"Gloria L." a écrit dans le message de news: dnd0o6$aot$
doyoudoo a écrit :
"Verogpx" a écrit dans le message de news: 439a0374$0$21280$
Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes annoncés en cours ?
100% des votants sont des blaireaux.
Non, 54% seulement !
Les perdants de la StarAc sont invités la semaine suivante chez Cauet Les votants devraient être invités chez Courbet, logiquement.
CL
a.dominique
"Gloria L." a écrit dans le message de news:dnd0o6$aot$
doyoudoo a écrit : > "Verogpx" a écrit dans le message de news: > 439a0374$0$21280$ >> Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes >> annoncés en cours ? > > 100% des votants sont des blaireaux. > > Non, 54% seulement !
Et oui...la finale promet un bel ennui...
"Gloria L." <glorial@com.spam> a écrit dans le message de
news:dnd0o6$aot$1@domitilla.aioe.org...
doyoudoo a écrit :
> "Verogpx" <verogpx@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
> 439a0374$0$21280$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
>> Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes
>> annoncés en cours ?
>
> 100% des votants sont des blaireaux.
>
>
Non, 54% seulement !
"Gloria L." a écrit dans le message de news:dnd0o6$aot$
doyoudoo a écrit : > "Verogpx" a écrit dans le message de news: > 439a0374$0$21280$ >> Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes >> annoncés en cours ? > > 100% des votants sont des blaireaux. > > Non, 54% seulement !
Et oui...la finale promet un bel ennui...
Gloria L.
Castor Lapon a écrit :
"Gloria L." a écrit dans le message de news: dnd0o6$aot$
doyoudoo a écrit :
"Verogpx" a écrit dans le message de news: 439a0374$0$21280$
Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes annoncés en cours ?
100% des votants sont des blaireaux.
Non, 54% seulement !
Les perdants de la StarAc sont invités la semaine suivante chez Cauet Les votants devraient être invités chez Courbet, logiquement.
CL
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
Castor Lapon a écrit :
"Gloria L." <glorial@com.spam> a écrit dans le message de news:
dnd0o6$aot$1@domitilla.aioe.org...
doyoudoo a écrit :
"Verogpx" <verogpx@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
439a0374$0$21280$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes
annoncés en cours ?
100% des votants sont des blaireaux.
Non, 54% seulement !
Les perdants de la StarAc sont invités la semaine suivante chez Cauet
Les votants devraient être invités chez Courbet, logiquement.
"Gloria L." a écrit dans le message de news: dnd0o6$aot$
doyoudoo a écrit :
"Verogpx" a écrit dans le message de news: 439a0374$0$21280$
Je viens de prendre l'émission, y a t il eu des pourcentages de votes annoncés en cours ?
100% des votants sont des blaireaux.
Non, 54% seulement !
Les perdants de la StarAc sont invités la semaine suivante chez Cauet Les votants devraient être invités chez Courbet, logiquement.
CL
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
doyoudoo
"Gloria L." a écrit dans le message de news: dnd147$auv$
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
«L'Ile de la tentation», un boulot comme un autre Trois ex-candidats ont fait requalifier leur contrat par les prud'hommes.
par Isabelle ROBERTS QUOTIDIEN : vendredi 09 décembre 2005
Travailleurs, travailleuses de la télé-réalité, unissez-vous ! Imaginez : Loana (Loft Story), Nolwenn (Star Academy 2), Diana et Brandon (L'Ile de la tentation), les trois Bachelor et leurs wagons de bachelorettes allant tous demander des comptes aux sociétés de production des télé-réalités auxquelles ils ont participé. N'imaginez plus. C'est déjà la réalité pour trois anciens candidats de l'Ile de la tentation, l'émission-lupanar estivale de TF1.
«Contrat de participant». La semaine dernière, le tribunal des prud'hommes de Paris a requalifié en contrats de travail les «contrats de participant» d'Anthony, Marie et Arno à l'Ile de la tentation 2. Ils ne sont donc plus considérés comme d'anonymes candidats à aller se faire joyeusement dorer la pilule sur une île thaïlandaise mais comme des salariés. Des salariés, donc des gens bénéficiant d'avancées sociales aussi extraordinaires que les congés payés, la durée légale du travail, ou les heures supplémentaires... Mais obligeant aussi leurs employeurs à s'acquitter des charges sociales.
Jusqu'à présent, les candidats de télé-réalité signaient un «contrat de participant» fixant leurs droits et devoirs ainsi que ceux du producteur. Ils recevaient une somme d'argent considérée la plupart du temps comme un «défraiement», puisque les tournages de ces émissions durent longtemps et les obligent à interrompre leur (vrai) travail. En l'occurrence, pour l'Ile de la tentation, Anthony, Marie et Arno ont reçu 1 525 euros, une somme curieusement considérée comme un à-valoir sur des produits dérivés de l'Ile de la tentation qui n'ont jamais existé !
A l'origine de cette affaire, trois jeunes avocats, Jérémie Assous, Mehdi Lefèvre-Maalem et Charles Morel. «Au vu des contrats de l'émission et d'après le récit que m'a fait Anthony du tournage, raconte Jérémie Assous, j'ai constaté un déséquilibre au détriment des candidats et nous avons porté l'affaire devant les prud'hommes.»
Comment prouver qu'aller se faire draguer par une bande de mâles et de femelles plus appétissants les uns que les autres sur une île paradisiaque est un travail ? «La législation et la jurisprudence ont défini trois critères pour qualifier un contrat de travail, répond Jérémie Assous. Il faut qu'il y ait un lien de subordination, c'est-à-dire que la personne reçoive des ordres, une activité, et une rémunération.» Un lien de subordination ? «Les participants étaient à l'entière disposition du producteur et ne pouvaient quitter les lieux de tournage ni téléphoner à leur famille, et la production leur donnait des ordres, par exemple il y avait des interviews toutes les vingt minutes...», raconte Jérémie Assous. Une activité ? «Ce n'est pas parce qu'ils avaient l'air de prendre du plaisir ou de ne rien faire que ce n'est pas une activité, reprend Assous. Le chauffeur d'un homme d'affaires est toujours en activité, même quand son patron va déjeuner et qu'il ne conduit pas, car il est à la disposition de son patron.» Et de citer l'article d'une revue de droit dont les auteurs considèrent que «le fait de ne rien faire n'est pas nécessairement antinomique avec le travail». Superbe. Quant à la rémunération, les candidats ont effectivement reçu une somme d'argent.
Jurisprudence. Mais là où l'affaire prend tout son sel, c'est que, selon les avocats des plaignants, cette décision fait jurisprudence (1). «ça peut s'appliquer à tous les contrats qui ont été signés depuis les débuts de la télé-réalité en 2001», estime Charles Morel. Tous les ex- «Lofteurs», «Staracademyciens» et autres «Tentateurs» pourraient donc réclamer des contrats de travail, voire porter plainte pour travail dissimulé et obtenir des indemnités. Faux, répond-on à TF1, maison mère de Glem, la société de production de l'Ile de la tentation : «C'est strictement limité au cas de l'Ile de la tentation, qui n'a pas de gain à la clé. Les autres émissions comme Star Academy sont des jeux puisqu'il y a un lot à gagner» (1). Même discours chez W9, filiale de M6 (Bachelor, les Colocataires...): «Les programmes que nous faisons sont des jeux, et il n'y a donc pas de contrat de travail.» Du côté des avocats, on conteste : «La notion de jeu n'a rien à voir, affirme Assous, le fait qu'il y ait des aléas n'enlève rien. Ce n'est pas parce qu'on a été éliminé qu'on n'a pas travaillé.» Les attendus du jugement prud'homal qui seront connus bientôt permettront de savoir si la décision s'applique à toutes les télé-réalités. En attendant, les avocats se délectent de la portée symbolique de cette décision de justice : «C'est la fin de la télé-réalité ! s'exclame Jérémie Assous. Si les candidats sont des employés, je ne vois pas comment on peut prétendre que c'est leur vraie vie : c'est l'Actor's studio !»
(1) TF1 n'a pas encore décidé si elle allait faire appel. (2) Endemol, le plus gros producteur de télé-réalité, n'a pas souhaité répondre à nos questions
"Gloria L." <glorial@com.spam> a écrit dans le message de news:
dnd147$auv$1@domitilla.aioe.org...
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
«L'Ile de la tentation», un boulot comme un autre
Trois ex-candidats ont fait requalifier leur contrat par les prud'hommes.
par Isabelle ROBERTS
QUOTIDIEN : vendredi 09 décembre 2005
Travailleurs, travailleuses de la télé-réalité, unissez-vous ! Imaginez :
Loana (Loft Story), Nolwenn (Star Academy 2), Diana et Brandon (L'Ile de la
tentation), les trois Bachelor et leurs wagons de bachelorettes allant tous
demander des comptes aux sociétés de production des télé-réalités auxquelles
ils ont participé. N'imaginez plus. C'est déjà la réalité pour trois anciens
candidats de l'Ile de la tentation, l'émission-lupanar estivale de TF1.
«Contrat de participant». La semaine dernière, le tribunal des prud'hommes
de Paris a requalifié en contrats de travail les «contrats de participant»
d'Anthony, Marie et Arno à l'Ile de la tentation 2. Ils ne sont donc plus
considérés comme d'anonymes candidats à aller se faire joyeusement dorer la
pilule sur une île thaïlandaise mais comme des salariés. Des salariés, donc
des gens bénéficiant d'avancées sociales aussi extraordinaires que les
congés payés, la durée légale du travail, ou les heures supplémentaires...
Mais obligeant aussi leurs employeurs à s'acquitter des charges sociales.
Jusqu'à présent, les candidats de télé-réalité signaient un «contrat de
participant» fixant leurs droits et devoirs ainsi que ceux du producteur.
Ils recevaient une somme d'argent considérée la plupart du temps comme un
«défraiement», puisque les tournages de ces émissions durent longtemps et
les obligent à interrompre leur (vrai) travail. En l'occurrence, pour l'Ile
de la tentation, Anthony, Marie et Arno ont reçu 1 525 euros, une somme
curieusement considérée comme un à-valoir sur des produits dérivés de l'Ile
de la tentation qui n'ont jamais existé !
A l'origine de cette affaire, trois jeunes avocats, Jérémie Assous, Mehdi
Lefèvre-Maalem et Charles Morel. «Au vu des contrats de l'émission et
d'après le récit que m'a fait Anthony du tournage, raconte Jérémie Assous,
j'ai constaté un déséquilibre au détriment des candidats et nous avons porté
l'affaire devant les prud'hommes.»
Comment prouver qu'aller se faire draguer par une bande de mâles et de
femelles plus appétissants les uns que les autres sur une île paradisiaque
est un travail ? «La législation et la jurisprudence ont défini trois
critères pour qualifier un contrat de travail, répond Jérémie Assous. Il
faut qu'il y ait un lien de subordination, c'est-à-dire que la personne
reçoive des ordres, une activité, et une rémunération.» Un lien de
subordination ? «Les participants étaient à l'entière disposition du
producteur et ne pouvaient quitter les lieux de tournage ni téléphoner à
leur famille, et la production leur donnait des ordres, par exemple il y
avait des interviews toutes les vingt minutes...», raconte Jérémie Assous.
Une activité ? «Ce n'est pas parce qu'ils avaient l'air de prendre du
plaisir ou de ne rien faire que ce n'est pas une activité, reprend Assous.
Le chauffeur d'un homme d'affaires est toujours en activité, même quand son
patron va déjeuner et qu'il ne conduit pas, car il est à la disposition de
son patron.» Et de citer l'article d'une revue de droit dont les auteurs
considèrent que «le fait de ne rien faire n'est pas nécessairement
antinomique avec le travail». Superbe. Quant à la rémunération, les
candidats ont effectivement reçu une somme d'argent.
Jurisprudence. Mais là où l'affaire prend tout son sel, c'est que, selon les
avocats des plaignants, cette décision fait jurisprudence (1). «ça peut
s'appliquer à tous les contrats qui ont été signés depuis les débuts de la
télé-réalité en 2001», estime Charles Morel. Tous les ex- «Lofteurs»,
«Staracademyciens» et autres «Tentateurs» pourraient donc réclamer des
contrats de travail, voire porter plainte pour travail dissimulé et obtenir
des indemnités. Faux, répond-on à TF1, maison mère de Glem, la société de
production de l'Ile de la tentation : «C'est strictement limité au cas de
l'Ile de la tentation, qui n'a pas de gain à la clé. Les autres émissions
comme Star Academy sont des jeux puisqu'il y a un lot à gagner» (1). Même
discours chez W9, filiale de M6 (Bachelor, les Colocataires...): «Les
programmes que nous faisons sont des jeux, et il n'y a donc pas de contrat
de travail.» Du côté des avocats, on conteste : «La notion de jeu n'a rien à
voir, affirme Assous, le fait qu'il y ait des aléas n'enlève rien. Ce n'est
pas parce qu'on a été éliminé qu'on n'a pas travaillé.» Les attendus du
jugement prud'homal qui seront connus bientôt permettront de savoir si la
décision s'applique à toutes les télé-réalités. En attendant, les avocats se
délectent de la portée symbolique de cette décision de justice : «C'est la
fin de la télé-réalité ! s'exclame Jérémie Assous. Si les candidats sont des
employés, je ne vois pas comment on peut prétendre que c'est leur vraie vie
: c'est l'Actor's studio !»
(1) TF1 n'a pas encore décidé si elle allait faire appel.
(2) Endemol, le plus gros producteur de télé-réalité, n'a pas souhaité
répondre à nos questions
"Gloria L." a écrit dans le message de news: dnd147$auv$
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
«L'Ile de la tentation», un boulot comme un autre Trois ex-candidats ont fait requalifier leur contrat par les prud'hommes.
par Isabelle ROBERTS QUOTIDIEN : vendredi 09 décembre 2005
Travailleurs, travailleuses de la télé-réalité, unissez-vous ! Imaginez : Loana (Loft Story), Nolwenn (Star Academy 2), Diana et Brandon (L'Ile de la tentation), les trois Bachelor et leurs wagons de bachelorettes allant tous demander des comptes aux sociétés de production des télé-réalités auxquelles ils ont participé. N'imaginez plus. C'est déjà la réalité pour trois anciens candidats de l'Ile de la tentation, l'émission-lupanar estivale de TF1.
«Contrat de participant». La semaine dernière, le tribunal des prud'hommes de Paris a requalifié en contrats de travail les «contrats de participant» d'Anthony, Marie et Arno à l'Ile de la tentation 2. Ils ne sont donc plus considérés comme d'anonymes candidats à aller se faire joyeusement dorer la pilule sur une île thaïlandaise mais comme des salariés. Des salariés, donc des gens bénéficiant d'avancées sociales aussi extraordinaires que les congés payés, la durée légale du travail, ou les heures supplémentaires... Mais obligeant aussi leurs employeurs à s'acquitter des charges sociales.
Jusqu'à présent, les candidats de télé-réalité signaient un «contrat de participant» fixant leurs droits et devoirs ainsi que ceux du producteur. Ils recevaient une somme d'argent considérée la plupart du temps comme un «défraiement», puisque les tournages de ces émissions durent longtemps et les obligent à interrompre leur (vrai) travail. En l'occurrence, pour l'Ile de la tentation, Anthony, Marie et Arno ont reçu 1 525 euros, une somme curieusement considérée comme un à-valoir sur des produits dérivés de l'Ile de la tentation qui n'ont jamais existé !
A l'origine de cette affaire, trois jeunes avocats, Jérémie Assous, Mehdi Lefèvre-Maalem et Charles Morel. «Au vu des contrats de l'émission et d'après le récit que m'a fait Anthony du tournage, raconte Jérémie Assous, j'ai constaté un déséquilibre au détriment des candidats et nous avons porté l'affaire devant les prud'hommes.»
Comment prouver qu'aller se faire draguer par une bande de mâles et de femelles plus appétissants les uns que les autres sur une île paradisiaque est un travail ? «La législation et la jurisprudence ont défini trois critères pour qualifier un contrat de travail, répond Jérémie Assous. Il faut qu'il y ait un lien de subordination, c'est-à-dire que la personne reçoive des ordres, une activité, et une rémunération.» Un lien de subordination ? «Les participants étaient à l'entière disposition du producteur et ne pouvaient quitter les lieux de tournage ni téléphoner à leur famille, et la production leur donnait des ordres, par exemple il y avait des interviews toutes les vingt minutes...», raconte Jérémie Assous. Une activité ? «Ce n'est pas parce qu'ils avaient l'air de prendre du plaisir ou de ne rien faire que ce n'est pas une activité, reprend Assous. Le chauffeur d'un homme d'affaires est toujours en activité, même quand son patron va déjeuner et qu'il ne conduit pas, car il est à la disposition de son patron.» Et de citer l'article d'une revue de droit dont les auteurs considèrent que «le fait de ne rien faire n'est pas nécessairement antinomique avec le travail». Superbe. Quant à la rémunération, les candidats ont effectivement reçu une somme d'argent.
Jurisprudence. Mais là où l'affaire prend tout son sel, c'est que, selon les avocats des plaignants, cette décision fait jurisprudence (1). «ça peut s'appliquer à tous les contrats qui ont été signés depuis les débuts de la télé-réalité en 2001», estime Charles Morel. Tous les ex- «Lofteurs», «Staracademyciens» et autres «Tentateurs» pourraient donc réclamer des contrats de travail, voire porter plainte pour travail dissimulé et obtenir des indemnités. Faux, répond-on à TF1, maison mère de Glem, la société de production de l'Ile de la tentation : «C'est strictement limité au cas de l'Ile de la tentation, qui n'a pas de gain à la clé. Les autres émissions comme Star Academy sont des jeux puisqu'il y a un lot à gagner» (1). Même discours chez W9, filiale de M6 (Bachelor, les Colocataires...): «Les programmes que nous faisons sont des jeux, et il n'y a donc pas de contrat de travail.» Du côté des avocats, on conteste : «La notion de jeu n'a rien à voir, affirme Assous, le fait qu'il y ait des aléas n'enlève rien. Ce n'est pas parce qu'on a été éliminé qu'on n'a pas travaillé.» Les attendus du jugement prud'homal qui seront connus bientôt permettront de savoir si la décision s'applique à toutes les télé-réalités. En attendant, les avocats se délectent de la portée symbolique de cette décision de justice : «C'est la fin de la télé-réalité ! s'exclame Jérémie Assous. Si les candidats sont des employés, je ne vois pas comment on peut prétendre que c'est leur vraie vie : c'est l'Actor's studio !»
(1) TF1 n'a pas encore décidé si elle allait faire appel. (2) Endemol, le plus gros producteur de télé-réalité, n'a pas souhaité répondre à nos questions
Gloria L.
doyoudoo a écrit :
"Gloria L." a écrit dans le message de news: dnd147$auv$
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
«L'Ile de la tentation», un boulot comme un autre Trois ex-candidats ont fait requalifier leur contrat par les prud'hommes.
L'île des Pigeons plutôt.
doyoudoo a écrit :
"Gloria L." <glorial@com.spam> a écrit dans le message de news:
dnd147$auv$1@domitilla.aioe.org...
TF1 est à la pointe du recyclage des déchets.
«L'Ile de la tentation», un boulot comme un autre
Trois ex-candidats ont fait requalifier leur contrat par les prud'hommes.
