J'étudie la Musicologie à l'université d'Aalborg au Danemark.
Je suis actuellement en train d'écrire mon rapport de DEA concernant
l'utilisation de l'Internet dans la création musicale. Pour cela,
j'écris une synthèse sur ce sujet.
Cette synthèse concerne l'ensemble des gens qui portent un intérêt à la
musique. Je désirerai que vous répondiez a mon questionnaire
(en anglais) que vous utilisiez ou non des logiciels de composition
musicale, l'important étant votre intérêt pour la musique.
Les réponses resteront anonymes et les résultats seront compulsés dans
mon rapport de DEA.
Vous pouvez trouver le questionnaire ainsi qu'un complément
d'information concernant mon rapport de DEA à cet endroit:
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François Polloli
Mette Eklund Andersen a écrit :
Je suis actuellement en train d'écrire mon rapport de DEA concernant l'utilisation de l'Internet dans la création musicale. Pour cela, j'écris une synthèse sur ce sujet.
Cette synthèse concerne l'ensemble des gens qui portent un intérêt à la musique. Je désirerai que vous répondiez a mon questionnaire (en anglais) que vous utilisiez ou non des logiciels de composition musicale, l'important étant votre intérêt pour la musique.
Les réponses resteront anonymes et les résultats seront compulsés dans mon rapport de DEA.
Ah... les questionnaires par Internet... c'est bien commode...
Il est probable que tu parviennes à récolter assez vite une quantité de données conséquente. Mais seront-elles significatives ?... et de quoi ?...
Permets-moi de te dire que ta démarche comporte un défaut majeur : cette méthode d'enquête est biaisée, et donc inutilisable dans le cadre d'un travail universitaire sérieux. En effet, n'importe quelle étude statistique, pour être valide, doit définir et maîtriser son échantillon. Là, tu ne fais ni l'un, ni l'autre, ama.
Il serait probablement plus fructueux, mais peut-être aussi plus difficile, de contacter les éditeurs de logiciels, qui ont, grâce à leurs archives de support technique, des retours d'utilisateurs. C'est une des pistes possibles... il y en a sûrement d'autres.
Par ailleurs, je trouve que tu cibles un peu large. Mettre dans le même panier, d'une part, les gens du "studio en ligne" de l'Ircam (qui ne constituent pas nécessairement un exemple à suivre <http://forumnet.ircam.fr/rubrique.php3?id_rubrique>) et, d'autre part, des gogos (sympathiques au demeurant) qui échangent des fichiers *.kar pour animer une fête de village, me semble relever d'une certaine immaturité.
Sur les études statistiques menées par le canal d'Internet, Martin Winkler (médecin ET écrivain) avait fait quelques commentaires fort bien trochés dans sa chronique "Odyssée" sur France-Inter : <http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/information/chroniques/chronique/fiche.php?numero270&chronique_id 020145>
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François - universitaire méthodique
Mette Eklund Andersen a écrit :
Je suis actuellement en train d'écrire mon rapport de DEA concernant
l'utilisation de l'Internet dans la création musicale. Pour cela,
j'écris une synthèse sur ce sujet.
Cette synthèse concerne l'ensemble des gens qui portent un intérêt à la
musique. Je désirerai que vous répondiez a mon questionnaire
(en anglais) que vous utilisiez ou non des logiciels de composition
musicale, l'important étant votre intérêt pour la musique.
Les réponses resteront anonymes et les résultats seront compulsés dans
mon rapport de DEA.
Ah... les questionnaires par Internet... c'est bien commode...
Il est probable que tu parviennes à récolter assez vite une quantité de
données conséquente. Mais seront-elles significatives ?... et de quoi ?...
Permets-moi de te dire que ta démarche comporte un défaut majeur : cette
méthode d'enquête est biaisée, et donc inutilisable dans le cadre d'un
travail universitaire sérieux. En effet, n'importe quelle étude
statistique, pour être valide, doit définir et maîtriser son échantillon.
Là, tu ne fais ni l'un, ni l'autre, ama.
Il serait probablement plus fructueux, mais peut-être aussi plus
difficile, de contacter les éditeurs de logiciels, qui ont, grâce à leurs
archives de support technique, des retours d'utilisateurs. C'est une des
pistes possibles... il y en a sûrement d'autres.
Par ailleurs, je trouve que tu cibles un peu large. Mettre dans le même
panier, d'une part, les gens du "studio en ligne" de l'Ircam (qui ne
constituent pas nécessairement un exemple à suivre
<http://forumnet.ircam.fr/rubrique.php3?id_rubrique>) et, d'autre part,
des gogos (sympathiques au demeurant) qui échangent des fichiers *.kar
pour animer une fête de village, me semble relever d'une certaine
immaturité.
Sur les études statistiques menées par le canal d'Internet, Martin Winkler
(médecin ET écrivain) avait fait quelques commentaires fort bien trochés
dans sa chronique "Odyssée" sur France-Inter :
<http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/information/chroniques/chronique/fiche.php?numero270&chronique_id 020145>
Je suis actuellement en train d'écrire mon rapport de DEA concernant l'utilisation de l'Internet dans la création musicale. Pour cela, j'écris une synthèse sur ce sujet.
Cette synthèse concerne l'ensemble des gens qui portent un intérêt à la musique. Je désirerai que vous répondiez a mon questionnaire (en anglais) que vous utilisiez ou non des logiciels de composition musicale, l'important étant votre intérêt pour la musique.
Les réponses resteront anonymes et les résultats seront compulsés dans mon rapport de DEA.
Ah... les questionnaires par Internet... c'est bien commode...
Il est probable que tu parviennes à récolter assez vite une quantité de données conséquente. Mais seront-elles significatives ?... et de quoi ?...
Permets-moi de te dire que ta démarche comporte un défaut majeur : cette méthode d'enquête est biaisée, et donc inutilisable dans le cadre d'un travail universitaire sérieux. En effet, n'importe quelle étude statistique, pour être valide, doit définir et maîtriser son échantillon. Là, tu ne fais ni l'un, ni l'autre, ama.
Il serait probablement plus fructueux, mais peut-être aussi plus difficile, de contacter les éditeurs de logiciels, qui ont, grâce à leurs archives de support technique, des retours d'utilisateurs. C'est une des pistes possibles... il y en a sûrement d'autres.
Par ailleurs, je trouve que tu cibles un peu large. Mettre dans le même panier, d'une part, les gens du "studio en ligne" de l'Ircam (qui ne constituent pas nécessairement un exemple à suivre <http://forumnet.ircam.fr/rubrique.php3?id_rubrique>) et, d'autre part, des gogos (sympathiques au demeurant) qui échangent des fichiers *.kar pour animer une fête de village, me semble relever d'une certaine immaturité.
Sur les études statistiques menées par le canal d'Internet, Martin Winkler (médecin ET écrivain) avait fait quelques commentaires fort bien trochés dans sa chronique "Odyssée" sur France-Inter : <http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/information/chroniques/chronique/fiche.php?numero270&chronique_id 020145>
