Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier
n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à
l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou
photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
Tu peux essayer de les filmer plus discrètement qu'avec un réflex: un
téléphone portable peut faire l'affaire, et je pense que certains ne
s'en privent pas. En recherchant un niveau de qualité supérieure, on a
des bons compacts qui font grand angle, comme les Panasonic LX3 et LX5
qui ont l'avantage très appréciable de couvrir le 24mm.
Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :
Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier
n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à
l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou
photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
Tu peux essayer de les filmer plus discrètement qu'avec un réflex: un
téléphone portable peut faire l'affaire, et je pense que certains ne
s'en privent pas. En recherchant un niveau de qualité supérieure, on a
des bons compacts qui font grand angle, comme les Panasonic LX3 et LX5
qui ont l'avantage très appréciable de couvrir le 24mm.
Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier
n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à
l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou
photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
Tu peux essayer de les filmer plus discrètement qu'avec un réflex: un
téléphone portable peut faire l'affaire, et je pense que certains ne
s'en privent pas. En recherchant un niveau de qualité supérieure, on a
des bons compacts qui font grand angle, comme les Panasonic LX3 et LX5
qui ont l'avantage très appréciable de couvrir le 24mm.
Voyeurs de quoi? Pourquoi pressés? En quoi le fait de se sentir pressé de
publier est un argument? A priori, si on fait quelque chose de bien, on a
envie de le montrer, ça me parait normal. Je ne comprends pas.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros
réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier
léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées,
avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
1/ Y'avait aussi des appareils dotés de zooms moins volumineux parmi les cas
proposés.
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans une
démarche académique qui collerait à ta définition de "Street Photography";
d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils faisaient
plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le trépieds étant dans ce
cas un bon choix, car il permet poses longues et multiples poses pour
éliminer les obstacles mobiles du champs de vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
Voyeurs de quoi? Pourquoi pressés? En quoi le fait de se sentir pressé de
publier est un argument? A priori, si on fait quelque chose de bien, on a
envie de le montrer, ça me parait normal. Je ne comprends pas.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros
réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier
léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées,
avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
1/ Y'avait aussi des appareils dotés de zooms moins volumineux parmi les cas
proposés.
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans une
démarche académique qui collerait à ta définition de "Street Photography";
d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils faisaient
plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le trépieds étant dans ce
cas un bon choix, car il permet poses longues et multiples poses pour
éliminer les obstacles mobiles du champs de vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
Voyeurs de quoi? Pourquoi pressés? En quoi le fait de se sentir pressé de
publier est un argument? A priori, si on fait quelque chose de bien, on a
envie de le montrer, ça me parait normal. Je ne comprends pas.
La vraie street photography n'a rien à voir avec ces pratiques de gros
réflex télézoomés sur trépied. Ca se fait au contraire avec un boîtier
léger, en grand angle, sans voyeurisme ni (idéalement) de photos volées,
avec souvent recherche d'un échange amical. Rien à voir...
1/ Y'avait aussi des appareils dotés de zooms moins volumineux parmi les cas
proposés.
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans une
démarche académique qui collerait à ta définition de "Street Photography";
d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils faisaient
plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le trépieds étant dans ce
cas un bon choix, car il permet poses longues et multiples poses pour
éliminer les obstacles mobiles du champs de vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
Le 27/09/2011 23:07, KMS a écrit :Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier
n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à
l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou
photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Tout à fait; mais ils use (et donc abusent) de la force publique qui leur a
été confier pour l'empêcher. C'est un problème.Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
C'est un fantasme,ça. Trouve-moi un seul cas où la famille d'un agent a subit
des représailles suite à une identification par caméra interposé de l'agent?
Si tu veux l'inverse, des cas où des citoyens ont eu de gros ennuis suite à
leur identification par des moyens photo/video policiers, par contre, là,
oui, y'en a des tas.
Le 27/09/2011 23:07, KMS a écrit :
Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :
Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier
n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à
l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou
photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Tout à fait; mais ils use (et donc abusent) de la force publique qui leur a
été confier pour l'empêcher. C'est un problème.
Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
C'est un fantasme,ça. Trouve-moi un seul cas où la famille d'un agent a subit
des représailles suite à une identification par caméra interposé de l'agent?
Si tu veux l'inverse, des cas où des citoyens ont eu de gros ennuis suite à
leur identification par des moyens photo/video policiers, par contre, là,
oui, y'en a des tas.
Le 27/09/2011 23:07, KMS a écrit :Yannick Patois a écrit le 27/09/2011 :Par expérience, les forces dites "de l'ordre", qui sur le papier
n'ont, dans l'exercice de leur fonctions, pas de recours en droit à
l'image, m'ont plus d'une fois empêchées de les filmer ou
photographier, si ce n'est détruit les enregistrements.
Pour la force publique, c'est différent, il est légitime de pouvoir les
filmer ou les photographier.
Tout à fait; mais ils use (et donc abusent) de la force publique qui leur a
été confier pour l'empêcher. C'est un problème.Maintenant, une hypothèse vis-à-vis de ce refus, c'est que certains
peuvent craindre des représailles dans leur vies personnelles lorsque
leurs visages sont exposés sur internet. Ca peut se comprendre.
C'est un fantasme,ça. Trouve-moi un seul cas où la famille d'un agent a subit
des représailles suite à une identification par caméra interposé de l'agent?
Si tu veux l'inverse, des cas où des citoyens ont eu de gros ennuis suite à
leur identification par des moyens photo/video policiers, par contre, là,
oui, y'en a des tas.
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography";
La définition de "street photography" n'est pas académique, c'est une
définition commune. Ce n'est pas parce que ça se passe dans la rue que
c'est de la Street photography. Le titre de ce fil est à côté de la plaque.
d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils
faisaient plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le
trépieds étant dans ce cas un bon choix, car il permet poses longues
et multiples poses pour éliminer les obstacles mobiles du champs de
vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
De la photographie d'architecture urbaine ?? C'est encore plus hors
sujet !
Mais où diable s'en revendiquent-ils ?
Et s'ils voulaient
vraiment en faire, ils viendraient sagement le dimanche, ils
emmerderaient moins leur monde et se feraient moins emmerdés.
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography";
La définition de "street photography" n'est pas académique, c'est une
définition commune. Ce n'est pas parce que ça se passe dans la rue que
c'est de la Street photography. Le titre de ce fil est à côté de la plaque.
d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils
faisaient plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le
trépieds étant dans ce cas un bon choix, car il permet poses longues
et multiples poses pour éliminer les obstacles mobiles du champs de
vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
De la photographie d'architecture urbaine ?? C'est encore plus hors
sujet !
Mais où diable s'en revendiquent-ils ?
Et s'ils voulaient
vraiment en faire, ils viendraient sagement le dimanche, ils
emmerderaient moins leur monde et se feraient moins emmerdés.
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography";
La définition de "street photography" n'est pas académique, c'est une
définition commune. Ce n'est pas parce que ça se passe dans la rue que
c'est de la Street photography. Le titre de ce fil est à côté de la plaque.
d'après ce que j'ai pu voir, à la vue des angles choisis, ils
faisaient plutôt de la photographie d'architecture urbaine. Le
trépieds étant dans ce cas un bon choix, car il permet poses longues
et multiples poses pour éliminer les obstacles mobiles du champs de
vision.
Ta critique est à mon avis à coté du sujet.
De la photographie d'architecture urbaine ?? C'est encore plus hors
sujet !
Mais où diable s'en revendiquent-ils ?
Et s'ils voulaient
vraiment en faire, ils viendraient sagement le dimanche, ils
emmerderaient moins leur monde et se feraient moins emmerdés.
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :Le 27/09/2011 23:07, KMS a écrit :
C'est un fantasme,ça. Trouve-moi un seul cas où la famille d'un agent
a subit des représailles suite à une identification par caméra
interposé de l'agent?>
Pourquoi spécialement la famille ? J'ai parlé de leur vie personnelle,
c'est-à-dire en dehors de leurs fonctions. Et on a aucun mal à trouver
des cas de policiers abattus devant chez eux.
on doit
observer de près nos forces de l'ordre,et on les observe d'ailleurs de
près. Mais pas au point non plus de nuire à leur action légitime. Dans
ton cas précis, on ne peut rien dire tant que tu n'as pas précisé le
contexte dans lequel tes photos ont été refusées.
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :
Le 27/09/2011 23:07, KMS a écrit :
C'est un fantasme,ça. Trouve-moi un seul cas où la famille d'un agent
a subit des représailles suite à une identification par caméra
interposé de l'agent?>
Pourquoi spécialement la famille ? J'ai parlé de leur vie personnelle,
c'est-à-dire en dehors de leurs fonctions. Et on a aucun mal à trouver
des cas de policiers abattus devant chez eux.
on doit
observer de près nos forces de l'ordre,et on les observe d'ailleurs de
près. Mais pas au point non plus de nuire à leur action légitime. Dans
ton cas précis, on ne peut rien dire tant que tu n'as pas précisé le
contexte dans lequel tes photos ont été refusées.
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :Le 27/09/2011 23:07, KMS a écrit :
C'est un fantasme,ça. Trouve-moi un seul cas où la famille d'un agent
a subit des représailles suite à une identification par caméra
interposé de l'agent?>
Pourquoi spécialement la famille ? J'ai parlé de leur vie personnelle,
c'est-à-dire en dehors de leurs fonctions. Et on a aucun mal à trouver
des cas de policiers abattus devant chez eux.
on doit
observer de près nos forces de l'ordre,et on les observe d'ailleurs de
près. Mais pas au point non plus de nuire à leur action légitime. Dans
ton cas précis, on ne peut rien dire tant que tu n'as pas précisé le
contexte dans lequel tes photos ont été refusées.
On 09/29/2011 10:20 AM, KMS wrote:Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography";
La définition de "street photography" n'est pas académique, c'est une
définition commune. Ce n'est pas parce que ça se passe dans la rue que
c'est de la Street photography. Le titre de ce fil est à côté de la plaque.
Tu critiques le titre du fil ou le documentaire?
Il me semble absurde de
vouloir juger le documentaire à l'aune d'un titre choisi par une personne
sans relation avec ses créateurs.
On 09/29/2011 10:20 AM, KMS wrote:
Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :
2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography";
La définition de "street photography" n'est pas académique, c'est une
définition commune. Ce n'est pas parce que ça se passe dans la rue que
c'est de la Street photography. Le titre de ce fil est à côté de la plaque.
Tu critiques le titre du fil ou le documentaire?
Il me semble absurde de
vouloir juger le documentaire à l'aune d'un titre choisi par une personne
sans relation avec ses créateurs.
On 09/29/2011 10:20 AM, KMS wrote:Yannick Patois a écrit le 28/09/2011 :2/ Nous sommes dans une démonstration d'un phénomène social, pas dans
une démarche académique qui collerait à ta définition de "Street
Photography";
La définition de "street photography" n'est pas académique, c'est une
définition commune. Ce n'est pas parce que ça se passe dans la rue que
c'est de la Street photography. Le titre de ce fil est à côté de la plaque.
Tu critiques le titre du fil ou le documentaire?
Il me semble absurde de
vouloir juger le documentaire à l'aune d'un titre choisi par une personne
sans relation avec ses créateurs.
on doit
observer de près nos forces de l'ordre,et on les observe d'ailleurs de
près. Mais pas au point non plus de nuire à leur action légitime. Dans
ton cas précis, on ne peut rien dire tant que tu n'as pas précisé le
contexte dans lequel tes photos ont été refusées.
Or les services spéciaux et terrorisme (GIGN, etc.) qui sont de toute façon
généralement masqués, la loi est précise; et la CNDS l'a rappelé récemment
(avis 2005-29"
http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/074000153/0000.pdf):
« Il paraît opportun à la Commission qu’il soit rappelé aux
forces d’intervention, notamment aux CRS, qu’elles doivent considérer
comme normale l’attention que des citoyens ou des groupes de citoyens
peuvent porter à leur mode d’action. Le fait d’être photographiés ou filmés
durant leurs interventions ne peut constituer aucune gêne pour des policiers
soucieux du respect des règles déontologiques »
Ils devraient donc même l'accueillir avec plaisir :)
Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en caméra
vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle pleurait), ils l'ont
choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont détruite (G8 Evian), tout
en l'insultant sur son physique (il était très jeune, fin avec de longs
cheveux); il a eu de la chance qu'ils aient encore à faire ailleurs, sinon il
se serait sûrement retrouvé au tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des
histoires comme cela y'en a des centaines.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus d'une
fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé d'effacer certaines
(alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien dramatique: je n'ai même pas
jugé utile de les récupérer avec un outils).
Ils savent qu'ils n'ont pas le
droit; mais toi, tu sais que si tu veux t'éviter quelques heures d'emmerdes
au poste, ben, tu t'écrases...
on doit
observer de près nos forces de l'ordre,et on les observe d'ailleurs de
près. Mais pas au point non plus de nuire à leur action légitime. Dans
ton cas précis, on ne peut rien dire tant que tu n'as pas précisé le
contexte dans lequel tes photos ont été refusées.
Or les services spéciaux et terrorisme (GIGN, etc.) qui sont de toute façon
généralement masqués, la loi est précise; et la CNDS l'a rappelé récemment
(avis 2005-29"
http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/074000153/0000.pdf):
« Il paraît opportun à la Commission qu’il soit rappelé aux
forces d’intervention, notamment aux CRS, qu’elles doivent considérer
comme normale l’attention que des citoyens ou des groupes de citoyens
peuvent porter à leur mode d’action. Le fait d’être photographiés ou filmés
durant leurs interventions ne peut constituer aucune gêne pour des policiers
soucieux du respect des règles déontologiques »
Ils devraient donc même l'accueillir avec plaisir :)
Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en caméra
vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle pleurait), ils l'ont
choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont détruite (G8 Evian), tout
en l'insultant sur son physique (il était très jeune, fin avec de longs
cheveux); il a eu de la chance qu'ils aient encore à faire ailleurs, sinon il
se serait sûrement retrouvé au tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des
histoires comme cela y'en a des centaines.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus d'une
fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé d'effacer certaines
(alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien dramatique: je n'ai même pas
jugé utile de les récupérer avec un outils).
Ils savent qu'ils n'ont pas le
droit; mais toi, tu sais que si tu veux t'éviter quelques heures d'emmerdes
au poste, ben, tu t'écrases...
on doit
observer de près nos forces de l'ordre,et on les observe d'ailleurs de
près. Mais pas au point non plus de nuire à leur action légitime. Dans
ton cas précis, on ne peut rien dire tant que tu n'as pas précisé le
contexte dans lequel tes photos ont été refusées.
Or les services spéciaux et terrorisme (GIGN, etc.) qui sont de toute façon
généralement masqués, la loi est précise; et la CNDS l'a rappelé récemment
(avis 2005-29"
http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/074000153/0000.pdf):
« Il paraît opportun à la Commission qu’il soit rappelé aux
forces d’intervention, notamment aux CRS, qu’elles doivent considérer
comme normale l’attention que des citoyens ou des groupes de citoyens
peuvent porter à leur mode d’action. Le fait d’être photographiés ou filmés
durant leurs interventions ne peut constituer aucune gêne pour des policiers
soucieux du respect des règles déontologiques »
Ils devraient donc même l'accueillir avec plaisir :)
Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en caméra
vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle pleurait), ils l'ont
choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont détruite (G8 Evian), tout
en l'insultant sur son physique (il était très jeune, fin avec de longs
cheveux); il a eu de la chance qu'ils aient encore à faire ailleurs, sinon il
se serait sûrement retrouvé au tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des
histoires comme cela y'en a des centaines.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus d'une
fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé d'effacer certaines
(alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien dramatique: je n'ai même pas
jugé utile de les récupérer avec un outils).
Ils savent qu'ils n'ont pas le
droit; mais toi, tu sais que si tu veux t'éviter quelques heures d'emmerdes
au poste, ben, tu t'écrases...
Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en
caméra vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle
pleurait), ils l'ont choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont
détruite (G8 Evian), tout en l'insultant sur son physique (il était
très jeune, fin avec de longs cheveux); il a eu de la chance qu'ils
aient encore à faire ailleurs, sinon il se serait sûrement retrouvé au
tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des histoires comme cela
y'en a des centaines.
Oui mais ça ce sont des histoires inventées, répétées et amplifiées
Et dans un contexte urbain où il est désormais impensable qu'aucun
habitant des immeubles avoisinant une scène de ce genre ne dispose d'un
équipement photo ou vidéo, ne serait-ce qu'un simple mobile, il est
curieux qu'on ne retrouve guère de ces "témoignages" soit-disant si
abondants.
Je ne doute pas que les noms d'oiseaux volent de part et d'autre dans
les manifs, mais si des chochottes s'en émeuvent, qu'elles aillent
manifester sous d'autres formes. Il y a quand même un côté sado-maso
chez celui qui va activement manifester de façon vindicative dans ce
genre de contexte, et qui pleurniche simplement parce qu'un flic lui
fait des remarques sur son physique. Surtout après avoir lui-même insulté.
Il conviendrait donc de ne pas tomber dans le mythe du manifestant
systématiquement tout gentil contre le flic systématiquement tout
pourri.
La différence avec le citoyen lambda, c'est qu'on ne juge ce dernier
qu'à priori.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus
d'une fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé
d'effacer certaines (alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien
dramatique: je n'ai même pas jugé utile de les récupérer avec un outils).
Est-ce que tu te souviens de celles qu'ils ont effacées ? Ca serait
éclairant, c'est le coeur du sujet.
Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :
Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en
caméra vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle
pleurait), ils l'ont choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont
détruite (G8 Evian), tout en l'insultant sur son physique (il était
très jeune, fin avec de longs cheveux); il a eu de la chance qu'ils
aient encore à faire ailleurs, sinon il se serait sûrement retrouvé au
tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des histoires comme cela
y'en a des centaines.
Oui mais ça ce sont des histoires inventées, répétées et amplifiées
Et dans un contexte urbain où il est désormais impensable qu'aucun
habitant des immeubles avoisinant une scène de ce genre ne dispose d'un
équipement photo ou vidéo, ne serait-ce qu'un simple mobile, il est
curieux qu'on ne retrouve guère de ces "témoignages" soit-disant si
abondants.
Je ne doute pas que les noms d'oiseaux volent de part et d'autre dans
les manifs, mais si des chochottes s'en émeuvent, qu'elles aillent
manifester sous d'autres formes. Il y a quand même un côté sado-maso
chez celui qui va activement manifester de façon vindicative dans ce
genre de contexte, et qui pleurniche simplement parce qu'un flic lui
fait des remarques sur son physique. Surtout après avoir lui-même insulté.
Il conviendrait donc de ne pas tomber dans le mythe du manifestant
systématiquement tout gentil contre le flic systématiquement tout
pourri.
La différence avec le citoyen lambda, c'est qu'on ne juge ce dernier
qu'à priori.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus
d'une fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé
d'effacer certaines (alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien
dramatique: je n'ai même pas jugé utile de les récupérer avec un outils).
Est-ce que tu te souviens de celles qu'ils ont effacées ? Ca serait
éclairant, c'est le coeur du sujet.
Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en
caméra vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle
pleurait), ils l'ont choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont
détruite (G8 Evian), tout en l'insultant sur son physique (il était
très jeune, fin avec de longs cheveux); il a eu de la chance qu'ils
aient encore à faire ailleurs, sinon il se serait sûrement retrouvé au
tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des histoires comme cela
y'en a des centaines.
Oui mais ça ce sont des histoires inventées, répétées et amplifiées
Et dans un contexte urbain où il est désormais impensable qu'aucun
habitant des immeubles avoisinant une scène de ce genre ne dispose d'un
équipement photo ou vidéo, ne serait-ce qu'un simple mobile, il est
curieux qu'on ne retrouve guère de ces "témoignages" soit-disant si
abondants.
Je ne doute pas que les noms d'oiseaux volent de part et d'autre dans
les manifs, mais si des chochottes s'en émeuvent, qu'elles aillent
manifester sous d'autres formes. Il y a quand même un côté sado-maso
chez celui qui va activement manifester de façon vindicative dans ce
genre de contexte, et qui pleurniche simplement parce qu'un flic lui
fait des remarques sur son physique. Surtout après avoir lui-même insulté.
Il conviendrait donc de ne pas tomber dans le mythe du manifestant
systématiquement tout gentil contre le flic systématiquement tout
pourri.
La différence avec le citoyen lambda, c'est qu'on ne juge ce dernier
qu'à priori.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus
d'une fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé
d'effacer certaines (alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien
dramatique: je n'ai même pas jugé utile de les récupérer avec un outils).
Est-ce que tu te souviens de celles qu'ils ont effacées ? Ca serait
éclairant, c'est le coeur du sujet.
Le 29/09/2011 12:34, KMS a écrit :Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en
caméra vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle
pleurait), ils l'ont choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont
détruite (G8 Evian), tout en l'insultant sur son physique (il était
très jeune, fin avec de longs cheveux); il a eu de la chance qu'ils
aient encore à faire ailleurs, sinon il se serait sûrement retrouvé au
tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des histoires comme cela
y'en a des centaines.
Oui mais ça ce sont des histoires inventées, répétées et amplifiées
Celle que je te raconte, je suis le témoin.Et dans un contexte urbain où il est désormais impensable qu'aucun
habitant des immeubles avoisinant une scène de ce genre ne dispose d'un
équipement photo ou vidéo, ne serait-ce qu'un simple mobile, il est
curieux qu'on ne retrouve guère de ces "témoignages" soit-disant si
abondants.
En dépit du nombre de gadgets filmants disponibles, il est étonnant que
beaucoup échappent encore à l'enregistrement. Mais c'est un fait. Prend
n'importe quel fait divers spectaculaire et stressant mais exécuté en un
temps court (vol à main armé, etc.). Il est assez rare d'en avoir des images
amateures, même dans des lieux fréquentés.
Je ne doute pas que les noms d'oiseaux volent de part et d'autre dans
les manifs, mais si des chochottes s'en émeuvent, qu'elles aillent
manifester sous d'autres formes. Il y a quand même un côté sado-maso
chez celui qui va activement manifester de façon vindicative dans ce
genre de contexte, et qui pleurniche simplement parce qu'un flic lui
fait des remarques sur son physique. Surtout après avoir lui-même insulté.
N'importe quoi.
(À ce point, j'ai cessé de te lire sérieusement).
Il conviendrait donc de ne pas tomber dans le mythe du manifestant
systématiquement tout gentil contre le flic systématiquement tout
pourri.
Haha.La différence avec le citoyen lambda, c'est qu'on ne juge ce dernier
qu'à priori.
En effet, contrairement au citoyen, le flic n'a presque aucun risque d'être
jugé à posteriori.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus
d'une fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé
d'effacer certaines (alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien
dramatique: je n'ai même pas jugé utile de les récupérer avec un outils).
Est-ce que tu te souviens de celles qu'ils ont effacées ? Ca serait
éclairant, c'est le coeur du sujet.
Toutes celles où l'on pouvait voir un uniforme.
Le 29/09/2011 12:34, KMS a écrit :
Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :
Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en
caméra vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle
pleurait), ils l'ont choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont
détruite (G8 Evian), tout en l'insultant sur son physique (il était
très jeune, fin avec de longs cheveux); il a eu de la chance qu'ils
aient encore à faire ailleurs, sinon il se serait sûrement retrouvé au
tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des histoires comme cela
y'en a des centaines.
Oui mais ça ce sont des histoires inventées, répétées et amplifiées
Celle que je te raconte, je suis le témoin.
Et dans un contexte urbain où il est désormais impensable qu'aucun
habitant des immeubles avoisinant une scène de ce genre ne dispose d'un
équipement photo ou vidéo, ne serait-ce qu'un simple mobile, il est
curieux qu'on ne retrouve guère de ces "témoignages" soit-disant si
abondants.
En dépit du nombre de gadgets filmants disponibles, il est étonnant que
beaucoup échappent encore à l'enregistrement. Mais c'est un fait. Prend
n'importe quel fait divers spectaculaire et stressant mais exécuté en un
temps court (vol à main armé, etc.). Il est assez rare d'en avoir des images
amateures, même dans des lieux fréquentés.
Je ne doute pas que les noms d'oiseaux volent de part et d'autre dans
les manifs, mais si des chochottes s'en émeuvent, qu'elles aillent
manifester sous d'autres formes. Il y a quand même un côté sado-maso
chez celui qui va activement manifester de façon vindicative dans ce
genre de contexte, et qui pleurniche simplement parce qu'un flic lui
fait des remarques sur son physique. Surtout après avoir lui-même insulté.
N'importe quoi.
(À ce point, j'ai cessé de te lire sérieusement).
Il conviendrait donc de ne pas tomber dans le mythe du manifestant
systématiquement tout gentil contre le flic systématiquement tout
pourri.
Haha.
La différence avec le citoyen lambda, c'est qu'on ne juge ce dernier
qu'à priori.
En effet, contrairement au citoyen, le flic n'a presque aucun risque d'être
jugé à posteriori.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus
d'une fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé
d'effacer certaines (alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien
dramatique: je n'ai même pas jugé utile de les récupérer avec un outils).
Est-ce que tu te souviens de celles qu'ils ont effacées ? Ca serait
éclairant, c'est le coeur du sujet.
Toutes celles où l'on pouvait voir un uniforme.
Le 29/09/2011 12:34, KMS a écrit :Yannick Patois a écrit le 29/09/2011 :Pour ma part, j'ai vu des keufs courser un type qui avait filmé en
caméra vidéo une fille se faire fouiller sans ménagement (elle
pleurait), ils l'ont choppés, ont arraché la bande magnétique et l'ont
détruite (G8 Evian), tout en l'insultant sur son physique (il était
très jeune, fin avec de longs cheveux); il a eu de la chance qu'ils
aient encore à faire ailleurs, sinon il se serait sûrement retrouvé au
tribunal pour outrage ou je ne sais quoi. Des histoires comme cela
y'en a des centaines.
Oui mais ça ce sont des histoires inventées, répétées et amplifiées
Celle que je te raconte, je suis le témoin.Et dans un contexte urbain où il est désormais impensable qu'aucun
habitant des immeubles avoisinant une scène de ce genre ne dispose d'un
équipement photo ou vidéo, ne serait-ce qu'un simple mobile, il est
curieux qu'on ne retrouve guère de ces "témoignages" soit-disant si
abondants.
En dépit du nombre de gadgets filmants disponibles, il est étonnant que
beaucoup échappent encore à l'enregistrement. Mais c'est un fait. Prend
n'importe quel fait divers spectaculaire et stressant mais exécuté en un
temps court (vol à main armé, etc.). Il est assez rare d'en avoir des images
amateures, même dans des lieux fréquentés.
Je ne doute pas que les noms d'oiseaux volent de part et d'autre dans
les manifs, mais si des chochottes s'en émeuvent, qu'elles aillent
manifester sous d'autres formes. Il y a quand même un côté sado-maso
chez celui qui va activement manifester de façon vindicative dans ce
genre de contexte, et qui pleurniche simplement parce qu'un flic lui
fait des remarques sur son physique. Surtout après avoir lui-même insulté.
N'importe quoi.
(À ce point, j'ai cessé de te lire sérieusement).
Il conviendrait donc de ne pas tomber dans le mythe du manifestant
systématiquement tout gentil contre le flic systématiquement tout
pourri.
Haha.La différence avec le citoyen lambda, c'est qu'on ne juge ce dernier
qu'à priori.
En effet, contrairement au citoyen, le flic n'a presque aucun risque d'être
jugé à posteriori.
Lors du sommet de l'OTAN, à Strasbourg, là ou je réside, on m'a plus
d'une fois pris mon appareil et inspecté les photos, et demandé
d'effacer certaines (alors qu'il n'y avait vraiment rien de bien
dramatique: je n'ai même pas jugé utile de les récupérer avec un outils).
Est-ce que tu te souviens de celles qu'ils ont effacées ? Ca serait
éclairant, c'est le coeur du sujet.
Toutes celles où l'on pouvait voir un uniforme.