J'ai eu un peu le meme probleme, avec la meme banque (moi, c'etait leur
Jazz qu'ils m'avaient refilé sans me demander)
Aprés avoir rencontré successivement ma conseillére, puis la chef d'agence
qui m'ont toutes promis d'arranger ca facilement, et voyant que rien ne
bougeait, j'ai envoyé en lettre simple (pas question de dépenser plus en
LRAR :))) un courrier avec copie a la direction régionale de SG disant que
si c'etait pas arrangé sous quinze jours, non seulement je changeait de
banque, mais en plus je les attaquait pour vente forcée, avec transmission
du dossier a la DGCCRF + mauvaise publicité que je manquerai pas de leur
faire...!
Ben moins d'une semaine aprés, c'etait réglé (un gars de la direction
regionale qui m'a appelé direct, et je lui ai demandé un écrit pour
confirmer + remboursement des prelevements indus) + j'ai eu droit aux
excuses ecrites de la chef d'agence. :)))
La conseillere d'agence a été mutée ailleurs 6 mois apres :)))
J'ai eu un peu le meme probleme, avec la meme banque (moi, c'etait leur
Jazz qu'ils m'avaient refilé sans me demander)
Aprés avoir rencontré successivement ma conseillére, puis la chef d'agence
qui m'ont toutes promis d'arranger ca facilement, et voyant que rien ne
bougeait, j'ai envoyé en lettre simple (pas question de dépenser plus en
LRAR :))) un courrier avec copie a la direction régionale de SG disant que
si c'etait pas arrangé sous quinze jours, non seulement je changeait de
banque, mais en plus je les attaquait pour vente forcée, avec transmission
du dossier a la DGCCRF + mauvaise publicité que je manquerai pas de leur
faire...!
Ben moins d'une semaine aprés, c'etait réglé (un gars de la direction
regionale qui m'a appelé direct, et je lui ai demandé un écrit pour
confirmer + remboursement des prelevements indus) + j'ai eu droit aux
excuses ecrites de la chef d'agence. :)))
La conseillere d'agence a été mutée ailleurs 6 mois apres :)))
J'ai eu un peu le meme probleme, avec la meme banque (moi, c'etait leur
Jazz qu'ils m'avaient refilé sans me demander)
Aprés avoir rencontré successivement ma conseillére, puis la chef d'agence
qui m'ont toutes promis d'arranger ca facilement, et voyant que rien ne
bougeait, j'ai envoyé en lettre simple (pas question de dépenser plus en
LRAR :))) un courrier avec copie a la direction régionale de SG disant que
si c'etait pas arrangé sous quinze jours, non seulement je changeait de
banque, mais en plus je les attaquait pour vente forcée, avec transmission
du dossier a la DGCCRF + mauvaise publicité que je manquerai pas de leur
faire...!
Ben moins d'une semaine aprés, c'etait réglé (un gars de la direction
regionale qui m'a appelé direct, et je lui ai demandé un écrit pour
confirmer + remboursement des prelevements indus) + j'ai eu droit aux
excuses ecrites de la chef d'agence. :)))
La conseillere d'agence a été mutée ailleurs 6 mois apres :)))
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit. Je possède d'ailleurs les deux
originaux qui m'avaient été adressés par courrier, bon début de preuve que
je n'en ai donc renvoyé aucun (l'un à destination de la SG, un autre à
conserver par moi), donc aucun accord ni signature de ma part en
de la SG à ce sujet.
J'ajoute d'ailleurs les documents de souscription "PIANO" que j'ai reçus
étaient associés à l'annonce une diminution substantielle de mon découvert
autorisé si je ne répondais pas rapidement à cette "offre" (ce qui
représente donc, en plus d'une escroquerie pour ce qui concerne le
prélèvement effectué sans mon accord, une tentative de chantage
caractérisée).
Malgré deux lettres R-AR à la personne signataire (ma "conseillère" SG !)
des documents accompagnant les dossiers "PIANO" que j'ai reçus, aucune
réaction de mon agence (ni de quiconque d'autre de la SG)..
Que faire ? N'est-il pas "douteux" que la SG laisse lettre morte mes deux
R-AR où je lui signifie pourtant clairement mon constat de l'escroquerie
d'abus de confiance et de pouvoir que représentent ces prélèvements de sa
part, non autorisés par moi et ne reposant sur aucun document signé ?
Suis-je le seul dans cette situation ? (pas seulement pour la SG...)
Quelqu'un d'entre vous a-t-il déjà entendu parler et/ou dû combattre ce
genre d'agissement de la part de sa banque, et si oui, par quel(s)
? (et avec quel(s) résultat(s) ?!!!)
A+ et merci pour vos éventuels aide et témoignages
*** l'année dernière, j'ai laissé tombé, me contenatnt d'en parler
verbalement avec ma "conseillère", espérant une simple "erreur", espérant
donc aussi l'incident clos. Il n'en est rien appremment...
------------------------------------------------------------
(crossposté sur fr.finance.banque)
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit. Je possède d'ailleurs les deux
originaux qui m'avaient été adressés par courrier, bon début de preuve que
je n'en ai donc renvoyé aucun (l'un à destination de la SG, un autre à
conserver par moi), donc aucun accord ni signature de ma part en
de la SG à ce sujet.
J'ajoute d'ailleurs les documents de souscription "PIANO" que j'ai reçus
étaient associés à l'annonce une diminution substantielle de mon découvert
autorisé si je ne répondais pas rapidement à cette "offre" (ce qui
représente donc, en plus d'une escroquerie pour ce qui concerne le
prélèvement effectué sans mon accord, une tentative de chantage
caractérisée).
Malgré deux lettres R-AR à la personne signataire (ma "conseillère" SG !)
des documents accompagnant les dossiers "PIANO" que j'ai reçus, aucune
réaction de mon agence (ni de quiconque d'autre de la SG)..
Que faire ? N'est-il pas "douteux" que la SG laisse lettre morte mes deux
R-AR où je lui signifie pourtant clairement mon constat de l'escroquerie
d'abus de confiance et de pouvoir que représentent ces prélèvements de sa
part, non autorisés par moi et ne reposant sur aucun document signé ?
Suis-je le seul dans cette situation ? (pas seulement pour la SG...)
Quelqu'un d'entre vous a-t-il déjà entendu parler et/ou dû combattre ce
genre d'agissement de la part de sa banque, et si oui, par quel(s)
? (et avec quel(s) résultat(s) ?!!!)
A+ et merci pour vos éventuels aide et témoignages
*** l'année dernière, j'ai laissé tombé, me contenatnt d'en parler
verbalement avec ma "conseillère", espérant une simple "erreur", espérant
donc aussi l'incident clos. Il n'en est rien appremment...
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(crossposté sur fr.finance.banque)
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit. Je possède d'ailleurs les deux
originaux qui m'avaient été adressés par courrier, bon début de preuve que
je n'en ai donc renvoyé aucun (l'un à destination de la SG, un autre à
conserver par moi), donc aucun accord ni signature de ma part en
de la SG à ce sujet.
J'ajoute d'ailleurs les documents de souscription "PIANO" que j'ai reçus
étaient associés à l'annonce une diminution substantielle de mon découvert
autorisé si je ne répondais pas rapidement à cette "offre" (ce qui
représente donc, en plus d'une escroquerie pour ce qui concerne le
prélèvement effectué sans mon accord, une tentative de chantage
caractérisée).
Malgré deux lettres R-AR à la personne signataire (ma "conseillère" SG !)
des documents accompagnant les dossiers "PIANO" que j'ai reçus, aucune
réaction de mon agence (ni de quiconque d'autre de la SG)..
Que faire ? N'est-il pas "douteux" que la SG laisse lettre morte mes deux
R-AR où je lui signifie pourtant clairement mon constat de l'escroquerie
d'abus de confiance et de pouvoir que représentent ces prélèvements de sa
part, non autorisés par moi et ne reposant sur aucun document signé ?
Suis-je le seul dans cette situation ? (pas seulement pour la SG...)
Quelqu'un d'entre vous a-t-il déjà entendu parler et/ou dû combattre ce
genre d'agissement de la part de sa banque, et si oui, par quel(s)
? (et avec quel(s) résultat(s) ?!!!)
A+ et merci pour vos éventuels aide et témoignages
*** l'année dernière, j'ai laissé tombé, me contenatnt d'en parler
verbalement avec ma "conseillère", espérant une simple "erreur", espérant
donc aussi l'incident clos. Il n'en est rien appremment...
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(crossposté sur fr.finance.banque)
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit. Je possède d'ailleurs les deux
originaux qui m'avaient été adressés par courrier, bon début de preuve que
je n'en ai donc renvoyé aucun (l'un à destination de la SG, un autre à
conserver par moi), donc aucun accord ni signature de ma part en
de la SG à ce sujet.
J'ajoute d'ailleurs les documents de souscription "PIANO" que j'ai reçus
étaient associés à l'annonce une diminution substantielle de mon découvert
autorisé si je ne répondais pas rapidement à cette "offre" (ce qui
représente donc, en plus d'une escroquerie pour ce qui concerne le
prélèvement effectué sans mon accord, une tentative de chantage
caractérisée).
Malgré deux lettres R-AR à la personne signataire (ma "conseillère" SG !)
des documents accompagnant les dossiers "PIANO" que j'ai reçus, aucune
réaction de mon agence (ni de quiconque d'autre de la SG)..
Que faire ? N'est-il pas "douteux" que la SG laisse lettre morte mes deux
R-AR où je lui signifie pourtant clairement mon constat de l'escroquerie
d'abus de confiance et de pouvoir que représentent ces prélèvements de sa
part, non autorisés par moi et ne reposant sur aucun document signé ?
Suis-je le seul dans cette situation ? (pas seulement pour la SG...)
Quelqu'un d'entre vous a-t-il déjà entendu parler et/ou dû combattre ce
genre d'agissement de la part de sa banque, et si oui, par quel(s)
? (et avec quel(s) résultat(s) ?!!!)
A+ et merci pour vos éventuels aide et témoignages
*** l'année dernière, j'ai laissé tombé, me contenatnt d'en parler
verbalement avec ma "conseillère", espérant une simple "erreur", espérant
donc aussi l'incident clos. Il n'en est rien appremment...
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(crossposté sur fr.finance.banque)
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit. Je possède d'ailleurs les deux
originaux qui m'avaient été adressés par courrier, bon début de preuve que
je n'en ai donc renvoyé aucun (l'un à destination de la SG, un autre à
conserver par moi), donc aucun accord ni signature de ma part en
de la SG à ce sujet.
J'ajoute d'ailleurs les documents de souscription "PIANO" que j'ai reçus
étaient associés à l'annonce une diminution substantielle de mon découvert
autorisé si je ne répondais pas rapidement à cette "offre" (ce qui
représente donc, en plus d'une escroquerie pour ce qui concerne le
prélèvement effectué sans mon accord, une tentative de chantage
caractérisée).
Malgré deux lettres R-AR à la personne signataire (ma "conseillère" SG !)
des documents accompagnant les dossiers "PIANO" que j'ai reçus, aucune
réaction de mon agence (ni de quiconque d'autre de la SG)..
Que faire ? N'est-il pas "douteux" que la SG laisse lettre morte mes deux
R-AR où je lui signifie pourtant clairement mon constat de l'escroquerie
d'abus de confiance et de pouvoir que représentent ces prélèvements de sa
part, non autorisés par moi et ne reposant sur aucun document signé ?
Suis-je le seul dans cette situation ? (pas seulement pour la SG...)
Quelqu'un d'entre vous a-t-il déjà entendu parler et/ou dû combattre ce
genre d'agissement de la part de sa banque, et si oui, par quel(s)
? (et avec quel(s) résultat(s) ?!!!)
A+ et merci pour vos éventuels aide et témoignages
*** l'année dernière, j'ai laissé tombé, me contenatnt d'en parler
verbalement avec ma "conseillère", espérant une simple "erreur", espérant
donc aussi l'incident clos. Il n'en est rien appremment...
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(crossposté sur fr.finance.banque)
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit. Je possède d'ailleurs les deux
originaux qui m'avaient été adressés par courrier, bon début de preuve que
je n'en ai donc renvoyé aucun (l'un à destination de la SG, un autre à
conserver par moi), donc aucun accord ni signature de ma part en
de la SG à ce sujet.
J'ajoute d'ailleurs les documents de souscription "PIANO" que j'ai reçus
étaient associés à l'annonce une diminution substantielle de mon découvert
autorisé si je ne répondais pas rapidement à cette "offre" (ce qui
représente donc, en plus d'une escroquerie pour ce qui concerne le
prélèvement effectué sans mon accord, une tentative de chantage
caractérisée).
Malgré deux lettres R-AR à la personne signataire (ma "conseillère" SG !)
des documents accompagnant les dossiers "PIANO" que j'ai reçus, aucune
réaction de mon agence (ni de quiconque d'autre de la SG)..
Que faire ? N'est-il pas "douteux" que la SG laisse lettre morte mes deux
R-AR où je lui signifie pourtant clairement mon constat de l'escroquerie
d'abus de confiance et de pouvoir que représentent ces prélèvements de sa
part, non autorisés par moi et ne reposant sur aucun document signé ?
Suis-je le seul dans cette situation ? (pas seulement pour la SG...)
Quelqu'un d'entre vous a-t-il déjà entendu parler et/ou dû combattre ce
genre d'agissement de la part de sa banque, et si oui, par quel(s)
? (et avec quel(s) résultat(s) ?!!!)
A+ et merci pour vos éventuels aide et témoignages
*** l'année dernière, j'ai laissé tombé, me contenatnt d'en parler
verbalement avec ma "conseillère", espérant une simple "erreur", espérant
donc aussi l'incident clos. Il n'en est rien appremment...
------------------------------------------------------------
(crossposté sur fr.finance.banque)
[...]
J'ai oublié de préciser que j'envoie un Courrier Recommandé A.R. au Siège
BNP Paris (ils s'en foutent aussi... certaineemnt) Je crois qu'aujourd'hui
pour être écouté, il n'y a plus que ceux qui ont la chance de faire partie
de l'émission de Julien Courbet... et j'imagine que non seulement la liste
d'attente doit être longue des gens qui sont victimes de ce genre
puisqu'il n'y a plus de justice nulle part, mais qu'en plus il faut
"montrer" une bonne patte blanche pour y arriver...
[...]
J'ai oublié de préciser que j'envoie un Courrier Recommandé A.R. au Siège
BNP Paris (ils s'en foutent aussi... certaineemnt) Je crois qu'aujourd'hui
pour être écouté, il n'y a plus que ceux qui ont la chance de faire partie
de l'émission de Julien Courbet... et j'imagine que non seulement la liste
d'attente doit être longue des gens qui sont victimes de ce genre
puisqu'il n'y a plus de justice nulle part, mais qu'en plus il faut
"montrer" une bonne patte blanche pour y arriver...
[...]
J'ai oublié de préciser que j'envoie un Courrier Recommandé A.R. au Siège
BNP Paris (ils s'en foutent aussi... certaineemnt) Je crois qu'aujourd'hui
pour être écouté, il n'y a plus que ceux qui ont la chance de faire partie
de l'émission de Julien Courbet... et j'imagine que non seulement la liste
d'attente doit être longue des gens qui sont victimes de ce genre
puisqu'il n'y a plus de justice nulle part, mais qu'en plus il faut
"montrer" une bonne patte blanche pour y arriver...
Autrement dit, je pense qu'une modification unilatérale de conditions
d'utilisation de compte bancaire reste inconcevable "commercialement
parlant", voire "illégale" (dans quelle mesure ?) si elle ne fait l'objet
d'aucune précaution visdà vis du client ou d'information, au minimum, même
sans parler "d'accord" entre les parties. En effet, il me semble qu'un
"accord" ne peut être tacite que s'il repose sur quelque chose de tangible
et antérieurement clairement défini, autrement dit et entre autres choses,
reposant au moins sur un ECRIT signé par un responsable et exécuteur des
décisions prises.
Autrement dit, je pense qu'une modification unilatérale de conditions
d'utilisation de compte bancaire reste inconcevable "commercialement
parlant", voire "illégale" (dans quelle mesure ?) si elle ne fait l'objet
d'aucune précaution visdà vis du client ou d'information, au minimum, même
sans parler "d'accord" entre les parties. En effet, il me semble qu'un
"accord" ne peut être tacite que s'il repose sur quelque chose de tangible
et antérieurement clairement défini, autrement dit et entre autres choses,
reposant au moins sur un ECRIT signé par un responsable et exécuteur des
décisions prises.
Autrement dit, je pense qu'une modification unilatérale de conditions
d'utilisation de compte bancaire reste inconcevable "commercialement
parlant", voire "illégale" (dans quelle mesure ?) si elle ne fait l'objet
d'aucune précaution visdà vis du client ou d'information, au minimum, même
sans parler "d'accord" entre les parties. En effet, il me semble qu'un
"accord" ne peut être tacite que s'il repose sur quelque chose de tangible
et antérieurement clairement défini, autrement dit et entre autres choses,
reposant au moins sur un ECRIT signé par un responsable et exécuteur des
décisions prises.
SNIP
>Autrement dit, je pense qu'une modification unilatérale de conditions
>d'utilisation de compte bancaire reste inconcevable "commercialement
>parlant", voire "illégale" (dans quelle mesure ?) si elle ne fait l'objet
>d'aucune précaution visdà vis du client ou d'information, au minimum,
>sans parler "d'accord" entre les parties. En effet, il me semble qu'un
>"accord" ne peut être tacite que s'il repose sur quelque chose de
>et antérieurement clairement défini, autrement dit et entre autres
>reposant au moins sur un ECRIT signé par un responsable et exécuteur des
>décisions prises.
- *si* l'information préalable a été effectuée en respectant la
procédure prévue par la loi MURCEF (et transposée dans le Code
monétaire à l'article L312-1-1, alinéas 2 et 3)
- *si* vous ne vous êtes pas opposé à cette modification dans les
délais
-> Alors vous aurez tacitement accepté le projet de modification qui,
une fois entré en vigueur, aura force de loi entre vous et votre
banque ("les conventions tiennent lieu de lois à ceux qui les ont
faites").
Si la banque ne peut matériellement prouver qu'elle a respecté son
obligation d'information préalable, elle ne pourra ni appliquer les
nouvelles clauses (absence de consentement), ni opposer un dépassement
du délai de deux mois (puisque la communication n'a pas eu lieu).
Pour plus d'informations sur cette question, utilisez les archives de
fr.misc.finance.banque (groups.google.fr).
Azathoth
*** Complément ***
Article L312-1-1 du Code monétaire et financier
"I. - La gestion d'un compte de dépôt est réglée par une convention
écrite passée entre le client et son établissement de crédit. [...]
Tout projet de modification du tarif des produits et services
faisant l'objet d'une convention de compte de dépôt doit être
communiqué par écrit au client trois mois avant la date d'application
envisagée. L'absence de contestation par le client dans un délai de
deux mois après cette communication vaut acceptation du nouveau tarif.
Aucun frais ne peut être prévu par la convention mentionnée à
l'alinéa précédent ni mise à la charge du client au titre de la
clôture ou du transfert d'un compte opéré à la demande d'un client qui
conteste une proposition de modification substantielle de cette
convention".
SNIP
>Autrement dit, je pense qu'une modification unilatérale de conditions
>d'utilisation de compte bancaire reste inconcevable "commercialement
>parlant", voire "illégale" (dans quelle mesure ?) si elle ne fait l'objet
>d'aucune précaution visdà vis du client ou d'information, au minimum,
>sans parler "d'accord" entre les parties. En effet, il me semble qu'un
>"accord" ne peut être tacite que s'il repose sur quelque chose de
>et antérieurement clairement défini, autrement dit et entre autres
>reposant au moins sur un ECRIT signé par un responsable et exécuteur des
>décisions prises.
- *si* l'information préalable a été effectuée en respectant la
procédure prévue par la loi MURCEF (et transposée dans le Code
monétaire à l'article L312-1-1, alinéas 2 et 3)
- *si* vous ne vous êtes pas opposé à cette modification dans les
délais
-> Alors vous aurez tacitement accepté le projet de modification qui,
une fois entré en vigueur, aura force de loi entre vous et votre
banque ("les conventions tiennent lieu de lois à ceux qui les ont
faites").
Si la banque ne peut matériellement prouver qu'elle a respecté son
obligation d'information préalable, elle ne pourra ni appliquer les
nouvelles clauses (absence de consentement), ni opposer un dépassement
du délai de deux mois (puisque la communication n'a pas eu lieu).
Pour plus d'informations sur cette question, utilisez les archives de
fr.misc.finance.banque (groups.google.fr).
Azathoth
*** Complément ***
Article L312-1-1 du Code monétaire et financier
"I. - La gestion d'un compte de dépôt est réglée par une convention
écrite passée entre le client et son établissement de crédit. [...]
Tout projet de modification du tarif des produits et services
faisant l'objet d'une convention de compte de dépôt doit être
communiqué par écrit au client trois mois avant la date d'application
envisagée. L'absence de contestation par le client dans un délai de
deux mois après cette communication vaut acceptation du nouveau tarif.
Aucun frais ne peut être prévu par la convention mentionnée à
l'alinéa précédent ni mise à la charge du client au titre de la
clôture ou du transfert d'un compte opéré à la demande d'un client qui
conteste une proposition de modification substantielle de cette
convention".
SNIP
>Autrement dit, je pense qu'une modification unilatérale de conditions
>d'utilisation de compte bancaire reste inconcevable "commercialement
>parlant", voire "illégale" (dans quelle mesure ?) si elle ne fait l'objet
>d'aucune précaution visdà vis du client ou d'information, au minimum,
>sans parler "d'accord" entre les parties. En effet, il me semble qu'un
>"accord" ne peut être tacite que s'il repose sur quelque chose de
>et antérieurement clairement défini, autrement dit et entre autres
>reposant au moins sur un ECRIT signé par un responsable et exécuteur des
>décisions prises.
- *si* l'information préalable a été effectuée en respectant la
procédure prévue par la loi MURCEF (et transposée dans le Code
monétaire à l'article L312-1-1, alinéas 2 et 3)
- *si* vous ne vous êtes pas opposé à cette modification dans les
délais
-> Alors vous aurez tacitement accepté le projet de modification qui,
une fois entré en vigueur, aura force de loi entre vous et votre
banque ("les conventions tiennent lieu de lois à ceux qui les ont
faites").
Si la banque ne peut matériellement prouver qu'elle a respecté son
obligation d'information préalable, elle ne pourra ni appliquer les
nouvelles clauses (absence de consentement), ni opposer un dépassement
du délai de deux mois (puisque la communication n'a pas eu lieu).
Pour plus d'informations sur cette question, utilisez les archives de
fr.misc.finance.banque (groups.google.fr).
Azathoth
*** Complément ***
Article L312-1-1 du Code monétaire et financier
"I. - La gestion d'un compte de dépôt est réglée par une convention
écrite passée entre le client et son établissement de crédit. [...]
Tout projet de modification du tarif des produits et services
faisant l'objet d'une convention de compte de dépôt doit être
communiqué par écrit au client trois mois avant la date d'application
envisagée. L'absence de contestation par le client dans un délai de
deux mois après cette communication vaut acceptation du nouveau tarif.
Aucun frais ne peut être prévu par la convention mentionnée à
l'alinéa précédent ni mise à la charge du client au titre de la
clôture ou du transfert d'un compte opéré à la demande d'un client qui
conteste une proposition de modification substantielle de cette
convention".
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à laquelle
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit.
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à laquelle
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit.
La Société Générale me prélève, pour la seconde année consécutive***, un
montant de 30 Euros au titre d'une souscription à ce qu'elle appelle une
convention "PIANO" (réduction -parait il !!!- des frais d'aggios) à laquelle
je n'ai pourtant JAMAIS souscrit.