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Sarkozy veut baisser les impôts de 5 points

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tonton68
BAISSER DE 4 POINTS LE NIVEAU DES PRELEVEMENTS OBLIGATOIRES : C'EST POSSIBLE
ET NECESSAIRE! SEGOLENE VEUT LES AUGMENTER!

1. Un système fiscal français générateur d'inégalités et d'inefficacités :

le poids des prélèvements obligatoires est trop élevé en France (45,3% du
PIB, chiffres Eurostat) par rapport à la moyenne de l'Union européenne à 15
(41%, et même, pour certains pays, beaucoup moins : Royaume-Uni 35, Espagne
35, Irlande 32). Malgré ce niveau de prélèvements obligatoires, nous n'avons
eu aucun budget en équilibre depuis 25 ans et la dette publique ne cesse de
se creuser ;
le niveau des prélèvements obligatoires sur les facteurs mobiles de richesse
(capitaux ; travailleurs très qualifiés ; travail non qualifié cf.
délocalisations) est excessif et nuit à l'attractivité de la France ;
les impôts sont mal répartis entre les différents contributeurs et pèsent
trop sur le travail dans le contexte de la mondialisation. La fiscalité
écologique est quasi inexistante ;
enfin, chaque impôt en France pose un problème spécifique : l'impôt sur les
sociétés (trop élevé par rapport à la moyenne de l'UE à 25 et truffé de
niches) ; la taxe professionnelle (qui pèse sur les facteurs de production
alors que tout le monde sait qu'un bon impôt doit peser sur la richesse
produite) ; l'ISF (la France est le seul pays européen avec l'Espagne et le
Luxembourg à avoir encore un impôt sur la fortune et celui-ci crée un manque
à gagner fiscal estimé à 7Mds d'euros alors même qu'il n'en rapporte que 3)
; le taux trop élevé des cotisations sociales patronales ; l'impôt sur le
revenu qui comporte trop de niches et n'est pas payé par 50% des
contribuables ; etc.
2. La réforme fiscale est donc un impératif pour notre pays. Elle doit avoir
pour objet :
de simplifier le dispositif. Le Code général des impôts est trop épais, trop
compliqué. Il faut garantir la sécurité juridique du droit fiscal et
interdire la rétroactivité fiscale ;
de fonder notre système fiscal sur des valeurs (le travail, l'initiative, la
prise de risque, la famille) ;
de réduire le niveau général des prélèvements obligatoires et de le ramener
à la moyenne de l'UE à 15 (ce qui revient à rendre 68 milliards d'euros aux
Français) ;
enfin, de tenir compte du nouveau contexte international. Concrètement :
il faut baisser la fiscalité sur le travail en expérimentant la TVA sociale
;
il faut baisser les taux marginaux d'imposition des facteurs mobiles de
production ;
il faut augmenter la fiscalité écologique (taxe sur le carbone importé ;
taxe sur les emballages ; redevance pour utilisation des infrastructures
routières ...) ;
il faut concilier l'équité du système fiscal et l'attractivité du territoire
(d'où la proposition d'un ISF « intelligent » et du bouclier fiscal).
3. Quant à notre capacité financière à réduire de 4 points le poids des
prélèvements obligatoires en 10 ans, tout en réduisant les déficits et la
dette, elle ne pose aucune difficulté :
quasiment un quart de l'effort (15 milliards d'euros) sera fait au travers
du collectif budgétaire de l'été 2007. Les mesures produiront leur plein
effet progressivement de telle sorte que le déficit budgétaire atteindra
2,7% du PIB fin 2007 au lieu de 2,5 selon les prévisions de la loi de
finances pour 2007, et 2,9% du PIB en 2008, c'est-à-dire des seuils
compatibles avec les critères du traité de Maastricht. A supposer que nous
soyons légèrement au dessus du seuil de 3% et, en tout état de cause, pour
justifier la légère et temporaire augmentation de la dette de 0,5 point de
PIB, il sera tout à fait possible d'expliquer, auprès de la Commission
européenne, la pertinence de ces mesures pour stimuler la croissance ;
L'analyse de Rexecode a montré que la seule mesure d'exonération des heures
supplémentaires permettait de doper la croissance de 1,3 point de PIB.
enfin, il convient de rappeler que baisser les prélèvements obligatoires de
68 Mds d'euros en dix ans représente un redéploiement des dépenses publiques
de 11,5% (hypothèse de 590 Mds de dépenses redéployables), ce qui est une
hypothèse très raisonnable. Le Canada en a redéployé 10% en quatre ans
(1995-1999).

--
un sourire ne coûte rien à celui qui l'offre mais apporte beaucoup à celui
qui le reçois

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Les baisser pour qui?
"tonton68" a écrit dans le message de news:
4638d2c2$0$27376$
BAISSER DE 4 POINTS LE NIVEAU DES PRELEVEMENTS OBLIGATOIRES : C'EST
POSSIBLE ET NECESSAIRE! SEGOLENE VEUT LES AUGMENTER!

1. Un système fiscal français générateur d'inégalités et d'inefficacités :

le poids des prélèvements obligatoires est trop élevé en France (45,3% du
PIB, chiffres Eurostat) par rapport à la moyenne de l'Union européenne à
15 (41%, et même, pour certains pays, beaucoup moins : Royaume-Uni 35,
Espagne 35, Irlande 32). Malgré ce niveau de prélèvements obligatoires,
nous n'avons eu aucun budget en équilibre depuis 25 ans et la dette
publique ne cesse de se creuser ;
le niveau des prélèvements obligatoires sur les facteurs mobiles de
richesse (capitaux ; travailleurs très qualifiés ; travail non qualifié
cf. délocalisations) est excessif et nuit à l'attractivité de la France ;
les impôts sont mal répartis entre les différents contributeurs et pèsent
trop sur le travail dans le contexte de la mondialisation. La fiscalité
écologique est quasi inexistante ;
enfin, chaque impôt en France pose un problème spécifique : l'impôt sur
les sociétés (trop élevé par rapport à la moyenne de l'UE à 25 et truffé
de niches) ; la taxe professionnelle (qui pèse sur les facteurs de
production alors que tout le monde sait qu'un bon impôt doit peser sur la
richesse produite) ; l'ISF (la France est le seul pays européen avec
l'Espagne et le Luxembourg à avoir encore un impôt sur la fortune et
celui-ci crée un manque à gagner fiscal estimé à 7Mds d'euros alors même
qu'il n'en rapporte que 3) ; le taux trop élevé des cotisations sociales
patronales ; l'impôt sur le revenu qui comporte trop de niches et n'est
pas payé par 50% des contribuables ; etc.
2. La réforme fiscale est donc un impératif pour notre pays. Elle doit
avoir pour objet :
de simplifier le dispositif. Le Code général des impôts est trop épais,
trop compliqué. Il faut garantir la sécurité juridique du droit fiscal et
interdire la rétroactivité fiscale ;
de fonder notre système fiscal sur des valeurs (le travail, l'initiative,
la prise de risque, la famille) ;
de réduire le niveau général des prélèvements obligatoires et de le
ramener à la moyenne de l'UE à 15 (ce qui revient à rendre 68 milliards
d'euros aux Français) ;
enfin, de tenir compte du nouveau contexte international. Concrètement :
il faut baisser la fiscalité sur le travail en expérimentant la TVA
sociale ;
il faut baisser les taux marginaux d'imposition des facteurs mobiles de
production ;
il faut augmenter la fiscalité écologique (taxe sur le carbone importé ;
taxe sur les emballages ; redevance pour utilisation des infrastructures
routières ...) ;
il faut concilier l'équité du système fiscal et l'attractivité du
territoire (d'où la proposition d'un ISF « intelligent » et du bouclier
fiscal).
3. Quant à notre capacité financière à réduire de 4 points le poids des
prélèvements obligatoires en 10 ans, tout en réduisant les déficits et la
dette, elle ne pose aucune difficulté :
quasiment un quart de l'effort (15 milliards d'euros) sera fait au travers
du collectif budgétaire de l'été 2007. Les mesures produiront leur plein
effet progressivement de telle sorte que le déficit budgétaire atteindra
2,7% du PIB fin 2007 au lieu de 2,5 selon les prévisions de la loi de
finances pour 2007, et 2,9% du PIB en 2008, c'est-à-dire des seuils
compatibles avec les critères du traité de Maastricht. A supposer que nous
soyons légèrement au dessus du seuil de 3% et, en tout état de cause, pour
justifier la légère et temporaire augmentation de la dette de 0,5 point de
PIB, il sera tout à fait possible d'expliquer, auprès de la Commission
européenne, la pertinence de ces mesures pour stimuler la croissance ;
L'analyse de Rexecode a montré que la seule mesure d'exonération des
heures supplémentaires permettait de doper la croissance de 1,3 point de
PIB.
enfin, il convient de rappeler que baisser les prélèvements obligatoires
de 68 Mds d'euros en dix ans représente un redéploiement des dépenses
publiques de 11,5% (hypothèse de 590 Mds de dépenses redéployables), ce
qui est une hypothèse très raisonnable. Le Canada en a redéployé 10% en
quatre ans (1995-1999).

--
un sourire ne coûte rien à celui qui l'offre mais apporte beaucoup à celui
qui le reçois



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Oldflanker
Hello, @club-internet.fr!
You wrote on Wed, 2 May 2007 21:23:28 +0200:

Les baisser pour qui?


Pour ceux qui en payent bien sûr, pour les sponsorisés permanents de
la république, pas besoin de leur baisser ce qu'ils ne payent pas, ils
ne font que recevoir et n'ont jamais rien donné à qui que ce soit.

With best regards, Oldflanker. E-mail:

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david
et il utilise quoi ?
focale de 18 ou 200 ?
photoshop, paintshoppro, ou paint ?
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Ceux qui n'en payent pas sont parfois des entrepreneurs qui du fait de leurs
investissements et de leur petite famille sont non imposable.
Pas d'explications simplistes....Je me souviens d'un Giscard non
imposable...
Je connais des revenus de couple de 2000?
(2 personnes) Imposable.
Alors pas de stupidité
Alors pas de mensonges
Les profiteurs ne sont pas où vous voullez les montrer.
M.R.
"Oldflanker" a écrit dans le message de news:
46399d2e$0$25911$
Hello, @club-internet.fr!
You wrote on Wed, 2 May 2007 21:23:28 +0200:

Les baisser pour qui?


Pour ceux qui en payent bien sûr, pour les sponsorisés permanents de la
république, pas besoin de leur baisser ce qu'ils ne payent pas, ils ne
font que recevoir et n'ont jamais rien donné à qui que ce soit.

With best regards, Oldflanker. E-mail:




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Jojodel
et il utilise quoi ?
focale de 18 ou 200 ?
photoshop, paintshoppro, ou paint ?



Je crois qu'en fait, il travaille directement le raw avec un dératiseur

ou dékarchérisateur ou quelque chose comme çà...