RC, chaque RC étant sa
propre fédé avec sorties en vélo pour les YL tous les dimanches après la
sieste.

tu crois que 5HX y s'occupe de vos tronches d'OM lorsqu'il deal la
publication du mariage du ETI national avec une illustre inconnue contre
je ne sais quoi, ces mecs là ne pensent qu'à leurs tronches, alors
pourquoi pas vous ? Stupidos boys band.

les fédé, les syndicats, les assoces c'est que pour les branleurs ou les
peureux de perdre quelquechose.

la seule fédé qui tienne la route c'est le REF à MOI lorsque ses ficelles
seront entre mes mains car tout le monde aura été mis à la porte.

enfin bon, je m'en fout, je suis le futur PDT du REF UNION, seul capable
de redresser la barre du Titaref.

et oui ca c'est pas du Branly, c'est du Monsieur, appelez-moi ainsi j'y
serait sensible !

au prochain communiqué de vous lire

en plus je me marre, ne cotisant pas au REF le truc rigolo c'est que sans
le savoir (qui je suis) ils me transfère des cartes QSL du monde entier
qui transitent via leur bureau et gratuitement en plus... hi hi alors tu
penses que je suis pas pressé, j'attends tranquille et pouf les QSL qui
tombent sans lacher une thune... le pire c'est que ceux qui payent ne
recoivent leurs QSL via BURO que lorsque le REF a le temps ! C'est fort
non ?
Y peuvent pas faire autrement de toutes les manières sinon ils peuvent
perdre l'un de leurs principaux atouts et partenaire international qu'ils
sont sensés représenté.

je vous donnerai le truc un autre jour dans une future émission.

aller, tu viens Brenda on va se grater un kéno !

----- Branly a écrit :

----- jp© a écrit :

A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une assoce
?
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Oui on a le droit.
Mais Beaucoup attendent tout sans rien donner. Facile !
C'est comme dans le boulot Certains vont faire la grève ou autres,
prennent des risques pour eux mais aussi pour la plupart des branleurs qui
attendent au chaud en ne bougeant pas le petit doigt.
Au travail, je n'ai jamais été syndiqué, mais j'ai participé à des
manifestations et ai même fait grève. Cela me paraît être le minimum.

Alors dans la radio, fut -elle une activité de loisirs, seule l'union fait
la force (cela dit le REF-Union a niqué tout le monde croyant qu'il serait
une fédération d'associations : Raté !)
Certains dirigeants n'ont pensé qu'à leur tronche. C'est ce que je
voulais dire plus haut, même GZJ se fait avoir par ses sbires. Il va se
faire pêter la gueule pour que d'autres,qui plus finauds, arriveront en
sauveurs d'ici peu et qui n'hésiteront pas à le charger.

Alors, si avant le 31/12/04, il y a 5000 signatures identifiables et
engagées, démontrées ici, je veux bien créer une fédération Nationale des
radioamateurs.

TED en sera peut-être le Président ou mon conseiller. Et Monsieur, je
verrai... suvant les suites à son message

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

C'est pas fini la branlette d'intélo de soixantehuitards atardés, créer
une fédé de quoi, y'a pu personne et puis tu me fais marrer avec tes 5000
candidats, ca dérange personne un tel chiffre repris de par ailleurs ?

qu'est ce que tu veux fédérer, 3 pelés et un tondu, tout le monde s'en
branle Branly, Ted a raison, vous devez être tous un peu fracassé du
caisson chez les OM. Vous pouvez pas simplement faire votre activité dans
votre coin en pères peinards, tranquilles, sans faire chier le peuple ?

une petite réunion de radioclub de quartier en picolant des bibines et en
envoyant les bonnes 73 via le relais local, pouf chic l'ambiance et puis
dodo, basta, la voilà la fédé. Une fédé pour chaque RC, chaque RC étant sa
propre fédé avec sorties en vélo pour les YL tous les dimanches après la
sieste.

tu crois que 5HX y s'occupe de vos tronches d'OM lorsqu'il deal la
publication du mariage du ETI national avec une illustre inconnue contre
je ne sais quoi, ces mecs là ne pensent qu'à leurs tronches, alors
pourquoi pas vous ? Stupidos boys band.

les fédé, les syndicats, les assoces c'est que pour les branleurs ou les
peureux de perdre quelquechose.

la seule fédé qui tienne la route c'est le REF à MOI lorsque ses ficelles
seront entre mes mains car tout le monde aura été mis à la porte.

enfin bon, je m'en fout, je suis le futur PDT du REF UNION, seul capable
de redresser la barre du Titaref.

et oui ca c'est pas du Branly, c'est du Monsieur, appelez-moi ainsi j'y
serait sensible !

au prochain communiqué de vous lire

en plus je me marre, ne cotisant pas au REF le truc rigolo c'est que sans
le savoir (qui je suis) ils me transfère des cartes QSL du monde entier
qui transitent via leur bureau et gratuitement en plus... hi hi alors tu
penses que je suis pas pressé, j'attends tranquille et pouf les QSL qui
tombent sans lacher une thune... le pire c'est que ceux qui payent ne
recoivent leurs QSL via BURO que lorsque le REF a le temps ! C'est fort
non ?
Y peuvent pas faire autrement de toutes les manières sinon ils peuvent
perdre l'un de leurs principaux atouts et partenaire international qu'ils
sont sensés représenté.

je vous donnerai le truc un autre jour dans une future émission.

aller, tu viens Brenda on va se grater un kéno !

----- Branly a écrit :

----- jp© a écrit :

A lire les lignes de ce forum, une question me taraude :
A-t'on le droit en France de faire de la radio sans appartenir à une assoce
?
Comme par exemple de travailler sans être syndiqué !

Oui on a le droit.
Mais Beaucoup attendent tout sans rien donner. Facile !
C'est comme dans le boulot Certains vont faire la grève ou autres,
prennent des risques pour eux mais aussi pour la plupart des branleurs qui
attendent au chaud en ne bougeant pas le petit doigt.
Au travail, je n'ai jamais été syndiqué, mais j'ai participé à des
manifestations et ai même fait grève. Cela me paraît être le minimum.

Alors dans la radio, fut -elle une activité de loisirs, seule l'union fait
la force (cela dit le REF-Union a niqué tout le monde croyant qu'il serait
une fédération d'associations : Raté !)
Certains dirigeants n'ont pensé qu'à leur tronche. C'est ce que je
voulais dire plus haut, même GZJ se fait avoir par ses sbires. Il va se
faire pêter la gueule pour que d'autres,qui plus finauds, arriveront en
sauveurs d'ici peu et qui n'hésiteront pas à le charger.

Alors, si avant le 31/12/04, il y a 5000 signatures identifiables et
engagées, démontrées ici, je veux bien créer une fédération Nationale des
radioamateurs.

TED en sera peut-être le Président ou mon conseiller. Et Monsieur, je
verrai... suvant les suites à son message

Globern

02/10/2004 à 06:15

"jcco*" a cru bon de raconter en ce si beau jour
news:415dbc15$0$25448$:

Salut Jean Claude

On se retrouve sur fr.soc.travail...

--
Globern
"Un jour le courage frappe a la porte de la peur et demande :
Qui est la ? La peur répond : La peur. Le courage entre, et il n'y a
personne." Marianne Muguet

Question

10 réponses

Veuillez sélectionner un problème