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[réchauffement] Qu'est-ce qui cloche dans les modèles climatiques ?

4 réponses
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PaulAubrin
Les modèles climatiques CMIP sont essentiels dans les arguments du GIEC.
Les modèles climatiques ne sont pas des "données" mais des combinaisons
d'"hypothèses" sur le comportement du climat. Aucun ne ressemble Í  la
réalité, mais certains en divergent beaucoup plus que d'autres.

Non seulement la dernière génération de modèles (CMIP6) ne resserre pas
les estimations sur la vitesse de réchauffement, mais encore elle les
élargit. Derrière ce curieux élargissement d'une plage de valeurs déjÍ 
énorme [1,8-5,0°C] se manifeste une dispersion encore plus grande des
"paramètres" des hypothèses sous-jacentes aux modèles, en particulier
ceux sur l'influence des "aérosols" (la pollution de l'air).

En particulier les modèles qui chauffent le plus supposent une plus
forte influence de l'effet des aérosols qui est contredite par les
observations.

Les modèles CMIP utilisés dans le dernier rapport AR6 du GIEC ne
représentent pas correctement la réalité sur des points tout Í  fait
essentiels.

https://nicholaslewis.org/wp-content/uploads/2021/03/Compensation-between-cloud-feedback-ECS-and-aerosol-cloud-forcing-in-CMIP6-models_Lewis.pdf
Extraits traduits :
"La principale cause du déplacement global vers le haut de l'ECS dans le
modèle CMIP6 par rapport au modèle CMIP5 - l'ECS moyen a augmenté
d'environ 0,5 K en plus de l'augmentation de 0,8 K de l'ECS le plus
élevé - est une rétroaction positive plus importante des nuages, en
particulier au-dessus de l'océan Austral, dans de nombreux modèles[2].

Cependant, un nombre croissant de preuves indique que les modèles CMIP6
Í  ECS élevé ne sont pas réalistes. Par exemple, les données
paléoclimatiques indirectes ne sont pas compatibles avec les modèles
CMIP6 Í  ECS élevé[4]. Le nouvel article fournit de nouvelles preuves,
ici pour la période historique.

"L'apparente cohérence de l'évolution de la température moyenne globale
entre les modèles Í  rétroaction nuageuse plus positive (ECS élevé) et
les observations nécessite un fort effet de refroidissement indirect des
aérosols qui conduit Í  une évolution de la température
interhémisphérique qui est incompatible avec les observations."

[4] Zhu J, Poulsen CJ, Otto-Bliesner BL. High climate sensitivity in
CMIP6 model not supported by
paleoclimate. Nature Climate Change. 2020 May;10(5):378-9.
https://doi.org/10.1038/s41558-020-0764-6

NB : L'analyse de Nic Lewis est un exemple typique de ce qu'est un débat
scientifique : un examen des arguments des uns et des autres Í  la
lumière des données disponibles sur une question. Il n'y a rien Í 
"croire" dans l'état actuel de la question climatique, parce que même
ses hypothèses de base sont encore beaucoup trop floues.

4 réponses

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Alf92
PaulAubrin, le 04/06/2022 Í  09:17:03 :
Les modèles climatiques CMIP sont essentiels dans les arguments du GIEC.
Les modèles climatiques ne sont pas des "données" mais des combinaisons
d'"hypothèses" sur le comportement du climat. Aucun ne ressemble Í  la
réalité, mais certains en divergent beaucoup plus que d'autres.
Non seulement la dernière génération de modèles (CMIP6) ne resserre pas
les estimations sur la vitesse de réchauffement, mais encore elle les
élargit. Derrière ce curieux élargissement d'une plage de valeurs déjÍ 
énorme [1,8-5,0°C] se manifeste une dispersion encore plus grande des
"paramètres" des hypothèses sous-jacentes aux modèles, en particulier
ceux sur l'influence des "aérosols" (la pollution de l'air).
En particulier les modèles qui chauffent le plus supposent une plus
forte influence de l'effet des aérosols qui est contredite par les
observations.
Les modèles CMIP utilisés dans le dernier rapport AR6 du GIEC ne
représentent pas correctement la réalité sur des points tout Í  fait
essentiels.
https://nicholaslewis.org/wp-content/uploads/2021/03/Compensation-between-cloud-feedback-ECS-and-aerosol-cloud-forcing-in-CMIP6-models_Lewis.pdf
Extraits traduits :
"La principale cause du déplacement global vers le haut de l'ECS dans le
modèle CMIP6 par rapport au modèle CMIP5 - l'ECS moyen a augmenté
d'environ 0,5 K en plus de l'augmentation de 0,8 K de l'ECS le plus
élevé - est une rétroaction positive plus importante des nuages, en
particulier au-dessus de l'océan Austral, dans de nombreux modèles[2].
Cependant, un nombre croissant de preuves indique que les modèles CMIP6
Í  ECS élevé ne sont pas réalistes. Par exemple, les données
paléoclimatiques indirectes ne sont pas compatibles avec les modèles
CMIP6 Í  ECS élevé[4]. Le nouvel article fournit de nouvelles preuves,
ici pour la période historique.
"L'apparente cohérence de l'évolution de la température moyenne globale
entre les modèles Í  rétroaction nuageuse plus positive (ECS élevé) et
les observations nécessite un fort effet de refroidissement indirect des
aérosols qui conduit Í  une évolution de la température
interhémisphérique qui est incompatible avec les observations."
[4] Zhu J, Poulsen CJ, Otto-Bliesner BL. High climate sensitivity in
CMIP6 model not supported by
paleoclimate. Nature Climate Change. 2020 May;10(5):378-9.
https://doi.org/10.1038/s41558-020-0764-6
NB : L'analyse de Nic Lewis est un exemple typique de ce qu'est un débat
scientifique : un examen des arguments des uns et des autres Í  la
lumière des données disponibles sur une question. Il n'y a rien Í 
"croire" dans l'état actuel de la question climatique, parce que même
ses hypothèses de base sont encore beaucoup trop floues.

et donc ? après le théoriecien complotite antivax, voici le
climato-négationiste Paul Aubrin.
c'est quoi ton prochain combat perdu d'avance ?
spécialement pour toi : https://youtu.be/nsgc1D4jt68
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Alf92
PaulAubrin, le 04/06/2022 Í  09:17:03 :
Les modèles climatiques CMIP sont essentiels dans les arguments du GIEC.
Les modèles climatiques ne sont pas des "données" mais des combinaisons
d'"hypothèses" sur le comportement du climat. Aucun ne ressemble Í  la
réalité, mais certains en divergent beaucoup plus que d'autres.
Non seulement la dernière génération de modèles (CMIP6) ne resserre pas
les estimations sur la vitesse de réchauffement, mais encore elle les
élargit. Derrière ce curieux élargissement d'une plage de valeurs déjÍ 
énorme [1,8-5,0°C] se manifeste une dispersion encore plus grande des
"paramètres" des hypothèses sous-jacentes aux modèles, en particulier
ceux sur l'influence des "aérosols" (la pollution de l'air).
En particulier les modèles qui chauffent le plus supposent une plus
forte influence de l'effet des aérosols qui est contredite par les
observations.
Les modèles CMIP utilisés dans le dernier rapport AR6 du GIEC ne
représentent pas correctement la réalité sur des points tout Í  fait
essentiels.
https://nicholaslewis.org/wp-content/uploads/2021/03/Compensation-between-cloud-feedback-ECS-and-aerosol-cloud-forcing-in-CMIP6-models_Lewis.pdf
Extraits traduits :
"La principale cause du déplacement global vers le haut de l'ECS dans le
modèle CMIP6 par rapport au modèle CMIP5 - l'ECS moyen a augmenté
d'environ 0,5 K en plus de l'augmentation de 0,8 K de l'ECS le plus
élevé - est une rétroaction positive plus importante des nuages, en
particulier au-dessus de l'océan Austral, dans de nombreux modèles[2].
Cependant, un nombre croissant de preuves indique que les modèles CMIP6
Í  ECS élevé ne sont pas réalistes. Par exemple, les données
paléoclimatiques indirectes ne sont pas compatibles avec les modèles
CMIP6 Í  ECS élevé[4]. Le nouvel article fournit de nouvelles preuves,
ici pour la période historique.
"L'apparente cohérence de l'évolution de la température moyenne globale
entre les modèles Í  rétroaction nuageuse plus positive (ECS élevé) et
les observations nécessite un fort effet de refroidissement indirect des
aérosols qui conduit Í  une évolution de la température
interhémisphérique qui est incompatible avec les observations."
[4] Zhu J, Poulsen CJ, Otto-Bliesner BL. High climate sensitivity in
CMIP6 model not supported by
paleoclimate. Nature Climate Change. 2020 May;10(5):378-9.
https://doi.org/10.1038/s41558-020-0764-6
NB : L'analyse de Nic Lewis est un exemple typique de ce qu'est un débat
scientifique : un examen des arguments des uns et des autres Í  la
lumière des données disponibles sur une question. Il n'y a rien Í 
"croire" dans l'état actuel de la question climatique, parce que même
ses hypothèses de base sont encore beaucoup trop floues.

et donc ? après le théoricien complotiste antivax, voici le
climato-négationiste Paul Aubrin.
c'est quoi ton prochain combat perdu d'avance ?
spécialement pour toi : https://youtu.be/nsgc1D4jt68
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PaulAubrin
Le 04/06/2022 Í  16:23, Alf92 a écrit :
et donc ?

Donc, il faut que je m'abonne Í  un groupe qui sera situé entre photo et
environnement. Quand je cliquerai de travers, cela partira dans un
groupe sans intérêt o͹ personne ne se précipitera pour répondre dans la
minute entre l'erreur et son annulation.
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Alf92
PaulAubrin, le 04/06/2022 Í  17:11:11 :
Le 04/06/2022 Í  16:23, Alf92 a écrit :
et donc ? après le théoricien complotiste antivax, voici le
climato-négationiste Paul Aubrin.
c'est quoi ton prochain combat perdu d'avance ?

Donc, il faut que je m'abonne Í  un groupe qui sera situé entre photo et
environnement. Quand je cliquerai de travers, cela partira dans un
groupe sans intérêt o͹ personne ne se précipitera pour répondre dans la
minute entre l'erreur et son annulation.

le mieux ça serait surtout que tu t'abstiennes de dire des conneries
sur internet.