Par ailleurs, tu dis que la norme impose de pouvoir écrire du code
avec les caractères que l'on veut. Je n'ai pas trouvé où elle
spécifiait ça. C'est où ?
Par ailleurs, tu dis que la norme impose de pouvoir écrire du code
avec les caractères que l'on veut. Je n'ai pas trouvé où elle
spécifiait ça. C'est où ?
Par ailleurs, tu dis que la norme impose de pouvoir écrire du code
avec les caractères que l'on veut. Je n'ai pas trouvé où elle
spécifiait ça. C'est où ?
Actuellement, en France, il est de plus en plus fréquent d'avoir des
équipes internationales à cause de l'ouverture européenne du marché
de l'emploi et de l'européannisation de l'industrie.
Le Québec n'a pas ce soucis là et a au contraire le soucis de
protéger sa culture (en particulier sa langue) de la pression
anglo-saxonne.
Je ne crois vraiment pas que mon argumentation avait un quelconque
rapport avec la politique et la protection de la langue :-)
S'il faut être international, je ne prétends pas qu'il faut
utiliser le français...
Actuellement, en France, il est de plus en plus fréquent d'avoir des
équipes internationales à cause de l'ouverture européenne du marché
de l'emploi et de l'européannisation de l'industrie.
Le Québec n'a pas ce soucis là et a au contraire le soucis de
protéger sa culture (en particulier sa langue) de la pression
anglo-saxonne.
Je ne crois vraiment pas que mon argumentation avait un quelconque
rapport avec la politique et la protection de la langue :-)
S'il faut être international, je ne prétends pas qu'il faut
utiliser le français...
Actuellement, en France, il est de plus en plus fréquent d'avoir des
équipes internationales à cause de l'ouverture européenne du marché
de l'emploi et de l'européannisation de l'industrie.
Le Québec n'a pas ce soucis là et a au contraire le soucis de
protéger sa culture (en particulier sa langue) de la pression
anglo-saxonne.
Je ne crois vraiment pas que mon argumentation avait un quelconque
rapport avec la politique et la protection de la langue :-)
S'il faut être international, je ne prétends pas qu'il faut
utiliser le français...
En fait, je crois que permettre le jeu de caractères naturel de
la machine est un minimum.
En fait, je crois que permettre le jeu de caractères naturel de
la machine est un minimum.
En fait, je crois que permettre le jeu de caractères naturel de
la machine est un minimum.
Dans le message ,Il y a une différence entre la difficulté conceptuelle, et la
difficulté pratique de l'implémentation. Faire reconnaître des
caractères de plus par le lexeur, c'est un jeu d'enfant. Mais il ne
faut pas oublir que par la suite, ces caractères vont se rétrouver
dans le tableau de symboles. Un composant qui sert à peu près
partout dans le compilateur. Et qu'ils vont apparaître dans les
messages d'erreur -- du coup, il faut se poser la question comment
les afficher.
Dans le cas de g++, il ne faut pas oublier non plus qu'il se base la
plupart du temps sur des outils (assembleur, éditeur de liens) du
système hôte. Alors, comment veux-tu que g++ supporte des accents
dans les noms si l'éditeur de liens ne les supporte pas.
Je comprends bien qu'il y a des difficultés. Curieusement peut-être
elles me semblent tout de même peu complexes par rapport à tout le
reste...
Évidemment, s'il ne s'agit que de permettre les caractères
alphabétiques de ISO 8859-1... La norme en exige beaucoup plus.
En fait, je crois que permettre le jeu de caractères naturel de la
machine est un minimum.
Mais ISO-8859-1 (ou -15) serait quand même un bon point de départ pour
bien du monde
Dans le message d6652001.0410052346.50223ca@posting.google.com,
Il y a une différence entre la difficulté conceptuelle, et la
difficulté pratique de l'implémentation. Faire reconnaître des
caractères de plus par le lexeur, c'est un jeu d'enfant. Mais il ne
faut pas oublir que par la suite, ces caractères vont se rétrouver
dans le tableau de symboles. Un composant qui sert à peu près
partout dans le compilateur. Et qu'ils vont apparaître dans les
messages d'erreur -- du coup, il faut se poser la question comment
les afficher.
Dans le cas de g++, il ne faut pas oublier non plus qu'il se base la
plupart du temps sur des outils (assembleur, éditeur de liens) du
système hôte. Alors, comment veux-tu que g++ supporte des accents
dans les noms si l'éditeur de liens ne les supporte pas.
Je comprends bien qu'il y a des difficultés. Curieusement peut-être
elles me semblent tout de même peu complexes par rapport à tout le
reste...
Évidemment, s'il ne s'agit que de permettre les caractères
alphabétiques de ISO 8859-1... La norme en exige beaucoup plus.
En fait, je crois que permettre le jeu de caractères naturel de la
machine est un minimum.
Mais ISO-8859-1 (ou -15) serait quand même un bon point de départ pour
bien du monde
Dans le message ,Il y a une différence entre la difficulté conceptuelle, et la
difficulté pratique de l'implémentation. Faire reconnaître des
caractères de plus par le lexeur, c'est un jeu d'enfant. Mais il ne
faut pas oublir que par la suite, ces caractères vont se rétrouver
dans le tableau de symboles. Un composant qui sert à peu près
partout dans le compilateur. Et qu'ils vont apparaître dans les
messages d'erreur -- du coup, il faut se poser la question comment
les afficher.
Dans le cas de g++, il ne faut pas oublier non plus qu'il se base la
plupart du temps sur des outils (assembleur, éditeur de liens) du
système hôte. Alors, comment veux-tu que g++ supporte des accents
dans les noms si l'éditeur de liens ne les supporte pas.
Je comprends bien qu'il y a des difficultés. Curieusement peut-être
elles me semblent tout de même peu complexes par rapport à tout le
reste...
Évidemment, s'il ne s'agit que de permettre les caractères
alphabétiques de ISO 8859-1... La norme en exige beaucoup plus.
En fait, je crois que permettre le jeu de caractères naturel de la
machine est un minimum.
Mais ISO-8859-1 (ou -15) serait quand même un bon point de départ pour
bien du monde
"Fabien LE LEZ" a écrit dans le message news:Je vois les choses d'un autre point de vue : un programme écrit en
ASCII est compilable partout ; un programme écrit en ISO-Latin-1
n'est compilable que sur certaines machines. Dans le premier cas
(ASCII), il n'y a pas de discrimination (toutes les machines sont
acceptées) ; dans le deuxième cas il y en a une.
Comment on dit "nivellement par le bas", en Anglais ?
"Fabien LE LEZ" <gramster@gramster.com> a écrit dans le message news:
fes8m0hekea8kivcuamfc0bvmocgqqm4uh@4ax.com...
Je vois les choses d'un autre point de vue : un programme écrit en
ASCII est compilable partout ; un programme écrit en ISO-Latin-1
n'est compilable que sur certaines machines. Dans le premier cas
(ASCII), il n'y a pas de discrimination (toutes les machines sont
acceptées) ; dans le deuxième cas il y en a une.
Comment on dit "nivellement par le bas", en Anglais ?
"Fabien LE LEZ" a écrit dans le message news:Je vois les choses d'un autre point de vue : un programme écrit en
ASCII est compilable partout ; un programme écrit en ISO-Latin-1
n'est compilable que sur certaines machines. Dans le premier cas
(ASCII), il n'y a pas de discrimination (toutes les machines sont
acceptées) ; dans le deuxième cas il y en a une.
Comment on dit "nivellement par le bas", en Anglais ?
Bon, juste une question. Le compilateur reçoit un fichier source.
Comment sait-il dans quel jeu de caractères il est été écrit ? Et
l'encoding ?
Je crois que le raisonnement est à l'envers. Si je veux compiler
un code avec un certain compilateur, je lui donne le code dans le
jeu de caractères qu'il connaît. Il faut convertir dans ce jeu
au besoin, avant de donner le code au compilateur.
Bon, juste une question. Le compilateur reçoit un fichier source.
Comment sait-il dans quel jeu de caractères il est été écrit ? Et
l'encoding ?
Je crois que le raisonnement est à l'envers. Si je veux compiler
un code avec un certain compilateur, je lui donne le code dans le
jeu de caractères qu'il connaît. Il faut convertir dans ce jeu
au besoin, avant de donner le code au compilateur.
Bon, juste une question. Le compilateur reçoit un fichier source.
Comment sait-il dans quel jeu de caractères il est été écrit ? Et
l'encoding ?
Je crois que le raisonnement est à l'envers. Si je veux compiler
un code avec un certain compilateur, je lui donne le code dans le
jeu de caractères qu'il connaît. Il faut convertir dans ce jeu
au besoin, avant de donner le code au compilateur.
Dans le message ,"Michel Michaud" wrote in message
news:<hsI8d.11156$...Dans le message 4162572b$0$8210$,Il n'est pas nécessaire non plus de s'exprimer aussi bien en
anglais qu'en français pour donner des noms anglais à ses
identificateurs (et heureusement).
Dans ce cas, tu risques d'avoir des noms moins bien choisis. Je ne
sais pas si le coût est justifiable... Un anglophone qui lira tes
noms ne pourra pas deviner ce que tu aurais dû écrire. Si tu écris
en français, il pourra au moins consulter un dictionnaire ou
consulter un francophone pour essayer de comprendre ce que tu
voulais dire.
Le problème n'est pas quand il ne comprend pas. Le problème, c'est
quand il croit comprendre, mais ce n'est pas ce qu'on voulait dire.
Exactement. Il faut toujours être le plus limpide possible et ce
n'est pas si facile dans une langue qui n'est pas parfaitement
maîtrisée.
Ceci dit même des francophones n'y arrivent pas toujours surtout
lorsqu'ils travaillent seuls et n'en voient pas la nécessité...
À la fin de leur formation en informatique, je dirais qu'il n'y a pas
plus du tiers de mes élèves qui maîtrisent (mais vraiment) l'art des
commentaires et des identificateurs. Mais ce n'est pas un réel
problème, car en entreprise, la proportion semble encore plus faible
et même les moins bons font normalement très bonne figure :-(
mais curieusement, j'ai remarqué que souvent, les gens incapable de
bien apprendre une langue étrangère n'étaient souvent pas très
compétent en informatique non plus. Il y a des exceptions, mais
d'après mon expérience, elles sont plutôt rares.
Oui, je suis un peu d'accord, mais deux remarques :
- tu as écrit « bien apprendre un langue étrangère ». Ce n'est pas
comme parler de la maîtrise de cette langue... Je crois qu'il faut
un certaine maîtrise du français pour écrire de bons commentaires
(ou identificateurs) en français. C'est pareil pour les autres
langues, sauf que ça parait moins si la seule personne qui lit le
code est celle qui l'a écrit !
- je crois qu'il y a vraiment beaucoup de personnes qui ne parlent
que l'anglais et qui sont quand même très compétents, non ? C'est
peut-être qu'ils seraient capable d'apprendre une autre langue,
mais ne l'ont pas encore faits ? Alors la connaissance de l'anglais
d'un programmeur ne serait pas vraiment significative, seulement sa
capacité à l'apprendre !
Pour faire un lien avec C++ : K&R, Lippman, Meyers, Austern et Koenig
parlent-ils une autre langue ? (je sais que c'est le cas des
Stroustrup, Sutter, Alexandrescu, Josuttis, Lajoie, Dos Reis, Kanze,
etc. :-)
Dans le message d6652001.0410052358.3cb0c498@posting.google.com,
"Michel Michaud" <mm@gdzid.com> wrote in message
news:<hsI8d.11156$HO1.686603@news20.bellglobal.com>...
Dans le message 4162572b$0$8210$626a14ce@news.free.fr,
Il n'est pas nécessaire non plus de s'exprimer aussi bien en
anglais qu'en français pour donner des noms anglais à ses
identificateurs (et heureusement).
Dans ce cas, tu risques d'avoir des noms moins bien choisis. Je ne
sais pas si le coût est justifiable... Un anglophone qui lira tes
noms ne pourra pas deviner ce que tu aurais dû écrire. Si tu écris
en français, il pourra au moins consulter un dictionnaire ou
consulter un francophone pour essayer de comprendre ce que tu
voulais dire.
Le problème n'est pas quand il ne comprend pas. Le problème, c'est
quand il croit comprendre, mais ce n'est pas ce qu'on voulait dire.
Exactement. Il faut toujours être le plus limpide possible et ce
n'est pas si facile dans une langue qui n'est pas parfaitement
maîtrisée.
Ceci dit même des francophones n'y arrivent pas toujours surtout
lorsqu'ils travaillent seuls et n'en voient pas la nécessité...
À la fin de leur formation en informatique, je dirais qu'il n'y a pas
plus du tiers de mes élèves qui maîtrisent (mais vraiment) l'art des
commentaires et des identificateurs. Mais ce n'est pas un réel
problème, car en entreprise, la proportion semble encore plus faible
et même les moins bons font normalement très bonne figure :-(
mais curieusement, j'ai remarqué que souvent, les gens incapable de
bien apprendre une langue étrangère n'étaient souvent pas très
compétent en informatique non plus. Il y a des exceptions, mais
d'après mon expérience, elles sont plutôt rares.
Oui, je suis un peu d'accord, mais deux remarques :
- tu as écrit « bien apprendre un langue étrangère ». Ce n'est pas
comme parler de la maîtrise de cette langue... Je crois qu'il faut
un certaine maîtrise du français pour écrire de bons commentaires
(ou identificateurs) en français. C'est pareil pour les autres
langues, sauf que ça parait moins si la seule personne qui lit le
code est celle qui l'a écrit !
- je crois qu'il y a vraiment beaucoup de personnes qui ne parlent
que l'anglais et qui sont quand même très compétents, non ? C'est
peut-être qu'ils seraient capable d'apprendre une autre langue,
mais ne l'ont pas encore faits ? Alors la connaissance de l'anglais
d'un programmeur ne serait pas vraiment significative, seulement sa
capacité à l'apprendre !
Pour faire un lien avec C++ : K&R, Lippman, Meyers, Austern et Koenig
parlent-ils une autre langue ? (je sais que c'est le cas des
Stroustrup, Sutter, Alexandrescu, Josuttis, Lajoie, Dos Reis, Kanze,
etc. :-)
Dans le message ,"Michel Michaud" wrote in message
news:<hsI8d.11156$...Dans le message 4162572b$0$8210$,Il n'est pas nécessaire non plus de s'exprimer aussi bien en
anglais qu'en français pour donner des noms anglais à ses
identificateurs (et heureusement).
Dans ce cas, tu risques d'avoir des noms moins bien choisis. Je ne
sais pas si le coût est justifiable... Un anglophone qui lira tes
noms ne pourra pas deviner ce que tu aurais dû écrire. Si tu écris
en français, il pourra au moins consulter un dictionnaire ou
consulter un francophone pour essayer de comprendre ce que tu
voulais dire.
Le problème n'est pas quand il ne comprend pas. Le problème, c'est
quand il croit comprendre, mais ce n'est pas ce qu'on voulait dire.
Exactement. Il faut toujours être le plus limpide possible et ce
n'est pas si facile dans une langue qui n'est pas parfaitement
maîtrisée.
Ceci dit même des francophones n'y arrivent pas toujours surtout
lorsqu'ils travaillent seuls et n'en voient pas la nécessité...
À la fin de leur formation en informatique, je dirais qu'il n'y a pas
plus du tiers de mes élèves qui maîtrisent (mais vraiment) l'art des
commentaires et des identificateurs. Mais ce n'est pas un réel
problème, car en entreprise, la proportion semble encore plus faible
et même les moins bons font normalement très bonne figure :-(
mais curieusement, j'ai remarqué que souvent, les gens incapable de
bien apprendre une langue étrangère n'étaient souvent pas très
compétent en informatique non plus. Il y a des exceptions, mais
d'après mon expérience, elles sont plutôt rares.
Oui, je suis un peu d'accord, mais deux remarques :
- tu as écrit « bien apprendre un langue étrangère ». Ce n'est pas
comme parler de la maîtrise de cette langue... Je crois qu'il faut
un certaine maîtrise du français pour écrire de bons commentaires
(ou identificateurs) en français. C'est pareil pour les autres
langues, sauf que ça parait moins si la seule personne qui lit le
code est celle qui l'a écrit !
- je crois qu'il y a vraiment beaucoup de personnes qui ne parlent
que l'anglais et qui sont quand même très compétents, non ? C'est
peut-être qu'ils seraient capable d'apprendre une autre langue,
mais ne l'ont pas encore faits ? Alors la connaissance de l'anglais
d'un programmeur ne serait pas vraiment significative, seulement sa
capacité à l'apprendre !
Pour faire un lien avec C++ : K&R, Lippman, Meyers, Austern et Koenig
parlent-ils une autre langue ? (je sais que c'est le cas des
Stroustrup, Sutter, Alexandrescu, Josuttis, Lajoie, Dos Reis, Kanze,
etc. :-)
Michel Michaud wrote:Il n'est pas nécessaire non plus de s'exprimer aussi bien en
anglais qu'en français pour donner des noms anglais à ses
identificateurs (et heureusement).
Dans ce cas, tu risques d'avoir des noms moins bien choisis. Je
Peut-être. Mais pour un non francophone, il vaut mieux un nom pas très
bien choisi qu'un nom incompréhensible, parce que dans une langue
qu'il ne connaît pas.
ne sais pas si le coût est justifiable... Un anglophone qui lira tes
noms ne pourra pas deviner ce que tu aurais dû écrire. Si tu
Faut pas pousser non plus. Le niveau d'anglais nécessaire pour choisir
des noms explicites n'est tout de même pas celui d'une langue
maternelle. La plupart du temps, on reste cantonné à un vocabulaire
technique qui ne nécessite pas de savoir lire Shakespeare dans le
texte ("oldValue", "finalResult", "DiplayVisitor", etc.).
Michel Michaud wrote:
Il n'est pas nécessaire non plus de s'exprimer aussi bien en
anglais qu'en français pour donner des noms anglais à ses
identificateurs (et heureusement).
Dans ce cas, tu risques d'avoir des noms moins bien choisis. Je
Peut-être. Mais pour un non francophone, il vaut mieux un nom pas très
bien choisi qu'un nom incompréhensible, parce que dans une langue
qu'il ne connaît pas.
ne sais pas si le coût est justifiable... Un anglophone qui lira tes
noms ne pourra pas deviner ce que tu aurais dû écrire. Si tu
Faut pas pousser non plus. Le niveau d'anglais nécessaire pour choisir
des noms explicites n'est tout de même pas celui d'une langue
maternelle. La plupart du temps, on reste cantonné à un vocabulaire
technique qui ne nécessite pas de savoir lire Shakespeare dans le
texte ("oldValue", "finalResult", "DiplayVisitor", etc.).
Michel Michaud wrote:Il n'est pas nécessaire non plus de s'exprimer aussi bien en
anglais qu'en français pour donner des noms anglais à ses
identificateurs (et heureusement).
Dans ce cas, tu risques d'avoir des noms moins bien choisis. Je
Peut-être. Mais pour un non francophone, il vaut mieux un nom pas très
bien choisi qu'un nom incompréhensible, parce que dans une langue
qu'il ne connaît pas.
ne sais pas si le coût est justifiable... Un anglophone qui lira tes
noms ne pourra pas deviner ce que tu aurais dû écrire. Si tu
Faut pas pousser non plus. Le niveau d'anglais nécessaire pour choisir
des noms explicites n'est tout de même pas celui d'une langue
maternelle. La plupart du temps, on reste cantonné à un vocabulaire
technique qui ne nécessite pas de savoir lire Shakespeare dans le
texte ("oldValue", "finalResult", "DiplayVisitor", etc.).
Fabien LE LEZ wrote:[*] Je précise que je préfère les 52 caractères de l'alphabet
utilisé en anglais, aux milliers de kanjis du chinois. Ben oui, si
on laisse tomber l'anglais, la langue "forte" risque fort d'être le
chinois, vu la population chinoise...
Rassures-toi, l'indi est une langue alphabétique, et non
idéogramatique. ;-)
Fabien LE LEZ wrote:
[*] Je précise que je préfère les 52 caractères de l'alphabet
utilisé en anglais, aux milliers de kanjis du chinois. Ben oui, si
on laisse tomber l'anglais, la langue "forte" risque fort d'être le
chinois, vu la population chinoise...
Rassures-toi, l'indi est une langue alphabétique, et non
idéogramatique. ;-)
Fabien LE LEZ wrote:[*] Je précise que je préfère les 52 caractères de l'alphabet
utilisé en anglais, aux milliers de kanjis du chinois. Ben oui, si
on laisse tomber l'anglais, la langue "forte" risque fort d'être le
chinois, vu la population chinoise...
Rassures-toi, l'indi est une langue alphabétique, et non
idéogramatique. ;-)
Michel Michaud wrote:etc. De même qu'un code C++ écrit sous Windows doit être lisible
sous Linux (sinon, autant programmer en VB).
Ça semble facile et maîtrisé par les outils actuels. Ce n'est pas là
qu'il y a complexité...
Ben si. Actuellement, à ce que je sache, la norme C++ ne fournit aucun
moyen de connaître le jeu de caractères utilisé par un fichier.
Le seul moyen serait alors de passer en argument au compilateur le jeu
de caractères à pendre en compte. Mais cela signifie que tous les
fichiers doivent utiliser le même jeu de caractère. Que fera le
compilateur si un fichier include utiliser un autre jeu de caractère ?
Par ailleurs, tu dis que la norme impose de pouvoir écrire du code
avec les caractères que l'on veut. Je n'ai pas trouvé où elle
spécifiait ça. C'est où ?
Michel Michaud wrote:
etc. De même qu'un code C++ écrit sous Windows doit être lisible
sous Linux (sinon, autant programmer en VB).
Ça semble facile et maîtrisé par les outils actuels. Ce n'est pas là
qu'il y a complexité...
Ben si. Actuellement, à ce que je sache, la norme C++ ne fournit aucun
moyen de connaître le jeu de caractères utilisé par un fichier.
Le seul moyen serait alors de passer en argument au compilateur le jeu
de caractères à pendre en compte. Mais cela signifie que tous les
fichiers doivent utiliser le même jeu de caractère. Que fera le
compilateur si un fichier include utiliser un autre jeu de caractère ?
Par ailleurs, tu dis que la norme impose de pouvoir écrire du code
avec les caractères que l'on veut. Je n'ai pas trouvé où elle
spécifiait ça. C'est où ?
Michel Michaud wrote:etc. De même qu'un code C++ écrit sous Windows doit être lisible
sous Linux (sinon, autant programmer en VB).
Ça semble facile et maîtrisé par les outils actuels. Ce n'est pas là
qu'il y a complexité...
Ben si. Actuellement, à ce que je sache, la norme C++ ne fournit aucun
moyen de connaître le jeu de caractères utilisé par un fichier.
Le seul moyen serait alors de passer en argument au compilateur le jeu
de caractères à pendre en compte. Mais cela signifie que tous les
fichiers doivent utiliser le même jeu de caractère. Que fera le
compilateur si un fichier include utiliser un autre jeu de caractère ?
Par ailleurs, tu dis que la norme impose de pouvoir écrire du code
avec les caractères que l'on veut. Je n'ai pas trouvé où elle
spécifiait ça. C'est où ?