J'utilise TB sur deux machines : une fixe et un portable.
Lors de mes déplacements je "fais mon courrier" avec le portable mais,
du coup, les messages ainsi reçus et envoyés ne sont pas présents sur
la machine fixe ce qui est bien génant.
Existe-t-il un moyen _sûr_ ?
Après lecture de multiples FAQ j'ai bien noté que chaque fichier de
courrier (contenu dans le répertoire "Mail" est accompagné de son
fichier "accélérateur" d'extension .msf qui, s'il est effacé, est
automatiquement recréé.
J'ai noté aussi que ces fichiers peuvent être copiés d'une machine
dans une autre.
Mais peut-on, sans risque, par des copier-coller, transférer des
messages d'une machine à l'autre dans les répertoires correspondants ?
Merci de m'avoir lu.
PS : il y a 4 ou 5 mois quelqu'un a parlé d'une extension de TB
permettant de transférer des données TB. Sait-il faire ce que je
recherche ?
Salut, Jean Le Brun a tapoté, le 21/09/2009 14:13:
J'utilise TB sur deux machines : une fixe et un portable
Je ne l'ai jamais utilisé mais on peut faire tourner Thunderbird sur une clé USB de ce fait tu aurais toujours tout tes mails sauf si tu perds cette clé...
Et bientôt il existera un Seamonkey portable <http://portableapps.com/node/9266>
Mais, ça ne doit pas fonctionner sur Linux sauf en utilisant wine.
-- Stéphane http://pasdenom.info/fortune
Salut,
Jean Le Brun a tapoté, le 21/09/2009 14:13:
J'utilise TB sur deux machines : une fixe et un portable
Je ne l'ai jamais utilisé mais on peut faire tourner Thunderbird sur une
clé USB de ce fait tu aurais toujours tout tes mails sauf si tu perds
cette clé...
Salut, Jean Le Brun a tapoté, le 21/09/2009 14:13:
J'utilise TB sur deux machines : une fixe et un portable
Je ne l'ai jamais utilisé mais on peut faire tourner Thunderbird sur une clé USB de ce fait tu aurais toujours tout tes mails sauf si tu perds cette clé...
Et bientôt il existera un Seamonkey portable <http://portableapps.com/node/9266>
Mais, ça ne doit pas fonctionner sur Linux sauf en utilisant wine.
-- Stéphane http://pasdenom.info/fortune
Zyrtox
Olivier Miakinen <om+ a écrit :
Au contraire, l'autre méthode est parfaitement appropriée à l'usage décrit par Jean : d'une part une machine « fixe » où sont conservés tous ses messages, et qui a seule le privilège d'effacer les messages du serveur une fois qu'ils sont lus ; d'autre part une machine « portable » qui sert de façon itinérante, d'où l'on peut vouloir lire les derniers messages reçus et y répondre, mais où les messages ne seront pas archivés, et qui donc n'est pas habilitée à effacer les messages tant qu'ils ne sont pas rapatriés sur le « fixe ».
Je te prie de m'excuser de n'avoir pas bien su démêler les différentes méthodes proposées et d'avoir amalgamé l'ensemble. Je comprends bien la démarche que tu synthétises dans les quelques lignes qui précèdent, j'ai eu pendant longtemps la maniaquerie d'archiver moi-même dans mon coin, en faisant en sorte que les messages disparaissent bien du serveur quand je le décidais. L'artifice de « laisser les messages sur le serveur » permet ainsi de rendre une machine maîtresse et d'autres dépendantes du sort que la première aura fait aux messages.
Mais je ne suis que moyennement convaincu. Déjà, je me suis déjà retrouvé en rade parce que, tout certain de mon archivage que j'étais, j'aurais bien voulu retrouver des messages que j'avais sauvagement archivés. Mais surtout, je dois avouer que la logique de la synchronisation, qui n'a pas été la mienne pendant longtemps, m'est aujourd'hui presque indispensable. Je réfute ton argument de la sauvegarde, puisque tout client -- du moins, ceux que j'utilise ! -- te permet d'archiver en local n'importe quelle boîte IMAP avec ses messages. En revanche, je t'accorde que tu dépends de la disponibilité du serveur... raisonnement que j'appliquerais aussi à un serveur POP !
-- David (Zyrtox) -+- http://blog.gattaca.org « Se donner du mal pour les petites choses, c'est parvenir aux grandes, avec le temps. » (Beckett)
Olivier Miakinen <om+news@miakinen.net> a écrit :
Au contraire, l'autre méthode est parfaitement appropriée à l'usage
décrit par Jean : d'une part une machine « fixe » où sont conservés
tous ses messages, et qui a seule le privilège d'effacer les messages
du serveur une fois qu'ils sont lus ; d'autre part une machine
« portable » qui sert de façon itinérante, d'où l'on peut vouloir lire
les derniers messages reçus et y répondre, mais où les messages ne
seront pas archivés, et qui donc n'est pas habilitée à effacer les
messages tant qu'ils ne sont pas rapatriés sur le « fixe ».
Je te prie de m'excuser de n'avoir pas bien su démêler les différentes
méthodes proposées et d'avoir amalgamé l'ensemble. Je comprends bien la
démarche que tu synthétises dans les quelques lignes qui précèdent, j'ai
eu pendant longtemps la maniaquerie d'archiver moi-même dans mon coin,
en faisant en sorte que les messages disparaissent bien du serveur quand
je le décidais. L'artifice de « laisser les messages sur le serveur »
permet ainsi de rendre une machine maîtresse et d'autres dépendantes du
sort que la première aura fait aux messages.
Mais je ne suis que moyennement convaincu. Déjà, je me suis déjà
retrouvé en rade parce que, tout certain de mon archivage que j'étais,
j'aurais bien voulu retrouver des messages que j'avais sauvagement
archivés. Mais surtout, je dois avouer que la logique de la
synchronisation, qui n'a pas été la mienne pendant longtemps, m'est
aujourd'hui presque indispensable. Je réfute ton argument de la
sauvegarde, puisque tout client -- du moins, ceux que j'utilise ! -- te
permet d'archiver en local n'importe quelle boîte IMAP avec ses
messages. En revanche, je t'accorde que tu dépends de la disponibilité
du serveur... raisonnement que j'appliquerais aussi à un serveur POP !
--
David (Zyrtox) -+- http://blog.gattaca.org
« Se donner du mal pour les petites choses, c'est parvenir aux grandes,
avec le temps. » (Beckett)
Au contraire, l'autre méthode est parfaitement appropriée à l'usage décrit par Jean : d'une part une machine « fixe » où sont conservés tous ses messages, et qui a seule le privilège d'effacer les messages du serveur une fois qu'ils sont lus ; d'autre part une machine « portable » qui sert de façon itinérante, d'où l'on peut vouloir lire les derniers messages reçus et y répondre, mais où les messages ne seront pas archivés, et qui donc n'est pas habilitée à effacer les messages tant qu'ils ne sont pas rapatriés sur le « fixe ».
Je te prie de m'excuser de n'avoir pas bien su démêler les différentes méthodes proposées et d'avoir amalgamé l'ensemble. Je comprends bien la démarche que tu synthétises dans les quelques lignes qui précèdent, j'ai eu pendant longtemps la maniaquerie d'archiver moi-même dans mon coin, en faisant en sorte que les messages disparaissent bien du serveur quand je le décidais. L'artifice de « laisser les messages sur le serveur » permet ainsi de rendre une machine maîtresse et d'autres dépendantes du sort que la première aura fait aux messages.
Mais je ne suis que moyennement convaincu. Déjà, je me suis déjà retrouvé en rade parce que, tout certain de mon archivage que j'étais, j'aurais bien voulu retrouver des messages que j'avais sauvagement archivés. Mais surtout, je dois avouer que la logique de la synchronisation, qui n'a pas été la mienne pendant longtemps, m'est aujourd'hui presque indispensable. Je réfute ton argument de la sauvegarde, puisque tout client -- du moins, ceux que j'utilise ! -- te permet d'archiver en local n'importe quelle boîte IMAP avec ses messages. En revanche, je t'accorde que tu dépends de la disponibilité du serveur... raisonnement que j'appliquerais aussi à un serveur POP !
-- David (Zyrtox) -+- http://blog.gattaca.org « Se donner du mal pour les petites choses, c'est parvenir aux grandes, avec le temps. » (Beckett)
