Nous allons démarrer un service internet pour lequel l'abonnement sera
payant.
L'étude de marché reste pleine d'hypothèses et ne nous souhaiterions
"tester" le concept grandeur réelle avant de nous lancer dans la création
d'une société...
Quel statut vous semble le plus approprié pour le démarrage de cette
activité? Sachant qu'ensuite, si l'activité prend son envol, nous crérons
une société type SARL...
Dernier point : Je suis actuellement demandeur d'emploi et mon "associé" est
salarié d'une entreprise.
Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une
association est une solution envisageable?
Cette action est irreversible, confirmez la suppression du commentaire ?
Signaler le commentaire
Veuillez sélectionner un problème
Nudité
Violence
Harcèlement
Fraude
Vente illégale
Discours haineux
Terrorisme
Autre
Brina
Dans l'article <3f0d8e32$0$242$, Patrick Vuichard nous disait ...
> Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une > association est une solution envisageable?
Merci de lire les archives sur google pour constater que c'est une très mauvaise idée : le passage d'une association à une entreprise est très difficile, sauf quand il n'y a aucun actif.
et que le fisc ne s'en mèle pas.
Dans l'article <3f0d8e32$0$242$4d4eb98e@read.news.fr.uu.net>, Patrick
Vuichard <Patrick.Vuichard@wanadoo.fr> nous disait ...
> Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une
> association est une solution envisageable?
Merci de lire les archives sur google pour constater que c'est une très
mauvaise idée : le passage d'une association à une entreprise est très
difficile, sauf quand il n'y a aucun actif.
Dans l'article <3f0d8e32$0$242$, Patrick Vuichard nous disait ...
> Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une > association est une solution envisageable?
Merci de lire les archives sur google pour constater que c'est une très mauvaise idée : le passage d'une association à une entreprise est très difficile, sauf quand il n'y a aucun actif.
et que le fisc ne s'en mèle pas.
Ariel DAHAN
La SARL au capital libéré partiellement en nature (apport en matériel) et partiellement en capital libéré sur 4 ans. Celà vous fait 1.000 ? à sortir par an. Si vous n'y arrivez pas, ne commencez même pas. Cordialement
-- Ariel DAHAN, Avocat avo bd.com regroupez-moi pour me répondre "O J" <http://cerbermail.com/?2mvWUz6ev4> a écrit dans le message news: 3f0d8296$0$12450$
Bonjour,
Nous allons démarrer un service internet pour lequel l'abonnement sera payant. L'étude de marché reste pleine d'hypothèses et ne nous souhaiterions "tester" le concept grandeur réelle avant de nous lancer dans la création d'une société... Quel statut vous semble le plus approprié pour le démarrage de cette activité? Sachant qu'ensuite, si l'activité prend son envol, nous crérons une société type SARL... Dernier point : Je suis actuellement demandeur d'emploi et mon "associé"
est
salarié d'une entreprise.
Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une association est une solution envisageable?
Merci pour vos réponses!
La SARL au capital libéré partiellement en nature (apport en matériel) et
partiellement en capital libéré sur 4 ans.
Celà vous fait 1.000 ? à sortir par an. Si vous n'y arrivez pas, ne
commencez même pas.
Cordialement
--
Ariel DAHAN, Avocat
avo cats@dd bd.com
regroupez-moi pour me répondre
"O J" <http://cerbermail.com/?2mvWUz6ev4> a écrit dans le message news:
3f0d8296$0$12450$626a54ce@news.free.fr...
Bonjour,
Nous allons démarrer un service internet pour lequel l'abonnement sera
payant.
L'étude de marché reste pleine d'hypothèses et ne nous souhaiterions
"tester" le concept grandeur réelle avant de nous lancer dans la création
d'une société...
Quel statut vous semble le plus approprié pour le démarrage de cette
activité? Sachant qu'ensuite, si l'activité prend son envol, nous crérons
une société type SARL...
Dernier point : Je suis actuellement demandeur d'emploi et mon "associé"
est
salarié d'une entreprise.
Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une
association est une solution envisageable?
La SARL au capital libéré partiellement en nature (apport en matériel) et partiellement en capital libéré sur 4 ans. Celà vous fait 1.000 ? à sortir par an. Si vous n'y arrivez pas, ne commencez même pas. Cordialement
-- Ariel DAHAN, Avocat avo bd.com regroupez-moi pour me répondre "O J" <http://cerbermail.com/?2mvWUz6ev4> a écrit dans le message news: 3f0d8296$0$12450$
Bonjour,
Nous allons démarrer un service internet pour lequel l'abonnement sera payant. L'étude de marché reste pleine d'hypothèses et ne nous souhaiterions "tester" le concept grandeur réelle avant de nous lancer dans la création d'une société... Quel statut vous semble le plus approprié pour le démarrage de cette activité? Sachant qu'ensuite, si l'activité prend son envol, nous crérons une société type SARL... Dernier point : Je suis actuellement demandeur d'emploi et mon "associé"
est
salarié d'une entreprise.
Est-ce que le démarrage de l'activité par le biais de la création d'une association est une solution envisageable?
Merci pour vos réponses!
Patrick Vuichard
Jean-Marc Desperrier wrote:
Asso = aucun bénéfice, même indirect (ne pas se servir sur le budget de l'asso pour se payer des trucs donc), et EN PLUS pas de concurrence déloyale d'entreprise ...
Disons que c'est un moindre problème, car, même si en théorie c'est interdit, cela n'entraine dans la pratique qu'une fiscalisation de l'association.
Asso = aucun bénéfice, même indirect (ne pas se servir sur le budget de
l'asso pour se payer des trucs donc), et EN PLUS pas de concurrence
déloyale d'entreprise ...
Disons que c'est un moindre problème, car, même si en théorie c'est
interdit, cela n'entraine dans la pratique qu'une fiscalisation de
l'association.
Asso = aucun bénéfice, même indirect (ne pas se servir sur le budget de l'asso pour se payer des trucs donc), et EN PLUS pas de concurrence déloyale d'entreprise ...
Disons que c'est un moindre problème, car, même si en théorie c'est interdit, cela n'entraine dans la pratique qu'une fiscalisation de l'association.
"Ariel DAHAN" a écrit dans le message de news:beka91$h0g$
La SARL au capital libéré partiellement en nature (apport en matériel) et partiellement en capital libéré sur 4 ans. Celà vous fait 1.000 ? à sortir par an. Si vous n'y arrivez pas, ne commencez même pas. Cordialement
Tout à fait:-) Ensuite il faut noter que les mises en procédures collectives (faillite) ont quasi pour origine soit le fisc (dettes fiscales), soit l'URSSAF (dettes sociales), rarement les fournisseurs ou les banques... Le système actuel ne favorise pas clairement la création d'activité et la responsabilité limitée est indispensable pour faire face aux créanciers fiscaux et sociaux. Ce sont moins les montants qui handicapent que la gestion de la bureaucratie liée à tous ces organismes qu'il est indispensable de suivre au quotidien: les lois changent continuellement, exonération, erreurs de l'administration, erreurs d'interprétation... Même une activité semi-dormante peut se révéler dangereuse...
Il fut un temps où lorsque les investissements étaient faibles comme dans le cas d'une activité de service, on pouvait prendre le risque de démarrer une activité en nom propre. Aujourd'hui il en est hors de question.
Reste donc la solution du capital libéré sur 4 ans ou le prêt personnel accordé par une banque ou un organisme de crédit ou un prêt familial...
Je ne saurais trop conseiller d'aller consulter un expert-comptable via un organisme d'aide à la création d'entreprise.
"Ariel DAHAN" <ari-el@wanado-o.fr> a écrit dans le message de
news:beka91$h0g$1@news-reader3.wanadoo.fr...
La SARL au capital libéré partiellement en nature (apport en matériel) et
partiellement en capital libéré sur 4 ans.
Celà vous fait 1.000 ? à sortir par an. Si vous n'y arrivez pas, ne
commencez même pas.
Cordialement
Tout à fait:-) Ensuite il faut noter que les mises en procédures collectives
(faillite) ont quasi pour origine soit le fisc (dettes fiscales), soit
l'URSSAF (dettes sociales), rarement les fournisseurs ou les banques... Le
système actuel ne favorise pas clairement la création d'activité et la
responsabilité limitée est indispensable pour faire face aux créanciers
fiscaux et sociaux. Ce sont moins les montants qui handicapent que la
gestion de la bureaucratie liée à tous ces organismes qu'il est
indispensable de suivre au quotidien: les lois changent continuellement,
exonération, erreurs de l'administration, erreurs d'interprétation... Même
une activité semi-dormante peut se révéler dangereuse...
Il fut un temps où lorsque les investissements étaient faibles comme dans le
cas d'une activité de service, on pouvait prendre le risque de démarrer une
activité en nom propre. Aujourd'hui il en est hors de question.
Reste donc la solution du capital libéré sur 4 ans ou le prêt personnel
accordé par une banque ou un organisme de crédit ou un prêt familial...
Je ne saurais trop conseiller d'aller consulter un expert-comptable via un
organisme d'aide à la création d'entreprise.
"Ariel DAHAN" a écrit dans le message de news:beka91$h0g$
La SARL au capital libéré partiellement en nature (apport en matériel) et partiellement en capital libéré sur 4 ans. Celà vous fait 1.000 ? à sortir par an. Si vous n'y arrivez pas, ne commencez même pas. Cordialement
Tout à fait:-) Ensuite il faut noter que les mises en procédures collectives (faillite) ont quasi pour origine soit le fisc (dettes fiscales), soit l'URSSAF (dettes sociales), rarement les fournisseurs ou les banques... Le système actuel ne favorise pas clairement la création d'activité et la responsabilité limitée est indispensable pour faire face aux créanciers fiscaux et sociaux. Ce sont moins les montants qui handicapent que la gestion de la bureaucratie liée à tous ces organismes qu'il est indispensable de suivre au quotidien: les lois changent continuellement, exonération, erreurs de l'administration, erreurs d'interprétation... Même une activité semi-dormante peut se révéler dangereuse...
Il fut un temps où lorsque les investissements étaient faibles comme dans le cas d'une activité de service, on pouvait prendre le risque de démarrer une activité en nom propre. Aujourd'hui il en est hors de question.
Reste donc la solution du capital libéré sur 4 ans ou le prêt personnel accordé par une banque ou un organisme de crédit ou un prêt familial...
Je ne saurais trop conseiller d'aller consulter un expert-comptable via un organisme d'aide à la création d'entreprise.