meta wrote:
La preuve que vous ne me connaissez pas : vous m'interpellez comme si
j'étais un homme.
Or, comme vous l'avez si bien écrit :
"1) je SUIS une femme"
meta <sqdqsf@qsfsqf.fr> wrote:
La preuve que vous ne me connaissez pas : vous m'interpellez comme si
j'étais un homme.
Or, comme vous l'avez si bien écrit :
"1) je SUIS une femme"
meta wrote:
La preuve que vous ne me connaissez pas : vous m'interpellez comme si
j'étais un homme.
Or, comme vous l'avez si bien écrit :
"1) je SUIS une femme"
"Christian Navis" a écrit dans le message de groupe de discussion :
5291256a$0$2054$
meta a écrit :Ecrire régulièrement à un organisme à caractère public afin de déposer des
réclamations au sujet de diverses malversations de la part des responsables
et ne jamais recevoir de réponses qu'elles soient positives ou négatives
peut-il être considéré comme une forme de harcèlement moral à la longue
(ici 2 ans) ?
Il faudrait en savoir plus sur vos démélés avec cet organisme pour
vous faire une réponse circonstanciée.
D'abord parce les "embrouilles" ou "malversations" pour le public
ne correspondent pas forcément à une qualification pénale.
Ensuite because, si une incrimination est envisageable, avec plainte
éventuelle, il faut des preuves ou au moins des indices cohérents
et concordants.
Néanmoins, si vous ne voulez pas exposer en détails vos tribulations,
sachez que si votre dossier ne contient pas des éléments solides,
le fait de réclamer contre des malversations que vous ne pourriez
pas prouver, peut vous rendre passible de l'art 226 - 10 du code pénal
relatif à la dénonciation calomnieuse.De même qu'une attente imposée trop longue par rapport à l'urgence du
problème.
Le je-m'en-foutisme des employés de certains services publics n'est pas
forcément constitutif d'une faute administrative s'ils ont respecté
les formes et délais prescrits, d'autant qu'il y a de nombreux cas où
le silence de l'administration est une alternative actée dans
lestextes.
Là encore, il faudrait connaître le fond de votre affaire.
Bonjour,
Avant tout, merci pour votre réponse courtoise et objective, qui semble
émaner d'une personne un peu plus équilibrée que celles qu'on voit trainer en
surnombre sur ce forum.
Il est difficile de donner des détails sur un forum public où pour 10
attaques personnelles vous obtenez une réponse sensée.
Disons qu'il y a eu de
la diffamation, des services non ou mal rendus, des comportements gratuits
qui n'étaient pas liés à une quelconque action de ma part.
Les responsables
savent parfaitement à quoi s'en tenir et ne répondent pas parce que ce serait
reconnaitre des faits réels (n'en déplaises aux excités qui m'ont prise à
partie),
mais en attendant je me retrouve sans moyen de me retourner contre
eux. Par contre leur silence systématique démontre qu'ils ne font pas leur
travail du fait de ne pas répondre à des courriers et encore plus à des
plaintes que ce soit en bien ou en mal, induisant de ce fait une volonté
d'envenimer les choses et effectivement je leur ai écrit davantage.
Je ne pense pas
qu'ils puissent justifier de délais de réponse dans mon cas. Est-ce
que les emails que je leur ai envoyé et que je conserve sont légalement
utilisables ? Il n'y a jamais eu de rar (je sais j'aurais du). Et même si
tout est loin d'être passé inaperçu, les gens témoignent rarement s'ils ne
sont pas directement concernés.
"Christian Navis" a écrit dans le message de groupe de discussion :
5291256a$0$2054$426a74cc@news.free.fr...
meta a écrit :
Ecrire régulièrement à un organisme à caractère public afin de déposer des
réclamations au sujet de diverses malversations de la part des responsables
et ne jamais recevoir de réponses qu'elles soient positives ou négatives
peut-il être considéré comme une forme de harcèlement moral à la longue
(ici 2 ans) ?
Il faudrait en savoir plus sur vos démélés avec cet organisme pour
vous faire une réponse circonstanciée.
D'abord parce les "embrouilles" ou "malversations" pour le public
ne correspondent pas forcément à une qualification pénale.
Ensuite because, si une incrimination est envisageable, avec plainte
éventuelle, il faut des preuves ou au moins des indices cohérents
et concordants.
Néanmoins, si vous ne voulez pas exposer en détails vos tribulations,
sachez que si votre dossier ne contient pas des éléments solides,
le fait de réclamer contre des malversations que vous ne pourriez
pas prouver, peut vous rendre passible de l'art 226 - 10 du code pénal
relatif à la dénonciation calomnieuse.
De même qu'une attente imposée trop longue par rapport à l'urgence du
problème.
Le je-m'en-foutisme des employés de certains services publics n'est pas
forcément constitutif d'une faute administrative s'ils ont respecté
les formes et délais prescrits, d'autant qu'il y a de nombreux cas où
le silence de l'administration est une alternative actée dans
lestextes.
Là encore, il faudrait connaître le fond de votre affaire.
Bonjour,
Avant tout, merci pour votre réponse courtoise et objective, qui semble
émaner d'une personne un peu plus équilibrée que celles qu'on voit trainer en
surnombre sur ce forum.
Il est difficile de donner des détails sur un forum public où pour 10
attaques personnelles vous obtenez une réponse sensée.
Disons qu'il y a eu de
la diffamation, des services non ou mal rendus, des comportements gratuits
qui n'étaient pas liés à une quelconque action de ma part.
Les responsables
savent parfaitement à quoi s'en tenir et ne répondent pas parce que ce serait
reconnaitre des faits réels (n'en déplaises aux excités qui m'ont prise à
partie),
mais en attendant je me retrouve sans moyen de me retourner contre
eux. Par contre leur silence systématique démontre qu'ils ne font pas leur
travail du fait de ne pas répondre à des courriers et encore plus à des
plaintes que ce soit en bien ou en mal, induisant de ce fait une volonté
d'envenimer les choses et effectivement je leur ai écrit davantage.
Je ne pense pas
qu'ils puissent justifier de délais de réponse dans mon cas. Est-ce
que les emails que je leur ai envoyé et que je conserve sont légalement
utilisables ? Il n'y a jamais eu de rar (je sais j'aurais du). Et même si
tout est loin d'être passé inaperçu, les gens témoignent rarement s'ils ne
sont pas directement concernés.
"Christian Navis" a écrit dans le message de groupe de discussion :
5291256a$0$2054$
meta a écrit :Ecrire régulièrement à un organisme à caractère public afin de déposer des
réclamations au sujet de diverses malversations de la part des responsables
et ne jamais recevoir de réponses qu'elles soient positives ou négatives
peut-il être considéré comme une forme de harcèlement moral à la longue
(ici 2 ans) ?
Il faudrait en savoir plus sur vos démélés avec cet organisme pour
vous faire une réponse circonstanciée.
D'abord parce les "embrouilles" ou "malversations" pour le public
ne correspondent pas forcément à une qualification pénale.
Ensuite because, si une incrimination est envisageable, avec plainte
éventuelle, il faut des preuves ou au moins des indices cohérents
et concordants.
Néanmoins, si vous ne voulez pas exposer en détails vos tribulations,
sachez que si votre dossier ne contient pas des éléments solides,
le fait de réclamer contre des malversations que vous ne pourriez
pas prouver, peut vous rendre passible de l'art 226 - 10 du code pénal
relatif à la dénonciation calomnieuse.De même qu'une attente imposée trop longue par rapport à l'urgence du
problème.
Le je-m'en-foutisme des employés de certains services publics n'est pas
forcément constitutif d'une faute administrative s'ils ont respecté
les formes et délais prescrits, d'autant qu'il y a de nombreux cas où
le silence de l'administration est une alternative actée dans
lestextes.
Là encore, il faudrait connaître le fond de votre affaire.
Bonjour,
Avant tout, merci pour votre réponse courtoise et objective, qui semble
émaner d'une personne un peu plus équilibrée que celles qu'on voit trainer en
surnombre sur ce forum.
Il est difficile de donner des détails sur un forum public où pour 10
attaques personnelles vous obtenez une réponse sensée.
Disons qu'il y a eu de
la diffamation, des services non ou mal rendus, des comportements gratuits
qui n'étaient pas liés à une quelconque action de ma part.
Les responsables
savent parfaitement à quoi s'en tenir et ne répondent pas parce que ce serait
reconnaitre des faits réels (n'en déplaises aux excités qui m'ont prise à
partie),
mais en attendant je me retrouve sans moyen de me retourner contre
eux. Par contre leur silence systématique démontre qu'ils ne font pas leur
travail du fait de ne pas répondre à des courriers et encore plus à des
plaintes que ce soit en bien ou en mal, induisant de ce fait une volonté
d'envenimer les choses et effectivement je leur ai écrit davantage.
Je ne pense pas
qu'ils puissent justifier de délais de réponse dans mon cas. Est-ce
que les emails que je leur ai envoyé et que je conserve sont légalement
utilisables ? Il n'y a jamais eu de rar (je sais j'aurais du). Et même si
tout est loin d'être passé inaperçu, les gens témoignent rarement s'ils ne
sont pas directement concernés.
Il est difficile de donner des détails sur un forum public où pour 10
attaques personnelles vous obtenez une réponse sensée.
Disons qu'il y a eu de
la diffamation, des services non ou mal rendus, des comportements gratuits
qui n'étaient pas liés à une quelconque action de ma part.
Est-ce
que les emails que je leur ai envoyé et que je conserve sont légalement
utilisables ? Il n'y a jamais eu de rar (je sais j'aurais du). Et même si
tout est loin d'être passé inaperçu, les gens témoignent rarement s'ils ne
sont pas directement concernés.
Il est difficile de donner des détails sur un forum public où pour 10
attaques personnelles vous obtenez une réponse sensée.
Disons qu'il y a eu de
la diffamation, des services non ou mal rendus, des comportements gratuits
qui n'étaient pas liés à une quelconque action de ma part.
Est-ce
que les emails que je leur ai envoyé et que je conserve sont légalement
utilisables ? Il n'y a jamais eu de rar (je sais j'aurais du). Et même si
tout est loin d'être passé inaperçu, les gens témoignent rarement s'ils ne
sont pas directement concernés.
Il est difficile de donner des détails sur un forum public où pour 10
attaques personnelles vous obtenez une réponse sensée.
Disons qu'il y a eu de
la diffamation, des services non ou mal rendus, des comportements gratuits
qui n'étaient pas liés à une quelconque action de ma part.
Est-ce
que les emails que je leur ai envoyé et que je conserve sont légalement
utilisables ? Il n'y a jamais eu de rar (je sais j'aurais du). Et même si
tout est loin d'être passé inaperçu, les gens témoignent rarement s'ils ne
sont pas directement concernés.
A l'Etat Civil
elle l'est mais son ego existentiel l'emporte insidieusement sur sa pseudo
féminité
Normalement sur le continent on lirait " 1) je suis une FEMME "
temps pourri
A l'Etat Civil
elle l'est mais son ego existentiel l'emporte insidieusement sur sa pseudo
féminité
Normalement sur le continent on lirait " 1) je suis une FEMME "
temps pourri
A l'Etat Civil
elle l'est mais son ego existentiel l'emporte insidieusement sur sa pseudo
féminité
Normalement sur le continent on lirait " 1) je suis une FEMME "
temps pourri
>A l'Etat Civilelle l'est mais son ego existentiel l'emporte insidieusement sur sa pseudo
féminité
Après les juristes du dimanche, les psychiatres du dimanche. Ce qu'on
rigole ici.
Mais vous devez quand même savoir que les insultes ne sont que les
arguments de ceux qui n'en ont pas ? je dis ça je dis rien...
Normalement sur le continent on lirait " 1) je suis une FEMME "
Ah bon, puisque vous connaissez ce qui est normal...
temps pourri
Intervenant...
>A l'Etat Civil
elle l'est mais son ego existentiel l'emporte insidieusement sur sa pseudo
féminité
Après les juristes du dimanche, les psychiatres du dimanche. Ce qu'on
rigole ici.
Mais vous devez quand même savoir que les insultes ne sont que les
arguments de ceux qui n'en ont pas ? je dis ça je dis rien...
Normalement sur le continent on lirait " 1) je suis une FEMME "
Ah bon, puisque vous connaissez ce qui est normal...
temps pourri
Intervenant...
>A l'Etat Civilelle l'est mais son ego existentiel l'emporte insidieusement sur sa pseudo
féminité
Après les juristes du dimanche, les psychiatres du dimanche. Ce qu'on
rigole ici.
Mais vous devez quand même savoir que les insultes ne sont que les
arguments de ceux qui n'en ont pas ? je dis ça je dis rien...
Normalement sur le continent on lirait " 1) je suis une FEMME "
Ah bon, puisque vous connaissez ce qui est normal...
temps pourri
Intervenant...
Disons qu'il y a eu de la diffamation, des services non ou mal rendus,
des comportements gratuits qui n'étaient pas liés à une quelconque action
de ma part.
Les employés mal lunés sont une plaie, mais en règle générale ils savent
jusqu'où ne pas aller trop loin, exprimant leur agressivité par
des regards en coin, un ton de voix désagréable ou un langage corporel
mélangeant domination et mépris, sans proférer la moindre injure.
Disons qu'il y a eu de la diffamation, des services non ou mal rendus,
des comportements gratuits qui n'étaient pas liés à une quelconque action
de ma part.
Les employés mal lunés sont une plaie, mais en règle générale ils savent
jusqu'où ne pas aller trop loin, exprimant leur agressivité par
des regards en coin, un ton de voix désagréable ou un langage corporel
mélangeant domination et mépris, sans proférer la moindre injure.
Disons qu'il y a eu de la diffamation, des services non ou mal rendus,
des comportements gratuits qui n'étaient pas liés à une quelconque action
de ma part.
Les employés mal lunés sont une plaie, mais en règle générale ils savent
jusqu'où ne pas aller trop loin, exprimant leur agressivité par
des regards en coin, un ton de voix désagréable ou un langage corporel
mélangeant domination et mépris, sans proférer la moindre injure.
pour un fonctionnaire utiliser un langage codé derrière le comptoir
guichet
totalement incompréhensible et * perceptible* du " client"
est une injure condamnable
pour un fonctionnaire utiliser un langage codé derrière le comptoir
guichet
totalement incompréhensible et * perceptible* du " client"
est une injure condamnable
pour un fonctionnaire utiliser un langage codé derrière le comptoir
guichet
totalement incompréhensible et * perceptible* du " client"
est une injure condamnable
. avait prétendu :pour un fonctionnaire utiliser un langage codé derrière le comptoir
guichet
totalement incompréhensible et * perceptible* du " client"
est une injure condamnable
Vous pouvez citer un arrêt où l'on aurait condamné un fonctionnaire
ou équivalent pour avoir usé d'un vocabulaire juridique inaccessible
au commun des mortels ?
A ma connaissance, il n'y a que des instructions invitant les personnels
de l'État et des organismes publics à expliquer aux administrés, en
termes clairs, leurs droits et obligations.
La faute existerait si un agent jargonnait uniquement avec une personne
ou catégorie de personnes, dans le seul but de nuire.
--
Euroraclures, la décolonisation a commencé !
http://christian.navis.over-blog.com/
. avait prétendu :
pour un fonctionnaire utiliser un langage codé derrière le comptoir
guichet
totalement incompréhensible et * perceptible* du " client"
est une injure condamnable
Vous pouvez citer un arrêt où l'on aurait condamné un fonctionnaire
ou équivalent pour avoir usé d'un vocabulaire juridique inaccessible
au commun des mortels ?
A ma connaissance, il n'y a que des instructions invitant les personnels
de l'État et des organismes publics à expliquer aux administrés, en
termes clairs, leurs droits et obligations.
La faute existerait si un agent jargonnait uniquement avec une personne
ou catégorie de personnes, dans le seul but de nuire.
--
Euroraclures, la décolonisation a commencé !
http://christian.navis.over-blog.com/
. avait prétendu :pour un fonctionnaire utiliser un langage codé derrière le comptoir
guichet
totalement incompréhensible et * perceptible* du " client"
est une injure condamnable
Vous pouvez citer un arrêt où l'on aurait condamné un fonctionnaire
ou équivalent pour avoir usé d'un vocabulaire juridique inaccessible
au commun des mortels ?
A ma connaissance, il n'y a que des instructions invitant les personnels
de l'État et des organismes publics à expliquer aux administrés, en
termes clairs, leurs droits et obligations.
La faute existerait si un agent jargonnait uniquement avec une personne
ou catégorie de personnes, dans le seul but de nuire.
--
Euroraclures, la décolonisation a commencé !
http://christian.navis.over-blog.com/
j'ai pas sous la main mais j'en ai déjà causé ici
c'était tiré direct de l'aide juridictionnelle dans le Guide de l'Elu,
ya ~ deux mandats donc vers 2000***
j'ai pas sous la main mais j'en ai déjà causé ici
c'était tiré direct de l'aide juridictionnelle dans le Guide de l'Elu,
ya ~ deux mandats donc vers 2000***
j'ai pas sous la main mais j'en ai déjà causé ici
c'était tiré direct de l'aide juridictionnelle dans le Guide de l'Elu,
ya ~ deux mandats donc vers 2000***
. a émis l'idée suivante :j'ai pas sous la main mais j'en ai déjà causé ici
c'était tiré direct de l'aide juridictionnelle dans le Guide de l'Elu,
ya ~ deux mandats donc vers 2000***
Vous avez écrit "injure condamnable".
En droit, tous les mots ont un sens.
Je reformule donc ma question : sur quel(s) article(s) du code pénal
fondez-vous vos assertions,
un agent du service public pour avoir usé d'abréviations ou d'acronymes.
La question est facile.
. a émis l'idée suivante :
j'ai pas sous la main mais j'en ai déjà causé ici
c'était tiré direct de l'aide juridictionnelle dans le Guide de l'Elu,
ya ~ deux mandats donc vers 2000***
Vous avez écrit "injure condamnable".
En droit, tous les mots ont un sens.
Je reformule donc ma question : sur quel(s) article(s) du code pénal
fondez-vous vos assertions,
un agent du service public pour avoir usé d'abréviations ou d'acronymes.
La question est facile.
. a émis l'idée suivante :j'ai pas sous la main mais j'en ai déjà causé ici
c'était tiré direct de l'aide juridictionnelle dans le Guide de l'Elu,
ya ~ deux mandats donc vers 2000***
Vous avez écrit "injure condamnable".
En droit, tous les mots ont un sens.
Je reformule donc ma question : sur quel(s) article(s) du code pénal
fondez-vous vos assertions,
un agent du service public pour avoir usé d'abréviations ou d'acronymes.
La question est facile.