Bonjour,
L'article d'une revue scientifique qui consacrait un sujet à
l'anamorphose donnait l'exemple impressionnant d'une image présentant
une zone côtière tourmentée qui, placée devant un cylindre, donnait le
portrait de Jules Vernes.
Il semblerait que la stéganographie numérique présente de nombreuses
faiblesses (cf. les brillantes démonstrations de M. Guillermito).
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information (a
priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un
miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
En espérant pour une fois avoir posé une question presque
intéressante ;-)
Merci pour vos réponses à ce sujet.
Bonjour,
L'article d'une revue scientifique qui consacrait un sujet à
l'anamorphose donnait l'exemple impressionnant d'une image présentant
une zone côtière tourmentée qui, placée devant un cylindre, donnait le
portrait de Jules Vernes.
Il semblerait que la stéganographie numérique présente de nombreuses
faiblesses (cf. les brillantes démonstrations de M. Guillermito).
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information (a
priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un
miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
En espérant pour une fois avoir posé une question presque
intéressante ;-)
Merci pour vos réponses à ce sujet.
Bonjour,
L'article d'une revue scientifique qui consacrait un sujet à
l'anamorphose donnait l'exemple impressionnant d'une image présentant
une zone côtière tourmentée qui, placée devant un cylindre, donnait le
portrait de Jules Vernes.
Il semblerait que la stéganographie numérique présente de nombreuses
faiblesses (cf. les brillantes démonstrations de M. Guillermito).
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information (a
priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un
miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
En espérant pour une fois avoir posé une question presque
intéressante ;-)
Merci pour vos réponses à ce sujet.
Bonjour.
Je réponds à Eric GrambierBonjour,
L'article d'une revue scientifique qui consacrait un sujet à
l'anamorphose donnait l'exemple impressionnant d'une image présentant
une zone côtière tourmentée qui, placée devant un cylindre, donnait le
portrait de Jules Vernes.
Il semblerait que la stéganographie numérique présente de nombreuses
faiblesses (cf. les brillantes démonstrations de M. Guillermito).
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information (a
priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un
miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
En espérant pour une fois avoir posé une question presque
intéressante ;-)
Merci pour vos réponses à ce sujet.
Il me semble que ce principe introduirait simplement une transformation
supplémentaire, bijective, et qu'il en résulterait donc une transformation
en conséquence du "spectre" qui trahit la présence des données.
Et donc la détection par la simple existence de ce spectre anormal serait
toujours possible.
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre modifié, en
supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est sans doute plus
complexe.
D'ailleurs la construction de fonctions sur mesure à partir de leur effet
constaté est un thème qui m'intéresse, mais que je ne sais pas trop comment
aborder efficacement.
Je vais suivre...
Cordialement,
Bonjour.
Je réponds à Eric Grambier <eric_grambier@yahoo.fr>
Bonjour,
L'article d'une revue scientifique qui consacrait un sujet à
l'anamorphose donnait l'exemple impressionnant d'une image présentant
une zone côtière tourmentée qui, placée devant un cylindre, donnait le
portrait de Jules Vernes.
Il semblerait que la stéganographie numérique présente de nombreuses
faiblesses (cf. les brillantes démonstrations de M. Guillermito).
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information (a
priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un
miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
En espérant pour une fois avoir posé une question presque
intéressante ;-)
Merci pour vos réponses à ce sujet.
Il me semble que ce principe introduirait simplement une transformation
supplémentaire, bijective, et qu'il en résulterait donc une transformation
en conséquence du "spectre" qui trahit la présence des données.
Et donc la détection par la simple existence de ce spectre anormal serait
toujours possible.
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre modifié, en
supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est sans doute plus
complexe.
D'ailleurs la construction de fonctions sur mesure à partir de leur effet
constaté est un thème qui m'intéresse, mais que je ne sais pas trop comment
aborder efficacement.
Je vais suivre...
Cordialement,
Bonjour.
Je réponds à Eric GrambierBonjour,
L'article d'une revue scientifique qui consacrait un sujet à
l'anamorphose donnait l'exemple impressionnant d'une image présentant
une zone côtière tourmentée qui, placée devant un cylindre, donnait le
portrait de Jules Vernes.
Il semblerait que la stéganographie numérique présente de nombreuses
faiblesses (cf. les brillantes démonstrations de M. Guillermito).
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information (a
priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un
miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
En espérant pour une fois avoir posé une question presque
intéressante ;-)
Merci pour vos réponses à ce sujet.
Il me semble que ce principe introduirait simplement une transformation
supplémentaire, bijective, et qu'il en résulterait donc une transformation
en conséquence du "spectre" qui trahit la présence des données.
Et donc la détection par la simple existence de ce spectre anormal serait
toujours possible.
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre modifié, en
supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est sans doute plus
complexe.
D'ailleurs la construction de fonctions sur mesure à partir de leur effet
constaté est un thème qui m'intéresse, mais que je ne sais pas trop comment
aborder efficacement.
Je vais suivre...
Cordialement,
Je réponds à Eric Grambier
[...]
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information
(a priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
[...]
Il me semble que ce principe introduirait simplement une
transformation supplémentaire, bijective, et qu'il en résulterait
donc une transformation en conséquence du "spectre" qui trahit la
présence des données.
Et donc la détection par la simple existence de ce spectre anormal
serait toujours possible.
Oui mais l'idée de l'anamorphose est que l'image "déformée" est
également lisible et peut sembler "normale" et que la déformation
qu'on lui fait subir ensuite lui donne une deuxième lecture "normale"
et lisible aussi.
Le spectre (et qu'appelez-vous exactement comme ça) est transformé et
transformable mais pas anormalement. Ce pourrait être la richesse du
moyen non ?
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre
modifié, en supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est
sans doute plus complexe.
Oui car on peut certainement imaginer une infinité de formes
distordues à même de donner une image lisible une seconde fois.
Il faudrait déjà savoir comment fabriquer une anamorphose doublement
lisible (cf. le portrait de Jules Verne du post initial).
D'ailleurs la construction de fonctions sur mesure à partir de leur
effet constaté est un thème qui m'intéresse, mais que je ne sais pas
trop comment aborder efficacement.
Peut-être sur fsm non ?
Je vais suivre...
Merci déjà pour votre début de réponse. Je n'y connais rien en math et
en crypto, c'est une simple idée comme ça et je ne voudrais pas être
le futeur Lheureux (ecore que si ça relance ce NG que je trouve très
atone pourquoi pas ;-)
Je réponds à Eric Grambier <eric_grambier@yahoo.fr>
[...]
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information
(a priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
[...]
Il me semble que ce principe introduirait simplement une
transformation supplémentaire, bijective, et qu'il en résulterait
donc une transformation en conséquence du "spectre" qui trahit la
présence des données.
Et donc la détection par la simple existence de ce spectre anormal
serait toujours possible.
Oui mais l'idée de l'anamorphose est que l'image "déformée" est
également lisible et peut sembler "normale" et que la déformation
qu'on lui fait subir ensuite lui donne une deuxième lecture "normale"
et lisible aussi.
Le spectre (et qu'appelez-vous exactement comme ça) est transformé et
transformable mais pas anormalement. Ce pourrait être la richesse du
moyen non ?
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre
modifié, en supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est
sans doute plus complexe.
Oui car on peut certainement imaginer une infinité de formes
distordues à même de donner une image lisible une seconde fois.
Il faudrait déjà savoir comment fabriquer une anamorphose doublement
lisible (cf. le portrait de Jules Verne du post initial).
D'ailleurs la construction de fonctions sur mesure à partir de leur
effet constaté est un thème qui m'intéresse, mais que je ne sais pas
trop comment aborder efficacement.
Peut-être sur fsm non ?
Je vais suivre...
Merci déjà pour votre début de réponse. Je n'y connais rien en math et
en crypto, c'est une simple idée comme ça et je ne voudrais pas être
le futeur Lheureux (ecore que si ça relance ce NG que je trouve très
atone pourquoi pas ;-)
Je réponds à Eric Grambier
[...]
Mais j'aimerais savoir s'il est possible de cacher de l'information
(a priori du texte) dans une image en anamorphose sans qu'elle soit
détectable sauf à être informé du moyen de rendre l'image lisible
(type, seulement lisible sur un cylindre de tant de diamètre et
devant un miroir si l'écriture est spéculaire pour corser le tout)?
Ou alors existe-til une démonstration que ce type d'information est
facilement et assurément détectable ?
[...]
Il me semble que ce principe introduirait simplement une
transformation supplémentaire, bijective, et qu'il en résulterait
donc une transformation en conséquence du "spectre" qui trahit la
présence des données.
Et donc la détection par la simple existence de ce spectre anormal
serait toujours possible.
Oui mais l'idée de l'anamorphose est que l'image "déformée" est
également lisible et peut sembler "normale" et que la déformation
qu'on lui fait subir ensuite lui donne une deuxième lecture "normale"
et lisible aussi.
Le spectre (et qu'appelez-vous exactement comme ça) est transformé et
transformable mais pas anormalement. Ce pourrait être la richesse du
moyen non ?
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre
modifié, en supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est
sans doute plus complexe.
Oui car on peut certainement imaginer une infinité de formes
distordues à même de donner une image lisible une seconde fois.
Il faudrait déjà savoir comment fabriquer une anamorphose doublement
lisible (cf. le portrait de Jules Verne du post initial).
D'ailleurs la construction de fonctions sur mesure à partir de leur
effet constaté est un thème qui m'intéresse, mais que je ne sais pas
trop comment aborder efficacement.
Peut-être sur fsm non ?
Je vais suivre...
Merci déjà pour votre début de réponse. Je n'y connais rien en math et
en crypto, c'est une simple idée comme ça et je ne voudrais pas être
le futeur Lheureux (ecore que si ça relance ce NG que je trouve très
atone pourquoi pas ;-)
Je me suis longtemps posé une question fondamentale sur les attaques
"brute force" en général:
Comment sait-on que l'on a trouvé ?
Je me suis longtemps posé une question fondamentale sur les attaques
"brute force" en général:
Comment sait-on que l'on a trouvé ?
Je me suis longtemps posé une question fondamentale sur les attaques
"brute force" en général:
Comment sait-on que l'on a trouvé ?
"lisible":
Le fait que le résultat ne soit pas perceptible humainement n'est pas un bon
critère.
C'est la raison pour laquelle je fais une analogie avec votre transformation
elle aussi bijective. Même si l'alphabet est moins évident, et la
transformation plus complexe, la transposition me paraît assez évidente
selon ma perception des langages.
D'ailleurs AMHA il n'existe pas de fonction non-inversible sur un ensemble
fini, si on s'autorise un temps de calcul suffisant et la possibilité
d'essayer plusieurs candidats pour une valeur-image donnée: toute fonction
peut alors être tabulée puis la table inversée.
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre
modifié, en supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est
sans doute plus complexe.
Oui car on peut certainement imaginer une infinité de formes
distordues à même de donner une image lisible une seconde fois.
Il faudrait déjà savoir comment fabriquer une anamorphose doublement
lisible (cf. le portrait de Jules Verne du post initial).
Oui, ça ça m'intéresse du point de vue artistique, mais je pense que ça sort
du cadre de la cryptologie. En mécanique aussi, les courbes conjuguées
permettent de faire des engrenages spectaculaires...
Vous savez où trouver des chercheuses en mathématiques passionnées et
célibataires ?
Moi aussi j'ai hélas perdu pas mal de mes capacités en maths :'-( en me
développant dans d'autres domaines. Pourquoi n'a-t-on qu'une seule tête,
c'est vraiment mal foutu !
Mais effectivement, la cryptologie est un des piliers de la société de
l'information.
J'aimerais seulement la voir sortir de la course-poursuite strictement liée
à la longueur des clés et aux temps de calcul.
Saint Vernam, donnez-nous la foi !!!!
Cordialement,
"lisible":
Le fait que le résultat ne soit pas perceptible humainement n'est pas un bon
critère.
C'est la raison pour laquelle je fais une analogie avec votre transformation
elle aussi bijective. Même si l'alphabet est moins évident, et la
transformation plus complexe, la transposition me paraît assez évidente
selon ma perception des langages.
D'ailleurs AMHA il n'existe pas de fonction non-inversible sur un ensemble
fini, si on s'autorise un temps de calcul suffisant et la possibilité
d'essayer plusieurs candidats pour une valeur-image donnée: toute fonction
peut alors être tabulée puis la table inversée.
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre
modifié, en supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est
sans doute plus complexe.
Oui car on peut certainement imaginer une infinité de formes
distordues à même de donner une image lisible une seconde fois.
Il faudrait déjà savoir comment fabriquer une anamorphose doublement
lisible (cf. le portrait de Jules Verne du post initial).
Oui, ça ça m'intéresse du point de vue artistique, mais je pense que ça sort
du cadre de la cryptologie. En mécanique aussi, les courbes conjuguées
permettent de faire des engrenages spectaculaires...
Vous savez où trouver des chercheuses en mathématiques passionnées et
célibataires ?
Moi aussi j'ai hélas perdu pas mal de mes capacités en maths :'-( en me
développant dans d'autres domaines. Pourquoi n'a-t-on qu'une seule tête,
c'est vraiment mal foutu !
Mais effectivement, la cryptologie est un des piliers de la société de
l'information.
J'aimerais seulement la voir sortir de la course-poursuite strictement liée
à la longueur des clés et aux temps de calcul.
Saint Vernam, donnez-nous la foi !!!!
Cordialement,
"lisible":
Le fait que le résultat ne soit pas perceptible humainement n'est pas un bon
critère.
C'est la raison pour laquelle je fais une analogie avec votre transformation
elle aussi bijective. Même si l'alphabet est moins évident, et la
transformation plus complexe, la transposition me paraît assez évidente
selon ma perception des langages.
D'ailleurs AMHA il n'existe pas de fonction non-inversible sur un ensemble
fini, si on s'autorise un temps de calcul suffisant et la possibilité
d'essayer plusieurs candidats pour une valeur-image donnée: toute fonction
peut alors être tabulée puis la table inversée.
Ensuite, retrouver la transformation inverse à partir du spectre
modifié, en supposant qu'on le compare à des spectres connus, c'est
sans doute plus complexe.
Oui car on peut certainement imaginer une infinité de formes
distordues à même de donner une image lisible une seconde fois.
Il faudrait déjà savoir comment fabriquer une anamorphose doublement
lisible (cf. le portrait de Jules Verne du post initial).
Oui, ça ça m'intéresse du point de vue artistique, mais je pense que ça sort
du cadre de la cryptologie. En mécanique aussi, les courbes conjuguées
permettent de faire des engrenages spectaculaires...
Vous savez où trouver des chercheuses en mathématiques passionnées et
célibataires ?
Moi aussi j'ai hélas perdu pas mal de mes capacités en maths :'-( en me
développant dans d'autres domaines. Pourquoi n'a-t-on qu'une seule tête,
c'est vraiment mal foutu !
Mais effectivement, la cryptologie est un des piliers de la société de
l'information.
J'aimerais seulement la voir sortir de la course-poursuite strictement liée
à la longueur des clés et aux temps de calcul.
Saint Vernam, donnez-nous la foi !!!!
Cordialement,
Patrick 'Zener' Brunet wrote:Je me suis longtemps posé une question fondamentale sur les attaques
"brute force" en général:
Comment sait-on que l'on a trouvé ?
Nous sommes au moins deux alors.
[...]
Mais tout de même, sans comparaison de hash, crc, etc., je me demande
comment certains savent qu'ils on trouvé en brute-forçant (à part cas
précis ou évidents). Même l'obtention d'une suite de mots sans
logique apparente peut-être la solution (dictionanires, etc.). Et si
c'est surchiffré ?
Patrick 'Zener' Brunet wrote:
Je me suis longtemps posé une question fondamentale sur les attaques
"brute force" en général:
Comment sait-on que l'on a trouvé ?
Nous sommes au moins deux alors.
[...]
Mais tout de même, sans comparaison de hash, crc, etc., je me demande
comment certains savent qu'ils on trouvé en brute-forçant (à part cas
précis ou évidents). Même l'obtention d'une suite de mots sans
logique apparente peut-être la solution (dictionanires, etc.). Et si
c'est surchiffré ?
Patrick 'Zener' Brunet wrote:Je me suis longtemps posé une question fondamentale sur les attaques
"brute force" en général:
Comment sait-on que l'on a trouvé ?
Nous sommes au moins deux alors.
[...]
Mais tout de même, sans comparaison de hash, crc, etc., je me demande
comment certains savent qu'ils on trouvé en brute-forçant (à part cas
précis ou évidents). Même l'obtention d'une suite de mots sans
logique apparente peut-être la solution (dictionanires, etc.). Et si
c'est surchiffré ?