Tiens, un petit sondage pour les employés de SSII : 1 - Combien d'heures sups avez-vous déjà eut de payées (on exclus les "récups", hein) ? 2 - Combien d'ordres de missions en "bon et due forme" avez-vous déjà eut (feuille agissant comme "avenant au contrat de travail" et définissant l'ensemble des règles pour la mission : indemnités, durée, responsabilité, objectifs, règles de remboursements des frais divers, etc.) ? Plus simple encore : combien de SSII ont une activité ne contrevenant
pas à l'article L125-1 du code du travail ?
Bonjour Christophe,
Plus simple ? Outre le fait que cet article doit être antérieur à mathusalem (vu sa tournure), je vois pas en quoi cet article concerne les SSII ?!?
La jurisprudence établit qu'il y a délit de marchandage notamment dans les cas suivants :
* le personnel sous-traité travaille pour un seul client depuis plusieurs années ; * le personnel sous-traité reçoit ses instructions de l'encadrement du client ; le client contrôle lui-même le suivi, définit les tâches et les lieux d'exécution ; * le personnel exécute la totalité de sa mission dans les locaux du client, et est soumis à des horaires identiques à ceux du personnel du client ; * le client fournit les matériaux, les pièces de rechange, met à disposition son outillage, ses véhicules, des locaux lui appartenant, ses documents, etc. * la rémunération du sous-traitant était calculée au temps passé par son personnel.
La question se résume à : combien SSII envoyant leurs salariés en régie chez leurs clients le font en ne contrevenant à aucun de ces critères ? Ca ne va pas être facile d'en trouver beaucoup...
L'activité de prestation de service est reconnue, règlementée et dispose d'un convention collective applicables (même si minimaliste et pas appliquée in extenso).
Le problème de fond est que bien peu de SSII font de la prestation de service, l'immense majorité ne fait que de la mise à disposition de personnel, au mépris du droit du travail, privant ainsi leurs salariés des droits qui devraient être les leurs, à commencer celui de pouvoir bénéficier de la convention collective de l'entreprise où ils travaillent réellement...
Le travail en régie est règlementé, mais quasiment aucune SSII ne respecte cette règlementation. Elles se retranchent derrière le fait que ce sont les clients qui sont demandeurs de cette situation (certains de ces clients sont même allés jusqu'à créer eux-mêmes des SSII, filiales à 100%, pour y externaliser leurs informaticiens, dans le simple but de pouvoir les employer sous CC SYNTEC plutôt que sous la CC correspondant à leur activité qui aurait été plus avantageuse pour ces salariés...)
Le pire, c'est que c'est préjudiciable aux clients au final, car les meilleurs salariés partent des SSII sitôt qu'ils en ont la possibilité, prêts à accepter n'importe quel poste pourvu que ça ne soit pas dans une SSII...
Bonjour,
Il faut séparer les SSII en deux activité "regie" et "forfait" ... le rève des gestionaires et d'avoir que des régies (peu de risque), mais ce ne sont pas là qu'ils gagnent le plus, et avec les solution d'externalisations globales (plus ou moins proche du lieu de départ) on se rapproche en général du forfait qui englobe tout même ou en tout cas de la sous-traitance pure et simple.
Le problème pour moi est plutôt dans la sous-traitance. Je pense même que la mentalité concernant la sous-traitance évolue peu à peu, car certains gestionaires sont conscient qu'à trop externaliser il est difficile d'avoir un controle global permetant d'assurer un vrai facteur différentiateur par rapport à la concurence.
Tous les mêmes prestataires, utilisants les mêmes outils, les mêmes procédures aboutissent ... aux même résultats ! En moyenne c'est pas mal, mais faire du bien, ou du trés bien relève de l'exploit !
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
A+ TM
TestMan <none@example.com> wrote:
Tiens, un petit sondage pour les employés de SSII :
1 - Combien d'heures sups avez-vous déjà eut de payées (on exclus les
"récups", hein) ?
2 - Combien d'ordres de missions en "bon et due forme" avez-vous déjà
eut (feuille agissant comme "avenant au contrat de travail" et
définissant l'ensemble des règles pour la mission : indemnités, durée,
responsabilité, objectifs, règles de remboursements des frais divers,
etc.) ?
Plus simple encore : combien de SSII ont une activité ne contrevenant
pas à l'article L125-1 du code du travail ?
Bonjour Christophe,
Plus simple ? Outre le fait que cet article doit être antérieur à
mathusalem (vu sa tournure), je vois pas en quoi cet article concerne
les SSII ?!?
La jurisprudence établit qu'il y a délit de marchandage notamment dans
les cas suivants :
* le personnel sous-traité travaille pour un seul client depuis
plusieurs années ;
* le personnel sous-traité reçoit ses instructions de l'encadrement
du client ; le client contrôle lui-même le suivi, définit les tâches et
les lieux d'exécution ;
* le personnel exécute la totalité de sa mission dans les locaux du
client, et est soumis à des horaires identiques à ceux du personnel du
client ;
* le client fournit les matériaux, les pièces de rechange, met à
disposition son outillage, ses véhicules, des locaux lui appartenant,
ses documents, etc.
* la rémunération du sous-traitant était calculée au temps passé par
son personnel.
La question se résume à : combien SSII envoyant leurs salariés en régie
chez leurs clients le font en ne contrevenant à aucun de ces critères ?
Ca ne va pas être facile d'en trouver beaucoup...
L'activité de prestation de service est reconnue, règlementée et dispose
d'un convention collective applicables (même si minimaliste et pas
appliquée in extenso).
Le problème de fond est que bien peu de SSII font de la prestation de
service, l'immense majorité ne fait que de la mise à disposition de
personnel, au mépris du droit du travail, privant ainsi leurs salariés
des droits qui devraient être les leurs, à commencer celui de pouvoir
bénéficier de la convention collective de l'entreprise où ils
travaillent réellement...
Le travail en régie est règlementé, mais quasiment aucune SSII ne
respecte cette règlementation. Elles se retranchent derrière le fait que
ce sont les clients qui sont demandeurs de cette situation (certains de
ces clients sont même allés jusqu'à créer eux-mêmes des SSII, filiales à
100%, pour y externaliser leurs informaticiens, dans le simple but de
pouvoir les employer sous CC SYNTEC plutôt que sous la CC correspondant
à leur activité qui aurait été plus avantageuse pour ces salariés...)
Le pire, c'est que c'est préjudiciable aux clients au final, car les
meilleurs salariés partent des SSII sitôt qu'ils en ont la possibilité,
prêts à accepter n'importe quel poste pourvu que ça ne soit pas dans une
SSII...
Bonjour,
Il faut séparer les SSII en deux activité "regie" et "forfait" ... le
rève des gestionaires et d'avoir que des régies (peu de risque), mais ce
ne sont pas là qu'ils gagnent le plus, et avec les solution
d'externalisations globales (plus ou moins proche du lieu de départ) on
se rapproche en général du forfait qui englobe tout même ou en tout cas
de la sous-traitance pure et simple.
Le problème pour moi est plutôt dans la sous-traitance. Je pense même
que la mentalité concernant la sous-traitance évolue peu à peu, car
certains gestionaires sont conscient qu'à trop externaliser il est
difficile d'avoir un controle global permetant d'assurer un vrai facteur
différentiateur par rapport à la concurence.
Tous les mêmes prestataires, utilisants les mêmes outils, les mêmes
procédures aboutissent ... aux même résultats ! En moyenne c'est pas
mal, mais faire du bien, ou du trés bien relève de l'exploit !
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Tiens, un petit sondage pour les employés de SSII : 1 - Combien d'heures sups avez-vous déjà eut de payées (on exclus les "récups", hein) ? 2 - Combien d'ordres de missions en "bon et due forme" avez-vous déjà eut (feuille agissant comme "avenant au contrat de travail" et définissant l'ensemble des règles pour la mission : indemnités, durée, responsabilité, objectifs, règles de remboursements des frais divers, etc.) ? Plus simple encore : combien de SSII ont une activité ne contrevenant
pas à l'article L125-1 du code du travail ?
Bonjour Christophe,
Plus simple ? Outre le fait que cet article doit être antérieur à mathusalem (vu sa tournure), je vois pas en quoi cet article concerne les SSII ?!?
La jurisprudence établit qu'il y a délit de marchandage notamment dans les cas suivants :
* le personnel sous-traité travaille pour un seul client depuis plusieurs années ; * le personnel sous-traité reçoit ses instructions de l'encadrement du client ; le client contrôle lui-même le suivi, définit les tâches et les lieux d'exécution ; * le personnel exécute la totalité de sa mission dans les locaux du client, et est soumis à des horaires identiques à ceux du personnel du client ; * le client fournit les matériaux, les pièces de rechange, met à disposition son outillage, ses véhicules, des locaux lui appartenant, ses documents, etc. * la rémunération du sous-traitant était calculée au temps passé par son personnel.
La question se résume à : combien SSII envoyant leurs salariés en régie chez leurs clients le font en ne contrevenant à aucun de ces critères ? Ca ne va pas être facile d'en trouver beaucoup...
L'activité de prestation de service est reconnue, règlementée et dispose d'un convention collective applicables (même si minimaliste et pas appliquée in extenso).
Le problème de fond est que bien peu de SSII font de la prestation de service, l'immense majorité ne fait que de la mise à disposition de personnel, au mépris du droit du travail, privant ainsi leurs salariés des droits qui devraient être les leurs, à commencer celui de pouvoir bénéficier de la convention collective de l'entreprise où ils travaillent réellement...
Le travail en régie est règlementé, mais quasiment aucune SSII ne respecte cette règlementation. Elles se retranchent derrière le fait que ce sont les clients qui sont demandeurs de cette situation (certains de ces clients sont même allés jusqu'à créer eux-mêmes des SSII, filiales à 100%, pour y externaliser leurs informaticiens, dans le simple but de pouvoir les employer sous CC SYNTEC plutôt que sous la CC correspondant à leur activité qui aurait été plus avantageuse pour ces salariés...)
Le pire, c'est que c'est préjudiciable aux clients au final, car les meilleurs salariés partent des SSII sitôt qu'ils en ont la possibilité, prêts à accepter n'importe quel poste pourvu que ça ne soit pas dans une SSII...
Bonjour,
Il faut séparer les SSII en deux activité "regie" et "forfait" ... le rève des gestionaires et d'avoir que des régies (peu de risque), mais ce ne sont pas là qu'ils gagnent le plus, et avec les solution d'externalisations globales (plus ou moins proche du lieu de départ) on se rapproche en général du forfait qui englobe tout même ou en tout cas de la sous-traitance pure et simple.
Le problème pour moi est plutôt dans la sous-traitance. Je pense même que la mentalité concernant la sous-traitance évolue peu à peu, car certains gestionaires sont conscient qu'à trop externaliser il est difficile d'avoir un controle global permetant d'assurer un vrai facteur différentiateur par rapport à la concurence.
Tous les mêmes prestataires, utilisants les mêmes outils, les mêmes procédures aboutissent ... aux même résultats ! En moyenne c'est pas mal, mais faire du bien, ou du trés bien relève de l'exploit !
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
A+ TM
mei
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Jamais pour moi, mais j'ai trouvé la combine : j'arrête d'en faire :D D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Jamais pour moi, mais j'ai trouvé la combine : j'arrête d'en faire :D
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement
des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout
et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses
changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Jamais pour moi, mais j'ai trouvé la combine : j'arrête d'en faire :D D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
TestMan
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Jamais pour moi, mais j'ai trouvé la combine : j'arrête d'en faire :D
C'est effectivement pragmatique compte tenue de la situation actuelle. Mais fort domage, car les heures sup ont une certaine logique pour arriver à un objectif ponctuel et capital pour une société (mise en prod par exemple). Sauf, que les SSII dans le "meilleur des cas" préfèrent jouer sur la récup que de mettre le doigts dans l'engrenage des heures sup !
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
A+ TM
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Jamais pour moi, mais j'ai trouvé la combine : j'arrête d'en faire :D
C'est effectivement pragmatique compte tenue de la situation actuelle.
Mais fort domage, car les heures sup ont une certaine logique pour
arriver à un objectif ponctuel et capital pour une société (mise en prod
par exemple). Sauf, que les SSII dans le "meilleur des cas" préfèrent
jouer sur la récup que de mettre le doigts dans l'engrenage des heures sup !
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement
des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et
n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient...
Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Au fait, personne n'a répondu sur le paiement des heures sup ;-)
Jamais pour moi, mais j'ai trouvé la combine : j'arrête d'en faire :D
C'est effectivement pragmatique compte tenue de la situation actuelle. Mais fort domage, car les heures sup ont une certaine logique pour arriver à un objectif ponctuel et capital pour une société (mise en prod par exemple). Sauf, que les SSII dans le "meilleur des cas" préfèrent jouer sur la récup que de mettre le doigts dans l'engrenage des heures sup !
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
A+ TM
cfranco
TestMan wrote:
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Il y a une autre solution plus pragmatique, que j'ai personnellement adoptée : se mettre à son compte...
-- Christophe Franco
TestMan <none@example.com> wrote:
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement
des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et
n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient...
Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Il y a une autre solution plus pragmatique, que j'ai personnellement
adoptée : se mettre à son compte...
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Il y a une autre solution plus pragmatique, que j'ai personnellement adoptée : se mettre à son compte...
-- Christophe Franco
TestMan
TestMan wrote:
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste... Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Il y a une autre solution plus pragmatique, que j'ai personnellement adoptée : se mettre à son compte...
C'est ce que j'ai fait ... et j'en reviens :(
TestMan <none@example.com> wrote:
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement
des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et
n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient...
Enfin, bon, je sais, c'est utopiste...
Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Il y a une autre solution plus pragmatique, que j'ai personnellement
adoptée : se mettre à son compte...
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes. Si nous arrêtions tous d'accepter tout et n'importe quoi en bloc, peut être que certaines choses changeraient... Enfin, bon, je sais, c'est utopiste... Une utopies réaliste est-elle toujours une utopie ;-)
Il y a une autre solution plus pragmatique, que j'ai personnellement adoptée : se mettre à son compte...
C'est ce que j'ai fait ... et j'en reviens :(
Mihamina (R12y) Rakotomandimby
mei wrote:
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement des informaticiens eux-mêmes.
J'en n'ai jamais vu un, y compris moi, arriver à la meme heure que les autres salariés après une semaine ou deux de travail. :-)
/! : Xpost.
mei wrote:
D'ailleurs une autre dimension du problème est également le comportement
des informaticiens eux-mêmes.
J'en n'ai jamais vu un, y compris moi, arriver à la meme heure que les
autres salariés après une semaine ou deux de travail. :-)
C'ets vrai, au boulot je suis le seul à arriver à 8h... Bien souvent, je n'arrive pas du tout.
Enfin un "vrai informaticien"...
Laurent
On 7 mar, 09:46, "Mihamina (R12y) Rakotomandimby" polyvalente.fr> wrote:
Khanh-Dang wrote:
C'ets vrai, au boulot je suis le seul à arriver à 8h... Bien souvent, je n'arrive pas du tout.
Enfin un "vrai informaticien"...
Oui, un vrai informaticien reste parfois la nuit au boulot. Et dans ce cas, le matin, il "n'arrive" pas, puisqu'il est déjà là (allongé en tre deux serveurs pour avoir chaud).
C'est d'ailleurs pour ça que, souvent, ce sont les informaticiens qui font le café dans la boîte, ils ont le coup de main.
-- Laurent C.
On 7 mar, 09:46, "Mihamina (R12y) Rakotomandimby" <infogera...@asso-
polyvalente.fr> wrote:
Khanh-Dang wrote:
C'ets vrai, au boulot je suis le seul à arriver à 8h...
Bien souvent, je n'arrive pas du tout.
Enfin un "vrai informaticien"...
Oui, un vrai informaticien reste parfois la nuit au boulot. Et dans ce
cas, le matin, il "n'arrive" pas, puisqu'il est déjà là (allongé en tre
deux serveurs pour avoir chaud).
C'est d'ailleurs pour ça que, souvent, ce sont les informaticiens qui
font le café dans la boîte, ils ont le coup de main.
On 7 mar, 09:46, "Mihamina (R12y) Rakotomandimby" polyvalente.fr> wrote:
Khanh-Dang wrote:
C'ets vrai, au boulot je suis le seul à arriver à 8h... Bien souvent, je n'arrive pas du tout.
Enfin un "vrai informaticien"...
Oui, un vrai informaticien reste parfois la nuit au boulot. Et dans ce cas, le matin, il "n'arrive" pas, puisqu'il est déjà là (allongé en tre deux serveurs pour avoir chaud).
C'est d'ailleurs pour ça que, souvent, ce sont les informaticiens qui font le café dans la boîte, ils ont le coup de main.