On 29 mar, 13:56, Mixture wrote:Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui
n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio,
mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle
économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses espaces
pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe. Cela
fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts
de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger. CanalSat,
c'est un peu moins de 50KHT par an pour du 192kbps, hors acheminement
du signal au CDN de Boulogne Billancourt (dans le cas de Classique, un
récepteur FMDAB à Boulogne, voire, au pire, un tuner, peuvent
suffire), une diffusion FM à 1KW PAR, c'est environ 15KHT par an.
Pour Radio Classique, c'est donc, je pense, d'un vrai plan de
réduction de coûts qu'il s'agit, au delà du retour sur
CSat.
Cela pose malheureusement la question de la rentabilité de certains
formats de radios. Si l'on prend un ratio type "GIE Les
Indépendants" (ce n'est qu'un exemple, mais il est assez
représentatif
du marché pub des musicales), qui vend en masse l'audience d'environ
115 radios, cela représente pour les radios concernées un CA
d'environ
5 - 6 par auditeur et par an, donc un émetteur à 15K/an qui
ne
génère pas 3000 auditeurs fait perdre de l'argent. Une radio
comme
Classique, qui n'appartient pas à un groupement pub, aura plus de mal
à obtenir du volume, mais peut, en revanche, valoriser le prix du spot
par le fait qu'elle touche un public "CSP+". C'est intéressant
en
terme d'antenne car ils ne "pourrissent" pas leur antenne avec du
spot
"non ciblé" vendu en quantité, mais dans un contexte de
replis des
marchés pubs, on sait que les annonceurs vont concentrer leurs efforts
sur moins de supports, et que les supports moins visibles, même s'ils
sont plus "qualitatifs", vont souffrir.
S'agissant du choix des fréquences à arrêter, un
critère important est
celui de la date de fin de contrat. On peut effectivement s'étonner de
l'arrêt de villes moyennes plutôt que de villes plus petites, sauf
si
les pénalités de rupture de contrats rendent dissuasives ces
ruptures
(et qu'il est donc plus intéressant de les maintenir jusqu'à
leurs
termes). Peut-être qu'en regardant les date de mise en service des
diffusions cela donnera une indication (la période initiale des
contrats chez TDF ou TCAST est de 5 ans). Ensuite, il faut regarder
les structures de population (CSP) des villes concernées.
Dans le cas de Beur, elle était en situation difficile avant FM2006 et
avant la crise (développement hasardeux en télévision ?
mauvaise
gestion ?), donc cela avait peu de chances de s'arranger. Et pour
Parenthèse, le CSA a permis la création ex nihilo d'un joli
réseau,
sur des critères de copinage plus que sur la réelle étude
des chances
de réussite. Si l'argument de "l'enrichissement de l'offre par un
format nouveau" se défend parfaitement, il est navrant de constater
que le CSA a fait preuve d'une certaine légèreté dans
l'étude du
modèle économique du projet, alors que pour d'autres projets bien
plus
modestes, il se montre souvent sans pitié.
Restent ensuite les mystères économiques comme France Maghreb,
dont
j'ai du mal à saisir le modèle économique.
On 29 mar, 13:56, Mixture wrote:
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui
n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio,
mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle
économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses espaces
pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe. Cela
fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts
de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger. CanalSat,
c'est un peu moins de 50KHT par an pour du 192kbps, hors acheminement
du signal au CDN de Boulogne Billancourt (dans le cas de Classique, un
récepteur FMDAB à Boulogne, voire, au pire, un tuner, peuvent
suffire), une diffusion FM à 1KW PAR, c'est environ 15KHT par an.
Pour Radio Classique, c'est donc, je pense, d'un vrai plan de
réduction de coûts qu'il s'agit, au delà du retour sur
CSat.
Cela pose malheureusement la question de la rentabilité de certains
formats de radios. Si l'on prend un ratio type "GIE Les
Indépendants" (ce n'est qu'un exemple, mais il est assez
représentatif
du marché pub des musicales), qui vend en masse l'audience d'environ
115 radios, cela représente pour les radios concernées un CA
d'environ
5 - 6 par auditeur et par an, donc un émetteur à 15K/an qui
ne
génère pas 3000 auditeurs fait perdre de l'argent. Une radio
comme
Classique, qui n'appartient pas à un groupement pub, aura plus de mal
à obtenir du volume, mais peut, en revanche, valoriser le prix du spot
par le fait qu'elle touche un public "CSP+". C'est intéressant
en
terme d'antenne car ils ne "pourrissent" pas leur antenne avec du
spot
"non ciblé" vendu en quantité, mais dans un contexte de
replis des
marchés pubs, on sait que les annonceurs vont concentrer leurs efforts
sur moins de supports, et que les supports moins visibles, même s'ils
sont plus "qualitatifs", vont souffrir.
S'agissant du choix des fréquences à arrêter, un
critère important est
celui de la date de fin de contrat. On peut effectivement s'étonner de
l'arrêt de villes moyennes plutôt que de villes plus petites, sauf
si
les pénalités de rupture de contrats rendent dissuasives ces
ruptures
(et qu'il est donc plus intéressant de les maintenir jusqu'à
leurs
termes). Peut-être qu'en regardant les date de mise en service des
diffusions cela donnera une indication (la période initiale des
contrats chez TDF ou TCAST est de 5 ans). Ensuite, il faut regarder
les structures de population (CSP) des villes concernées.
Dans le cas de Beur, elle était en situation difficile avant FM2006 et
avant la crise (développement hasardeux en télévision ?
mauvaise
gestion ?), donc cela avait peu de chances de s'arranger. Et pour
Parenthèse, le CSA a permis la création ex nihilo d'un joli
réseau,
sur des critères de copinage plus que sur la réelle étude
des chances
de réussite. Si l'argument de "l'enrichissement de l'offre par un
format nouveau" se défend parfaitement, il est navrant de constater
que le CSA a fait preuve d'une certaine légèreté dans
l'étude du
modèle économique du projet, alors que pour d'autres projets bien
plus
modestes, il se montre souvent sans pitié.
Restent ensuite les mystères économiques comme France Maghreb,
dont
j'ai du mal à saisir le modèle économique.
On 29 mar, 13:56, Mixture wrote:Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela concerne
13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un correspondant
indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel, Lourdes,
Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui
n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio,
mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle
économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses espaces
pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe. Cela
fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts
de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger. CanalSat,
c'est un peu moins de 50KHT par an pour du 192kbps, hors acheminement
du signal au CDN de Boulogne Billancourt (dans le cas de Classique, un
récepteur FMDAB à Boulogne, voire, au pire, un tuner, peuvent
suffire), une diffusion FM à 1KW PAR, c'est environ 15KHT par an.
Pour Radio Classique, c'est donc, je pense, d'un vrai plan de
réduction de coûts qu'il s'agit, au delà du retour sur
CSat.
Cela pose malheureusement la question de la rentabilité de certains
formats de radios. Si l'on prend un ratio type "GIE Les
Indépendants" (ce n'est qu'un exemple, mais il est assez
représentatif
du marché pub des musicales), qui vend en masse l'audience d'environ
115 radios, cela représente pour les radios concernées un CA
d'environ
5 - 6 par auditeur et par an, donc un émetteur à 15K/an qui
ne
génère pas 3000 auditeurs fait perdre de l'argent. Une radio
comme
Classique, qui n'appartient pas à un groupement pub, aura plus de mal
à obtenir du volume, mais peut, en revanche, valoriser le prix du spot
par le fait qu'elle touche un public "CSP+". C'est intéressant
en
terme d'antenne car ils ne "pourrissent" pas leur antenne avec du
spot
"non ciblé" vendu en quantité, mais dans un contexte de
replis des
marchés pubs, on sait que les annonceurs vont concentrer leurs efforts
sur moins de supports, et que les supports moins visibles, même s'ils
sont plus "qualitatifs", vont souffrir.
S'agissant du choix des fréquences à arrêter, un
critère important est
celui de la date de fin de contrat. On peut effectivement s'étonner de
l'arrêt de villes moyennes plutôt que de villes plus petites, sauf
si
les pénalités de rupture de contrats rendent dissuasives ces
ruptures
(et qu'il est donc plus intéressant de les maintenir jusqu'à
leurs
termes). Peut-être qu'en regardant les date de mise en service des
diffusions cela donnera une indication (la période initiale des
contrats chez TDF ou TCAST est de 5 ans). Ensuite, il faut regarder
les structures de population (CSP) des villes concernées.
Dans le cas de Beur, elle était en situation difficile avant FM2006 et
avant la crise (développement hasardeux en télévision ?
mauvaise
gestion ?), donc cela avait peu de chances de s'arranger. Et pour
Parenthèse, le CSA a permis la création ex nihilo d'un joli
réseau,
sur des critères de copinage plus que sur la réelle étude
des chances
de réussite. Si l'argument de "l'enrichissement de l'offre par un
format nouveau" se défend parfaitement, il est navrant de constater
que le CSA a fait preuve d'une certaine légèreté dans
l'étude du
modèle économique du projet, alors que pour d'autres projets bien
plus
modestes, il se montre souvent sans pitié.
Restent ensuite les mystères économiques comme France Maghreb,
dont
j'ai du mal à saisir le modèle économique.
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ?
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ?
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ?
mpx958 a écrit le 29/03/2009 à 15h50 :On 29 mar, 13:56, Mixture wrote:Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela
concerne 13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un
correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel,
Lourdes, Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui
n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio,
mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle
économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses
espaces pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe.
Cela fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts
de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger.
CanalSat, c'est un peu moins de 50K
mpx958 a écrit le 29/03/2009 à 15h50 :
On 29 mar, 13:56, Mixture wrote:
Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela
concerne 13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un
correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel,
Lourdes, Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui
n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio,
mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle
économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses
espaces pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe.
Cela fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts
de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger.
CanalSat, c'est un peu moins de 50K
mpx958 a écrit le 29/03/2009 à 15h50 :On 29 mar, 13:56, Mixture wrote:Un contact en Champagne m'a indiqué que Radio Classique venait
d'abandonner ses fréquences FM de Châlons-en-Champagne (102,8) et
de
Charleville-Mézières (89,7).
Ce même contact a indiqué sur RadioActu que cet abandon
était desti né à
financer le retour de Radio Classique sur CanalSat et que cela
concerne 13 fréquences. Dans la suite de cette discussion, un
correspondant indique l'arrêt de Radio Classique sur Niort (104,2).
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles
sont les 13
fréquences concernées ? Sur les trois villes déjà
mentionnées, je suis
étonné qu'il s'agisse de villes de taille moyenne. Je me serai
davantage attendu à un arrêt de la diffusion dans des petites
villes
(sans que cela ne soit péjoratif) telles que Apt, Courchevel,
Lourdes, Manosque...
Après l'abandon de deux fréquences en Basse-Normandie sur
lesquelles
elle était présélectionnée (Cherbourg 101,5 et St
Lô 99,2), Rad io
Classique franchit une étape supplémentaire en renonçant
à des
fréquences actives.
Le plan FM 2006 semble avoir été rude pour certaines stations
nationales ayant une situation financière précaire ; entre
Parenthè se
Radio qui a été mise en liquidation judiciaire et Beur FM qui
n'a pas
mis en service toutes les fréquences sur lesquelles elle a
été
autorisée !
A mon humble avis, il ne faut pas mélanger les effets de FM2006 et
ceux d'une tendance économique assez peu favorable aux entreprises
vivant de la pub. Obtenir des fréquences, si l'on sait calculer le
seuil de rentabilité, est une bonne opération pour une radio,
mais
encore faut-il pouvoir valoriser l'audience gagnée. Pour beaucoup
d'entreprises qui perdent de l'argent (tous secteurs confondus), se
développer peut être synonyme de développement des pertes !
Plus concrètement, Radio Classique est une filiale du groupe "les
Echos" (presse économique / financière dont le modèle
économique
repose en grande partie sur la pub), et à ma connaissance, ses
espaces pubs sont commercialisés uniquement par la régie du groupe.
Cela fait
plusieurs années que Radio Classique essaye de diminuer ses coûts
de
fonctionnement, il y avait notamment eu une réduction du personnel.
Aujourd'hui il semble que le groupe entier souffre de la conjoncture,
et l'argument du retour sur CanalSat me semble un peu léger.
CanalSat, c'est un peu moins de 50K
"Mixture" a écrit:Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ?
Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans doute
Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
longues cet après-midi.
Pierre CHABOT
"Mixture" <contact@mixture.fr> a écrit:
Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ?
Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans doute
Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
longues cet après-midi.
Pierre CHABOT
chabot-pierre@wanadoo.fr
"Mixture" a écrit:Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
fréquences concernées ?
Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans doute
Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
longues cet après-midi.
Pierre CHABOT
On 2009-03-31 17:01:30 +0200, "CHABOT Pierre" said:
> "Mixture" a écrit:
>> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
>> fréquences concernées ?
> Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans d oute
> Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
> Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
> longues cet après-midi.
> Pierre CHABOT
>
Sauf que là, on dépasse largement les 13 villes ! Dans mon décompte ,
j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunkerqu e,
Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond,
St Quentin, Valence, Vendôme...
Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiques ,
il n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
On 2009-03-31 17:01:30 +0200, "CHABOT Pierre" <chabot-pie...@wanadoo.fr> said:
> "Mixture" <cont...@mixture.fr> a écrit:
>> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
>> fréquences concernées ?
> Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans d oute
> Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
> Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
> longues cet après-midi.
> Pierre CHABOT
> chabot-pie...@wanadoo.fr
Sauf que là, on dépasse largement les 13 villes ! Dans mon décompte ,
j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunkerqu e,
Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond,
St Quentin, Valence, Vendôme...
Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiques ,
il n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
On 2009-03-31 17:01:30 +0200, "CHABOT Pierre" said:
> "Mixture" a écrit:
>> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles sont les 13
>> fréquences concernées ?
> Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans d oute
> Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
> Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
> longues cet après-midi.
> Pierre CHABOT
>
Sauf que là, on dépasse largement les 13 villes ! Dans mon décompte ,
j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunkerqu e,
Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond,
St Quentin, Valence, Vendôme...
Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiques ,
il n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
Dans mon décompte,j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunkerque,
Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond, St
Quentin, Valence, Vendôme...
Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiques, il
n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
Dans mon décompte,j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunkerque,
Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond, St
Quentin, Valence, Vendôme...
Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiques, il
n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
Dans mon décompte,j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunkerque,
Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond, St
Quentin, Valence, Vendôme...
Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiques, il
n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
On 1 avr, 19:47, Mixture wrote:
> On 2009-03-31 17:01:30 +0200, "CHABOT Pierre" > said:
> > "Mixture" a écrit:
> >> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles son t les 13
> >> fréquences concernées ?
> > Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans doute
> > Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
> > Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
> > longues cet après-midi.
> > Pierre CHABOT
> >
> Sauf que là, on dépasse largement les 13 villes ! Dans mon décomp te,
> j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
> Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunker que,
> Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond,
> St Quentin, Valence, Vendôme...
> Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiqu es,
> il n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
Effectivement, à la vue de ces faits, on peut supposer que Radio
Classique s'achemine vers un modèle de réseau à la BFM.
Si cette radio décide de tout miser (commercialement parlant) sur de
l'audience qualitative, sans se soucier, par exemple, du fait
d'apparaître dans les communiqués Médiamétrie (il faut faire 1% d 'AC
13+ natio, et cela à un impact psychologique d'un point de vue
commercial), il y a tout lieu de penser que le dégraissage va se
poursuivre.
Piqué par la curiosité, je suis allé regarder les populations de
certaines villes citées dans les messages précédents, et j'ai regar dé
les audiences. D'un strict point de vue économique, il est tout à fai t
logique que Radio Classique les arrête. Quelques chiffres venus de
l'INSEE (pôles urbain 99, fiches "FOR2") et de Médiamétrie
(Médialocales en AC13+ S07-J08 et en effectifs):
Niort: pop 15+: 55000 / pop bac+2 et études sup: 9300 / audience
Niort: 2100 / audience 79: 4100
Châteauroux: 55000 / 6800 / audience Châteauroux: 1800 / Audience 36:
3000
Nevers: 48000 / 6500 / audience Nevers: 1000 / audience 58: NC
Boulogne sur Mer: 73000 / 7200 / pas d'audience (trop récent)
Difficile d'assumer des coûts de diffusion sur ce genre de ville, dont
le potentiel est trop limité par rapport au profil type de l'auditeur
de Radio Classique.
On 1 avr, 19:47, Mixture <cont...@mixture.fr> wrote:
> On 2009-03-31 17:01:30 +0200, "CHABOT Pierre" <chabot-pie...@wanadoo.fr > said:
> > "Mixture" <cont...@mixture.fr> a écrit:
> >> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles son t les 13
> >> fréquences concernées ?
> > Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans doute
> > Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
> > Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
> > longues cet après-midi.
> > Pierre CHABOT
> > chabot-pie...@wanadoo.fr
> Sauf que là, on dépasse largement les 13 villes ! Dans mon décomp te,
> j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
> Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunker que,
> Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond,
> St Quentin, Valence, Vendôme...
> Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiqu es,
> il n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
Effectivement, à la vue de ces faits, on peut supposer que Radio
Classique s'achemine vers un modèle de réseau à la BFM.
Si cette radio décide de tout miser (commercialement parlant) sur de
l'audience qualitative, sans se soucier, par exemple, du fait
d'apparaître dans les communiqués Médiamétrie (il faut faire 1% d 'AC
13+ natio, et cela à un impact psychologique d'un point de vue
commercial), il y a tout lieu de penser que le dégraissage va se
poursuivre.
Piqué par la curiosité, je suis allé regarder les populations de
certaines villes citées dans les messages précédents, et j'ai regar dé
les audiences. D'un strict point de vue économique, il est tout à fai t
logique que Radio Classique les arrête. Quelques chiffres venus de
l'INSEE (pôles urbain 99, fiches "FOR2") et de Médiamétrie
(Médialocales en AC13+ S07-J08 et en effectifs):
Niort: pop 15+: 55000 / pop bac+2 et études sup: 9300 / audience
Niort: 2100 / audience 79: 4100
Châteauroux: 55000 / 6800 / audience Châteauroux: 1800 / Audience 36:
3000
Nevers: 48000 / 6500 / audience Nevers: 1000 / audience 58: NC
Boulogne sur Mer: 73000 / 7200 / pas d'audience (trop récent)
Difficile d'assumer des coûts de diffusion sur ce genre de ville, dont
le potentiel est trop limité par rapport au profil type de l'auditeur
de Radio Classique.
On 1 avr, 19:47, Mixture wrote:
> On 2009-03-31 17:01:30 +0200, "CHABOT Pierre" > said:
> > "Mixture" a écrit:
> >> Avez-vous constaté d'autres arrêts de fréquences ? Quelles son t les 13
> >> fréquences concernées ?
> > Plus de Radio Classique à Montluçon (99.4) cet après-midi. Sans doute
> > Montluçon est-elle une des 13 villes concernées.
> > Dans un tout autre domaine, j'ai constaté que RMC n'émettait pas en ondes
> > longues cet après-midi.
> > Pierre CHABOT
> >
> Sauf que là, on dépasse largement les 13 villes ! Dans mon décomp te,
> j'en suis à 18 : Apt, Arras, Bastia, Boulogne-sur-Mer,
> Châlons-en-Champagne, Charleville-Mézières, Châteauroux, Dunker que,
> Manosque, Montluçon, Nevers, Niort, Roanne, Rodez, St Amand-Montrond,
> St Quentin, Valence, Vendôme...
> Si Classique se concentre uniquement sur les grands pôles économiqu es,
> il n'y a pas de raisons pour cette hémorragie s'arrête !
Effectivement, à la vue de ces faits, on peut supposer que Radio
Classique s'achemine vers un modèle de réseau à la BFM.
Si cette radio décide de tout miser (commercialement parlant) sur de
l'audience qualitative, sans se soucier, par exemple, du fait
d'apparaître dans les communiqués Médiamétrie (il faut faire 1% d 'AC
13+ natio, et cela à un impact psychologique d'un point de vue
commercial), il y a tout lieu de penser que le dégraissage va se
poursuivre.
Piqué par la curiosité, je suis allé regarder les populations de
certaines villes citées dans les messages précédents, et j'ai regar dé
les audiences. D'un strict point de vue économique, il est tout à fai t
logique que Radio Classique les arrête. Quelques chiffres venus de
l'INSEE (pôles urbain 99, fiches "FOR2") et de Médiamétrie
(Médialocales en AC13+ S07-J08 et en effectifs):
Niort: pop 15+: 55000 / pop bac+2 et études sup: 9300 / audience
Niort: 2100 / audience 79: 4100
Châteauroux: 55000 / 6800 / audience Châteauroux: 1800 / Audience 36:
3000
Nevers: 48000 / 6500 / audience Nevers: 1000 / audience 58: NC
Boulogne sur Mer: 73000 / 7200 / pas d'audience (trop récent)
Difficile d'assumer des coûts de diffusion sur ce genre de ville, dont
le potentiel est trop limité par rapport au profil type de l'auditeur
de Radio Classique.
Sur 390 auditeurs sondés à Bastia, 12 ont déclaré écouter Radio
Classique au moins une fois dans la journée, soit 2.5% de PDA
Sur 390 auditeurs sondés à Bastia, 12 ont déclaré écouter Radio
Classique au moins une fois dans la journée, soit 2.5% de PDA
Sur 390 auditeurs sondés à Bastia, 12 ont déclaré écouter Radio
Classique au moins une fois dans la journée, soit 2.5% de PDA
Nevers (90.2) s'est arrêté en début d'après midi et ne figure plus sur
la carte.
Bien dommage, ma radio préférée en voiture, avec une qualité sonore
bien supérieure à France Musique. Où va donc se nicher la crise ?
Nevers (90.2) s'est arrêté en début d'après midi et ne figure plus sur
la carte.
Bien dommage, ma radio préférée en voiture, avec une qualité sonore
bien supérieure à France Musique. Où va donc se nicher la crise ?
Nevers (90.2) s'est arrêté en début d'après midi et ne figure plus sur
la carte.
Bien dommage, ma radio préférée en voiture, avec une qualité sonore
bien supérieure à France Musique. Où va donc se nicher la crise ?