Comme tu les sais, je suis comme Cartier-Bresson, je choisis l'instant décisif (la jambe en l'air) et je ne recadre jamais mes photos.
C'est donc à nous de le faire pour supprimer cette partie de l'image qui apporte une couleur inutile et des objets sans intérêt pour le sujet principal.
C'est un poil comme le linge qui séche derrière une grand-mère dont on tire le portrait. Le linge va rappeler des souvenirs à sa famille mais les autres...
-- Benoit Leraillez
Seuls les idéaux ne changent pas d'avis.
Ghost Rider <Ghost-Rider@compuserve.com> wrote:
Comme tu les sais, je suis comme Cartier-Bresson, je choisis l'instant
décisif (la jambe en l'air) et je ne recadre jamais mes photos.
C'est donc à nous de le faire pour supprimer cette partie de l'image
qui apporte une couleur inutile et des objets sans intérêt pour le sujet
principal.
C'est un poil comme le linge qui séche derrière une grand-mère dont
on tire le portrait. Le linge va rappeler des souvenirs à sa famille
mais les autres...
Comme tu les sais, je suis comme Cartier-Bresson, je choisis l'instant décisif (la jambe en l'air) et je ne recadre jamais mes photos.
C'est donc à nous de le faire pour supprimer cette partie de l'image qui apporte une couleur inutile et des objets sans intérêt pour le sujet principal.
C'est un poil comme le linge qui séche derrière une grand-mère dont on tire le portrait. Le linge va rappeler des souvenirs à sa famille mais les autres...
je ne fonctionne pas comme ça, je peux ignorer les gens mais pas le décor...
Moi, c'est le contraire. Il faut de tout pour faire un monde. :-) J'ai beaucoup plus souffert de côtoyer des gens avec lesquels je n'arrivais pas à m'entendre que de travailler dans des zones industrielles sans âme ou dans des immeubles haussmaniens mal foutus (les dossiers empilés sur la cheminée, la photocopieuse dans la baignoire...).
j'ai glandé un petit moment du côté de Park avenue, la défense c'est carrément le Mantes-la-jolie du business à côté...
C'est effectivement beaucoup plus ouvert, plus européen, plus relax, plus indiscipliné. Je me souviens qu'avant d'avoir des badges électroniques, il y avait des gardes en bas des immeubles de bureaux Ne w Yorkais. On ne montait pas sans son badge, même si on était connu. Le garde risquait le licenciement immédiat.
je comprends pas qu'on applique encore les erreurs d'urbanisme des années 60...
On est en train de redécouvrir qu'il faut mélanger logements, activit és, espaces communs et services collectifs...
Ghost Rider
je ne fonctionne pas comme ça, je peux ignorer
les gens mais pas le décor...
Moi, c'est le contraire. Il faut de tout pour faire un monde. :-)
J'ai beaucoup plus souffert de côtoyer des gens avec lesquels je
n'arrivais pas à m'entendre que de travailler dans des zones
industrielles sans âme ou dans des immeubles haussmaniens mal foutus
(les dossiers empilés sur la cheminée, la photocopieuse dans la
baignoire...).
j'ai glandé un petit moment du côté de Park
avenue, la défense c'est carrément le
Mantes-la-jolie du business à côté...
C'est effectivement beaucoup plus ouvert, plus européen, plus relax,
plus indiscipliné. Je me souviens qu'avant d'avoir des badges
électroniques, il y avait des gardes en bas des immeubles de bureaux Ne w
Yorkais. On ne montait pas sans son badge, même si on était connu. Le
garde risquait le licenciement immédiat.
je comprends pas qu'on applique encore
les erreurs d'urbanisme des années 60...
On est en train de redécouvrir qu'il faut mélanger logements, activit és,
espaces communs et services collectifs...
je ne fonctionne pas comme ça, je peux ignorer les gens mais pas le décor...
Moi, c'est le contraire. Il faut de tout pour faire un monde. :-) J'ai beaucoup plus souffert de côtoyer des gens avec lesquels je n'arrivais pas à m'entendre que de travailler dans des zones industrielles sans âme ou dans des immeubles haussmaniens mal foutus (les dossiers empilés sur la cheminée, la photocopieuse dans la baignoire...).
j'ai glandé un petit moment du côté de Park avenue, la défense c'est carrément le Mantes-la-jolie du business à côté...
C'est effectivement beaucoup plus ouvert, plus européen, plus relax, plus indiscipliné. Je me souviens qu'avant d'avoir des badges électroniques, il y avait des gardes en bas des immeubles de bureaux Ne w Yorkais. On ne montait pas sans son badge, même si on était connu. Le garde risquait le licenciement immédiat.
je comprends pas qu'on applique encore les erreurs d'urbanisme des années 60...
On est en train de redécouvrir qu'il faut mélanger logements, activit és, espaces communs et services collectifs...
je comprends pas qu'on applique encore les erreurs d'urbanisme des années 60...
À Rennes le conseil général vient de s'offrir un beau bâtiment tout neuf dans le bon goût neostalinien de tous nos bâtiments publics d'importance. Les erreurs en béton ont une bonne résistance, et tendent à en créer d'autres autour d'elles.
Noëlle Adam.
je comprends pas qu'on applique encore
les erreurs d'urbanisme des années 60...
À Rennes le conseil général vient de s'offrir un beau bâtiment tout neuf
dans le bon goût neostalinien de tous nos bâtiments publics
d'importance. Les erreurs en béton ont une bonne résistance, et tendent
à en créer d'autres autour d'elles.
je comprends pas qu'on applique encore les erreurs d'urbanisme des années 60...
À Rennes le conseil général vient de s'offrir un beau bâtiment tout neuf dans le bon goût neostalinien de tous nos bâtiments publics d'importance. Les erreurs en béton ont une bonne résistance, et tendent à en créer d'autres autour d'elles.