Bonjour,
Après avoir pratiqué la photo argentique pendant plusieurs années, je
cherche à comprendre comment fonctionne la photo numérique avant d'acheter
un appareil. Suite à la lecture de votre liste voici ce que je crois avoir
compris, ceci pourrait servir à un début de de FAQ.
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière.
Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif
( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse).
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui
dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de
déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques
heures ou jours (pose a ou b).
Le produit de ces 2 éléments permet de créer l'image latente.
2/ Taille du capteur.
Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport
d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x
36 argentique et un appareil numérique.
3/ Sensibilité du capteur numérique.
Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de
l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un
ampli en sortie du ccd.
La question que je me pose concerne le temps d'exposition. Dans un appareil
argentique, le négatif reçoit une quantité de lumière proportionnelle au
temps d'ouverture de l'obturateur. Dans un appareil numérique, une photo
doit correspondre à un échantillonnage puis à une numérisation. Dans ces
conditions comment peut-ont faire une photo qui nécessite plusieurs heures
d'exposition (échantillonnage périodique et sommation ? )
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Jean-Claude
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque du bruit thermique et une augmentation des fuites électriques (les photons chargent électriquement les cellules élémentaires); c'est pourquoi le temps de pose est en général limité. Après, il y a possibilité de "soustraire" une image du bruit du capteur, ce qui se fait en astro par exemple, où l'on emplie des poses longues (avec le Canon 20Da par exemple, spécialement adapté à cet usage).
"JBJ" a écrit dans le message de news: 42eab4e7$0$1452$
Bonjour, Après avoir pratiqué la photo argentique pendant plusieurs années, je cherche à comprendre comment fonctionne la photo numérique avant d'acheter un appareil. Suite à la lecture de votre liste voici ce que je crois avoir compris, ceci pourrait servir à un début de de FAQ.
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b). Le produit de ces 2 éléments permet de créer l'image latente.
2/ Taille du capteur. Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x 36 argentique et un appareil numérique.
3/ Sensibilité du capteur numérique. Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un ampli en sortie du ccd.
La question que je me pose concerne le temps d'exposition. Dans un appareil argentique, le négatif reçoit une quantité de lumière proportionnelle au temps d'ouverture de l'obturateur. Dans un appareil numérique, une photo doit correspondre à un échantillonnage puis à une numérisation. Dans ces conditions comment peut-ont faire une photo qui nécessite plusieurs heures d'exposition (échantillonnage périodique et sommation ? )
Merci pour tous vos avis.
Cordialement.
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en
numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont
sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui
provoque du bruit thermique et une augmentation des fuites électriques (les
photons chargent électriquement les cellules élémentaires); c'est pourquoi
le temps de pose est en général limité.
Après, il y a possibilité de "soustraire" une image du bruit du capteur, ce
qui se fait en astro par exemple, où l'on emplie des poses longues (avec le
Canon 20Da par exemple, spécialement adapté à cet usage).
"JBJ" <jb-no_spam@tele2.fr> a écrit dans le message de news:
42eab4e7$0$1452$626a14ce@news.free.fr...
Bonjour,
Après avoir pratiqué la photo argentique pendant plusieurs années, je
cherche à comprendre comment fonctionne la photo numérique avant d'acheter
un appareil. Suite à la lecture de votre liste voici ce que je crois avoir
compris, ceci pourrait servir à un début de de FAQ.
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière.
Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant
l'objectif
( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse).
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui
dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de
déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques
heures ou jours (pose a ou b).
Le produit de ces 2 éléments permet de créer l'image latente.
2/ Taille du capteur.
Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport
d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x
36 argentique et un appareil numérique.
3/ Sensibilité du capteur numérique.
Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de
l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un
ampli en sortie du ccd.
La question que je me pose concerne le temps d'exposition. Dans un
appareil
argentique, le négatif reçoit une quantité de lumière proportionnelle au
temps d'ouverture de l'obturateur. Dans un appareil numérique, une photo
doit correspondre à un échantillonnage puis à une numérisation. Dans ces
conditions comment peut-ont faire une photo qui nécessite plusieurs heures
d'exposition (échantillonnage périodique et sommation ? )
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque du bruit thermique et une augmentation des fuites électriques (les photons chargent électriquement les cellules élémentaires); c'est pourquoi le temps de pose est en général limité. Après, il y a possibilité de "soustraire" une image du bruit du capteur, ce qui se fait en astro par exemple, où l'on emplie des poses longues (avec le Canon 20Da par exemple, spécialement adapté à cet usage).
"JBJ" a écrit dans le message de news: 42eab4e7$0$1452$
Bonjour, Après avoir pratiqué la photo argentique pendant plusieurs années, je cherche à comprendre comment fonctionne la photo numérique avant d'acheter un appareil. Suite à la lecture de votre liste voici ce que je crois avoir compris, ceci pourrait servir à un début de de FAQ.
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b). Le produit de ces 2 éléments permet de créer l'image latente.
2/ Taille du capteur. Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x 36 argentique et un appareil numérique.
3/ Sensibilité du capteur numérique. Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un ampli en sortie du ccd.
La question que je me pose concerne le temps d'exposition. Dans un appareil argentique, le négatif reçoit une quantité de lumière proportionnelle au temps d'ouverture de l'obturateur. Dans un appareil numérique, une photo doit correspondre à un échantillonnage puis à une numérisation. Dans ces conditions comment peut-ont faire une photo qui nécessite plusieurs heures d'exposition (échantillonnage périodique et sommation ? )
Merci pour tous vos avis.
Cordialement.
Jean-Pierre Roche
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est immobile !) quel que soit le temps de pose par ailleurs le temps d'exposition peut être beaucoup plus court (1/8000) mais surtout beaucoup moins long. En photo générale, on ne dépasse jamais quelques minutes et les poses supérieures à 30 s sont fort rares...
2/ Taille du capteur. Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x 36 argentique et un appareil numérique.
non ce qui change c'est l'angle de champ, la focale est une donnée physique fixe et le rapport d'agrandissement n'a aucune application ici... c'est tout autre chose
3/ Sensibilité du capteur numérique. Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un ampli en sortie du ccd.
non 50 ISO (équivalents) pour certains petits compacts. 100 ou 200 ISO pour un reflex numérique...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière.
Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif
( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse).
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui
dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de
déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques
heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil
fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est
immobile !) quel que soit le temps de pose
par ailleurs le temps d'exposition peut être beaucoup plus
court (1/8000) mais surtout beaucoup moins long. En photo
générale, on ne dépasse jamais quelques minutes et les poses
supérieures à 30 s sont fort rares...
2/ Taille du capteur.
Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport
d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x
36 argentique et un appareil numérique.
non ce qui change c'est l'angle de champ, la focale est une
donnée physique fixe et le rapport d'agrandissement n'a
aucune application ici... c'est tout autre chose
3/ Sensibilité du capteur numérique.
Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de
l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un
ampli en sortie du ccd.
non 50 ISO (équivalents) pour certains petits compacts. 100
ou 200 ISO pour un reflex numérique...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est immobile !) quel que soit le temps de pose par ailleurs le temps d'exposition peut être beaucoup plus court (1/8000) mais surtout beaucoup moins long. En photo générale, on ne dépasse jamais quelques minutes et les poses supérieures à 30 s sont fort rares...
2/ Taille du capteur. Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x 36 argentique et un appareil numérique.
non ce qui change c'est l'angle de champ, la focale est une donnée physique fixe et le rapport d'agrandissement n'a aucune application ici... c'est tout autre chose
3/ Sensibilité du capteur numérique. Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un ampli en sortie du ccd.
non 50 ISO (équivalents) pour certains petits compacts. 100 ou 200 ISO pour un reflex numérique...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
fred.bleu11
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif
la profondeur de champ visible n'est pas liée simplment au couple diaphragme/focale, mais aussi au traitement du dsp de chaque apn
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui
dépendent de l'objectif
la profondeur de champ visible n'est pas liée simplment au couple
diaphragme/focale, mais aussi au traitement du dsp de chaque apn
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif
la profondeur de champ visible n'est pas liée simplment au couple diaphragme/focale, mais aussi au traitement du dsp de chaque apn
JBJ
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est immobile !) quel que soit le temps de pose
oui mais je précisais en cas de déplacement ( de l'appareil ou du sujet)
par ailleurs le temps d'exposition peut être beaucoup plus court (1/8000) mais surtout beaucoup moins long. En photo générale, on ne dépasse jamais quelques minutes et les poses supérieures à 30 s sont fort rares...
2/ Taille du capteur. Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x 36 argentique et un appareil numérique.
non ce qui change c'est l'angle de champ, la focale est une donnée physique fixe et le rapport d'agrandissement n'a aucune application ici... c'est tout autre chose
oui, je me suis aperçu de l'erreur en relisant ce matin.
3/ Sensibilité du capteur numérique. Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un ampli en sortie du ccd.
non 50 ISO (équivalents) pour certains petits compacts. 100 ou 200 ISO pour un reflex numérique...
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière.
Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant
l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse).
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui
dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de
déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques
heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil
fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est
immobile !) quel que soit le temps de pose
oui mais je précisais en cas de déplacement ( de l'appareil ou du sujet)
par ailleurs le temps d'exposition peut être beaucoup plus
court (1/8000) mais surtout beaucoup moins long. En photo
générale, on ne dépasse jamais quelques minutes et les poses
supérieures à 30 s sont fort rares...
2/ Taille du capteur.
Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport
d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x
36 argentique et un appareil numérique.
non ce qui change c'est l'angle de champ, la focale est une
donnée physique fixe et le rapport d'agrandissement n'a
aucune application ici... c'est tout autre chose
oui, je me suis aperçu de l'erreur en relisant ce matin.
3/ Sensibilité du capteur numérique.
Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité
de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce
à un ampli en sortie du ccd.
non 50 ISO (équivalents) pour certains petits compacts. 100
ou 200 ISO pour un reflex numérique...
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est immobile !) quel que soit le temps de pose
oui mais je précisais en cas de déplacement ( de l'appareil ou du sujet)
par ailleurs le temps d'exposition peut être beaucoup plus court (1/8000) mais surtout beaucoup moins long. En photo générale, on ne dépasse jamais quelques minutes et les poses supérieures à 30 s sont fort rares...
2/ Taille du capteur. Le capteur numérique est de taille inférieure à 24x36, le rapport d'agrandissement et focale d'un objectif est donc différent entre le 24 x 36 argentique et un appareil numérique.
non ce qui change c'est l'angle de champ, la focale est une donnée physique fixe et le rapport d'agrandissement n'a aucune application ici... c'est tout autre chose
oui, je me suis aperçu de l'erreur en relisant ce matin.
3/ Sensibilité du capteur numérique. Différents posts sur cette liste de diffusion indiquent une sensibilité de l'ordre de 50 ASA de base . La sensibilité semble être réglable grâce à un ampli en sortie du ccd.
non 50 ISO (équivalents) pour certains petits compacts. 100 ou 200 ISO pour un reflex numérique...
Jean-Pierre Roche
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est immobile !) quel que soit le temps de pose
oui mais je précisais en cas de déplacement ( de l'appareil ou du sujet)
Faire entrer cette notion très complexe (déplacement angulaire, focale et autres paramètres) dans l'exposition d'une image est amha une erreur. C'est un autre problème... -- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière.
Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant
l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse).
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui
dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de
déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques
heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil
fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est
immobile !) quel que soit le temps de pose
oui mais je précisais en cas de déplacement ( de l'appareil ou du sujet)
Faire entrer cette notion très complexe (déplacement
angulaire, focale et autres paramètres) dans l'exposition
d'une image est amha une erreur. C'est un autre problème...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
1/ photo = capture d'une certaine quantité de lumière. Cette quantité de lumière est le produit de la lumière traversant l'objectif ( diaphragme)* par le temps d'insolation( 1/vitesse). Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif , la vitesse sur la netteté des images en cas de déplacement avec des extremums qui vont du millième de seconde à quelques heures ou jours (pose a ou b).
hum... vitesse et netteté ne sont pas liés : un appareil fixé sur pied fournit des photos nettes (si le sujet est immobile !) quel que soit le temps de pose
oui mais je précisais en cas de déplacement ( de l'appareil ou du sujet)
Faire entrer cette notion très complexe (déplacement angulaire, focale et autres paramètres) dans l'exposition d'une image est amha une erreur. C'est un autre problème... -- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Robby
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque du bruit thermique et une augmentation des fuites électriques (les photons chargent électriquement les cellules élémentaires); c'est pourquoi le temps de pose est en général limité.
Hum, j'avais plutôt lu dans S&V qu'au contraire le numérique est avantagé sur ce point car la sensibilité reste constante alors q'un film sature au bout d'un moment
Après, il y a possibilité de "soustraire" une image du bruit du capteur, ce qui se fait en astro par exemple, où l'on emplie des poses longues (avec le Canon 20Da par exemple, spécialement adapté à cet usage). Dans ce cas aussi on augmente le rapport signal sur bruit en cumulant
plusieurs photos, mais l'intérêt de multiplier les prises est surtout de compenser le mouvement de la terre sans moteur. @+
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en
numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont
sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque
du bruit thermique et une augmentation des fuites électriques (les photons
chargent électriquement les cellules élémentaires); c'est pourquoi le temps
de pose est en général limité.
Hum, j'avais plutôt lu dans S&V qu'au contraire le numérique est
avantagé sur ce point car la sensibilité reste constante alors q'un
film sature au bout d'un moment
Après, il y a possibilité de "soustraire" une image du bruit du capteur, ce
qui se fait en astro par exemple, où l'on emplie des poses longues (avec le
Canon 20Da par exemple, spécialement adapté à cet usage).
Dans ce cas aussi on augmente le rapport signal sur bruit en cumulant
plusieurs photos, mais l'intérêt de multiplier les prises est surtout
de compenser le mouvement de la terre sans moteur.
@+
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque du bruit thermique et une augmentation des fuites électriques (les photons chargent électriquement les cellules élémentaires); c'est pourquoi le temps de pose est en général limité.
Hum, j'avais plutôt lu dans S&V qu'au contraire le numérique est avantagé sur ce point car la sensibilité reste constante alors q'un film sature au bout d'un moment
Après, il y a possibilité de "soustraire" une image du bruit du capteur, ce qui se fait en astro par exemple, où l'on emplie des poses longues (avec le Canon 20Da par exemple, spécialement adapté à cet usage). Dans ce cas aussi on augmente le rapport signal sur bruit en cumulant
plusieurs photos, mais l'intérêt de multiplier les prises est surtout de compenser le mouvement de la terre sans moteur. @+
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif
la profondeur de champ visible n'est pas liée simplment au couple diaphragme/focale, mais aussi au traitement du dsp de chaque apn
ah bon ? et il fait comment pour savoir ce qui doit etre flou/net ?
-- Effacer la photo pour me répondre
Charles Antoine
"Jean-Claude" a écrit dans le message de news: 42eb2467$0$15326$
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque du bruit thermique
Pour les photos d'astronomie on utilise des capteurs spéciaux qui sont refroidis pour réduire le bruit engendré par la température.
"Jean-Claude" <ejcvNoSpam@free.fr> a écrit dans le message de news:
42eb2467$0$15326$626a14ce@news.free.fr...
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en
numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont
sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui
provoque du bruit thermique
Pour les photos d'astronomie on utilise des capteurs spéciaux qui sont
refroidis pour réduire le bruit engendré par la température.
"Jean-Claude" a écrit dans le message de news: 42eb2467$0$15326$
En argentique aussi, on peut intégrer sur des temps longs; cependant, en numérique, cette "accumulation de photons" sur les pixels du capteurs sont sensibles à l'élévation de chaleur provoquée par l'alimentation, qui provoque du bruit thermique
Pour les photos d'astronomie on utilise des capteurs spéciaux qui sont refroidis pour réduire le bruit engendré par la température.
Robby
Le diaphragme joue sur la profondeur de champ avec des extremums qui dépendent de l'objectif
la profondeur de champ visible n'est pas liée simplment au couple diaphragme/focale, mais aussi au traitement du dsp de chaque apn