Je reviens sur ce sujet qui me pose problèmes (évidemment).
Il n'est pas - pour l'instant - question de divorce avec ma femme. La
question de séparation de domicile, par contre, oui.
Dans le fond, je me demande si le droit exige que la femme et le mari
co-habitent. Je ne connais pas le droit sur ce point et je me demande
donc si nous avons l'obligation d'habiter ensemble.
Si oui, nous serons en infraction et il faudra trouver des solutions.
Si non, rien de nous empêche de vivre séparément. Il n'est évidemment
pas question de pension pour enfants mineurs, les notres sont majeurs
depuis longtemps. Il faudra trouver, entre nous, le moyen de partager
nos revenus. Enfin, je devrais plutôt parler de *mes* revenus car ma
femme n'en a aucun ! Le seul bien que nous avons en commun est constitué
par notre maison achetée depuis plus de 35 ans et qu'il faudra revendre.
Je rappelle que nous sommes mariés depuis 1966 sans contrat.
En d'autres mots, pourra-t-on-éclairer ma lanterne sur le point de la
séparation des lieux d'habitation individuel ?
Merci de votre réponse
--
JJG
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L'ISF est l'impôt qui donne lieu aux plus réjouissantes extravagances.
C'est ce que me disait mon cousin Jean-Philippe, qui travaillait au centre des impôts. A une remarque de ma part, qui lui disait qu'à mon avis, les riches ayant suffisamment pour vivre, ne devaient pas trop tricher sur les impôts, par rapport aux pauvres, qui devaient joindre les deux bouts, et essayer de survivre, il m'a répondu: "Mais non, ce sont eux les pires". J'ai eu du mal à le croire. Mais finalement, c'était et c'est son boulot, en fait. Je ne contredis plus un professionnel. Je ne dis pas que je cautionne le fait d'être inspecteur des impôts, ce que je considère comme un dégout, depuis que j'ai compris ce qui s'est passé en 1913, et la création de l'impôt sur le revenu en Amérique. Notion de grosseur de bite. Je dis que je comprends ce qu'il m'a dit. Mais juste ça. Le reste, je parle de l'évasion fiscale, et de l'étrange mutisme des contrôleurs fiscaux. Tout cela me rappelant les journalistes français, très puissants, et des grosses couilles* pendues au cul quand il s'agissait de Christine Villemin. Alors qu'ailleurs, on entendait le doux chant des cigales. Le doux chant des cigales... R.H. * aussi grosses et pendues qu'elles soient, beaucoup de femmes préfèrent se mettre gouines. Cherchez l'erreur.
Le 20/08/2016 à 17:03, dmkgbt@free.invalid (Dominique G.) a écrit :
L'ISF est l'impôt qui donne lieu aux plus réjouissantes extravagances.
C'est ce que me disait mon cousin Jean-Philippe, qui travaillait au centre
des impôts.
A une remarque de ma part, qui lui disait qu'à mon avis, les riches ayant
suffisamment pour vivre,
ne devaient pas trop tricher sur les impôts, par rapport aux pauvres, qui
devaient joindre les deux bouts, et essayer de survivre, il m'a répondu:
"Mais non, ce sont eux les pires".
J'ai eu du mal à le croire.
Mais finalement, c'était et c'est son boulot, en fait.
Je ne contredis plus un professionnel.
Je ne dis pas que je cautionne le fait d'être inspecteur des impôts, ce
que je considère
comme un dégout, depuis que j'ai compris ce qui s'est passé en 1913, et
la création
de l'impôt sur le revenu en Amérique.
Notion de grosseur de bite.
Je dis que je comprends ce qu'il m'a dit.
Mais juste ça.
Le reste, je parle de l'évasion fiscale, et de l'étrange mutisme des
contrôleurs fiscaux.
Tout cela me rappelant les journalistes français, très puissants, et des
grosses couilles*
pendues au cul quand il s'agissait de Christine Villemin.
Alors qu'ailleurs, on entendait le doux chant des cigales.
Le doux chant des cigales...
R.H.
* aussi grosses et pendues qu'elles soient, beaucoup de femmes préfèrent
se mettre gouines.
Cherchez l'erreur.
L'ISF est l'impôt qui donne lieu aux plus réjouissantes extravagances.
C'est ce que me disait mon cousin Jean-Philippe, qui travaillait au centre des impôts. A une remarque de ma part, qui lui disait qu'à mon avis, les riches ayant suffisamment pour vivre, ne devaient pas trop tricher sur les impôts, par rapport aux pauvres, qui devaient joindre les deux bouts, et essayer de survivre, il m'a répondu: "Mais non, ce sont eux les pires". J'ai eu du mal à le croire. Mais finalement, c'était et c'est son boulot, en fait. Je ne contredis plus un professionnel. Je ne dis pas que je cautionne le fait d'être inspecteur des impôts, ce que je considère comme un dégout, depuis que j'ai compris ce qui s'est passé en 1913, et la création de l'impôt sur le revenu en Amérique. Notion de grosseur de bite. Je dis que je comprends ce qu'il m'a dit. Mais juste ça. Le reste, je parle de l'évasion fiscale, et de l'étrange mutisme des contrôleurs fiscaux. Tout cela me rappelant les journalistes français, très puissants, et des grosses couilles* pendues au cul quand il s'agissait de Christine Villemin. Alors qu'ailleurs, on entendait le doux chant des cigales. Le doux chant des cigales... R.H. * aussi grosses et pendues qu'elles soient, beaucoup de femmes préfèrent se mettre gouines. Cherchez l'erreur.
