Saint-Denis : l’étrange notion de « citoyen étranger »
7 réponses
dlink
Après un référendum (symbolique et illégal) d’initiative locale sur le
droit de vote des étrangers – au motif qu’il est difficile de « demander
à certains jeunes de respecter les lois de la République, quand on
interdit à leurs parents de voter »… –, la municipalité communiste de
Saint-Denis installait, ce jeudi, un Comité consultatif des citoyens
étrangers, qui devrait être systématiquement associé à la préparation
des conseils municipaux. Le principe en figurait dans les engagements
électoraux du maire Didier Paillard lors de la dernière campagne municipale.
Saint-Denis entend ainsi, explique la municipalité, « franchir une
nouvelle étape dans la conquête de l’égalité des droits civiques pour
tous les habitants, en permettant à des représentants des citoyens
étrangers de participer à des séances du conseil municipal privées et
non délibératives ». Lesdits représentants seront au nombre de vingt, à
savoir dix femmes et dix hommes, proposés par les trois listes ayant
obtenu des élus au conseil municipal : celle d’union de la gauche «
Saint-Denis Pour Tous », celle du PS, et celle de l’UMP-MoDem.
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de l’idée politique
de citoyenneté. La municipalité en a bien conscience, puisque le maire
adjoint Francis Langlade, futur président du comité, tient à préciser :
« Ces séances non délibératives sont le moyen trouvé pour associer nos
habitants étrangers à toute la vie municipale sans risquer d’entacher
d’illégalité les actes du conseil municipal. » Et, pour que ce soit bien
clair, il ajoute que les membres du comité pourront être invités à
prendre la parole lors du conseil municipal, « mais cela restera
occasionnel pour éviter l’accusation d’illégalité ».
Ce souci répétitif d’éviter l’accusation d’illégalité est manifeste
d’une prise de conscience. Celle d’agir à la marge de la loi. C’est,
selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour faire
changer la loi.
Mais cela va plus loin… Sans parler de philosophie politique, il
faudrait changer – au moins… – notre vocabulaire (et nos dictionnaires).
Il est clair qu’il ne saurait y avoir, comme l’affirme la municipalité,
de « citoyen étranger ». La contradiction est évidente. Il y a des
habitants, des résidents étrangers. Un « citoyen étranger », ce serait,
en quelque sorte, l’extension du droit du sol à l’adulte.
Et ce serait, assurément, la mort des cités. Si les citoyens n’ont plus
entre eux, pour les unir, l’amour du don commun reçu de leurs pères,
leur patrimoine, ils ne seront bientôt plus, les uns pour les autres,
que des… étrangers !
"dlink" a écrit dans le message de news: fu7q4e$u83$
Après un référendum (symbolique et illégal) .../...
Bonsoir,
Je n'ai pas compris quelle était la QUESTION de DROIT ?
Serge
Malatesta
On 17 avr, 17:24, dlink wrote:
Après un référendum (symbolique et illégal) dinitiative locale sur le droit de vote des étrangers au motif quil est difficile de « de mander à certains jeunes de respecter les lois de la République, quand on interdit à leurs parents de voter » , la municipalité communis te de Saint-Denis installait, ce jeudi, un Comité consultatif des citoyens étrangers, qui devrait être systématiquement associé à la prép aration des conseils municipaux. Le principe en figurait dans les engagements électoraux du maire Didier Paillard lors de la dernière campagne munic ipale.
Saint-Denis entend ainsi, explique la municipalité, « franchir une nouvelle étape dans la conquête de légalité des droits civiques pour tous les habitants, en permettant à des représentants des citoyens étrangers de participer à des séances du conseil municipal privées et non délibératives ». Lesdits représentants seront au nombre de vin gt, à savoir dix femmes et dix hommes, proposés par les trois listes ayant obtenu des élus au conseil municipal : celle dunion de la gauche « Saint-Denis Pour Tous », celle du PS, et celle de lUMP-MoDem.
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de lidée politiq ue de citoyenneté. La municipalité en a bien conscience, puisque le maire adjoint Francis Langlade, futur président du comité, tient à préci ser : « Ces séances non délibératives sont le moyen trouvé pour associ er nos habitants étrangers à toute la vie municipale sans risquer dentache r dillégalité les actes du conseil municipal. » Et, pour que ce soi t bien clair, il ajoute que les membres du comité pourront être invités à prendre la parole lors du conseil municipal, « mais cela restera occasionnel pour éviter laccusation dillégalité ».
Ce souci répétitif déviter laccusation dillégalité est manifeste dune prise de conscience. Celle dagir à la marge de la loi. Ces t, selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour fair e changer la loi.
Mais cela va plus loin Sans parler de philosophie politique, il faudrait changer au moins notre vocabulaire (et nos dictionnair es). Il est clair quil ne saurait y avoir, comme laffirme la municipalit é, de « citoyen étranger ». La contradiction est évidente. Il y a des habitants, des résidents étrangers. Un « citoyen étranger », ce serait, en quelque sorte, lextension du droit du sol à ladulte.
Et ce serait, assurément, la mort des cités. Si les citoyens nont p lus entre eux, pour les unir, lamour du don commun reçu de leurs pères, leur patrimoine, ils ne seront bientôt plus, les uns pour les autres, que des étrangers !
LA PESTE
Un jour les Rats puants sortirent des égouts Attendirent la nuit pour faire leur sale coup. La quête de victimes fut leur premier labeur, Ils portèrent leur haine contre les migrateurs, Qui quoique bien tranquilles et sans la moindre histoire, Se virent désignés victimes expiatoires.
La crise faisait rage , les sphères du pouvoir Tout en niant les faits laissaient bien entrevoir Que la situation ne faisant qu'empirer Cela venait bien sûr du côté étranger. Les oiseaux migrateurs boucs émissaires trouvés, Toute une politique pouvait être exploitée.
Les rongeurs remuants guidés par leur führer, Borgne mais grande gueule, firent son discours leur. Il n'y était question que d'insécurité, De vol à l'étalage, d'homosexualité, D'emplois accaparés, de culture inférieure Tout ça mis sur le dos des oiseaux migrateurs.
En terre d'Occitanie la tolérance est reine Et nul n'aurait songé y voir surgir la haine. La Résistance avait aux amis de ces Rats Dans des temps plus anciens, mené un grand combat. Le temps étant passé, l'oubli faisant drapeau La vermine insolente ressortit son museau.
Le Rat borgne délégua dans notre lointaine terre Un complice intégriste, sectaire et délétère, De ces individus qui ment comme un rapace Et qui ne peut voir clair qu'avec ceux de sa race. Les oiseaux migrateurs étaient dans son esprit Comme les Juifs jadis promis à l'interdit.
Il cite Jeanne d'Arc comme porte drapeaux Fait de Charles Martel un très moderne héros. Veut qu'on fasse des enfants, combat l'avortement, Des rejetons tous blonds, trois quatre par maman. Ainsi sera menée dans son esprit malade, Pour prendre le pouvoir, la dernière croisade.
La peste est transmissible et les événements Qui suivent ces discours démontrent abondamment. Des esprits faibles cèdent à ce nouveau délire, Et permettent aux Rats de se refaire élire Ne voyant pas qu'à terme l'attitude servile, Ne peut que terminer dans la guerre civile.
Chemin faisant, pourtant, la peste s'infiltra Dans une bonne partie de tout l'électorat. Point par point, elle s'installe dans la conscience rude Des citoyens perdus en quête de certitudes. Le chômeur et l'exclu, le cadre sur le pavé, Se demandent en rêvant où est la vérité.
Les Blaireaux et les Loups qui furent au pouvoir Etaient bien incapables de leur ouvrir l'espoir, Et c'est en désespoir de voir enfin le bout Que certains parmi eux rejoignent les égouts. lls sont en ce moment, quoique minoritaires, Prêts à suivre leurs chefs, autres velléitaires.
Renard sentant le vent qui se met à tourner De l'occasion voulut simplement profiter, Tout en se réclamant amis de tous les gens, C'est d'un regard oblique qu'il renvoie aux migrants, Surtout les plus suspects qui ont l'impertinence De vouloir en sa ville se passer l'alliance.
La peste est toujours là, sournoise et dangereuse Capable de surgir de l'idée nuageuse Que nos difficultés sont dues à l'étranger Qui n'attend qu'une chose: occuper le plancher. SOS Racisme, la Ligue et Ras l'Front Sont là pour nous aider à sauver la maison.
Il est bien plus facile de trouver la raison, De nos difficultés en dehors de la nation. Il se trouve toujours quelques individus Pour faire croir' aux simplets qu'en guise de vertu, Persécuter les autres est une solution Et ainsi sacrifier la paix et la raison.
La Belette
On 17 avr, 17:24, dlink <dl...@clochettes.fr> wrote:
Après un référendum (symbolique et illégal) dinitiative locale sur le
droit de vote des étrangers au motif quil est difficile de « de mander
à certains jeunes de respecter les lois de la République, quand on
interdit à leurs parents de voter » , la municipalité communis te de
Saint-Denis installait, ce jeudi, un Comité consultatif des citoyens
étrangers, qui devrait être systématiquement associé à la prép aration
des conseils municipaux. Le principe en figurait dans les engagements
électoraux du maire Didier Paillard lors de la dernière campagne munic ipale.
Saint-Denis entend ainsi, explique la municipalité, « franchir une
nouvelle étape dans la conquête de légalité des droits civiques pour
tous les habitants, en permettant à des représentants des citoyens
étrangers de participer à des séances du conseil municipal privées et
non délibératives ». Lesdits représentants seront au nombre de vin gt, à
savoir dix femmes et dix hommes, proposés par les trois listes ayant
obtenu des élus au conseil municipal : celle dunion de la gauche «
Saint-Denis Pour Tous », celle du PS, et celle de lUMP-MoDem.
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de lidée politiq ue
de citoyenneté. La municipalité en a bien conscience, puisque le maire
adjoint Francis Langlade, futur président du comité, tient à préci ser :
« Ces séances non délibératives sont le moyen trouvé pour associ er nos
habitants étrangers à toute la vie municipale sans risquer dentache r
dillégalité les actes du conseil municipal. » Et, pour que ce soi t bien
clair, il ajoute que les membres du comité pourront être invités à
prendre la parole lors du conseil municipal, « mais cela restera
occasionnel pour éviter laccusation dillégalité ».
Ce souci répétitif déviter laccusation dillégalité est manifeste
dune prise de conscience. Celle dagir à la marge de la loi. Ces t,
selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour fair e
changer la loi.
Mais cela va plus loin Sans parler de philosophie politique, il
faudrait changer au moins notre vocabulaire (et nos dictionnair es).
Il est clair quil ne saurait y avoir, comme laffirme la municipalit é,
de « citoyen étranger ». La contradiction est évidente. Il y a des
habitants, des résidents étrangers. Un « citoyen étranger », ce serait,
en quelque sorte, lextension du droit du sol à ladulte.
Et ce serait, assurément, la mort des cités. Si les citoyens nont p lus
entre eux, pour les unir, lamour du don commun reçu de leurs pères,
leur patrimoine, ils ne seront bientôt plus, les uns pour les autres,
que des étrangers !
LA PESTE
Un jour les Rats puants sortirent des égouts
Attendirent la nuit pour faire leur sale coup.
La quête de victimes fut leur premier labeur,
Ils portèrent leur haine contre les migrateurs,
Qui quoique bien tranquilles et sans la moindre histoire,
Se virent désignés victimes expiatoires.
La crise faisait rage , les sphères du pouvoir
Tout en niant les faits laissaient bien entrevoir
Que la situation ne faisant qu'empirer
Cela venait bien sûr du côté étranger.
Les oiseaux migrateurs boucs émissaires trouvés,
Toute une politique pouvait être exploitée.
Les rongeurs remuants guidés par leur führer,
Borgne mais grande gueule, firent son discours leur.
Il n'y était question que d'insécurité,
De vol à l'étalage, d'homosexualité,
D'emplois accaparés, de culture inférieure
Tout ça mis sur le dos des oiseaux migrateurs.
En terre d'Occitanie la tolérance est reine
Et nul n'aurait songé y voir surgir la haine.
La Résistance avait aux amis de ces Rats
Dans des temps plus anciens, mené un grand combat.
Le temps étant passé, l'oubli faisant drapeau
La vermine insolente ressortit son museau.
Le Rat borgne délégua dans notre lointaine terre
Un complice intégriste, sectaire et délétère,
De ces individus qui ment comme un rapace
Et qui ne peut voir clair qu'avec ceux de sa race.
Les oiseaux migrateurs étaient dans son esprit
Comme les Juifs jadis promis à l'interdit.
Il cite Jeanne d'Arc comme porte drapeaux
Fait de Charles Martel un très moderne héros.
Veut qu'on fasse des enfants, combat l'avortement,
Des rejetons tous blonds, trois quatre par maman.
Ainsi sera menée dans son esprit malade,
Pour prendre le pouvoir, la dernière croisade.
La peste est transmissible et les événements
Qui suivent ces discours démontrent abondamment.
Des esprits faibles cèdent à ce nouveau délire,
Et permettent aux Rats de se refaire élire
Ne voyant pas qu'à terme l'attitude servile,
Ne peut que terminer dans la guerre civile.
Chemin faisant, pourtant, la peste s'infiltra
Dans une bonne partie de tout l'électorat.
Point par point, elle s'installe dans la conscience rude
Des citoyens perdus en quête de certitudes.
Le chômeur et l'exclu, le cadre sur le pavé,
Se demandent en rêvant où est la vérité.
Les Blaireaux et les Loups qui furent au pouvoir
Etaient bien incapables de leur ouvrir l'espoir,
Et c'est en désespoir de voir enfin le bout
Que certains parmi eux rejoignent les égouts.
lls sont en ce moment, quoique minoritaires,
Prêts à suivre leurs chefs, autres velléitaires.
Renard sentant le vent qui se met à tourner
De l'occasion voulut simplement profiter,
Tout en se réclamant amis de tous les gens,
C'est d'un regard oblique qu'il renvoie aux migrants,
Surtout les plus suspects qui ont l'impertinence
De vouloir en sa ville se passer l'alliance.
La peste est toujours là, sournoise et dangereuse
Capable de surgir de l'idée nuageuse
Que nos difficultés sont dues à l'étranger
Qui n'attend qu'une chose: occuper le plancher.
SOS Racisme, la Ligue et Ras l'Front
Sont là pour nous aider à sauver la maison.
Il est bien plus facile de trouver la raison,
De nos difficultés en dehors de la nation.
Il se trouve toujours quelques individus
Pour faire croir' aux simplets qu'en guise de vertu,
Persécuter les autres est une solution
Et ainsi sacrifier la paix et la raison.
Après un référendum (symbolique et illégal) dinitiative locale sur le droit de vote des étrangers au motif quil est difficile de « de mander à certains jeunes de respecter les lois de la République, quand on interdit à leurs parents de voter » , la municipalité communis te de Saint-Denis installait, ce jeudi, un Comité consultatif des citoyens étrangers, qui devrait être systématiquement associé à la prép aration des conseils municipaux. Le principe en figurait dans les engagements électoraux du maire Didier Paillard lors de la dernière campagne munic ipale.
Saint-Denis entend ainsi, explique la municipalité, « franchir une nouvelle étape dans la conquête de légalité des droits civiques pour tous les habitants, en permettant à des représentants des citoyens étrangers de participer à des séances du conseil municipal privées et non délibératives ». Lesdits représentants seront au nombre de vin gt, à savoir dix femmes et dix hommes, proposés par les trois listes ayant obtenu des élus au conseil municipal : celle dunion de la gauche « Saint-Denis Pour Tous », celle du PS, et celle de lUMP-MoDem.
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de lidée politiq ue de citoyenneté. La municipalité en a bien conscience, puisque le maire adjoint Francis Langlade, futur président du comité, tient à préci ser : « Ces séances non délibératives sont le moyen trouvé pour associ er nos habitants étrangers à toute la vie municipale sans risquer dentache r dillégalité les actes du conseil municipal. » Et, pour que ce soi t bien clair, il ajoute que les membres du comité pourront être invités à prendre la parole lors du conseil municipal, « mais cela restera occasionnel pour éviter laccusation dillégalité ».
Ce souci répétitif déviter laccusation dillégalité est manifeste dune prise de conscience. Celle dagir à la marge de la loi. Ces t, selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour fair e changer la loi.
Mais cela va plus loin Sans parler de philosophie politique, il faudrait changer au moins notre vocabulaire (et nos dictionnair es). Il est clair quil ne saurait y avoir, comme laffirme la municipalit é, de « citoyen étranger ». La contradiction est évidente. Il y a des habitants, des résidents étrangers. Un « citoyen étranger », ce serait, en quelque sorte, lextension du droit du sol à ladulte.
Et ce serait, assurément, la mort des cités. Si les citoyens nont p lus entre eux, pour les unir, lamour du don commun reçu de leurs pères, leur patrimoine, ils ne seront bientôt plus, les uns pour les autres, que des étrangers !
LA PESTE
Un jour les Rats puants sortirent des égouts Attendirent la nuit pour faire leur sale coup. La quête de victimes fut leur premier labeur, Ils portèrent leur haine contre les migrateurs, Qui quoique bien tranquilles et sans la moindre histoire, Se virent désignés victimes expiatoires.
La crise faisait rage , les sphères du pouvoir Tout en niant les faits laissaient bien entrevoir Que la situation ne faisant qu'empirer Cela venait bien sûr du côté étranger. Les oiseaux migrateurs boucs émissaires trouvés, Toute une politique pouvait être exploitée.
Les rongeurs remuants guidés par leur führer, Borgne mais grande gueule, firent son discours leur. Il n'y était question que d'insécurité, De vol à l'étalage, d'homosexualité, D'emplois accaparés, de culture inférieure Tout ça mis sur le dos des oiseaux migrateurs.
En terre d'Occitanie la tolérance est reine Et nul n'aurait songé y voir surgir la haine. La Résistance avait aux amis de ces Rats Dans des temps plus anciens, mené un grand combat. Le temps étant passé, l'oubli faisant drapeau La vermine insolente ressortit son museau.
Le Rat borgne délégua dans notre lointaine terre Un complice intégriste, sectaire et délétère, De ces individus qui ment comme un rapace Et qui ne peut voir clair qu'avec ceux de sa race. Les oiseaux migrateurs étaient dans son esprit Comme les Juifs jadis promis à l'interdit.
Il cite Jeanne d'Arc comme porte drapeaux Fait de Charles Martel un très moderne héros. Veut qu'on fasse des enfants, combat l'avortement, Des rejetons tous blonds, trois quatre par maman. Ainsi sera menée dans son esprit malade, Pour prendre le pouvoir, la dernière croisade.
La peste est transmissible et les événements Qui suivent ces discours démontrent abondamment. Des esprits faibles cèdent à ce nouveau délire, Et permettent aux Rats de se refaire élire Ne voyant pas qu'à terme l'attitude servile, Ne peut que terminer dans la guerre civile.
Chemin faisant, pourtant, la peste s'infiltra Dans une bonne partie de tout l'électorat. Point par point, elle s'installe dans la conscience rude Des citoyens perdus en quête de certitudes. Le chômeur et l'exclu, le cadre sur le pavé, Se demandent en rêvant où est la vérité.
Les Blaireaux et les Loups qui furent au pouvoir Etaient bien incapables de leur ouvrir l'espoir, Et c'est en désespoir de voir enfin le bout Que certains parmi eux rejoignent les égouts. lls sont en ce moment, quoique minoritaires, Prêts à suivre leurs chefs, autres velléitaires.
Renard sentant le vent qui se met à tourner De l'occasion voulut simplement profiter, Tout en se réclamant amis de tous les gens, C'est d'un regard oblique qu'il renvoie aux migrants, Surtout les plus suspects qui ont l'impertinence De vouloir en sa ville se passer l'alliance.
La peste est toujours là, sournoise et dangereuse Capable de surgir de l'idée nuageuse Que nos difficultés sont dues à l'étranger Qui n'attend qu'une chose: occuper le plancher. SOS Racisme, la Ligue et Ras l'Front Sont là pour nous aider à sauver la maison.
Il est bien plus facile de trouver la raison, De nos difficultés en dehors de la nation. Il se trouve toujours quelques individus Pour faire croir' aux simplets qu'en guise de vertu, Persécuter les autres est une solution Et ainsi sacrifier la paix et la raison.
La Belette
Goulafra
dlink wrote in news:fu7q4e$u83$:
Après un référendum (symbolique et illégal) d’initiative locale
expliquez-moi donc en quoi ce referendum est illégal
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de l’idée politique de citoyenneté.
ça, c'est vous qui le dites, ou du moins celui ou ceux dont vous vous faites l'écho.
Ce souci répétitif d’éviter l’accusation d’illégalité est manifeste d’une prise de conscience. Celle d’agir à la marge de la loi. C’est, selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour faire changer la loi.
oui : lorsque la loi est injuste, il est nécessaire de la modifier
Et ce serait, assurément, la mort des cités.
ah ?
Si les citoyens n’ont plus entre eux, pour les unir, l’amour du don commun reçu de leurs pères,
les étrangers n'ont pas de père ?
leur patrimoine,
les étrangers n'ont pas de patrimoine ?
ils ne seront bientôt plus, les uns pour les autres, que des… étrangers !
n'importe quoi ! vous délirez.
dlink <dlink@clochettes.fr> wrote in news:fu7q4e$u83$4@aioe.org:
Après un référendum (symbolique et illégal) d’initiative locale
expliquez-moi donc en quoi ce referendum est illégal
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de l’idée politique
de citoyenneté.
ça, c'est vous qui le dites, ou du moins celui ou ceux dont vous vous
faites l'écho.
Ce souci répétitif d’éviter l’accusation d’illégalité est manifeste
d’une prise de conscience. Celle d’agir à la marge de la loi. C’est,
selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour
faire changer la loi.
oui : lorsque la loi est injuste, il est nécessaire de la modifier
Et ce serait, assurément, la mort des cités.
ah ?
Si les citoyens n’ont
plus entre eux, pour les unir, l’amour du don commun reçu de leurs
pères,
les étrangers n'ont pas de père ?
leur patrimoine,
les étrangers n'ont pas de patrimoine ?
ils ne seront bientôt plus, les uns pour les
autres, que des… étrangers !
Après un référendum (symbolique et illégal) d’initiative locale
expliquez-moi donc en quoi ce referendum est illégal
Nous sommes là devant une fracture, une perversion de l’idée politique de citoyenneté.
ça, c'est vous qui le dites, ou du moins celui ou ceux dont vous vous faites l'écho.
Ce souci répétitif d’éviter l’accusation d’illégalité est manifeste d’une prise de conscience. Celle d’agir à la marge de la loi. C’est, selon une technique éprouvée, un moyen de pression classique pour faire changer la loi.
oui : lorsque la loi est injuste, il est nécessaire de la modifier
Et ce serait, assurément, la mort des cités.
ah ?
Si les citoyens n’ont plus entre eux, pour les unir, l’amour du don commun reçu de leurs pères,
les étrangers n'ont pas de père ?
leur patrimoine,
les étrangers n'ont pas de patrimoine ?
ils ne seront bientôt plus, les uns pour les autres, que des… étrangers !
n'importe quoi ! vous délirez.
dlink
Serge a écrit :
"dlink" a écrit dans le message de news: fu7q4e$u83$
Après un référendum (symbolique et illégal) .../...
Bonsoir,
Je n'ai pas compris quelle était la QUESTION de DROIT ?
Serge
Vous avez vu le mot illégal ???????????
Serge a écrit :
"dlink" <dlink@clochettes.fr> a écrit dans le message de news:
fu7q4e$u83$4@aioe.org...
Après un référendum (symbolique et illégal) .../...
Bonsoir,
Je n'ai pas compris quelle était la QUESTION de DROIT ?