et non ce n'est pas de la macro !
comme quoi le monde des insectes ne passe pas exclusivement à travers les
objectifs de GR.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/08/17/la-revolte-des-abeilles-contre-les-frelons_1560468_3232.html
ça n'a même rien a voir avec la photo.
bravo à celui qui arrivera à recoller ça en charte.
Il suffit ensuite d'en parler : Question : Dis-moi Ô Ghost Rider, comment fais-tu pour prendre en photo des sauterelles dont chacun sait qu'elle foutent le camp dès qu'on s'approche ?
fastoche suffit d'balancer un coup d'bombe insecticide dans la tronche à la bestiole
Jamais je ne m'abaisserais à de tels procédés indignes. Tous les insectes que je photographie sont vivants, en bonne santé et n'ont reçu aucun traitement visant à les immobiliser, que ce soit par des jets de gaz, des piqûres, la lecture du code civil, du sel sur la queue ou autre. Non, ma méthode est plus simple. Mon matériel me permet de rester à 30/35 cm du sujet ce qui est supérieur à la distance de sécurité de la majorité des arthropodes. Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible approche.
-- Ghost Rider
Le 21/08/2011 11:51, Alf92 a écrit :
nnes.
Il suffit ensuite d'en parler :
Question : Dis-moi Ô Ghost Rider, comment fais-tu pour prendre en
photo des sauterelles dont chacun sait qu'elle foutent le camp dès
qu'on s'approche ?
fastoche
suffit d'balancer un coup d'bombe insecticide dans la tronche à la bestiole
Jamais je ne m'abaisserais à de tels procédés indignes. Tous les
insectes que je photographie sont vivants, en bonne santé et n'ont reçu
aucun traitement visant à les immobiliser, que ce soit par des jets de
gaz, des piqûres, la lecture du code civil, du sel sur la queue ou autre.
Non, ma méthode est plus simple. Mon matériel me permet de rester à
30/35 cm du sujet ce qui est supérieur à la distance de sécurité de la
majorité des arthropodes.
Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de
s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte
libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible
approche.
Il suffit ensuite d'en parler : Question : Dis-moi Ô Ghost Rider, comment fais-tu pour prendre en photo des sauterelles dont chacun sait qu'elle foutent le camp dès qu'on s'approche ?
fastoche suffit d'balancer un coup d'bombe insecticide dans la tronche à la bestiole
Jamais je ne m'abaisserais à de tels procédés indignes. Tous les insectes que je photographie sont vivants, en bonne santé et n'ont reçu aucun traitement visant à les immobiliser, que ce soit par des jets de gaz, des piqûres, la lecture du code civil, du sel sur la queue ou autre. Non, ma méthode est plus simple. Mon matériel me permet de rester à 30/35 cm du sujet ce qui est supérieur à la distance de sécurité de la majorité des arthropodes. Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible approche.
-- Ghost Rider
François
Le 21/08/2011 14:20, Ghost-Rider a écrit :
Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible approche.
L'exception qui confirme la règle : http://pix.isalo.org/?img13939584.jpg La bébête s'est posée sur l'étui de mon vieux compact, et elle est restée bien sage pendant que je le sortais de l'étui et que je la photographiais à bout portant.
-- François
Le 21/08/2011 14:20, Ghost-Rider a écrit :
Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de
s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte
libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible
approche.
L'exception qui confirme la règle :
http://pix.isalo.org/?img13939584.jpg
La bébête s'est posée sur l'étui de mon vieux compact, et elle est
restée bien sage pendant que je le sortais de l'étui et que je la
photographiais à bout portant.
Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible approche.
L'exception qui confirme la règle : http://pix.isalo.org/?img13939584.jpg La bébête s'est posée sur l'étui de mon vieux compact, et elle est restée bien sage pendant que je le sortais de l'étui et que je la photographiais à bout portant.
-- François
markorki
Ghost-Rider a écrit :
Jamais je ne m'abaisserais à de tels procédés indignes. Tous les insectes que je photographie sont vivants, en bonne santé et n'ont reçu aucun traitement visant à les immobiliser, que ce soit par des jets de gaz, des piqûres, la lecture du code civil, du sel sur la queue ou autre. Non, ma méthode est plus simple. Mon matériel me permet de rester à 30/35 cm du sujet ce qui est supérieur à la distance de sécurité de la majorité des arthropodes. Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible approche.
Il ne faut jamais dire jamais.
Les syrphes et les zygènes plus encore (qui, bourrés d'acide prussique, n'ont aucun prédateur et n'ont donc sélectionné aucun réflexe de fuite),et se laissent prendre de très près; tout comme des insectes accouplés se laissent approcher sans problème, et même on peut les tourner, les bousculer, ils sont en fait souvent indifférents et tout à leur occupation... Et la macro est comme toute autre photo: changer le point d'observation change la perspective. De plus près ce n'est pas seulement plus dur à mettre au point, c'est aussi tout à fait différent comme point de vue.
Qui peut mettre au point à 3 cm peut le faire à 30 ou 40, l'inverse est plus rare mais souvent avantageux.
Ghost-Rider a écrit :
Jamais je ne m'abaisserais à de tels procédés indignes. Tous les
insectes que je photographie sont vivants, en bonne santé et n'ont reçu
aucun traitement visant à les immobiliser, que ce soit par des jets de
gaz, des piqûres, la lecture du code civil, du sel sur la queue ou autre.
Non, ma méthode est plus simple. Mon matériel me permet de rester à
30/35 cm du sujet ce qui est supérieur à la distance de sécurité de la
majorité des arthropodes.
Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de
s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte
libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible
approche.
Il ne faut jamais dire jamais.
Les syrphes et les zygènes plus encore (qui, bourrés d'acide prussique,
n'ont aucun prédateur et n'ont donc sélectionné aucun réflexe de
fuite),et se laissent prendre de très près; tout comme des insectes
accouplés se laissent approcher sans problème, et même on peut les
tourner, les bousculer, ils sont en fait souvent indifférents et tout à
leur occupation...
Et la macro est comme toute autre photo: changer le point d'observation
change la perspective. De plus près ce n'est pas seulement plus dur à
mettre au point, c'est aussi tout à fait différent comme point de vue.
Qui peut mettre au point à 3 cm peut le faire à 30 ou 40, l'inverse est
plus rare mais souvent avantageux.
Jamais je ne m'abaisserais à de tels procédés indignes. Tous les insectes que je photographie sont vivants, en bonne santé et n'ont reçu aucun traitement visant à les immobiliser, que ce soit par des jets de gaz, des piqûres, la lecture du code civil, du sel sur la queue ou autre. Non, ma méthode est plus simple. Mon matériel me permet de rester à 30/35 cm du sujet ce qui est supérieur à la distance de sécurité de la majorité des arthropodes. Alors que les publicités qui vantent des objectifs qui permettent de s'approcher à quelques centimètres sont fallacieuses. Jamais un insecte libre de ses mouvements ne restera sans s'enfuir à une aussi faible approche.
Il ne faut jamais dire jamais.
Les syrphes et les zygènes plus encore (qui, bourrés d'acide prussique, n'ont aucun prédateur et n'ont donc sélectionné aucun réflexe de fuite),et se laissent prendre de très près; tout comme des insectes accouplés se laissent approcher sans problème, et même on peut les tourner, les bousculer, ils sont en fait souvent indifférents et tout à leur occupation... Et la macro est comme toute autre photo: changer le point d'observation change la perspective. De plus près ce n'est pas seulement plus dur à mettre au point, c'est aussi tout à fait différent comme point de vue.
Qui peut mettre au point à 3 cm peut le faire à 30 ou 40, l'inverse est plus rare mais souvent avantageux.
Ghost-Rider
Le 21/08/2011 23:38, markorki a écrit :
Il ne faut jamais dire jamais.
Sans doute, sans doute...
Les syrphes et les zygènes plus encore (qui, bourrés d'acide prussique, n'ont aucun prédateur et n'ont donc sélectionné aucun réflexe de fuite),et se laissent prendre de très près; tout comme des insectes accouplés se laissent approcher sans problème, et même on peut les tourner, les bousculer, ils sont en fait souvent indifférents et tout à leur occupation... Et la macro est comme toute autre photo: changer le point d'observation change la perspective. De plus près ce n'est pas seulement plus dur à mettre au point, c'est aussi tout à fait différent comme point de vue.
Qui peut mettre au point à 3 cm peut le faire à 30 ou 40, l'inverse est plus rare mais souvent avantageux.
Oui, mais mon expérience avec les syrphes n'est pas différente de celle d'autres insectes. A longue distance, on peut saisir des scènes intéressantes chez les autres aussi : http://cjoint.com/11au/AHwiA6LQbzP.htm Je voulais là répondre à ALF, sur le mode plaisant, pour bien marquer en exagérant quelque peu, c'est vrai, que faire de la photo rapprochée d'insectes ne nécessite pas un matériel aussi spécialisé qu'on le lit souvent.
-- Ghost Rider
Le 21/08/2011 23:38, markorki a écrit :
Il ne faut jamais dire jamais.
Sans doute, sans doute...
Les syrphes et les zygènes plus encore (qui, bourrés d'acide prussique,
n'ont aucun prédateur et n'ont donc sélectionné aucun réflexe de
fuite),et se laissent prendre de très près; tout comme des insectes
accouplés se laissent approcher sans problème, et même on peut les
tourner, les bousculer, ils sont en fait souvent indifférents et tout à
leur occupation...
Et la macro est comme toute autre photo: changer le point d'observation
change la perspective. De plus près ce n'est pas seulement plus dur à
mettre au point, c'est aussi tout à fait différent comme point de vue.
Qui peut mettre au point à 3 cm peut le faire à 30 ou 40, l'inverse est
plus rare mais souvent avantageux.
Oui, mais mon expérience avec les syrphes n'est pas différente de celle
d'autres insectes. A longue distance, on peut saisir des scènes
intéressantes chez les autres aussi :
http://cjoint.com/11au/AHwiA6LQbzP.htm
Je voulais là répondre à ALF, sur le mode plaisant, pour bien marquer en
exagérant quelque peu, c'est vrai, que faire de la photo rapprochée
d'insectes ne nécessite pas un matériel aussi spécialisé qu'on le lit
souvent.
Les syrphes et les zygènes plus encore (qui, bourrés d'acide prussique, n'ont aucun prédateur et n'ont donc sélectionné aucun réflexe de fuite),et se laissent prendre de très près; tout comme des insectes accouplés se laissent approcher sans problème, et même on peut les tourner, les bousculer, ils sont en fait souvent indifférents et tout à leur occupation... Et la macro est comme toute autre photo: changer le point d'observation change la perspective. De plus près ce n'est pas seulement plus dur à mettre au point, c'est aussi tout à fait différent comme point de vue.
Qui peut mettre au point à 3 cm peut le faire à 30 ou 40, l'inverse est plus rare mais souvent avantageux.
Oui, mais mon expérience avec les syrphes n'est pas différente de celle d'autres insectes. A longue distance, on peut saisir des scènes intéressantes chez les autres aussi : http://cjoint.com/11au/AHwiA6LQbzP.htm Je voulais là répondre à ALF, sur le mode plaisant, pour bien marquer en exagérant quelque peu, c'est vrai, que faire de la photo rapprochée d'insectes ne nécessite pas un matériel aussi spécialisé qu'on le lit souvent.
