Le Sat, 12 Apr 2008 01:05:52 +0200, "Alf92"
<alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> écrit:l'oeil fait 130"Mp" sur une surface de 0,75 x (4 x PI x r²) = 20cm²
Relisant ce fil qui prenait une tournure intéressante, je pense que
là, quelques détails supplémentaires s'imposent si l'on veut bien
saisir les données du problème.
Tes chiffres probablement issus d'une encyclopédie, ne sont pas faux.
Mais détachés de leur contexte, ils peuvent induire toute autre
signification.
Le Sat, 12 Apr 2008 01:05:52 +0200, "Alf92"
<alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> écrit:
l'oeil fait 130"Mp" sur une surface de 0,75 x (4 x PI x r²) = 20cm²
Relisant ce fil qui prenait une tournure intéressante, je pense que
là, quelques détails supplémentaires s'imposent si l'on veut bien
saisir les données du problème.
Tes chiffres probablement issus d'une encyclopédie, ne sont pas faux.
Mais détachés de leur contexte, ils peuvent induire toute autre
signification.
Le Sat, 12 Apr 2008 01:05:52 +0200, "Alf92"
<alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> écrit:l'oeil fait 130"Mp" sur une surface de 0,75 x (4 x PI x r²) = 20cm²
Relisant ce fil qui prenait une tournure intéressante, je pense que
là, quelques détails supplémentaires s'imposent si l'on veut bien
saisir les données du problème.
Tes chiffres probablement issus d'une encyclopédie, ne sont pas faux.
Mais détachés de leur contexte, ils peuvent induire toute autre
signification.
Pour tous ceux dont les maths n'ont pas constitué la tasse de thé (et j'en
faisais partie, jusqu'au jour où il a bien fallu s'y mettre), pour ceux-là,
dis-je, voici la genèse de ce produit ultra simple.
Tout part de la constatation que, dans la vision, les triangles déterminés
par (focale oeil Fo et taille image sur la rétine) et par (distance
d'observation et taille sujet) sont semblables. Croquis sur mon site.
D'autre part, sur un oeil standard, de focale Fo = 15 mm, la définition (DR)
de la zone centrale de la rétine peut être estimée (en DPI) à :
DR = 1 inch / diamètre cône = 25,4 mm / 0,005 mm = 5000 DPI.
Ce qui permet
de définir une nouvelle constante de l'oeil, constituée par le produit
remarquable PR.
PR = DR x Fo = 5000 x 0,015 = 75
Mais rien ne s'oppose à ce que l'on écrive (toujours des triangles
semblables) :
DR x Fo = Définition objet (DPI obj) x Distance d'observation Do. Soit
encore :
DPI obj = PR / Do
Exemples d'application :
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,70 = 107 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Ces valeurs correspondent à celles de nos écrans modernes et à celles des
demandes des imprimeurs… Tu crois toujours à des cas fortuits ?
Pour tous ceux dont les maths n'ont pas constitué la tasse de thé (et j'en
faisais partie, jusqu'au jour où il a bien fallu s'y mettre), pour ceux-là,
dis-je, voici la genèse de ce produit ultra simple.
Tout part de la constatation que, dans la vision, les triangles déterminés
par (focale oeil Fo et taille image sur la rétine) et par (distance
d'observation et taille sujet) sont semblables. Croquis sur mon site.
D'autre part, sur un oeil standard, de focale Fo = 15 mm, la définition (DR)
de la zone centrale de la rétine peut être estimée (en DPI) à :
DR = 1 inch / diamètre cône = 25,4 mm / 0,005 mm = 5000 DPI.
Ce qui permet
de définir une nouvelle constante de l'oeil, constituée par le produit
remarquable PR.
PR = DR x Fo = 5000 x 0,015 = 75
Mais rien ne s'oppose à ce que l'on écrive (toujours des triangles
semblables) :
DR x Fo = Définition objet (DPI obj) x Distance d'observation Do. Soit
encore :
DPI obj = PR / Do
Exemples d'application :
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,70 = 107 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Ces valeurs correspondent à celles de nos écrans modernes et à celles des
demandes des imprimeurs… Tu crois toujours à des cas fortuits ?
Pour tous ceux dont les maths n'ont pas constitué la tasse de thé (et j'en
faisais partie, jusqu'au jour où il a bien fallu s'y mettre), pour ceux-là,
dis-je, voici la genèse de ce produit ultra simple.
Tout part de la constatation que, dans la vision, les triangles déterminés
par (focale oeil Fo et taille image sur la rétine) et par (distance
d'observation et taille sujet) sont semblables. Croquis sur mon site.
D'autre part, sur un oeil standard, de focale Fo = 15 mm, la définition (DR)
de la zone centrale de la rétine peut être estimée (en DPI) à :
DR = 1 inch / diamètre cône = 25,4 mm / 0,005 mm = 5000 DPI.
Ce qui permet
de définir une nouvelle constante de l'oeil, constituée par le produit
remarquable PR.
PR = DR x Fo = 5000 x 0,015 = 75
Mais rien ne s'oppose à ce que l'on écrive (toujours des triangles
semblables) :
DR x Fo = Définition objet (DPI obj) x Distance d'observation Do. Soit
encore :
DPI obj = PR / Do
Exemples d'application :
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,70 = 107 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Ces valeurs correspondent à celles de nos écrans modernes et à celles des
demandes des imprimeurs… Tu crois toujours à des cas fortuits ?
Jacques Dassié wrote:
Avec quand même une grosse supposition: que dans le cerveau, une cellule
de rétine égale un pixel, alors que beaucoup de l'acuité de l'œil vient
d'un balayage permanent et que même chez les emmétropes, il y a de
grandes différence d'acuité.
Dans la pratique, 10/10, c'est 1 minute
d'arc, et 20/10 (on en trouve...) c'est une demi-minute, à la limite
de ce que permet vraiment la rétine.
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,75 = 100 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Là, je ne pige pas pourquoi la distance de lecture de l'écran et du
livre sont différentes.
je doute fort qu'un adulte trouve que 25cm soit une distance
de lecture confortable.
A mon avis, les 100dpi des écrans modernes sont surtout dus aux
limitation technologiques (ou plus exactement, à un compromis entre la
résolution, le prix, et la puissance de calcul nécessaire pour gérer le
surcroît de pixels)
Jacques Dassié wrote:
Avec quand même une grosse supposition: que dans le cerveau, une cellule
de rétine égale un pixel, alors que beaucoup de l'acuité de l'œil vient
d'un balayage permanent et que même chez les emmétropes, il y a de
grandes différence d'acuité.
Dans la pratique, 10/10, c'est 1 minute
d'arc, et 20/10 (on en trouve...) c'est une demi-minute, à la limite
de ce que permet vraiment la rétine.
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,75 = 100 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Là, je ne pige pas pourquoi la distance de lecture de l'écran et du
livre sont différentes.
je doute fort qu'un adulte trouve que 25cm soit une distance
de lecture confortable.
A mon avis, les 100dpi des écrans modernes sont surtout dus aux
limitation technologiques (ou plus exactement, à un compromis entre la
résolution, le prix, et la puissance de calcul nécessaire pour gérer le
surcroît de pixels)
Jacques Dassié wrote:
Avec quand même une grosse supposition: que dans le cerveau, une cellule
de rétine égale un pixel, alors que beaucoup de l'acuité de l'œil vient
d'un balayage permanent et que même chez les emmétropes, il y a de
grandes différence d'acuité.
Dans la pratique, 10/10, c'est 1 minute
d'arc, et 20/10 (on en trouve...) c'est une demi-minute, à la limite
de ce que permet vraiment la rétine.
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,75 = 100 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Là, je ne pige pas pourquoi la distance de lecture de l'écran et du
livre sont différentes.
je doute fort qu'un adulte trouve que 25cm soit une distance
de lecture confortable.
A mon avis, les 100dpi des écrans modernes sont surtout dus aux
limitation technologiques (ou plus exactement, à un compromis entre la
résolution, le prix, et la puissance de calcul nécessaire pour gérer le
surcroît de pixels)
.....*tU* verras.
Hum...T'as un sérieux problème avec ta touche "majuscule", là...
Toi, tu en as un GROS avec Ton EGO!!!
.....
*tU* verras.
Hum...T'as un sérieux problème avec ta touche "majuscule", là...
Toi, tu en as un GROS avec Ton EGO!!!
.....*tU* verras.
Hum...T'as un sérieux problème avec ta touche "majuscule", là...
Toi, tu en as un GROS avec Ton EGO!!!
Le Mon, 14 Apr 2008 01:00:39 +0200, Ofnuts écrit:Jacques Dassié wrote:
Bonjour Bertrand,
Merci de cette réponse circonstanciée.
Au moins tu t'es penché objectivement sur la question et c'est sympa.
Tu estimes que je me suis strictement limité au senseur, mais le traitement
rétinien et l'ordinateur cérébral sont bien présents puisque je parle de
sensation de netteté et que cette notion inclus toute la chaîne de
traitement. Je voulais trouver un moyen simple, à la portée de tout un
chacun, toujours disponible, pour évaluer la définition moyenne (et
suffisante pour l'observateur standard) nécessaire à l'obtention d'une bonne
netteté en fonction de la distance d'observation.
Bien évidemment, tu as raison, mais là, tu tombe dans les exceptions, dans
les 5% de droite de la courbe de Gauss (dont je faisais partie il y a
quelques décennies, lors de visites aviation de pilote instructeur : 18/10e…
De là à dire que je ne suis pas standard… (:-o)
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,75 = 100 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Là, je ne pige pas pourquoi la distance de lecture de l'écran et du
livre sont différentes.
Les écrans de bureau sont généralement au fond de la table, avec un clavier
devant et souvent des papier et moyens d'écriture. D'où les 0,75 m
fréquemment constatés…
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Ils sont presque toujours, soit posés sur les genoux, soit sur une table,
généralement plus loin qu'un livre dont on ne peut empêcher le possesseur
(toujours standard…) de le rapprocher à son punctum proximum de 0,25 m
(:-o))).
Sûrement pas pour un in-quarto, mais nous sommes envahis de livre à polices
réduites et de petits documents que l'on rapproche instinctivement pour
mieux distinguer leurs petits caractères.
A mon avis, les 100dpi des écrans modernes sont surtout dus aux
limitation technologiques (ou plus exactement, à un compromis entre la
résolution, le prix, et la puissance de calcul nécessaire pour gérer le
surcroît de pixels)
Encore une fois c'est exact, mais cela correspond très précisément aux
besoins. Extrapolant ton raisonnement, pourrais-tu m'expliquer pourquoi
l'ensemble des constructeurs se mettrait à produire des écrans d'une
résolution supérieure à celle qui est nécessaire et parfaitement suffisante
? Ils ont poussé les progrès techniques jusqu'à l'obtention d'un produit
répondant parfaitement aux besoins.
En tout cas, merci de cette agréable réponse.
Le Mon, 14 Apr 2008 01:00:39 +0200, Ofnuts <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> écrit:
Jacques Dassié wrote:
Bonjour Bertrand,
Merci de cette réponse circonstanciée.
Au moins tu t'es penché objectivement sur la question et c'est sympa.
Tu estimes que je me suis strictement limité au senseur, mais le traitement
rétinien et l'ordinateur cérébral sont bien présents puisque je parle de
sensation de netteté et que cette notion inclus toute la chaîne de
traitement. Je voulais trouver un moyen simple, à la portée de tout un
chacun, toujours disponible, pour évaluer la définition moyenne (et
suffisante pour l'observateur standard) nécessaire à l'obtention d'une bonne
netteté en fonction de la distance d'observation.
Bien évidemment, tu as raison, mais là, tu tombe dans les exceptions, dans
les 5% de droite de la courbe de Gauss (dont je faisais partie il y a
quelques décennies, lors de visites aviation de pilote instructeur : 18/10e…
De là à dire que je ne suis pas standard… (:-o)
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,75 = 100 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Là, je ne pige pas pourquoi la distance de lecture de l'écran et du
livre sont différentes.
Les écrans de bureau sont généralement au fond de la table, avec un clavier
devant et souvent des papier et moyens d'écriture. D'où les 0,75 m
fréquemment constatés…
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Ils sont presque toujours, soit posés sur les genoux, soit sur une table,
généralement plus loin qu'un livre dont on ne peut empêcher le possesseur
(toujours standard…) de le rapprocher à son punctum proximum de 0,25 m
(:-o))).
Sûrement pas pour un in-quarto, mais nous sommes envahis de livre à polices
réduites et de petits documents que l'on rapproche instinctivement pour
mieux distinguer leurs petits caractères.
A mon avis, les 100dpi des écrans modernes sont surtout dus aux
limitation technologiques (ou plus exactement, à un compromis entre la
résolution, le prix, et la puissance de calcul nécessaire pour gérer le
surcroît de pixels)
Encore une fois c'est exact, mais cela correspond très précisément aux
besoins. Extrapolant ton raisonnement, pourrais-tu m'expliquer pourquoi
l'ensemble des constructeurs se mettrait à produire des écrans d'une
résolution supérieure à celle qui est nécessaire et parfaitement suffisante
? Ils ont poussé les progrès techniques jusqu'à l'obtention d'un produit
répondant parfaitement aux besoins.
En tout cas, merci de cette agréable réponse.
Le Mon, 14 Apr 2008 01:00:39 +0200, Ofnuts écrit:Jacques Dassié wrote:
Bonjour Bertrand,
Merci de cette réponse circonstanciée.
Au moins tu t'es penché objectivement sur la question et c'est sympa.
Tu estimes que je me suis strictement limité au senseur, mais le traitement
rétinien et l'ordinateur cérébral sont bien présents puisque je parle de
sensation de netteté et que cette notion inclus toute la chaîne de
traitement. Je voulais trouver un moyen simple, à la portée de tout un
chacun, toujours disponible, pour évaluer la définition moyenne (et
suffisante pour l'observateur standard) nécessaire à l'obtention d'une bonne
netteté en fonction de la distance d'observation.
Bien évidemment, tu as raison, mais là, tu tombe dans les exceptions, dans
les 5% de droite de la courbe de Gauss (dont je faisais partie il y a
quelques décennies, lors de visites aviation de pilote instructeur : 18/10e…
De là à dire que je ne suis pas standard… (:-o)
-Un écran, observé à 0,75 m, nécessite une définition de :
DPI = 75 / 0,75 = 100 DPI
-Un livre avec des illustrations de qualité, tenu à la main, à 0,25 m
demandera une définition de DPI 75 / 0,25 = 300 DPI.
Là, je ne pige pas pourquoi la distance de lecture de l'écran et du
livre sont différentes.
Les écrans de bureau sont généralement au fond de la table, avec un clavier
devant et souvent des papier et moyens d'écriture. D'où les 0,75 m
fréquemment constatés…
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Ils sont presque toujours, soit posés sur les genoux, soit sur une table,
généralement plus loin qu'un livre dont on ne peut empêcher le possesseur
(toujours standard…) de le rapprocher à son punctum proximum de 0,25 m
(:-o))).
Sûrement pas pour un in-quarto, mais nous sommes envahis de livre à polices
réduites et de petits documents que l'on rapproche instinctivement pour
mieux distinguer leurs petits caractères.
A mon avis, les 100dpi des écrans modernes sont surtout dus aux
limitation technologiques (ou plus exactement, à un compromis entre la
résolution, le prix, et la puissance de calcul nécessaire pour gérer le
surcroît de pixels)
Encore une fois c'est exact, mais cela correspond très précisément aux
besoins. Extrapolant ton raisonnement, pourrais-tu m'expliquer pourquoi
l'ensemble des constructeurs se mettrait à produire des écrans d'une
résolution supérieure à celle qui est nécessaire et parfaitement suffisante
? Ils ont poussé les progrès techniques jusqu'à l'obtention d'un produit
répondant parfaitement aux besoins.
En tout cas, merci de cette agréable réponse.
Mais ton moyen simple n'a pas de réelle justification. Il donne des
résultats utilisables,
C'est tout de même bien de le reconnaître.
mais çà reste une coïncidence.
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Je passe ma vie à bosser sur un portable...
En fait, j'ai beaucoup de mal à avaler l'idée que la position
confortable de lecture est avec l'½il en accommodation maximum. La
position confortable, c'est un compromis entre l'accommodation (d'autant
plus facile que la page est loin) et la netteté (d'autant meilleure
qu'elle est près)
J'ai devant moi une sortie d'imprimante d'une feuille Excel en Arial 8.
Je la lis sans problème, posée sur mon écran, et vu la longueur de mes
bras, tenue à la main, elle est 3-4cm devant l'écran, toujours loin de
des 25cm.
Serviteur :-)
Mais ton moyen simple n'a pas de réelle justification. Il donne des
résultats utilisables,
C'est tout de même bien de le reconnaître.
mais çà reste une coïncidence.
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Je passe ma vie à bosser sur un portable...
En fait, j'ai beaucoup de mal à avaler l'idée que la position
confortable de lecture est avec l'½il en accommodation maximum. La
position confortable, c'est un compromis entre l'accommodation (d'autant
plus facile que la page est loin) et la netteté (d'autant meilleure
qu'elle est près)
J'ai devant moi une sortie d'imprimante d'une feuille Excel en Arial 8.
Je la lis sans problème, posée sur mon écran, et vu la longueur de mes
bras, tenue à la main, elle est 3-4cm devant l'écran, toujours loin de
des 25cm.
Serviteur :-)
Mais ton moyen simple n'a pas de réelle justification. Il donne des
résultats utilisables,
C'est tout de même bien de le reconnaître.
mais çà reste une coïncidence.
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Je passe ma vie à bosser sur un portable...
En fait, j'ai beaucoup de mal à avaler l'idée que la position
confortable de lecture est avec l'½il en accommodation maximum. La
position confortable, c'est un compromis entre l'accommodation (d'autant
plus facile que la page est loin) et la netteté (d'autant meilleure
qu'elle est près)
J'ai devant moi une sortie d'imprimante d'une feuille Excel en Arial 8.
Je la lis sans problème, posée sur mon écran, et vu la longueur de mes
bras, tenue à la main, elle est 3-4cm devant l'écran, toujours loin de
des 25cm.
Serviteur :-)
Le Mon, 14 Apr 2008 11:24:22 +0200, Ofnuts écrit:Mais ton moyen simple n'a pas de réelle justification. Il donne des
résultats utilisables,
C'est tout de même bien de le reconnaître.mais çà reste une coïncidence.
Afirmation toute gratuite. j'aurais tellement apprécié une démonstration...
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Je passe ma vie à bosser sur un portable...
Mais tu ne réponds pas à la question... Comme le poids d'un portable n'est
pas négigeable (usuellement de 2 à 4 kg) on ne peut le tenir d'une seule
main : il penche et on fatigue vite ! Et si on le tient à deux mains,
comment tape-t-on ?
En fait, j'ai beaucoup de mal à avaler l'idée que la position
confortable de lecture est avec l'½il en accommodation maximum. La
position confortable, c'est un compromis entre l'accommodation (d'autant
plus facile que la page est loin) et la netteté (d'autant meilleure
qu'elle est près)
La position confortable de lecture -et c'est là que nos avis diffèrent- est
fonction de la taille de l'écran, de ses réglages de luminosité et
contraste, du type et de la taille de la police utilisée.
Si ces éléments ne sont pas optimisés, c'est là que pour collecter une
information fiable, tu auras tendance à te rapprocher de l'écran à la valeur
de ton punctum proximum perso.
En gros, si on voit mal, on se rapproche autant que possible...
J'ai devant moi une sortie d'imprimante d'une feuille Excel en Arial 8.
Je la lis sans problème, posée sur mon écran, et vu la longueur de mes
bras, tenue à la main, elle est 3-4cm devant l'écran, toujours loin de
des 25cm.
Par curiosité, j'ai refait la même sortie, même police, même taille.
Tenue à bout de bras, elle est à 55 cm de mon oeil (J'ai mobilisé mon épouse
pour la mesure... Je me demande ce qu'elle pense !). Je la vois bien sûr (la
feuille) parfaitement nette et je la lit sans problème.
Mais que veux-tu démontrer ? Pas compris, là.
Pour ton information, à cette même distance je vois bien la pixellisation de
mon écran (LG 19 pouces, 1280 x 1024, 86 DPI), et à 60 cm, je la devine
encore.
Le Mon, 14 Apr 2008 11:24:22 +0200, Ofnuts <o.f.n.u.t.s@la.poste.net> écrit:
Mais ton moyen simple n'a pas de réelle justification. Il donne des
résultats utilisables,
C'est tout de même bien de le reconnaître.
mais çà reste une coïncidence.
Afirmation toute gratuite. j'aurais tellement apprécié une démonstration...
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Je passe ma vie à bosser sur un portable...
Mais tu ne réponds pas à la question... Comme le poids d'un portable n'est
pas négigeable (usuellement de 2 à 4 kg) on ne peut le tenir d'une seule
main : il penche et on fatigue vite ! Et si on le tient à deux mains,
comment tape-t-on ?
En fait, j'ai beaucoup de mal à avaler l'idée que la position
confortable de lecture est avec l'½il en accommodation maximum. La
position confortable, c'est un compromis entre l'accommodation (d'autant
plus facile que la page est loin) et la netteté (d'autant meilleure
qu'elle est près)
La position confortable de lecture -et c'est là que nos avis diffèrent- est
fonction de la taille de l'écran, de ses réglages de luminosité et
contraste, du type et de la taille de la police utilisée.
Si ces éléments ne sont pas optimisés, c'est là que pour collecter une
information fiable, tu auras tendance à te rapprocher de l'écran à la valeur
de ton punctum proximum perso.
En gros, si on voit mal, on se rapproche autant que possible...
J'ai devant moi une sortie d'imprimante d'une feuille Excel en Arial 8.
Je la lis sans problème, posée sur mon écran, et vu la longueur de mes
bras, tenue à la main, elle est 3-4cm devant l'écran, toujours loin de
des 25cm.
Par curiosité, j'ai refait la même sortie, même police, même taille.
Tenue à bout de bras, elle est à 55 cm de mon oeil (J'ai mobilisé mon épouse
pour la mesure... Je me demande ce qu'elle pense !). Je la vois bien sûr (la
feuille) parfaitement nette et je la lit sans problème.
Mais que veux-tu démontrer ? Pas compris, là.
Pour ton information, à cette même distance je vois bien la pixellisation de
mon écran (LG 19 pouces, 1280 x 1024, 86 DPI), et à 60 cm, je la devine
encore.
Le Mon, 14 Apr 2008 11:24:22 +0200, Ofnuts écrit:Mais ton moyen simple n'a pas de réelle justification. Il donne des
résultats utilisables,
C'est tout de même bien de le reconnaître.mais çà reste une coïncidence.
Afirmation toute gratuite. j'aurais tellement apprécié une démonstration...
D'autre part, as-tu essayé de travailler avec un portable tenu à la main ?
Je passe ma vie à bosser sur un portable...
Mais tu ne réponds pas à la question... Comme le poids d'un portable n'est
pas négigeable (usuellement de 2 à 4 kg) on ne peut le tenir d'une seule
main : il penche et on fatigue vite ! Et si on le tient à deux mains,
comment tape-t-on ?
En fait, j'ai beaucoup de mal à avaler l'idée que la position
confortable de lecture est avec l'½il en accommodation maximum. La
position confortable, c'est un compromis entre l'accommodation (d'autant
plus facile que la page est loin) et la netteté (d'autant meilleure
qu'elle est près)
La position confortable de lecture -et c'est là que nos avis diffèrent- est
fonction de la taille de l'écran, de ses réglages de luminosité et
contraste, du type et de la taille de la police utilisée.
Si ces éléments ne sont pas optimisés, c'est là que pour collecter une
information fiable, tu auras tendance à te rapprocher de l'écran à la valeur
de ton punctum proximum perso.
En gros, si on voit mal, on se rapproche autant que possible...
J'ai devant moi une sortie d'imprimante d'une feuille Excel en Arial 8.
Je la lis sans problème, posée sur mon écran, et vu la longueur de mes
bras, tenue à la main, elle est 3-4cm devant l'écran, toujours loin de
des 25cm.
Par curiosité, j'ai refait la même sortie, même police, même taille.
Tenue à bout de bras, elle est à 55 cm de mon oeil (J'ai mobilisé mon épouse
pour la mesure... Je me demande ce qu'elle pense !). Je la vois bien sûr (la
feuille) parfaitement nette et je la lit sans problème.
Mais que veux-tu démontrer ? Pas compris, là.
Pour ton information, à cette même distance je vois bien la pixellisation de
mon écran (LG 19 pouces, 1280 x 1024, 86 DPI), et à 60 cm, je la devine
encore.