J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en
macrophotographie.
Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très
étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la
bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini.
C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations
angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires
de distance...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm. Logiciel : CombineZ.
Deux raisons : il est gratuit et je l'avais sous la main.
Bien entendu, on opère sur pied, autofocus et stabilisateur
deconnectés.
Les puristes m'expliqueront que je n'y connais rien et qu'il suffit de
télécommander l'appareil avec le logiciel Helicon, préréglé sur la
distance min et auquel on aura indiqué le nombre de vues que doit
comporter le stack. La télécommande de mise au point étant assurée par
le logiciel. Je suis bien au courant, merci de leur solicitude.
Quoi qu'il en soit, mon petit stack manuel comportait peu d'images,
mais elles me suffisaient pour vérifier un principe. Et ça marche.
Quand à l'intérêt de la chose... C'est une autre histoire !
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On 04/27/2012 01:00 PM, Jacques DASSIÉ wrote:
Bonjour à tous,
J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en macrophotographie. Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini. C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires de distance...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm. Logiciel : CombineZ. Deux raisons : il est gratuit et je l'avais sous la main.
Bien entendu, on opère sur pied, autofocus et stabilisateur deconnectés. Les puristes m'expliqueront que je n'y connais rien et qu'il suffit de télécommander l'appareil avec le logiciel Helicon, préréglé sur la distance min et auquel on aura indiqué le nombre de vues que doit comporter le stack. La télécommande de mise au point étant assurée par le logiciel. Je suis bien au courant, merci de leur solicitude.
Quoi qu'il en soit, mon petit stack manuel comportait peu d'images, mais elles me suffisaient pour vérifier un principe. Et ça marche. Quand à l'intérêt de la chose... C'est une autre histoire !
http://cjoint.com/?BDBmYBfbzh6
Euh, elle est où la MAP sur la première image? -- Bertrand
On 04/27/2012 01:00 PM, Jacques DASSIÉ wrote:
Bonjour à tous,
J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en
macrophotographie.
Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très
étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la
bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini.
C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations
angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires
de distance...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm. Logiciel : CombineZ.
Deux raisons : il est gratuit et je l'avais sous la main.
Bien entendu, on opère sur pied, autofocus et stabilisateur deconnectés.
Les puristes m'expliqueront que je n'y connais rien et qu'il suffit de
télécommander l'appareil avec le logiciel Helicon, préréglé sur la
distance min et auquel on aura indiqué le nombre de vues que doit
comporter le stack. La télécommande de mise au point étant assurée par
le logiciel. Je suis bien au courant, merci de leur solicitude.
Quoi qu'il en soit, mon petit stack manuel comportait peu d'images, mais
elles me suffisaient pour vérifier un principe. Et ça marche.
Quand à l'intérêt de la chose... C'est une autre histoire !
http://cjoint.com/?BDBmYBfbzh6
Euh, elle est où la MAP sur la première image?
--
Bertrand
J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en macrophotographie. Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini. C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires de distance...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm. Logiciel : CombineZ. Deux raisons : il est gratuit et je l'avais sous la main.
Bien entendu, on opère sur pied, autofocus et stabilisateur deconnectés. Les puristes m'expliqueront que je n'y connais rien et qu'il suffit de télécommander l'appareil avec le logiciel Helicon, préréglé sur la distance min et auquel on aura indiqué le nombre de vues que doit comporter le stack. La télécommande de mise au point étant assurée par le logiciel. Je suis bien au courant, merci de leur solicitude.
Quoi qu'il en soit, mon petit stack manuel comportait peu d'images, mais elles me suffisaient pour vérifier un principe. Et ça marche. Quand à l'intérêt de la chose... C'est une autre histoire !
http://cjoint.com/?BDBmYBfbzh6
Euh, elle est où la MAP sur la première image? -- Bertrand
Jacques DASSIÉ
Ofnuts a pensé très fort :
Euh, elle est où la MAP sur la première image?
Tiens, y en a au moins un qui suit !
Désolé, j'ai dû me gourrer d'un cran en faisant la manip !
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Ofnuts a pensé très fort :
Euh, elle est où la MAP sur la première image?
Tiens, y en a au moins un qui suit !
Désolé, j'ai dû me gourrer d'un cran en faisant la manip !
Désolé, j'ai dû me gourrer d'un cran en faisant la manip !
Les autres sont juste trop convaincus de ta maîtrise pour penser que tu eus pu errer... :)
-- Bertrand
Jacques L'helgoualc'h
Le 27-04-2012, Jacques DASSIÉ a écrit :
Bonjour à tous,
bonjour,
J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en macrophotographie. Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini. C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires de distance...
Tu ne peux pas arriver à l'infini par variation linéaire :)
Comme la profondeur de champ peut s'exprimer en fonction de l'hyperfocale :
1/d -1/h < 1/x < 1/d + 1/h
un stacking complet optimal pourrait s'obtenir avec une progression arithmétique de 1/d, avec un pas inférieur à 2/h ...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm.
Avec un objectif moderne complexe, il n'est pas certain que la focale reste fixe quand la mise au point change. -- Jacques L'helgoualc'h
Le 27-04-2012, Jacques DASSIÉ a écrit :
Bonjour à tous,
bonjour,
J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en
macrophotographie.
Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très
étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la
bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini.
C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations
angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires
de distance...
Tu ne peux pas arriver à l'infini par variation linéaire :)
Comme la profondeur de champ peut s'exprimer en fonction de
l'hyperfocale :
1/d -1/h < 1/x < 1/d + 1/h
un stacking complet optimal pourrait s'obtenir avec une progression
arithmétique de 1/d, avec un pas inférieur à 2/h ...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm.
Avec un objectif moderne complexe, il n'est pas certain que la focale
reste fixe quand la mise au point change.
--
Jacques L'helgoualc'h
J'ai lu quelques part que le stacking s'appliquait surtout en macrophotographie. Voulant en avoir le coeur net, j'ai fait un essai sur un paysage très étagé, photographié avec un full-frame, en 10 images seulement.
Variations du plan de mise au point par toutes petites rotations de la bague des distances, de 3.5 m au-dela de l'infini. C'est le seul problème pratique et ce n'est pas évident, les variations angulaires de la bague ne correspondant pas à des variations linéaires de distance...
Tu ne peux pas arriver à l'infini par variation linéaire :)
Comme la profondeur de champ peut s'exprimer en fonction de l'hyperfocale :
1/d -1/h < 1/x < 1/d + 1/h
un stacking complet optimal pourrait s'obtenir avec une progression arithmétique de 1/d, avec un pas inférieur à 2/h ...
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm.
Avec un objectif moderne complexe, il n'est pas certain que la focale reste fixe quand la mise au point change. -- Jacques L'helgoualc'h
£g
"Jacques DASSIÉ" a écrit dans le message de news: 4f9bd106$0$1697$
Ofnuts a pensé très fort :
Euh, elle est où la MAP sur la première image?
Tiens, y en a au moins un qui suit !
Désolé, j'ai dû me gourrer d'un cran en faisant la manip !
Désolé itou, mais je pense que toute la communauté de frpp à pensé que tu lançais le troll du vendredi.
-- £g
"Jacques DASSIÉ" <jacques.dassie@free.fr> a écrit dans le message de
news: 4f9bd106$0$1697$426a74cc@news.free.fr...
Ofnuts a pensé très fort :
Euh, elle est où la MAP sur la première image?
Tiens, y en a au moins un qui suit !
Désolé, j'ai dû me gourrer d'un cran en faisant la manip !
Désolé itou, mais je pense que toute la communauté de frpp à pensé que
tu lançais le troll du vendredi.
"Jacques DASSIÉ" a écrit dans le message de news: 4f9bd106$0$1697$
Ofnuts a pensé très fort :
Euh, elle est où la MAP sur la première image?
Tiens, y en a au moins un qui suit !
Désolé, j'ai dû me gourrer d'un cran en faisant la manip !
Désolé itou, mais je pense que toute la communauté de frpp à pensé que tu lançais le troll du vendredi.
-- £g
Jacques DASSIÉ
Jacques L'helgoualc'h a émis l'idée suivante :
Tu ne peux pas arriver à l'infini par variation linéaire :)
Heureusement que tu n'as pas oublié le smiley !
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm.
Avec un objectif moderne complexe, il n'est pas certain que la focale reste fixe quand la mise au point change.
Elle change très généralement. Ce qui entraîne de petites variations de la taille des images.
De plus, comme elles sont prises sur un pied et non sur un statif de mesure, elles présentent toutes des micro différences d'orientation.
Toutefois, les logiciels utilisés pour cette fonction de stacking prévoient systématiquement de commencer par une série de rectifications de chaque image corrigeant justement orientation et taille.
Ce n'est qu'après que l'analyse purement affectée au stacking peut commencer.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Jacques L'helgoualc'h a émis l'idée suivante :
Tu ne peux pas arriver à l'infini par variation linéaire :)
Heureusement que tu n'as pas oublié le smiley !
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm.
Avec un objectif moderne complexe, il n'est pas certain que la focale
reste fixe quand la mise au point change.
Elle change très généralement.
Ce qui entraîne de petites variations de la taille des images.
De plus, comme elles sont prises sur un pied et non sur un statif de
mesure, elles présentent toutes des micro différences d'orientation.
Toutefois, les logiciels utilisés pour cette fonction de stacking
prévoient systématiquement de commencer par une série de rectifications
de chaque image corrigeant justement orientation et taille.
Ce n'est qu'après que l'analyse purement affectée au stacking peut
commencer.
Tu ne peux pas arriver à l'infini par variation linéaire :)
Heureusement que tu n'as pas oublié le smiley !
Objectif: Canon 24-105, utilisé à f:4 et 105 mm.
Avec un objectif moderne complexe, il n'est pas certain que la focale reste fixe quand la mise au point change.
Elle change très généralement. Ce qui entraîne de petites variations de la taille des images.
De plus, comme elles sont prises sur un pied et non sur un statif de mesure, elles présentent toutes des micro différences d'orientation.
Toutefois, les logiciels utilisés pour cette fonction de stacking prévoient systématiquement de commencer par une série de rectifications de chaque image corrigeant justement orientation et taille.
Ce n'est qu'après que l'analyse purement affectée au stacking peut commencer.