Salut,
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version
de son histoire avec Mandrake ?
Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout
court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...)
Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même
entreprises) de savoir ce qui s'est passé ...
Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de
Mandrake et il connait des détails.
Tu veux bien GP ?
--
ASPO Infogérance - http://aspo.rktmb.org/activites/infogerance
Unofficial FAQ fcolc - http://faq.fcolc.eu.org/
Linux User Group sur Orléans et alentours.
Tél: + 33 2 38 76 43 65 (France)
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Julien BLACHE
"Rakotomandimby (R12y) Mihamina" wrote:
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version de son histoire avec Mandrake ? Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...) Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même entreprises) de savoir ce qui s'est passé ... Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de Mandrake et il connait des détails.
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
-- I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS -+- Bart Simpson on chalkboard in episode 9F01
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version
de son histoire avec Mandrake ?
Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout
court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...)
Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même
entreprises) de savoir ce qui s'est passé ...
Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de
Mandrake et il connait des détails.
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à
oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
--
I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS
I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS
I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS
-+- Bart Simpson on chalkboard in episode 9F01
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version de son histoire avec Mandrake ? Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...) Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même entreprises) de savoir ce qui s'est passé ... Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de Mandrake et il connait des détails.
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
-- I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS I WILL NOT DEFAME NEW ORLEANS -+- Bart Simpson on chalkboard in episode 9F01
kakashi
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
ah bon ?
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à
oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
Le Thu, 18 Nov 2004 17:16:17 +0100, Julien BLACHE a écrit :
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
Rectification, seulement ceux qui ont une once d'intérêt pour la vie de Mandrake, par exemple pas moi.
-- Mais monsieur, voudriez-vous que je me l'écorchasse? Barbey d'Aurevilly.
GP
kakashi wrote:
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
ah bon ?
A-t-on jamais fini quand on fait l'analyse d'une entreprise de l'extérieur? La Bourse livre des chiffres, mais cela ne peut, d'aucune façon, décrire la réalité d'une entreprise.
Cette Bourse à laquelle Mandrake est inscrit, je ne la connais pas. Je connais un peu le fonctionnement de la Bourse de New-York parce que je m'y suis intéressé lors de l'IPO de Red Hat. C'était ma première incursion dans le domaine de la haute finance.
J'ai surtout utilisé finance.yahoo.com. J'ai suivi les liens jusque chez Edgar pour voir les papiers de l'IPO. Et là, oui, il y a des choses intéressantes... Combien se vendaient les actions offertes à l'intérieur de la compagnie avant l'entrée en bourse, par exemple.
Chez Red Hat, les actions se sont toujours vendues moins que deux dollars. On pensait en offrir aux courtiers à environ 10 ou 12$, on s'est fait dire qu'on pouvait certainement en obtenir 14. Et, le marché fut conclu.
Les courtiers -- ou /Brokers/, notez le nom -- en ont obtenu 40$ à l'ouverture de la Bourse, la journée de l'IPO. Alors, on comprendra le combat épique que certains contributeurs ont dû mené pour qu'on leur livre les actions qu'on leur avait promises à 14$ ! La tâche de récupérer ces actions semblait tellement difficile que certains ont plutôt décidé de laisser tomber, et de continuer à coder.
Alors, dès l'introduction en Bourse, il y a eu des problèmes sur l'évaluation de l'action. Celle-ci a monté assez rapidement à 300$. Certains ont prétendu qu'on les avait fait articicillement mousser, des menaces de poursuites ont été faites. Puis... plus rien. Après le sommet, il y a eu un split deux pour un. Puis, une seconde émission a été faite à environ 100$. Approx, et en autant que je me souvienne.
Surveiller le cours, les transactions des initiés, les technologies émergentes, les associations entre compagnies, hélas pas toujours fructeuses, les conditions du commerce international, ça prend du temps. Beaucoup de temps.
Et l'analyse pourrait n'avoir de fin qu'en ayant des caméras partout, des conseils d'aministration jusqu'à la chaîne de montage. C'est pour définir ces limites entre la Bourse, les courtiers, les investisseurs et les entreprises qu'il existe des réglements.
Il y a, prétend-on, de meilleurs deals chez les courtier en ligne, avec l'accès aux cotes en temps réel ou pas, et toute une gamme de services dits d'analyse. C'est relatif, je suppose. N'étant pas investisseur, je connais peu le monde des maisons de courtage. Mais on sait que plusieurs investisseurs ont récemment remis leur röle en question.
Donc, comprendre simplement ce qu'est la Bourse, c'est beaucoup d'ouvrage. Comptant sur leur flair, bien des gens investissent sans se donner tant de peine.
Comme /amateur/ , on bute vite non seulement sur ses propres limites de temps, mais sur celles d'un système qui préfère garder certains secrets pour ses initiés, au sens large du terme.
L'analyse d'une seule compagnie occasionne beaucoup de travail. Pourtant, certains courtiers disent tout simplement qu'une action représente «une bonne valeur(1)» , certainement sans avoir des informations de première main. L'investisseur n'en comprendrait pas un mot de plus de toute façon.
(1) Une expression que, croyez le ou non, on retrouve aussi, à peine modifiée, dans la bouche des vendeurs de logiciels et de livres. On dit alors plutôt: «C'est un bon vendeur.» :)
Depuis la Bulle, les pubs des courtiers cherchent justement à faire valoir les études qu'ils mènent sur les entreprises pour protéger leurs clients. Je me demande parfois s'ils sont bien conscients que cela prend plus que les trentes secondes de l'annonce :)
Pour revenir à Mandrake, les renseignements que j'ai pu obtenir en-ligne ne m'ont pas permis de suivre adéquatement la compagnie à la Bourse. Je n'en ai que très vaguement entendu parler lors de l'appel au financement populaire.
J'ai échangé quelques messages avec Gaël Duval -- avec un grand trou d'un an entre les premiers et les rares derniers -- pour discuter de l'à-propos de solliciter du capital de risque pour faire démarrer l'entreprise sur les chapeaux de roues.
Je n'étais pas d'accord. Pas du tout! Mais ce n'est pas moi qui menait l'entreprise, hein?
Je pensais qu'au lieu de fonder leurs revenus sur la vente d'une distribution, ils auraient dû former un petit groupe pour offrir du service Linux. La participation à Linux se serait faite, en bonne partie, par le travail que l'entreprise aurait été amené à effectuer: d'un bug dans un programme d'installation jusqu'à la modification du noyau pour les clusters.
Les ventes à moins du coutant n'ont pu durer. Les belles interfaces graphiques, qui sortaient six mois avant celles des d'autres distributions, ont fini par coûter cher en diluant la compétence.
Bof! Il faudrait nuancer tout ça et ajouter des tas de choses. Chose certaine, maintenant, Mandrake est devenu un montage économique comxe et, dans les circonstances présentes, les tartinades pure sucre sont vraiment indigestes.
Actuellement, toute analyse de Mandrake de l'extérieur ne peut mener qu'à des bancs de brume. Il faudrait aller à l'intérieur de l'entreprise pour faire une analyse et voir s'il y a des écueils dans la brume.
Je n'ai pas vraiment l'intention de m'amuser à jouer au divin de l'extérieur, mais personnellement, je crois toujours à la valeur de ma suggestion d'origine et je crains que sa non-observance influence toujours les destinées de Mandrake. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement.
Vous aurez peut-être remarqué que le modèle de développement que j'ai proposé ressemble beaucoup à celui que Ubuntu prétend avoir adopté. C'est possible qu'ils l'aient effectivement fait. Je ne sais pas.
GP
kakashi wrote:
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à
oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
ah bon ?
A-t-on jamais fini quand on fait l'analyse d'une entreprise de
l'extérieur? La Bourse livre des chiffres, mais cela ne peut, d'aucune
façon, décrire la réalité d'une entreprise.
Cette Bourse à laquelle Mandrake est inscrit, je ne la connais pas. Je
connais un peu le fonctionnement de la Bourse de New-York parce que je
m'y suis intéressé lors de l'IPO de Red Hat. C'était ma première
incursion dans le domaine de la haute finance.
J'ai surtout utilisé finance.yahoo.com. J'ai suivi les liens jusque
chez Edgar pour voir les papiers de l'IPO. Et là, oui, il y a des
choses intéressantes... Combien se vendaient les actions offertes à
l'intérieur de la compagnie avant l'entrée en bourse, par exemple.
Chez Red Hat, les actions se sont toujours vendues moins que deux
dollars. On pensait en offrir aux courtiers à environ 10 ou 12$, on
s'est fait dire qu'on pouvait certainement en obtenir 14. Et, le
marché fut conclu.
Les courtiers -- ou /Brokers/, notez le nom -- en ont obtenu 40$ à
l'ouverture de la Bourse, la journée de l'IPO. Alors, on comprendra le
combat épique que certains contributeurs ont dû mené pour qu'on leur
livre les actions qu'on leur avait promises à 14$ ! La tâche de
récupérer ces actions semblait tellement difficile que certains ont
plutôt décidé de laisser tomber, et de continuer à coder.
Alors, dès l'introduction en Bourse, il y a eu des problèmes sur
l'évaluation de l'action. Celle-ci a monté assez rapidement à 300$.
Certains ont prétendu qu'on les avait fait articicillement mousser,
des menaces de poursuites ont été faites. Puis... plus rien. Après le
sommet, il y a eu un split deux pour un. Puis, une seconde émission a
été faite à environ 100$. Approx, et en autant que je me souvienne.
Surveiller le cours, les transactions des initiés, les technologies
émergentes, les associations entre compagnies, hélas pas toujours
fructeuses, les conditions du commerce international, ça prend du
temps. Beaucoup de temps.
Et l'analyse pourrait n'avoir de fin qu'en ayant des caméras partout,
des conseils d'aministration jusqu'à la chaîne de montage. C'est pour
définir ces limites entre la Bourse, les courtiers, les investisseurs
et les entreprises qu'il existe des réglements.
Il y a, prétend-on, de meilleurs deals chez les courtier en ligne,
avec l'accès aux cotes en temps réel ou pas, et toute une gamme de
services dits d'analyse. C'est relatif, je suppose. N'étant pas
investisseur, je connais peu le monde des maisons de courtage. Mais on
sait que plusieurs investisseurs ont récemment remis leur röle en
question.
Donc, comprendre simplement ce qu'est la Bourse, c'est beaucoup
d'ouvrage. Comptant sur leur flair, bien des gens investissent sans se
donner tant de peine.
Comme /amateur/ , on bute vite non seulement sur ses propres limites
de temps, mais sur celles d'un système qui préfère garder certains
secrets pour ses initiés, au sens large du terme.
L'analyse d'une seule compagnie occasionne beaucoup de travail.
Pourtant, certains courtiers disent tout simplement qu'une action
représente «une bonne valeur(1)» , certainement sans avoir des
informations de première main. L'investisseur n'en comprendrait pas un
mot de plus de toute façon.
(1) Une expression que, croyez le ou non, on retrouve aussi, à peine
modifiée, dans la bouche des vendeurs de logiciels et de livres. On
dit alors plutôt: «C'est un bon vendeur.» :)
Depuis la Bulle, les pubs des courtiers cherchent justement à
faire valoir les études qu'ils mènent sur les entreprises pour
protéger leurs clients. Je me demande parfois s'ils sont bien
conscients que cela prend plus que les trentes secondes de l'annonce :)
Pour revenir à Mandrake, les renseignements que j'ai pu obtenir
en-ligne ne m'ont pas permis de suivre adéquatement la compagnie à la
Bourse. Je n'en ai que très vaguement entendu parler lors de l'appel
au financement populaire.
J'ai échangé quelques messages avec Gaël Duval -- avec un grand trou
d'un an entre les premiers et les rares derniers -- pour discuter de
l'à-propos de solliciter du capital de risque pour faire démarrer
l'entreprise sur les chapeaux de roues.
Je n'étais pas d'accord. Pas du tout! Mais ce n'est pas moi qui
menait l'entreprise, hein?
Je pensais qu'au lieu de fonder leurs revenus sur la vente d'une
distribution, ils auraient dû former un petit groupe pour offrir du
service Linux. La participation à Linux se serait faite, en bonne
partie, par le travail que l'entreprise aurait été amené à effectuer:
d'un bug dans un programme d'installation jusqu'à la modification du
noyau pour les clusters.
Les ventes à moins du coutant n'ont pu durer. Les belles interfaces
graphiques, qui sortaient six mois avant celles des d'autres
distributions, ont fini par coûter cher en diluant la compétence.
Bof! Il faudrait nuancer tout ça et ajouter des tas de choses. Chose
certaine, maintenant, Mandrake est devenu un montage économique comxe
et, dans les circonstances présentes, les tartinades pure sucre sont
vraiment indigestes.
Actuellement, toute analyse de Mandrake de l'extérieur ne peut mener
qu'à des bancs de brume. Il faudrait aller à l'intérieur de
l'entreprise pour faire une analyse et voir s'il y a des écueils dans
la brume.
Je n'ai pas vraiment l'intention de m'amuser à jouer au divin de
l'extérieur, mais personnellement, je crois toujours à la valeur de ma
suggestion d'origine et je crains que sa non-observance influence
toujours les destinées de Mandrake. Je ne vois pas comment il pourrait
en être autrement.
Vous aurez peut-être remarqué que le modèle de développement que j'ai
proposé ressemble beaucoup à celui que Ubuntu prétend avoir adopté.
C'est possible qu'ils l'aient effectivement fait. Je ne sais pas.
Tout le monde connaît l'histoire de mandrake, soit par le bouche à oreille, soit par les documents publiés lors de l'IPO.
JB.
ah bon ?
A-t-on jamais fini quand on fait l'analyse d'une entreprise de l'extérieur? La Bourse livre des chiffres, mais cela ne peut, d'aucune façon, décrire la réalité d'une entreprise.
Cette Bourse à laquelle Mandrake est inscrit, je ne la connais pas. Je connais un peu le fonctionnement de la Bourse de New-York parce que je m'y suis intéressé lors de l'IPO de Red Hat. C'était ma première incursion dans le domaine de la haute finance.
J'ai surtout utilisé finance.yahoo.com. J'ai suivi les liens jusque chez Edgar pour voir les papiers de l'IPO. Et là, oui, il y a des choses intéressantes... Combien se vendaient les actions offertes à l'intérieur de la compagnie avant l'entrée en bourse, par exemple.
Chez Red Hat, les actions se sont toujours vendues moins que deux dollars. On pensait en offrir aux courtiers à environ 10 ou 12$, on s'est fait dire qu'on pouvait certainement en obtenir 14. Et, le marché fut conclu.
Les courtiers -- ou /Brokers/, notez le nom -- en ont obtenu 40$ à l'ouverture de la Bourse, la journée de l'IPO. Alors, on comprendra le combat épique que certains contributeurs ont dû mené pour qu'on leur livre les actions qu'on leur avait promises à 14$ ! La tâche de récupérer ces actions semblait tellement difficile que certains ont plutôt décidé de laisser tomber, et de continuer à coder.
Alors, dès l'introduction en Bourse, il y a eu des problèmes sur l'évaluation de l'action. Celle-ci a monté assez rapidement à 300$. Certains ont prétendu qu'on les avait fait articicillement mousser, des menaces de poursuites ont été faites. Puis... plus rien. Après le sommet, il y a eu un split deux pour un. Puis, une seconde émission a été faite à environ 100$. Approx, et en autant que je me souvienne.
Surveiller le cours, les transactions des initiés, les technologies émergentes, les associations entre compagnies, hélas pas toujours fructeuses, les conditions du commerce international, ça prend du temps. Beaucoup de temps.
Et l'analyse pourrait n'avoir de fin qu'en ayant des caméras partout, des conseils d'aministration jusqu'à la chaîne de montage. C'est pour définir ces limites entre la Bourse, les courtiers, les investisseurs et les entreprises qu'il existe des réglements.
Il y a, prétend-on, de meilleurs deals chez les courtier en ligne, avec l'accès aux cotes en temps réel ou pas, et toute une gamme de services dits d'analyse. C'est relatif, je suppose. N'étant pas investisseur, je connais peu le monde des maisons de courtage. Mais on sait que plusieurs investisseurs ont récemment remis leur röle en question.
Donc, comprendre simplement ce qu'est la Bourse, c'est beaucoup d'ouvrage. Comptant sur leur flair, bien des gens investissent sans se donner tant de peine.
Comme /amateur/ , on bute vite non seulement sur ses propres limites de temps, mais sur celles d'un système qui préfère garder certains secrets pour ses initiés, au sens large du terme.
L'analyse d'une seule compagnie occasionne beaucoup de travail. Pourtant, certains courtiers disent tout simplement qu'une action représente «une bonne valeur(1)» , certainement sans avoir des informations de première main. L'investisseur n'en comprendrait pas un mot de plus de toute façon.
(1) Une expression que, croyez le ou non, on retrouve aussi, à peine modifiée, dans la bouche des vendeurs de logiciels et de livres. On dit alors plutôt: «C'est un bon vendeur.» :)
Depuis la Bulle, les pubs des courtiers cherchent justement à faire valoir les études qu'ils mènent sur les entreprises pour protéger leurs clients. Je me demande parfois s'ils sont bien conscients que cela prend plus que les trentes secondes de l'annonce :)
Pour revenir à Mandrake, les renseignements que j'ai pu obtenir en-ligne ne m'ont pas permis de suivre adéquatement la compagnie à la Bourse. Je n'en ai que très vaguement entendu parler lors de l'appel au financement populaire.
J'ai échangé quelques messages avec Gaël Duval -- avec un grand trou d'un an entre les premiers et les rares derniers -- pour discuter de l'à-propos de solliciter du capital de risque pour faire démarrer l'entreprise sur les chapeaux de roues.
Je n'étais pas d'accord. Pas du tout! Mais ce n'est pas moi qui menait l'entreprise, hein?
Je pensais qu'au lieu de fonder leurs revenus sur la vente d'une distribution, ils auraient dû former un petit groupe pour offrir du service Linux. La participation à Linux se serait faite, en bonne partie, par le travail que l'entreprise aurait été amené à effectuer: d'un bug dans un programme d'installation jusqu'à la modification du noyau pour les clusters.
Les ventes à moins du coutant n'ont pu durer. Les belles interfaces graphiques, qui sortaient six mois avant celles des d'autres distributions, ont fini par coûter cher en diluant la compétence.
Bof! Il faudrait nuancer tout ça et ajouter des tas de choses. Chose certaine, maintenant, Mandrake est devenu un montage économique comxe et, dans les circonstances présentes, les tartinades pure sucre sont vraiment indigestes.
Actuellement, toute analyse de Mandrake de l'extérieur ne peut mener qu'à des bancs de brume. Il faudrait aller à l'intérieur de l'entreprise pour faire une analyse et voir s'il y a des écueils dans la brume.
Je n'ai pas vraiment l'intention de m'amuser à jouer au divin de l'extérieur, mais personnellement, je crois toujours à la valeur de ma suggestion d'origine et je crains que sa non-observance influence toujours les destinées de Mandrake. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement.
Vous aurez peut-être remarqué que le modèle de développement que j'ai proposé ressemble beaucoup à celui que Ubuntu prétend avoir adopté. C'est possible qu'ils l'aient effectivement fait. Je ne sais pas.
GP
GP
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Salut,
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version de son histoire avec Mandrake ? Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...) Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même entreprises) de savoir ce qui s'est passé ... Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de Mandrake et il connait des détails. Tu veux bien GP ?
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements? Au-delà, il va falloir que tu y mettes du tien pour comprendre. Ce dont je doute plus qu'un peu.
GP
Rakotomandimby (R12y) Mihamina wrote:
Salut,
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version
de son histoire avec Mandrake ?
Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout
court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...)
Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même
entreprises) de savoir ce qui s'est passé ...
Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de
Mandrake et il connait des détails.
Tu veux bien GP ?
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements? Au-delà, il
va falloir que tu y mettes du tien pour comprendre. Ce dont je doute
plus qu'un peu.
Est ce que je peux demander a GP de nous raconter en détail _sa_ version de son histoire avec Mandrake ? Et si possible, en donnant des détails (Ex, il mentionnait DUVAL tout court et j'ai du un peu chercher pour savoir c'est qui ...) Ca pourrait toujours etre utile aux autres (distribs, ou même entreprises) de savoir ce qui s'est passé ... Je demande ça parceque apparemment il était proche des "dirigeants" de Mandrake et il connait des détails. Tu veux bien GP ?
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements? Au-delà, il va falloir que tu y mettes du tien pour comprendre. Ce dont je doute plus qu'un peu.
GP
Benjamin FRANCOIS
GP s'est exprimé en ces termes:
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements?
Sympa. Tu veux pas lui jeter des cacahuètes aussi ?
Au-delà, il va falloir que tu y mettes du tien pour comprendre. Ce dont je doute plus qu'un peu.
Ah bon, pourquoi ? Parce que son nom ne te plaît pas ?
-- <Magnum3> Glop: essaye /list * <Glop> Magnum3: ca fait quoi ? a part flooder mon client ? <kwyxz> Glop: des fois, ça fait un SendQ exceeded du plus bel effet -*- SignOff: dams (Max SendQ exceeded)
GP s'est exprimé en ces termes:
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements?
Sympa. Tu veux pas lui jeter des cacahuètes aussi ?
Au-delà, il
va falloir que tu y mettes du tien pour comprendre. Ce dont je doute
plus qu'un peu.
Ah bon, pourquoi ? Parce que son nom ne te plaît pas ?
--
<Magnum3> Glop: essaye /list *
<Glop> Magnum3: ca fait quoi ? a part flooder mon client ?
<kwyxz> Glop: des fois, ça fait un SendQ exceeded du plus bel effet
-*- SignOff: dams (Max SendQ exceeded)
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements?
Sympa. Tu veux pas lui jeter des cacahuètes aussi ?
Au-delà, il va falloir que tu y mettes du tien pour comprendre. Ce dont je doute plus qu'un peu.
Ah bon, pourquoi ? Parce que son nom ne te plaît pas ?
-- <Magnum3> Glop: essaye /list * <Glop> Magnum3: ca fait quoi ? a part flooder mon client ? <kwyxz> Glop: des fois, ça fait un SendQ exceeded du plus bel effet -*- SignOff: dams (Max SendQ exceeded)
Rakotomandimby (R12y) Mihamina
( Fri, 19 Nov 2004 19:30:43 +0000 ) Benjamin FRANCOIS :
GP s'est exprimé en ces termes:
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements?
Oui Msieur, merci Msieur -- ASPO Infogérance - http://aspo.rktmb.org/activites/infogerance Unofficial FAQ fcolc - http://faq.fcolc.eu.org/ Linux User Group sur Orléans et alentours. Tél: + 33 2 38 76 43 65 (France)
( Fri, 19 Nov 2004 19:30:43 +0000 ) Benjamin FRANCOIS :
GP s'est exprimé en ces termes:
Alors Rako Jako, tu les as maintenant tes renseignements?
Oui Msieur, merci Msieur
--
ASPO Infogérance - http://aspo.rktmb.org/activites/infogerance
Unofficial FAQ fcolc - http://faq.fcolc.eu.org/
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Tél: + 33 2 38 76 43 65 (France)