Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
D'une plume alerte, dans le message 472af2b1$0$19643$,
Patoultan écrit:
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Sauf que la procédure de sanction implique une convocation préalable à un entretien au cours duquel sont exposées les doléances de
l'employeur, et sont écoutées les explications du salarié.
La convocation doit mentionner en outre le droit d'assistance.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Non c'est insuffisant.
L'employeur doit s'informer de l'absence du salarié et le mettre en demeure de reprendre le travail avant d'envisager de lancer
une quelconque procédure.
D'une plume alerte, dans le message 472af2b1$0$19643$426a74cc@news.free.fr,
Patoultan <patoultan@free.fr> écrit:
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Sauf que la procédure de sanction implique une convocation préalable à un entretien au cours duquel sont exposées les doléances de
l'employeur, et sont écoutées les explications du salarié.
La convocation doit mentionner en outre le droit d'assistance.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Non c'est insuffisant.
L'employeur doit s'informer de l'absence du salarié et le mettre en demeure de reprendre le travail avant d'envisager de lancer
une quelconque procédure.
D'une plume alerte, dans le message 472af2b1$0$19643$,
Patoultan écrit:
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Sauf que la procédure de sanction implique une convocation préalable à un entretien au cours duquel sont exposées les doléances de
l'employeur, et sont écoutées les explications du salarié.
La convocation doit mentionner en outre le droit d'assistance.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Non c'est insuffisant.
L'employeur doit s'informer de l'absence du salarié et le mettre en demeure de reprendre le travail avant d'envisager de lancer
une quelconque procédure.
Ma mere travaille dans une societe ou elle vient d'etre traitée
de
"rasiste".
Pas tres claire cette affaire: 4 personnes de son travail (4
personnes
afroamericaines) l'ont accuse de rasisme et ont pose plainte au
commissariat, ensuite le commissariat a envoye une lettre a son
patron et
lui, il l'a mise au conge du travail jusqu'au moment ou il
l'appele pour
expliquer cette situation, en meme temps il a suggere a ma mere
qu'elle doit
quitter le travail pout le bien des autres.
[...]
Alors, j'ai besoin d'aide, parce que je ne sais pas trop comment
moi je peux
aider a ma mere. Si 4 personnes disent une chose alors leur avis
est plus
important que l'avis de ma mere, en tout ca, plus fort. Alors,
si elle va
ceder aux accusations, elle peut avoir de problemes graves,
autant plus que
elle va etre licencier de son travail san droit a quoi que ca
soit. C'est
vraiment injuste.
Ma mere travaille dans une societe ou elle vient d'etre traitée
de
"rasiste".
Pas tres claire cette affaire: 4 personnes de son travail (4
personnes
afroamericaines) l'ont accuse de rasisme et ont pose plainte au
commissariat, ensuite le commissariat a envoye une lettre a son
patron et
lui, il l'a mise au conge du travail jusqu'au moment ou il
l'appele pour
expliquer cette situation, en meme temps il a suggere a ma mere
qu'elle doit
quitter le travail pout le bien des autres.
[...]
Alors, j'ai besoin d'aide, parce que je ne sais pas trop comment
moi je peux
aider a ma mere. Si 4 personnes disent une chose alors leur avis
est plus
important que l'avis de ma mere, en tout ca, plus fort. Alors,
si elle va
ceder aux accusations, elle peut avoir de problemes graves,
autant plus que
elle va etre licencier de son travail san droit a quoi que ca
soit. C'est
vraiment injuste.
Ma mere travaille dans une societe ou elle vient d'etre traitée
de
"rasiste".
Pas tres claire cette affaire: 4 personnes de son travail (4
personnes
afroamericaines) l'ont accuse de rasisme et ont pose plainte au
commissariat, ensuite le commissariat a envoye une lettre a son
patron et
lui, il l'a mise au conge du travail jusqu'au moment ou il
l'appele pour
expliquer cette situation, en meme temps il a suggere a ma mere
qu'elle doit
quitter le travail pout le bien des autres.
[...]
Alors, j'ai besoin d'aide, parce que je ne sais pas trop comment
moi je peux
aider a ma mere. Si 4 personnes disent une chose alors leur avis
est plus
important que l'avis de ma mere, en tout ca, plus fort. Alors,
si elle va
ceder aux accusations, elle peut avoir de problemes graves,
autant plus que
elle va etre licencier de son travail san droit a quoi que ca
soit. C'est
vraiment injuste.
"Moisse" a écrit dans le message de news:
472af48d$0$31460$D'une plume alerte, dans le message
472af2b1$0$19643$, Patoultan
écrit:
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Sauf que la procédure de sanction implique une convocation préalable
à un entretien au cours duquel sont exposées les doléances de
l'employeur, et sont écoutées les explications du salarié. La
convocation doit mentionner en outre le droit d'assistance.
Oui, mais dans ce cas je ne vois pas à quoi
correspond ce "congé" que l'employeur impose
à son employée.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Non c'est insuffisant.
L'employeur doit s'informer de l'absence du salarié et le mettre en
demeure de reprendre le travail avant d'envisager de lancer une
quelconque procédure.
La mise en demeure doit obligatoirement être faite par
lettre recommandée, je suppose ?
"Moisse" <moisse@douteifrance.com> a écrit dans le message de news:
472af48d$0$31460$426a74cc@news.free.fr...
D'une plume alerte, dans le message
472af2b1$0$19643$426a74cc@news.free.fr, Patoultan <patoultan@free.fr>
écrit:
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Sauf que la procédure de sanction implique une convocation préalable
à un entretien au cours duquel sont exposées les doléances de
l'employeur, et sont écoutées les explications du salarié. La
convocation doit mentionner en outre le droit d'assistance.
Oui, mais dans ce cas je ne vois pas à quoi
correspond ce "congé" que l'employeur impose
à son employée.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Non c'est insuffisant.
L'employeur doit s'informer de l'absence du salarié et le mettre en
demeure de reprendre le travail avant d'envisager de lancer une
quelconque procédure.
La mise en demeure doit obligatoirement être faite par
lettre recommandée, je suppose ?
"Moisse" a écrit dans le message de news:
472af48d$0$31460$D'une plume alerte, dans le message
472af2b1$0$19643$, Patoultan
écrit:
Oui, et à ce propos je m'interroge sur ce "congé" dont
parle "news", et qui n'a été signifié, je le crains, que
verbalement, et non par écrit comme doit l'être toute
sanction, si c'en est une.
Sauf que la procédure de sanction implique une convocation préalable
à un entretien au cours duquel sont exposées les doléances de
l'employeur, et sont écoutées les explications du salarié. La
convocation doit mentionner en outre le droit d'assistance.
Oui, mais dans ce cas je ne vois pas à quoi
correspond ce "congé" que l'employeur impose
à son employée.
Il faudrait savoir depuis combien de temps dure ce
"congé", et s'il a été signifié par écrit.
Est-il possible que ce soit une astuce du patron pour
pouvoir accuser son employée de rupture abusive de
contrat ou de faute entraînant un licenciement - à cause
du fait qu'elle ne se présente plus à son travail, sans
aucun motif qu'elle puisse prouver ?
Non c'est insuffisant.
L'employeur doit s'informer de l'absence du salarié et le mettre en
demeure de reprendre le travail avant d'envisager de lancer une
quelconque procédure.
La mise en demeure doit obligatoirement être faite par
lettre recommandée, je suppose ?
"news" a écrit dans le message de news:
fgbvq0$car$
> Ma mere travaille dans une societe ou elle vient d'etre traitée
> de
> "rasiste".
> Pas tres claire cette affaire: 4 personnes de son travail (4
> personnes
> afroamericaines) l'ont accuse de rasisme et ont pose plainte au
> commissariat, ensuite le commissariat a envoye une lettre a son
> patron et
> lui, il l'a mise au conge du travail jusqu'au moment ou il
> l'appele pour
> expliquer cette situation, en meme temps il a suggere a ma mere
> qu'elle doit
> quitter le travail pout le bien des autres.
> [...]
> Alors, j'ai besoin d'aide, parce que je ne sais pas trop comment
> moi je peux
> aider a ma mere. Si 4 personnes disent une chose alors leur avis
> est plus
> important que l'avis de ma mere, en tout ca, plus fort. Alors,
> si elle va
> ceder aux accusations, elle peut avoir de problemes graves,
> autant plus que
> elle va etre licencier de son travail san droit a quoi que ca
> soit. C'est
> vraiment injuste.
>
Je vous conseille de prendre un RdV avec un avocat gratuit dans
une "maison de la justice et du droit" ou une Mairie et d'amener
tous les éléments de preuve à votre disposition (de ce qui lui a
été dit et de ce qui lui é été demandé de faire : rester chez
elle, etc.) et une copie de son contrat de travail ou lettre
d'embauche et une fueille de paie. Ce qui m'étonne dans votre
affaire, c'est qu'il semble que votre mère n'ait pas reçu la
moindre lettre recommandé de son patron ET pour la convoquer ET
pour la mettre à pieds (puisque c'est bien ce qui semble être le
cas !) ?.
Elle peut, aussi, contacter un syndicat (?).
Si tout ce qui lui a dit n'a pas fait l'objet de lettre de
l'employeur, il est certain que c'est totalement illégal et que,
alors, on lui interdit simplement et illégalement de travailler
alors qu'elle a un contrat de travail. Il faut le faire constater
(vous pouvez être témoins à l'entrrée de son entreprise qu'on
n'accepte pas qu'elle entre, c'est déjà çà) rapidement car sinon,
elle risque d'être licenciée pour simplement ne s'être pas rendue
au travail.
"news" <raport@poczta.onet.pl> a écrit dans le message de news:
fgbvq0$car$1@atlantis.news.tpi.pl...
> Ma mere travaille dans une societe ou elle vient d'etre traitée
> de
> "rasiste".
> Pas tres claire cette affaire: 4 personnes de son travail (4
> personnes
> afroamericaines) l'ont accuse de rasisme et ont pose plainte au
> commissariat, ensuite le commissariat a envoye une lettre a son
> patron et
> lui, il l'a mise au conge du travail jusqu'au moment ou il
> l'appele pour
> expliquer cette situation, en meme temps il a suggere a ma mere
> qu'elle doit
> quitter le travail pout le bien des autres.
> [...]
> Alors, j'ai besoin d'aide, parce que je ne sais pas trop comment
> moi je peux
> aider a ma mere. Si 4 personnes disent une chose alors leur avis
> est plus
> important que l'avis de ma mere, en tout ca, plus fort. Alors,
> si elle va
> ceder aux accusations, elle peut avoir de problemes graves,
> autant plus que
> elle va etre licencier de son travail san droit a quoi que ca
> soit. C'est
> vraiment injuste.
>
Je vous conseille de prendre un RdV avec un avocat gratuit dans
une "maison de la justice et du droit" ou une Mairie et d'amener
tous les éléments de preuve à votre disposition (de ce qui lui a
été dit et de ce qui lui é été demandé de faire : rester chez
elle, etc.) et une copie de son contrat de travail ou lettre
d'embauche et une fueille de paie. Ce qui m'étonne dans votre
affaire, c'est qu'il semble que votre mère n'ait pas reçu la
moindre lettre recommandé de son patron ET pour la convoquer ET
pour la mettre à pieds (puisque c'est bien ce qui semble être le
cas !) ?.
Elle peut, aussi, contacter un syndicat (?).
Si tout ce qui lui a dit n'a pas fait l'objet de lettre de
l'employeur, il est certain que c'est totalement illégal et que,
alors, on lui interdit simplement et illégalement de travailler
alors qu'elle a un contrat de travail. Il faut le faire constater
(vous pouvez être témoins à l'entrrée de son entreprise qu'on
n'accepte pas qu'elle entre, c'est déjà çà) rapidement car sinon,
elle risque d'être licenciée pour simplement ne s'être pas rendue
au travail.
"news" a écrit dans le message de news:
fgbvq0$car$
> Ma mere travaille dans une societe ou elle vient d'etre traitée
> de
> "rasiste".
> Pas tres claire cette affaire: 4 personnes de son travail (4
> personnes
> afroamericaines) l'ont accuse de rasisme et ont pose plainte au
> commissariat, ensuite le commissariat a envoye une lettre a son
> patron et
> lui, il l'a mise au conge du travail jusqu'au moment ou il
> l'appele pour
> expliquer cette situation, en meme temps il a suggere a ma mere
> qu'elle doit
> quitter le travail pout le bien des autres.
> [...]
> Alors, j'ai besoin d'aide, parce que je ne sais pas trop comment
> moi je peux
> aider a ma mere. Si 4 personnes disent une chose alors leur avis
> est plus
> important que l'avis de ma mere, en tout ca, plus fort. Alors,
> si elle va
> ceder aux accusations, elle peut avoir de problemes graves,
> autant plus que
> elle va etre licencier de son travail san droit a quoi que ca
> soit. C'est
> vraiment injuste.
>
Je vous conseille de prendre un RdV avec un avocat gratuit dans
une "maison de la justice et du droit" ou une Mairie et d'amener
tous les éléments de preuve à votre disposition (de ce qui lui a
été dit et de ce qui lui é été demandé de faire : rester chez
elle, etc.) et une copie de son contrat de travail ou lettre
d'embauche et une fueille de paie. Ce qui m'étonne dans votre
affaire, c'est qu'il semble que votre mère n'ait pas reçu la
moindre lettre recommandé de son patron ET pour la convoquer ET
pour la mettre à pieds (puisque c'est bien ce qui semble être le
cas !) ?.
Elle peut, aussi, contacter un syndicat (?).
Si tout ce qui lui a dit n'a pas fait l'objet de lettre de
l'employeur, il est certain que c'est totalement illégal et que,
alors, on lui interdit simplement et illégalement de travailler
alors qu'elle a un contrat de travail. Il faut le faire constater
(vous pouvez être témoins à l'entrrée de son entreprise qu'on
n'accepte pas qu'elle entre, c'est déjà çà) rapidement car sinon,
elle risque d'être licenciée pour simplement ne s'être pas rendue
au travail.
news wrote:
Il est possible qu'on cherche a la faire démissioner ce qui arrangerait
peut-être le patron, mais si elle a été mise en congé sans son
consentement, c'est elle qui peut aller voir les prud'hommes, elle peut
aussi se plaindre de harcèlement dans son travail.
news wrote:
Il est possible qu'on cherche a la faire démissioner ce qui arrangerait
peut-être le patron, mais si elle a été mise en congé sans son
consentement, c'est elle qui peut aller voir les prud'hommes, elle peut
aussi se plaindre de harcèlement dans son travail.
news wrote:
Il est possible qu'on cherche a la faire démissioner ce qui arrangerait
peut-être le patron, mais si elle a été mise en congé sans son
consentement, c'est elle qui peut aller voir les prud'hommes, elle peut
aussi se plaindre de harcèlement dans son travail.
HS ON
au fait si on a un peu de sang black dans les veines
mais que cela ne se voit pas
le fait de s'emporter contre des personnels dont le teint est
différent du votre
constitue-t-il systématiquement un fait de racisme ?
en bref l'autodérision "muette" ( = sans justificatif ) est-elle
acceptée par la législation ?
HS OFF
HS ON
au fait si on a un peu de sang black dans les veines
mais que cela ne se voit pas
le fait de s'emporter contre des personnels dont le teint est
différent du votre
constitue-t-il systématiquement un fait de racisme ?
en bref l'autodérision "muette" ( = sans justificatif ) est-elle
acceptée par la législation ?
HS OFF
HS ON
au fait si on a un peu de sang black dans les veines
mais que cela ne se voit pas
le fait de s'emporter contre des personnels dont le teint est
différent du votre
constitue-t-il systématiquement un fait de racisme ?
en bref l'autodérision "muette" ( = sans justificatif ) est-elle
acceptée par la législation ?
HS OFF
en bref l'autodérision "muette" ( = sans justificatif ) est-elle
acceptée par la législation ?
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
en bref l'autodérision "muette" ( = sans justificatif ) est-elle
acceptée par la législation ?
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
en bref l'autodérision "muette" ( = sans justificatif ) est-elle
acceptée par la législation ?
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
En clair cela signifie quoi, le plaintif qui choisit le tribunal ?
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
En clair cela signifie quoi, le plaintif qui choisit le tribunal ?
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
En clair cela signifie quoi, le plaintif qui choisit le tribunal ?
in <472c5126$0$10866$
Moisse wrote :Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
En clair cela signifie quoi, le plaintif qui choisit le tribunal ?
Hé bien voila, comme je ne sais pas si on dit plaignant ou plaideur ou
autre, j'ai dit plaintif pour améliorer le jargon.
Sinon, et ça je ne l'ai pas inventé je l'ai lu sur fr.misc.droit,
c'est donc sérieux hein !
On peut, au moins dans certain cas, porter
plainte avec CPC devant le doyen des juges d'un TGI de son choix, et
ce n'est pas n'importe qui qui l'a dit, c'est quelqu'un qui a bien
étudié la question.
C'est le cas, m'a-t-il semblé, lorsque le délit n'est pas
géo-localisable, par exemple sur l'internet.
in <472c5126$0$10866$426a74cc@news.free.fr>
Moisse wrote :
Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
En clair cela signifie quoi, le plaintif qui choisit le tribunal ?
Hé bien voila, comme je ne sais pas si on dit plaignant ou plaideur ou
autre, j'ai dit plaintif pour améliorer le jargon.
Sinon, et ça je ne l'ai pas inventé je l'ai lu sur fr.misc.droit,
c'est donc sérieux hein !
On peut, au moins dans certain cas, porter
plainte avec CPC devant le doyen des juges d'un TGI de son choix, et
ce n'est pas n'importe qui qui l'a dit, c'est quelqu'un qui a bien
étudié la question.
C'est le cas, m'a-t-il semblé, lorsque le délit n'est pas
géo-localisable, par exemple sur l'internet.
in <472c5126$0$10866$
Moisse wrote :Il faut apprécier s'il y a un délit. On peut tomber sur un juge qui
n'a pas le sens de l'humour, et c'est le plaintif qui choisit le
tribunal.
En clair cela signifie quoi, le plaintif qui choisit le tribunal ?
Hé bien voila, comme je ne sais pas si on dit plaignant ou plaideur ou
autre, j'ai dit plaintif pour améliorer le jargon.
Sinon, et ça je ne l'ai pas inventé je l'ai lu sur fr.misc.droit,
c'est donc sérieux hein !
On peut, au moins dans certain cas, porter
plainte avec CPC devant le doyen des juges d'un TGI de son choix, et
ce n'est pas n'importe qui qui l'a dit, c'est quelqu'un qui a bien
étudié la question.
C'est le cas, m'a-t-il semblé, lorsque le délit n'est pas
géo-localisable, par exemple sur l'internet.