Juste pour dire que j'ai passé la matinée au Grand Palais pour voir
ce que proposais les galleries de photographes à travers le monde.
Encore une fois je suis bluffé par ce que certains font et les
différentes discussions que j'ai eues avec les propriétaires des
galeries de résument à : ils/elles basculent sur le numérique puisque de
toute façon les tirages sont numériques, sauf le n&b.
J'ai eu le droit à quelques leçons de surex (vraiement surex),
sousex (vraiment sousex), flou, piqué, couleurs délavées ou pétantes...
bref tout et n'importe quoi, qui m'ont encore une fois démontré qu'il
était possible de faire du beau travail avec énormément d'erreurs. Du
moment qu'on sait qu'on fait des erreurs ;)
J'ai vu des photos qui semblaient « normales » mais construites à
partir de pusieurs images prises au même endroit et d'autres tellement
étonnantes que le fait qu'elles ne soient pas un montage ne faisait que
renforcer la capacité que certains ont d'appuyer sur le bouton
exactement au moment où il le faut ; ni avant, ni après.
Ça me donne envie de continuer de mon côté.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Ex: si tu prend un personnage devant une fenêtre, donc en contre jour, tu prendra la mesure de lumière qu'il réfléchi, ce qui correspond en gros au deux stops d'ouverture en plus de la lumière ambiante (8 -> 4,5).
Oui, mais cela tu le fait en mesurant la lumière réfléchie, pas la lumière reçue. On peut le faire en mesure spot avec son appareil.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
£g <l.gilbert@skynet.be> wrote:
Ex: si tu prend un personnage devant une fenêtre, donc en contre jour,
tu prendra la mesure de lumière qu'il réfléchi, ce qui correspond en
gros au deux stops d'ouverture en plus de la lumière ambiante (8 ->
4,5).
Oui, mais cela tu le fait en mesurant la lumière réfléchie, pas la
lumière reçue. On peut le faire en mesure spot avec son appareil.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Ex: si tu prend un personnage devant une fenêtre, donc en contre jour, tu prendra la mesure de lumière qu'il réfléchi, ce qui correspond en gros au deux stops d'ouverture en plus de la lumière ambiante (8 -> 4,5).
Oui, mais cela tu le fait en mesurant la lumière réfléchie, pas la lumière reçue. On peut le faire en mesure spot avec son appareil.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 14/11/11 12:44, Benoit a écrit :
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Bon, on finit par conprendre, mais le terme erreur est ici mal choisi. Une erreur implique plutôt un résultat qui n'est pas intentionnel, voire même qui différe fortement de ce que le photographe voulait faire. Le fait de faire un travail photographique qui ne correspond pas à la norme définie pour les photos de passeport (qui est la seule à être vraiment documentée) n'est pas une erreur. C'est une intention qui peut gratter un peu ci ou là.
Je sais, mais tout est fait pour que Monsieur ou Madame Pekinmoyen appuient sur un seul bouton et la mise au point est impeccable, la balance des couleurs est faite, la photo est bien exposée, le sujet principal souri... je me demande même s'il n'analyse pas le mouvement pour choisir s'il faut privilégier la vitesse ou s'il peut pousser le diaph pour avoir un maximum de netteté (en plus de détecter et annuler les vibrations faites par le photographe).
Ça, se sont les "modes" mystérieux qui sont sur les compacts, parfois assortis de pictogrammes vénusiens. J'aimerais bien avoir une pierre de Rosette de ces pictogrammes, ça me permettrais de briller en société. À force je connais le bonhomne qui court, c'est le mode sport, mais va savoir ce que ça boutique la dedans.
Parfois, un photographe peut incorporer de vraies erreurs dans son travail, des choses de hasard qui n'était pas souhaitées à la prise de vue, mais qui sont accueillies comme un élément du résultat.
Un photographe du non-dimanche sait travailler la mise au point et tout le reste pour obtenir un résultat qui correspond à ce qu'il veut montrer au tirage. Il a fait des centaines de photos surex, floues, sousex... et il a appris comment utiliser les techniques.
Oui. Et il arrive aussi qu'il fasse une « vraie erreur », qui sera à la sortie rejetée ou une part féconde.
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
Bon, on finit par conprendre, mais le terme erreur est ici mal choisi.
Une erreur implique plutôt un résultat qui n'est pas intentionnel, voire
même qui différe fortement de ce que le photographe voulait faire.
Le fait de faire un travail photographique qui ne correspond pas à la
norme définie pour les photos de passeport (qui est la seule à être
vraiment documentée) n'est pas une erreur. C'est une intention qui peut
gratter un peu ci ou là.
Je sais, mais tout est fait pour que Monsieur ou Madame Pekinmoyen
appuient sur un seul bouton et la mise au point est impeccable, la
balance des couleurs est faite, la photo est bien exposée, le sujet
principal souri... je me demande même s'il n'analyse pas le mouvement
pour choisir s'il faut privilégier la vitesse ou s'il peut pousser le
diaph pour avoir un maximum de netteté (en plus de détecter et annuler
les vibrations faites par le photographe).
Ça, se sont les "modes" mystérieux qui sont sur les compacts, parfois
assortis de pictogrammes vénusiens. J'aimerais bien avoir une pierre de
Rosette de ces pictogrammes, ça me permettrais de briller en société.
À force je connais le bonhomne qui court, c'est le mode sport, mais va
savoir ce que ça boutique la dedans.
Parfois, un photographe peut incorporer de vraies erreurs dans son
travail, des choses de hasard qui n'était pas souhaitées à la prise de
vue, mais qui sont accueillies comme un élément du résultat.
Un photographe du non-dimanche sait travailler la mise au point et
tout le reste pour obtenir un résultat qui correspond à ce qu'il veut
montrer au tirage. Il a fait des centaines de photos surex, floues,
sousex... et il a appris comment utiliser les techniques.
Oui. Et il arrive aussi qu'il fasse une « vraie erreur », qui sera à la
sortie rejetée ou une part féconde.
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer
volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
Bon, on finit par conprendre, mais le terme erreur est ici mal choisi. Une erreur implique plutôt un résultat qui n'est pas intentionnel, voire même qui différe fortement de ce que le photographe voulait faire. Le fait de faire un travail photographique qui ne correspond pas à la norme définie pour les photos de passeport (qui est la seule à être vraiment documentée) n'est pas une erreur. C'est une intention qui peut gratter un peu ci ou là.
Je sais, mais tout est fait pour que Monsieur ou Madame Pekinmoyen appuient sur un seul bouton et la mise au point est impeccable, la balance des couleurs est faite, la photo est bien exposée, le sujet principal souri... je me demande même s'il n'analyse pas le mouvement pour choisir s'il faut privilégier la vitesse ou s'il peut pousser le diaph pour avoir un maximum de netteté (en plus de détecter et annuler les vibrations faites par le photographe).
Ça, se sont les "modes" mystérieux qui sont sur les compacts, parfois assortis de pictogrammes vénusiens. J'aimerais bien avoir une pierre de Rosette de ces pictogrammes, ça me permettrais de briller en société. À force je connais le bonhomne qui court, c'est le mode sport, mais va savoir ce que ça boutique la dedans.
Parfois, un photographe peut incorporer de vraies erreurs dans son travail, des choses de hasard qui n'était pas souhaitées à la prise de vue, mais qui sont accueillies comme un élément du résultat.
Un photographe du non-dimanche sait travailler la mise au point et tout le reste pour obtenir un résultat qui correspond à ce qu'il veut montrer au tirage. Il a fait des centaines de photos surex, floues, sousex... et il a appris comment utiliser les techniques.
Oui. Et il arrive aussi qu'il fasse une « vraie erreur », qui sera à la sortie rejetée ou une part féconde.
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
Noëlle Adam
£g
"Benoit" a écrit dans le message de news: 1kaq6p5.1s7aonssl9bszN%
£g wrote:
Ex: si tu prend un personnage devant une fenêtre, donc en contre jour, tu prendra la mesure de lumière qu'il réfléchi, ce qui correspond en gros au deux stops d'ouverture en plus de la lumière ambiante (8 -> 4,5).
Oui, mais cela tu le fait en mesurant la lumière réfléchie, pas la lumière reçue. On peut le faire en mesure spot avec son appareil.
Un appareil photo fait toujours la mesure réfléchie, en mode matriciel aussi, mais fait une moyenne des différents résultats sur l'étendue de la scène. Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
-- £g
"Benoit" <benoit@com.invalid> a écrit dans le message de news:
1kaq6p5.1s7aonssl9bszN%benoit@com.invalid...
£g <l.gilbert@skynet.be> wrote:
Ex: si tu prend un personnage devant une fenêtre, donc en contre
jour,
tu prendra la mesure de lumière qu'il réfléchi, ce qui correspond en
gros au deux stops d'ouverture en plus de la lumière ambiante (8 ->
4,5).
Oui, mais cela tu le fait en mesurant la lumière réfléchie, pas la
lumière reçue. On peut le faire en mesure spot avec son appareil.
Un appareil photo fait toujours la mesure réfléchie, en mode matriciel
aussi, mais fait une moyenne des différents résultats sur l'étendue de
la scène.
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule
indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la
mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi
même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
"Benoit" a écrit dans le message de news: 1kaq6p5.1s7aonssl9bszN%
£g wrote:
Ex: si tu prend un personnage devant une fenêtre, donc en contre jour, tu prendra la mesure de lumière qu'il réfléchi, ce qui correspond en gros au deux stops d'ouverture en plus de la lumière ambiante (8 -> 4,5).
Oui, mais cela tu le fait en mesurant la lumière réfléchie, pas la lumière reçue. On peut le faire en mesure spot avec son appareil.
Un appareil photo fait toujours la mesure réfléchie, en mode matriciel aussi, mais fait une moyenne des différents résultats sur l'étendue de la scène. Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
-- £g
benoit
£g wrote:
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
Il suffit d'être derrière la cellule, non ? Je vasi resortir ma vieille cellule, mais je doute que sa qualité soit suffisante pour le matériel numérique. La pellicule encaissait plus qu'un capteur.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
£g <l.gilbert@skynet.be> wrote:
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule
indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la
mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi
même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
Il suffit d'être derrière la cellule, non ? Je vasi resortir ma
vieille cellule, mais je doute que sa qualité soit suffisante pour le
matériel numérique. La pellicule encaissait plus qu'un capteur.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
Il suffit d'être derrière la cellule, non ? Je vasi resortir ma vieille cellule, mais je doute que sa qualité soit suffisante pour le matériel numérique. La pellicule encaissait plus qu'un capteur.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
benoit
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
> Un photographe du non-dimanche sait travailler la mise au point et > tout le reste pour obtenir un résultat qui correspond à ce qu'il veut > montrer au tirage. Il a fait des centaines de photos surex, floues, > sousex... et il a appris comment utiliser les techniques.
Oui. Et il arrive aussi qu'il fasse une « vraie erreur », qui sera à la sortie rejetée ou une part féconde.
Ses vraies erreurs participent fortement à l'amélioration de sa technique. Et le fait qu'une photo contienne toutes les infos en interne (vitesse, diaph...) permet de ne plus avoir un cahier et prendre des notes ;)
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
??? via PShop & Co ?
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> Un photographe du non-dimanche sait travailler la mise au point et
> tout le reste pour obtenir un résultat qui correspond à ce qu'il veut
> montrer au tirage. Il a fait des centaines de photos surex, floues,
> sousex... et il a appris comment utiliser les techniques.
Oui. Et il arrive aussi qu'il fasse une « vraie erreur », qui sera à la
sortie rejetée ou une part féconde.
Ses vraies erreurs participent fortement à l'amélioration de sa
technique. Et le fait qu'une photo contienne toutes les infos en interne
(vitesse, diaph...) permet de ne plus avoir un cahier et prendre des
notes ;)
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer
volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
??? via PShop & Co ?
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> Un photographe du non-dimanche sait travailler la mise au point et > tout le reste pour obtenir un résultat qui correspond à ce qu'il veut > montrer au tirage. Il a fait des centaines de photos surex, floues, > sousex... et il a appris comment utiliser les techniques.
Oui. Et il arrive aussi qu'il fasse une « vraie erreur », qui sera à la sortie rejetée ou une part féconde.
Ses vraies erreurs participent fortement à l'amélioration de sa technique. Et le fait qu'une photo contienne toutes les infos en interne (vitesse, diaph...) permet de ne plus avoir un cahier et prendre des notes ;)
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
??? via PShop & Co ?
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
£g
"Benoit" a écrit dans le message de news: 1kaq8fz.w3topzuib1wpN%
£g wrote:
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
Il suffit d'être derrière la cellule, non ? Je vasi resortir ma vieille cellule, mais je doute que sa qualité soit suffisante pour le matériel numérique. La pellicule encaissait plus qu'un capteur.
Non, il suffit de ne pas être entre la source de lumière mesurée et le sujet, ne pas interférer sur le sujet à mesurer ou la cellule.
5,6 en argentique ou 5,6 en numérique, c'est pareil kif kif bourricot. La pellicule n'encaissait pas plus, à sensibilité égale s'entend, mais je suppose que tu veux parler de la dynamique, il est vrais que la pellicule avait un plus large champ dynamique, mais les nouveaux capteurs ont fait pas mal de progrès en ce sens. AMHA, c'est aussi une question de grandeur de pixel, le D1x à une plus grande dynamique que mon D80, mais le D7000 tient le bon bout. Mais là cela est sûrement dû à l'informatique embarqué. Les spécialistes du domaine pourront te donner plus d'informations sur ce sujet, le pourquoi et comment. Pour moi, je fais avec ce que j'ais en essayant d'avoir le meilleur résultat suivant mes critères. Pour exposer dans une galerie, le problème est autre, ce n'est pas mon cas ni mon désir.
-- £g
"Benoit" <benoit@com.invalid> a écrit dans le message de news:
1kaq8fz.w3topzuib1wpN%benoit@com.invalid...
£g <l.gilbert@skynet.be> wrote:
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une
cellule
indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la
mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et
soi
même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
Il suffit d'être derrière la cellule, non ? Je vasi resortir ma
vieille cellule, mais je doute que sa qualité soit suffisante pour le
matériel numérique. La pellicule encaissait plus qu'un capteur.
Non, il suffit de ne pas être entre la source de lumière mesurée et le
sujet, ne pas interférer sur le sujet à mesurer ou la cellule.
5,6 en argentique ou 5,6 en numérique, c'est pareil kif kif bourricot.
La pellicule n'encaissait pas plus, à sensibilité égale s'entend, mais
je suppose que tu veux parler de la dynamique, il est vrais que la
pellicule avait un plus large champ dynamique, mais les nouveaux
capteurs ont fait pas mal de progrès en ce sens.
AMHA, c'est aussi une question de grandeur de pixel, le D1x à une plus
grande dynamique que mon D80, mais le D7000 tient le bon bout. Mais là
cela est sûrement dû à l'informatique embarqué.
Les spécialistes du domaine pourront te donner plus d'informations sur
ce sujet, le pourquoi et comment. Pour moi, je fais avec ce que j'ais en
essayant d'avoir le meilleur résultat suivant mes critères.
Pour exposer dans une galerie, le problème est autre, ce n'est pas mon
cas ni mon désir.
"Benoit" a écrit dans le message de news: 1kaq8fz.w3topzuib1wpN%
£g wrote:
Pour appliquer une méthode dite incidente, il faut utiliser une cellule indépendante, avec le capuchon opalin, sans celui-ci c'est pour la mesure réfléchie, à prendre à une quinzaine (mini) de cm du sujet et soi même hors lumière, comme dans toute les méthodes de prise de lumière.
Il suffit d'être derrière la cellule, non ? Je vasi resortir ma vieille cellule, mais je doute que sa qualité soit suffisante pour le matériel numérique. La pellicule encaissait plus qu'un capteur.
Non, il suffit de ne pas être entre la source de lumière mesurée et le sujet, ne pas interférer sur le sujet à mesurer ou la cellule.
5,6 en argentique ou 5,6 en numérique, c'est pareil kif kif bourricot. La pellicule n'encaissait pas plus, à sensibilité égale s'entend, mais je suppose que tu veux parler de la dynamique, il est vrais que la pellicule avait un plus large champ dynamique, mais les nouveaux capteurs ont fait pas mal de progrès en ce sens. AMHA, c'est aussi une question de grandeur de pixel, le D1x à une plus grande dynamique que mon D80, mais le D7000 tient le bon bout. Mais là cela est sûrement dû à l'informatique embarqué. Les spécialistes du domaine pourront te donner plus d'informations sur ce sujet, le pourquoi et comment. Pour moi, je fais avec ce que j'ais en essayant d'avoir le meilleur résultat suivant mes critères. Pour exposer dans une galerie, le problème est autre, ce n'est pas mon cas ni mon désir.
-- £g
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 14/11/11 14:36, Benoit a écrit :
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
??? via PShop& Co ?
Non, par exemple en utilisant un timer, ou tout autre chose de son choix, en se donnant une consigne de jeu. Il y a des gens qui pratiquent (plutôt en argentique) la surimpression à deux : on ne sait sur quelle image on refait une photo... La maltraitance à polas fait partie de ce jeu de hasard. Parfois on veut faire un truc très normal qui implique des essais nombreux, et le hasard vous fait un cadeau en prime.
J'ai utilisé le hasard photoshopien aussi, mais comme un essai à l'intérieur d'une démarche plus vraiment photo. J'avais appliqué des numéros à différentes opérations, ça demandait pas mal de lancer de dès. Ce qui fait que je n'ai pas poursuivi, trop laborieux. Par contre une chose que j'ai faite parfois, c'est taper 4 chiffres sur le pavé numérique, et voir les photos qui sortent, essayer de les faire entrer en correspondance dans une création plus imaginaire.
Noëlle Adam
Le 14/11/11 14:36, Benoit a écrit :
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer
volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
??? via PShop& Co ?
Non, par exemple en utilisant un timer, ou tout autre chose de son
choix, en se donnant une consigne de jeu.
Il y a des gens qui pratiquent (plutôt en argentique) la surimpression
à deux : on ne sait sur quelle image on refait une photo...
La maltraitance à polas fait partie de ce jeu de hasard.
Parfois on veut faire un truc très normal qui implique des essais
nombreux, et le hasard vous fait un cadeau en prime.
J'ai utilisé le hasard photoshopien aussi, mais comme un essai à
l'intérieur d'une démarche plus vraiment photo.
J'avais appliqué des numéros à différentes opérations, ça demandait pas
mal de lancer de dès. Ce qui fait que je n'ai pas poursuivi, trop
laborieux.
Par contre une chose que j'ai faite parfois, c'est taper 4 chiffres sur
le pavé numérique, et voir les photos qui sortent, essayer de les faire
entrer en correspondance dans une création plus imaginaire.
Il a aussi c'est une autre démarche, la possibilité d'incorporer volontairement des éléments dus au hasard dans son image.
??? via PShop& Co ?
Non, par exemple en utilisant un timer, ou tout autre chose de son choix, en se donnant une consigne de jeu. Il y a des gens qui pratiquent (plutôt en argentique) la surimpression à deux : on ne sait sur quelle image on refait une photo... La maltraitance à polas fait partie de ce jeu de hasard. Parfois on veut faire un truc très normal qui implique des essais nombreux, et le hasard vous fait un cadeau en prime.
J'ai utilisé le hasard photoshopien aussi, mais comme un essai à l'intérieur d'une démarche plus vraiment photo. J'avais appliqué des numéros à différentes opérations, ça demandait pas mal de lancer de dès. Ce qui fait que je n'ai pas poursuivi, trop laborieux. Par contre une chose que j'ai faite parfois, c'est taper 4 chiffres sur le pavé numérique, et voir les photos qui sortent, essayer de les faire entrer en correspondance dans une création plus imaginaire.
Noëlle Adam
benoit
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle wrote:
Par contre une chose que j'ai faite parfois, c'est taper 4 chiffres sur le pavé numérique, et voir les photos qui sortent, essayer de les faire entrer en correspondance dans une création plus imaginaire.
Le hazard fait donc mieux que les produits qui ne sont pas vendus par la Seita ;)
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Par contre une chose que j'ai faite parfois, c'est taper 4 chiffres sur
le pavé numérique, et voir les photos qui sortent, essayer de les faire
entrer en correspondance dans une création plus imaginaire.
Le hazard fait donc mieux que les produits qui ne sont pas vendus
par la Seita ;)
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Par contre une chose que j'ai faite parfois, c'est taper 4 chiffres sur le pavé numérique, et voir les photos qui sortent, essayer de les faire entrer en correspondance dans une création plus imaginaire.
Le hazard fait donc mieux que les produits qui ne sont pas vendus par la Seita ;)
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
benoit
£g wrote:
je suppose que tu veux parler de la dynamique, il est vrais que la pellicule avait un plus large champ dynamique, mais les nouveaux capteurs ont fait pas mal de progrès en ce sens.
Oui, je parlais de la dynamique.
AMHA, c'est aussi une question de grandeur de pixel, le D1x à une plus grande dynamique que mon D80, mais le D7000 tient le bon bout. Mais là cela est sûrement dû à l'informatique embarqué.
AMHA, plus le capteur pour un pixel est grand plus il est capable de mesurer les quantités reçues danxs les hautes et basses lumières.
Les spécialistes du domaine pourront te donner plus d'informations sur ce sujet, le pourquoi et comment. Pour moi, je fais avec ce que j'ais en essayant d'avoir le meilleur résultat suivant mes critères. Pour exposer dans une galerie, le problème est autre, ce n'est pas mon cas ni mon désir.
J'expose chez moi, c'est déjà pas mal.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
£g <l.gilbert@skynet.be> wrote:
je suppose que tu veux parler de la dynamique, il est vrais que la
pellicule avait un plus large champ dynamique, mais les nouveaux
capteurs ont fait pas mal de progrès en ce sens.
Oui, je parlais de la dynamique.
AMHA, c'est aussi une question de grandeur de pixel, le D1x à une plus
grande dynamique que mon D80, mais le D7000 tient le bon bout. Mais là
cela est sûrement dû à l'informatique embarqué.
AMHA, plus le capteur pour un pixel est grand plus il est capable de
mesurer les quantités reçues danxs les hautes et basses lumières.
Les spécialistes du domaine pourront te donner plus d'informations sur
ce sujet, le pourquoi et comment. Pour moi, je fais avec ce que j'ais en
essayant d'avoir le meilleur résultat suivant mes critères.
Pour exposer dans une galerie, le problème est autre, ce n'est pas mon
cas ni mon désir.
J'expose chez moi, c'est déjà pas mal.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
je suppose que tu veux parler de la dynamique, il est vrais que la pellicule avait un plus large champ dynamique, mais les nouveaux capteurs ont fait pas mal de progrès en ce sens.
Oui, je parlais de la dynamique.
AMHA, c'est aussi une question de grandeur de pixel, le D1x à une plus grande dynamique que mon D80, mais le D7000 tient le bon bout. Mais là cela est sûrement dû à l'informatique embarqué.
AMHA, plus le capteur pour un pixel est grand plus il est capable de mesurer les quantités reçues danxs les hautes et basses lumières.
Les spécialistes du domaine pourront te donner plus d'informations sur ce sujet, le pourquoi et comment. Pour moi, je fais avec ce que j'ais en essayant d'avoir le meilleur résultat suivant mes critères. Pour exposer dans une galerie, le problème est autre, ce n'est pas mon cas ni mon désir.
J'expose chez moi, c'est déjà pas mal.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]